Gestion Marketing - of /tuyaux
Mercator : Théories et nouvelles pratiques du marketing », Jacques ......
Cependant, aujourd'hui, d'autres acteurs que l'entreprise s'expriment à son sujet.
... L'élève doit analyser la pertinence du choix des médias et supports au regard
des ...... de l'examen de questions vues précédemment, en particulier « L'
entreprise ...
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Gestion Marketing
I. SCHUILING
Université Catholique de Louvain-La-Neuve
Année académique 2004-2005 --- modifié année académique : 2005-2006
Partie 1 : Introduction
Ch. 1 : Le rôle du marketing dans lentreprise.
Evolution des modes de gestion :
Différentes orientations possibles :
Orientation production (le choix se fait selon le prix et la disponibilité). Le but est daccroître la capacité de production et le rendement.
Orientation produit (on choisit le produit qui offre la meilleure performance). Le but est daméliorer la qualité du produit.
Orientation vente (le choix du produit est fait en fonction de lintensité de la pression de vente. « Les produits sont achetés et non vendus ») lobjectif est dutiliser des techniques de vente les plus agressives.
Orientation marketing (les besoins doivent être compris afin de les satisfaire). Développer des produits ou services qui répondent à ces besoins.
Définition du marketing :
Lentreprise doit identifier les besoins et les désirs(1) des consommateurs visés(2) et produire les satisfactions(3) désirées de façon rentable(4), car plus efficace(4) que la concurrence(5). (Lobjectif central est de satisfaire le consommateur.
(1) Pour identifier les besoins, on fait des études de marché
(2) On ne vise pas à toucher tous les consommateurs, on sintéresse à un segment
particulier
(3) Développer les produits qui vont satisfaire les consommateurs
(4) la rentabilité de lentreprise est lobjectif final de lapproche marketing
(5) Il faut très bien connaître ce que fait la concurrence
lapproche marketing permet à lentreprise dêtre plus performante dans la conception et la mise sur le marché de ses produits.
Le concept dorientation-marché (j-j Lambin) désigne le fait que lentreprise prend en compte ts les intervenants qui influencent la décision dachat du client (marché au sens large)
( toutes les fonctions de lentreprise sont tournées vers le marché.
On peut dire quil y a une philosophie du management a travers le besoin de la satisfaction des consommateurs
Lintégration des activités pour satisfaire ces besoins
Lobtention de profit à long-terme via la satisfaction de ces besoins
Le marketing possède un double visage :
Stratégique : cest un processus danalyse. On rassemble des informations et on analyse le marché pour comprendre les consommateurs, lenvironnement,
Opérationnel : cest le processus dexécution, de mise en uvre. Il représente tout ce qui été décidé au point de vue marketing, cest donc le plus visible ( attention de ne pas les confondre
Rmq : on parle des Les 4 P : produit, prix, place (distribution) promotion (la consommation)
Il y a 5 étapes dans le marketing stratégique et opérationnel :
Analyse des opportunités de marché :
Cest tant une analyse externe (consommateurs, concurrents, marché, environnement) quinterne à (entreprise). On analyse les opportunités et les menaces ainsi que les forces et les faiblesses.
Segmentation (réunion des consommateurs selon leurs besoins) des marchés-cibles :
Ici le choix des critères de segmentation va jouer un rôle important.
Phase du ciblage, attractivité/compétitivité :
Interviennent les stratégies de développement, et la sélection de lun ou lautre segment attractif.
Positionnement :
On identifie la différenciation.+ les stratégies de positionnement ( la question est de savoir comment se différencier des autres
Marketing mix :
Avec les 4 P : Produit, Prix, Pomotion (Communication), Place
(Distribution).
De a à d = marketing stratégique, e = marketing opérationnel
Le concept de marketing comprend 3 dimensions :
Une dimension analytique (= compréhension des marchés),
Une dimension daction (= pénétration de marchés),
Une dimension idéologique (= culture orientée vers le marché).
RMQ : il ne faut pas confondre le marketing avec la publicité, les promotions, la communication, les techniques de vente
Evolution du marketing
Certaines entreprises ont abordé le marketing par la publicité ou par les promotions. Dautres, comme les entreprises industrielles, ont considéré que le marketing (publicité-vente) nétait pas pour eux. Certaines entreprises prétendent pratiquer le marketing sans réelle réflexion de marketing stratégique
Il y a trois champs daction du marketing :
Individus (B to C : business to consumer) il est intéressé par le consommateur final ( cest un marketing de biens et services
Organisations (B to B : business to business ex : Arcelor et Renault : la tôle nest pas destinée au consommateur final)
- Organisations sans but lucratif
Il existe différents types de marketing stratégique :
le marketing stratégique de réponse soccupe didentifier les besoins insatisfaits en développant une solution adaptée (innovation tirée par le marché)
le marketing stratégique de création vérifie lexistence dun marché, de sa taille, et comprend des facteurs clés de succès (innovation poussée par lentreprise).
((La coopération entre le marketing et la Recherche et Développement est fondamentale.
Un constat est à déplorer
Il y a en effet une insatisfaction vis-à-vis du marketing traditionnel. Il ny a pas de mesures satisfaisantes de performance des investissements marketing, ni de relation à long terme avec les consommateurs.
Dès lors, la solution est de sorienter vers les marchés : toutes les fonctions de lentreprise prennent en compte tous les intervenants qui influencent la décision dachat.
Dès lors, le rôle du marketing va se renforcer car les marchés sont matures et les besoins saturés, il y a accélération et généralisation du progrès technologique et une internationalisation accrue des marchés.
Changements majeurs influençant le marketing :
Changements socioculturels :
Car apparition de nouveaux segments (seniors, ménage à une personne(ex : création de plat surgelé, femmes au travail( livraison des courses à domiciles (( opportunités nouvelles), de nouveaux consommateurs (le comportement dachat a changé) et du consumérisme (mouvement en faveur de la protection des consommateurs.) (Contre-pouvoir des groupes des consommateurs, groupe de pression).
Développement des nouvelles technologies :
La concurrence technologique devient accrue. Il y a également un bouleversement des frontières des secteurs existants, tout comme un besoin de redéfinir les marchés de référence
Mouvement écologique :
Il y a une prise de conscience de la rareté des ressources naturelles, une conscientisation de limpact de la consommation et du marketing sur lenvironnement. Dès lors, il y a un nouvel objectif : améliorer la qualité de la vie et non pas la satisfaction du consommateur. (Ex : Pampers génère des millions de lange chaque année ( emploi de matériaux biodégradable)
Pouvoir de la grande distribution :
Il y a de plus en plus de création des marques de distributeurs, et les centrales dachat puissantes augmentent leurs pouvoirs de négociation.
Emergence du marketing responsable ou éthique :
Il y a nécessité dun comportement plus éthique et plus responsable. Lintérêt des consommateurs à long terme est plus important.
Globalisation de léconomie :
On observe une globalisation des marchés, de linterdépendance entre ceux-ci, ainsi quune globalisation des stratégies qui permet des économies déchelles substantielles.
Tout cela a bien entendu un impact pour les stratégies marketing.
Les limites du marketing :
Satisfaction des besoins à court ou à long terme ?
Satisfaction des besoins individuels ou collectifs ?
Produits demandés par le marché ou poussés par la technologie ?
Thèmes actuels :
Marketing global :
Ici, il y a définition des stratégies marketing au niveau mondial ou régional. Il y a une recherche déconomies déchelles générées par la standardisation ainsi quun développement des marques internationales au détriment des marques locales. (Ex : BBL devenu ING)
Mais alors se pose un dilemme : standardisation ou adaptation ?
Marketing relationnel :
On veut créer des relations avec les clients car un client fidèle est plus rentable quun nouveau client. Il y a alors création de différents niveaux de relation.
Trade marketing :
Ici, le distributeur utilise le marketing à son profit. Il y a un développement de stratégies de segmentation et de positionnement. On lance des marques de distributeurs (ex : carrefour).
Marketing direct et interactif :
Accès à de linformation ciblée et à de nouveaux circuits dinformation et de vente. Il y a une possibilité de personnalisation des messages et des contacts privilégiés avec le client.
Gestion de la marque :
La marque a une existence au-delà du produit et offre des bénéfices tangibles et intangibles. Les marques sont devenues le capital de lentreprise. De nouvelles stratégies comme lextension de la marque, le Co-branding ou le changement de noms sont mises en place.
Pour conclure, on peut dire que le marketing est bel et bien une philosophie de gestion. Il est centré sur la compréhension des besoins des consommateurs. Le marketing stratégique est la partie la plus importante de la réflexion marketing. Le marketing opérationnel en est lexécution.
Partie 2 : Elaboration du marketing stratégique
CH. 2 : Lanalyse des besoins et des comportements
de lacheteur.
La notion de besoin :
Le besoin est une exigence de la nature ou de la vie sociale.
Nous distinguons 2 types de besoin :
les besoins génériques (besoin de base) : ce sont des besoins innés, naturels,
les besoins dérivés : ce sont plus des besoins acquis, culturels et sociaux.
Ex ; le GSM : le but est de communiquer, il est dérivé du besoin de base
Ce sont aux besoins génériques quil faut trouver des réponses.
En effet, le besoins dérivé est une réponse technologique apportée au besoin générique et aussi objet du désir. La saturation touchera le besoin dérivé et non le générique. Lentreprise doit dès lors définir sa mission en termes de besoin générique.
Kotler va distinguer :
Besoin : sentiment de manque éprouvé à légard dune satisfaction générale liée à la condition humaine.
Désir : moyen privilégié de rencontrer un besoin.
La demande
Les besoins génériques sont stables mais les désirs sont multiples et changeants. Dès lors, le marketing, selon Kotler, se contente dinfluencer les désirs en rendant le produit attrayant et disponible.
On peut encore faire une distinction entre :
Besoins articulés : ce sont les besoins énoncés (ce que le client dit), les besoins non énoncés (ce que le client attend) et les besoins imaginaires (le rêve du client).
Besoins non articulés : ce sont les vrais besoins (le bien-être du client) et les besoins inconscients (ce qui inconsciemment motive le client).
Les théories des besoins :
La typologie de Murray nous dit que tous les individus possèdent les mêmes besoins mais ils sexpriment différemment dindividus à individus. Sa typologie différencie les besoins primaires (physiologiques) et secondaires (les autres), positifs (ceux qui vont attirer lindividu) et négatifs (donnent une mauvaise image), manifestes (ceux qui vont influencer le comportement) et latents (les besoins imaginaires) et enfin les besoins conscients ou inconscients.
La hiérarchie des besoins selon Maslow se présente comme suit :
Besoins de saccomplir (5) (besoin de réaliser des choses difficiles, de se dépasser)
Besoins destime (4)
Besoins sociaux (3) (faire partir dun groupe social)
Besoins de sécurité (2)
Besoins physiologiques (1)
Ces besoins nexistent pas au même degré chez tous les individus. Pour passer au besoin suivant, on doit dabord satisfaire les niveaux inférieurs de la pyramide.
De plus, lindividu ne fait pas appel aux biens seulement pour des raisons pratiques mais pour communiquer avec son environnement. Les biens à développer et destinés à satisfaire ces besoins devront être conçus en conséquence.
Question : le marketing crée-t-il des besoins ? il ne crée pas des besoins de base, il influence les besoins dérivés. (ex : mercedes : il répond au besoin de statut social MAIS ne crée pas le besoin de statut social)
Quelles limites doit-on se donner ?
Législation, comportement éthique ( éthique dans la pratique du management.
Les comportements dachat : (se mesurent avant, pendant et après)
Le comportement dachat est lensemble des activités qui précèdent, accompagnent et suivent les décisions dachat.
On va émettre lhypothèse que les comportements dachat (lacte dachat étant une activité visant à résoudre un problème) suivent une conduite rationnelle. Cependant, le comportement est rationnel dans les limites de linformation détenue (TDO) !
Le client détient donc un rôle dans le comportement. Ce rôle est triple :
Lutilisateur : bénéficie du service,
Le payeur : finance lachat
Lacheteur : achète
Le niveau de risque : quand jachète un bien jessaye davoir beaucoup de renseignements sur le produit pour limiter le risque (ex : auto = risque financier)
Chaque rôle peut être exercé par la même personne ou des personnes différentes. (Ex : mère de famille, entreprise
)
Dans le processus dachat, il existe 5 étapes :
Reconnaissance du problème,
Recherche dinformations,
Evaluation des solutions possibles,
Décisions dachats,
Comportement après achat.
V. modèle du comportement dachat
Modèle du cpt dachat
p 28
Le processus de réponse des acheteurs :
Cest un modèle hiérarchique car on considère que lon passe dun niveau à un autre sans sauter un niveau
(Ce processus est suivi dans le cas où le risque et le degré dimplication est important)
Il y a dabord la réponse cognitive qui est la réception de linformation (= cognitif LEARN).
Ensuite vient la réponse affective qui est plutôt lévaluation de linformation (= affectif FEEL).
En dernier lieu intervient la réponse comportementale qui est laction compte tenu de linformation (= comportemental DO).
Le modèle de Foote, Cone et Belding (FCB)
Quadrant 1 : processus dapprentissage
Quadrant 2 : processus affectif
Quadrant 3 : implication minimale
Quadrant 4 : dimension hédoniste
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Les mesures de la réponse cognitive :
= ensemble des croyances et informations détenues par un individu.
Il y a la notoriété qui est le degré de connaissance de la marque auprès du public. La notoriété est
spontanée (ex : quel marque dordi connaissez- vous ?)
assistée (ex : parmi ces maques, lesquelles connaissez-vous ?)
Il y a aussi le recall de la marque qui est la mémorisation
Mesures de la réponse affective :
= Sentiments, préférences, attitudes, intentions, jugements favorables ou défavorables.
Le concept dattitude comprend létat mental de lindividu constitué par lexpérience et les informations acquises, lui permettant de structurer ses perceptions et ses préférences. On est dans un modèle « multi-attributs » pour savoir quels critères seront positifs ou négatifs. On est donc dans une approche de décomposition (classement des attributs) et de composition (score dutilité globale sur base de lévaluation des marques sur différents attributs).
Différentes matrices peuvent être construites.
Ex :
Matrice importance/performance : voir page 31 slide 18
Un attribut peut être ressenti comme très important pour lacheteur mais pas perçu comme présent dans une marque.
Cette matrice présente 2 faiblesses :
La performance est définie en termes absolus sans tenir compte des concurrents. Le mieux serait danalyser la performance par rapport aux concurrents.
Les scores dimportance ne mesurent pas la déterminance dun attribut.
Matrice déterminance/performance relative.
Mesures de la réponse comportementale :
= Vente du produit, part de marché, fidélité à la marque, satisfaction/insatisfaction.
Un client satisfait reste fidèle plus longtemps, achète davantage, se détermine moins à partir des prix et est favorable à lentreprise. En effet, dans de nombreux secteurs, plus de 80 à 90 % du chiffre daffaires est réalisé par des clients existants. Conquérir un nouveau client coûte 5 fois plus cher que fidéliser un client actuel. Les pertes des clients rentables affectent les résultats dune firme.
Les entreprises découvrent dailleurs que 20 à 40% des clients ne sont pas rentables
De plus, la satisfaction engendre la fidélisation. En effet, la satisfaction est le principal facteur explicatif de la fidélité et de la performance financière à long terme.
Il faut créer une culture qui pousse à se surpasser dans lintérêt du client. Une fidélisation passe par un marketing de relation. On essaye de comprendre le type de client de manière à le satisfaire au mieux.
Rmq : il faut se souvenir que la connaissance du marché est très importante :
Ex : Coca-Cola pour contrer Pepsi avait lancé le New Coke mais le consommateur a préféré lancien produit car il lui associait aussi une image (USA,
)
Il y a quelques années Levis se croyant leader na pas évolué dans ses modèles
Ex de types détudes :
Etudes exploratoires (qualitatives) : on interroge peu de personne : échantillon représentatif de la population ex : groupe de discussion (one to one ou interviews dexperts)
Etudes de marché (quantitatives) on interroge plus de personnes. (Ex : questionnaire, téléphone, Internet, poste
)
Le comportement dachat dans le marché industriel :
Nature de la demande :
La demande est dérivée, cest à dire indépendante dune ou plusieurs demandes situées en aval de son activité. La demande est dès lors assez inélastique, fluctuante et son analyse est plus complexe.
Structure et nature du client :
Les décisions dachat sont prises par des centres décisionnels dachat ou groupes dachat.
Les intervenants sont multiples (acheteur, utilisateur, décideur,
).
Les acheteurs sont moins nombreux mais les achats sont plus importants. Les relations commerciales sen retrouvent dès lors étroites
Type de produits industriels :
Ce sont des produits destinés à développer dautres produits de consommation ou industriels. Ils sont également destinés à permettre la réalisation des opérations de lentreprise. Ils sont achetés pour la revente.
Le produit comme réponse à un besoin
Le produit (service) est une réponse à un besoin, il est une solution multi-attributs à un problème (panier dattributs). De plus, un produit apporte une valeur fonctionnelle (servie de base) et des utilités secondaires et ce afin de se différencier.
Rmq : des produits différents peuvent répondre à un même besoin.
Ex : IKEA
Besoin : se meubler dune manière moderne à un bon prix
Fonction de base : offre des meubles design à un bon prix
Services additionnels : restaurant, cafétéria et tout cela à un but : celui de garder le consommateur le plus longtemps dans le magasin. Il y a aussi la garderie et le coin pour ados et cela dans le but de laisser aux parents le temps de vois le magasin en occupants les enfants.
CH. 3 : La segmentation des marchés.
Les niveaux de segmentation :
La macro segmentation qui est lidentification des produits marchés, cette analyse est le plus souvent utilisée dans le domaine industriel ( celle-ci nest pas suffisante pour les services ou les produits de consommation
La micro segmentation qui elle, identifie les segments de consommateurs ( l'objectif est de développer un programme marketing qui répond aux besoins de ces consommateurs.
Macro segmentation :
On définit le marché de référence du pt de vue de lacheteur en termes de « solutions à un problème.
On va se poser 3 questions :
Quels sont les différents groupes dacheteurs potentiels ?
Quels sont les différents besoins à rencontrer ( solution à apporter ?)
Quelles sont les technologies existantes pour répondre à ces besoins ?
Voici les structures du marché de référence :
Un produit marché : un besoin générique précis pour un groupe de clients avec une technologie particulière
Un marché solution : ensemble des technologies possibles pour un besoin et un groupe de clients déterminé.
Une industrie : est définie par une technologie, quels que soient les besoins et les groupes de clients
Lanalyse de segmentation :
Elle va être différente de produits à produits. Elle a une logique simple, mais est difficile à réaliser. On analyse les consommateurs par type de produits.
RMQ : Segmenter = découper
Cibler = prendre un segment
Les différents types de segmentation :
La segmentation sociodémographique :
Les consommateurs ont des caractéristiques sociodémographiques différentes. Lobjectif est de les regrouper selon ces caractéristiques (ex : sexe ; âge, taille du foyer, composition de la famille, revenus, professions, niveau dinstruction).
Les avantages sont :
Facilité daccès aux informations,
Facilité daccès par un marketing mix ciblé.
Les inconvénients sont :
Les consommateurs partagent-ils les mêmes besoins ?
Sous-estimation des courants culturels ;
Pas de segmentations nouvelles ou originales
Par ex : Fisher Price : lâge ; Les magazines : le sexe ; Les cosmétiques ; le sexe ; Les voitures : le revenu
La segmentation par avantages recherchés :
Ici, le consommateur recherche des avantages ou des bénéfices différents. Ces avantages peuvent être très différents selon la catégorie de produits étudiée. Cette segmentation suppose de comprendre : la liste des avantages ou attributs associés à la catégorie de produit,
une évaluation de limportance relative accordée à chaque attribut
un regroupement des acheteurs qui accordent la même importance aux attributs.
(On est donc en présence dun modèle multi-attributs.
Lavantage est :
La segmentation est logique
Les inconvénients sont :
Difficulté didentifier les avantages à privilégier
Réalisation détudes de marché assez coûteuses
Perte de reconnaissance du profil sociodémographique
Par ex :
Prix : Seiko, Pulsar, Citizen ; Image/Symbole : Rolex ; Elégance/Mode : Gucci, Armani ; Esprit sportif ; Toghueuer, Breitling ; Raffinement : Patek Philippe
Spa : bénéfices recherchés : le goût de leau, sa composition, son prix, son emballage pratique, le patriotisme, limage symbolique le la marque.
MAIS il ne faut pas oublier quil est mieux de faire un classement des ces bénéfices et connaître leur pourcentage.
La segmentation psychographique :
Les consommateurs peuvent être regroupés selon leurs opinions ou leur système de valeur. Cest donc selon leur style de vie quils sont regroupés. (Ex : produit bio). Certains bureaux détudes réalisent des études afin didentifier les grands courants sur les styles de vie (études socio-styles).
Les avantages sont :
Les besoins sont de plus en plus liés à des tendances ou des modes de vie.
Identification de nouveaux segments originaux.
Les inconvénients sont :
Etudes des socio-styles : les incitations ne sont pas toujours fiables ou représentatives
Il y a risque de prendre de mauvaises décisions.
Par ex : Etude de la société MOPER :
Lobjectif est de comprendre les motivations et valeurs des ¬ péens (1000 personnes dabs 35 pays)
Identification de 6 groupes en ¬ pe :
Les dynamiques : Valeurs matérielles et objectifs
professionnels
Les dévots : devoir et tradition
Les altruistes : Question sociale et bien-être collectif
Les intimistes : Relation interpersonnelles et famille
Les hédonistes : bien-être et service
Les créatifs : éducation, connaissance et technologie
Nokia : 650 millions dutilisateurs potentiels dans le monde divisés en 10 catégories :
Cadres supérieurs fortunés
Les jeunes avant gardistes
La mère de famille
Les éternels inquiets
La segmentation comportementale :
Les consommateurs sont regroupés selon leur comportement dachat. Les critères sont par ex : le statut dutilisateur, le taux dutilisation, le statut de fidélité,
Il existe 2 types de segmentation :
à une variable :
Une seule variable est utilisée pour segmenter le marché, le segment se retrouvant dès lors moins précis.
multi-variables :
On prend différents critères que lon va découper selon une variable ou 2. On a alors plus dinformations sur les consommateurs, le marketing mix est plus satisfaisant par segment et on a moins de consommateurs par segment.
Exercice : Segmenter le marché des voitures :
la segmentation sociodémographique :
revenu : faible moyen - élevé
taille du foyer : petite moyenne - grande
lâge : jeune adulte - personnes âgées
la segmentation par avantages recherchés :
le prix
la sécurité
la performance
le design
image de marque (sportive, statut social,
)
les services associés
la fonctionnalité, le confort
la consommation
la pollution
la qualité (origine de la voiture)
la segmentation psychographique :
les éternels inquiets
lécolo
la réussite sociale
le traditionnel
la segmentation comportementale :
le taux dutilisation (km)
le non utilisateur ou lutilisateur fidèle
Autre exemple Findus : socio démo : célibataires urbains de moins de 35 ans
Avantages recherché : nourriture diététique, variée sans
faire la cuisine
Les conditions dune segmentation efficace demandent des segments homogènes (les besoins sont similaires au sein du segment), mesurables (segments comparables en terme de taille, volume, coûts et profit), substantiels (segment générant assez de profit potentiel) et accessibles (aux efforts de marketing, est-ce que je peux toucher cette partie du marketing ?).
Segmentation des marchés industriels :
On retrouve 3 types de segmentation :
par avantages recherchés :
Cest la méthode la plus naturelle car elle se base sur des besoins spécifiques et définis. On classifie les clients par type dindustrie et par utilisateur final. (Ex : Arcelor a intérêt à segmenter selon ses clients car les besoins seront différents (industrie auto, électroménager, construction)
socio-démographique :
Ce sont les critères décrivant le profil du client industriel (ex : lactivité, la localisation géographique, la taille (PME,
), la composition des actionnaires,
Segmentation comportementale :
La segmentation est plus fréquente, on y regroupe les clients selon leurs structures et la manière dont leur centre dachat fonctionne.
Par ex : P&G dont la segmentation se fait par avantages recherchés :
La blancheur : Dash
Lenlèvement des tâches : Ariel
La facilité dutilisation : Vizir
Le prix : Bonux
La protection de la lessive : Dreft
Stratégies de couverture :
Stratégie de marketing indifférencié :
Lobjectif est de traiter le marché comme un tout. On ne tient pas compte de différents segments.
Stratégie de marketing différencié :
Lobjectif est de viser plusieurs segments du marché et de traiter chaque segment avec des stratégies marketing distinctes. Les coûts sont plus élevés car un programme marketing est adapté à chaque segment.
Par ex : LOréal : lOréal Paris, Vichy, Biotherm, Héléna Rubenstein,
Lancôme
Stratégie de marketing concentré :
Lobjectif est de se spécialiser dans un segment à cause de faute de moyen, on na pas les capacités daller dans plusieurs segments. Cest plus adapté pour les PME.
On essaye dêtre le meilleur dans le segment choisi.
Le choix de stratégie dépendra du nombre de segments rentables et des ressources de lentreprise.
Ciblage :
Le ciblage se base sur lanalyse dattractivité (= évolution de la demande) et de compétitivité (situation concurrentielle + forces et faiblesses des concurrents).
Il va permettre de sélectionner les segments-cibles que lentreprise veut occuper. Segmenter consiste à découper le marché alors que cibler consiste à choisir les
segments du marché à occuper.
Les objectifs et ressources de lentreprise jouent également un rôle déterminant
Cette étape est primordiale car elle oriente le développement de lentreprise.
Le ciblage se base sur :
Lanalyse dattractivité : niveau de demande et phases du cycle de vie
Lanalyse de compétitivité : situation concurrentielle, forces et faiblesses des concurrents et la capacité de lentreprise.
.
CH. 4 : Ciblage Analyse dattractivité
Concepts de base :
Il existe 2 types de demande :
La demande primaire :
Cest la demande du marché = total des quantités achetées par un groupe dacheteurs déterminé en un lieu et à une période donnée dans un environnement donné.
La demande à lentreprise :
Cest la demande à la marque = part de la demande primaire correspondant à la part de marché détenue par la marque dans un marché déterminé.
Par ex : marque A a une croissance en volume de 15% avec une demande primaire qui croit de 15% ( elle est stable
marque A a une croissance en volume de 15% avec une demande primaire qui croit de 20% ( elle nest pas stable
marque A baisse en volume de 5% avec une demande primaire qui diminue de 20% ( encore pire
La demande primaire est fonction des déterminants de la demande.
On doit distinguer : - les facteurs denvironnement hors contrôle pour lentreprise comme les clients finaux, les clients intermédiaires (distributeurs), les concurrents,
- pression marketing totale : les 4P.
Opportunités de croissance :
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Le marché potentiel actuel dépend de la pression marketing exercée, alors que le marché potentiel absolu est une limite à laquelle tend la demande primaire :
Tout utilisateur potentiel dun produit est utilisateur effectif ;
Chaque utilisateur utilise le produit à chaque occasion dusage ;
Chaque utilisation est réalisée à la dose optimale.
Par ex : marché dhygiène buccale
Le modèle de cycle de vie :
La demande évolue dans le temps :
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Dans cette analyse stratégique du CVP, à chaque phase :
Lenvironnement économique et concurrentiel est différent,
Lobjectif stratégique est redéfini
Les coûts et profits sont différents
Le programme marketing est réadapté.
Les applications du CVP sont :
Le cycle de vie dun produit marché qui diffère dans chaque produit marché et sa fonction (technologie) mais aussi du marché (demande globale)
Le cycle de vie dune marque dans lequel les variables sont sous le contrôle de lentreprise.
Expliquons les différentes phases :
(a) Phase dintroduction:
Lévolution des ventes est très lente. On met au point de la technologie, la distribution se construit, la concurrence est rare si lon est un innovateur. Le gros problème de cette phase est le haut degré dincertitude et de risque financier.
Lobjectif prioritaire est de créer de la demande aussi rapidement que possible. Les autres objectifs sont :
Créer la notoriété du produit
Informer le marché des avantages du produit
Inciter les acheteurs à essayer le produit
Introduire le produit dans les réseaux de distribution
Le rôle du marketing mix est
- La conception basique du produit
La distribution sélective ou exclusive
La possibilité de pratiquer des prix élevés
La communication informative
(b) Phase de croissance :
On observe un développement rapide de la demande (( la demande continue daugmenter). En effet, le taux doccupation augmente rapidement grâce au « bouche à oreille »
Il y a baisse des coûts de production grâce à leffet dexpérience. Les produits sont plus disponibles, mais les nouveaux concurrents arrivent mais néanmoins tout le monde est gagnant car le marché est en croissance.
Les objectifs prioritaires sont :
Etendre et développer le marché pour maintenir la croissance.
Construire une image de marque forte en vue dêtre protégé par après vu que les concurrents sont parfois très pacifistes.
Créer et entretenir la fidélité à la marque qui est plus facile à faire en période de croissance
Le marketing mix soccupera :
- Daméliorer le produit (caractéristiques)
Adopter une distribution intensive
Réduire les prix
Communication à un max. de consommateurs (« couverture » cela signifie que lon va essayer de toucher un maximum dindividu)
Par ex : les éoliennes, les GPS, les clefs USB
(c) Période de turbulence :
Ici, la demande continue à croître, mais à un taux décroissant
Les concurrents les plus faibles quittent le marché
le secteur se concentre et la cible que lon veut toucher est la majorité.
Les objectifs prioritaires sont :
Segmenter le marché de manière créative
Maximiser la part de marché
Maintenir la fidélité à la marque
Le rôle du marketing mix soccupera de :
- Différenciation des produits guidée par les
segments cibles
Couverture maximale en distribution
Prix basés sur la valeur perçue
Communication adaptée aux segments
(d) Phase de maturité :
Ici, la croissance est faible et les taux doccupation/de pénétration sont élevés. Le marché est très segmenté (couvre tous les besoins). Le marché est concentré et donc il existe quelque concurrent puissant. Les technologies sont banalisées et la demande est stable.
Lobjectif prioritaire est daugmenter la part de marché (prendre le marché aux concurrents)
Les autres objectifs sont de :
Différencier le produit par de nouveaux paniers dattributs
Rechercher des niches ou des créneaux nouveaux
Eviter une concurrence par les prix en effet si un commence à diminuer ses prix, tout le monde va devoir baisser ses prix ( cela va créer des problèmes pour les entreprises.
Adopter un marketing relationnel en vue de conserver qques consommateurs (on veut être le plus proche de client (souvent dans le domaine du service))
Par ex : le PC, le GSM, le lecteur DVD
(e) Phase de déclin :
.
La caractéristique principale est une décroissance structurelle de la demande. De nouveaux produits plus performants apparaissent, les habitudes de consommation changent, il y a des changements environnement socio-éco-politique,
Les objectifs prioritaires sont de :
Désinvestir
Se spécialiser sur un marché résiduel (ex : dans les boites, utilisation danciens disques)
Par ex : t la cassette audio, vidéo, appareils photos normaux
Limites du CVP :
Tous les produits ne passent pas par toutes les phases, et lentreprise peut agir sur lallure de la courbe en innovant
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Méthodes de prévision de la demande :
Il existe différents type des méthodes de prévision :
Méthodes subjectives,
Méthodes objectives
Méthodes naïves (sur base dobservations passées)
Méthodes causales (facteurs explicatifs)
Il y a nécessité dune approche intégrée
Plus slide 31 p 65
CH. 5 : Ciblage : Analyse de la compétitivité.
Analyse de la compétitivité :
On analyse la situation concurrentielle des produits-marchés ou segments et on évalue la nature et la force de l'avantage concurrentiel des concurrents.
La notion davantage concurrentiel :
= Ensemble des caractéristiques ou attributs détenu par un produit ou une marque qui lui donnent une certaine supériorité vis-à-vis des concurrents immédiats.
Il est donc essentiel de se différencier de la concurrence. Cette différenciation se fait sur base dun avantage concurrentiel externe ou interne.
Lexterne = qualités distinctives du produit donnant un pouvoir de marché (= stratégie de différenciation). Il sappuie sur des qualités distinctives du produit qui constituent une valeur pour lacheteur. Il permet dadopter un prix de vente supérieur à celui de la concurrence (=> pouvoir de marché).
Linterne = supériorité de lentreprise dans la maîtrise des coûts, lui donnant un prix de revient inférieur (= stratégie de domination par les coûts). Il y a donc une présence dun écart de prix de revient dû à une meilleure productivité. Dans les secteurs à forte intensité de main duvre, une baisse des coûts se constate au fur et à mesure que lentreprise accumule de lexpérience.
La notion de rivalité élargie :
Porter identifie 5 dimensions de lattrait dun marché :
Menace liée à lintensité de la concurrence
Menace de nouveaux entrants
Menace des produits substituts
Pouvoir de négociation des clients
Pouvoir de négociation des fournisseurs
1-2-3 = Menace directe 4-5 = Menace indirecte
On ne doit pas sintéresser uniquement aux concurrents propres (la concurrence directe). Le modèle de Porter permet délargir cette analyse de lintensité de la concurrence.
Modèle de Porter :
Pouvoir de négociation Menace de nouveaux
des fournisseurs entrants
Menace de produits Pouvoir de négociation
Substituts des clients
Menace de nouveaux entrants :
Ce sont des firmes extérieures au marché qui recherchent des synergies. Ce sont des firmes pour lesquelles lentrée est un prolongement logique de leur stratégie.
La menace de nouveaux entrants dépend de
Existence de barrières à lentrée
Les économies déchelles : importance donnée à la production de masse ( chaque unité produite coûte moins cher => cette firme est protégée
Les brevets : ex : dans les domaines pharmaceutiques, pendant X années les molécules ne peuvent pas être reproduites
La force du capital de la marque : marque reconnue ( avantage par rapport aux autres.
Les besoins en capitaux : secteurs où les besoins an capitaux sont très élevés (ex : construction dusine) ( les nouveaux entrants nont pas les moyens dentrer sur la marché
Le coût de transfert : ce sont les coûts qui arrivent quand on passe dune entreprise à une autre (ex : changer de fournisseurs) ( il est très difficile de changer dune entreprise à une autre.
Accès aux circuits de distribution : afin déviter à tout autre concurrents de simplanter sur ce circuit
Les effets dexpérience et les avantages coûts : limpact de réduction des coûts se passant dans une entreprise où il y a une amélioration de la MO grâce à lexpérience ::> production plus efficace
Capacité de riposte des concurrents établis
Menace de produits substituts :
Ce sont des produits qui remplissent une fonction semblable pour le même groupe dacheteurs mais qui se basent sur une technologie différente. (Importance de rechercher les produits qui répondent au même besoin générique ou qui remplissent la même fonction.
Pouvoir de négociation des clients :
Leur pouvoir influence la rentabilité via la pression pour baisser les prix
Limportance de leur pouvoir dépend de :
Groupe de client est concentré ou achète des quantités importantes
Les produits achetés par le client représentent une part importante de son coût
Les produits achetés sont peu différenciés ( le client peut aller dans une autre société
Les coûts de transferts sont faibles dun fournisseur à un autre
Menace dintégration vers lamont (le client décide de faire lui-même ce produit là)
Pouvoir de négociation des fournisseurs :
Ils ont la possibilité daugmenter les prix, de diminuer les quantités
Limportance de leur pouvoir dépend de :
Groupe de fournisseur plus concentré que le groupe de clients
Pas de menace de produits substituts
Pas un client important pour le fournisseur
Le produit est un moyen de production important pour le client
Différenciation des produits des fournisseurs
Menace des fournisseurs de sintégrer vers laval
Exercice : Spa Reine : on veut la conseiller
les entrants potentiels sont : Coca Cola (Chaudfontaine)
les grands distributeurs
les gros bidons deau
les barrières à lentrée : leffet dexpérience
force du K de la marque
substituts : boissons light, jus de fruit,
pastille rafraîchissante, soft
drink, energy drink, eau du
robinet
Connaissance des concurrents :
Qui sont-ils, quels sont leurs objectifs, leurs stratégies, leurs forces, leurs faiblesses,
sont les questions que lon doit essayer de répondre.
Mais comment sinformer sur les concurrents ?
Plusieurs moyens soffrent à nous :
Analyser la presse et les médias spécialisés,
Surveiller les normes, brevets et réglementation
Consulter les banques de données
Décortiquer les produits concurrents
Evaluer les forces et les faiblesses :
Diagnostic des concurrents exemple
On se renseigne sur la notoriété, la qualité du produit, la disponibilité du produit, lassistance technique et la compétence commerciale du concurrent
Stratégies concurrentielles :
Doit être développée sur base dune évaluation réaliste des forces en présence.
Il existe 4 types de stratégies :
Stratégie du leader : le leader est celui qui veut devenir n°1 ex : LOréal, Nestlé
Les caractéristiques de cette stratégie sont :
La stratégie du développement de la demande globale
La stratégie défensive (protéger la part de marché en contrant les concurrents les plus dangereux)
La stratégie offensive (bénéficier des effets dexpérience et améliorer la rentabilité)
La stratégie de démarketing (réduire volontairement la part de marché)
Stratégie du challenger : Cest le n°2 il tente tjs de devenir n°1 et il va attaquer de différentes façons
2 possibilités : il fait soit :
Attaque frontale (soppose directement au leader en employant les mêmes armes) ex : Pepsi vàv de Coca Cola
Attaque latérale (soppose sur un point où le leader est faible ou mal préparer).
Stratégie du suiveur : il va copier le leader ou la challenger( il na pas beaucoup dambition mais néanmoins il a une bonne rentabilité
Il aligne ses décisions sur le leader vu sa faible part de marché.
Il peut segmenter de manière créative le marché, utiliser efficacement de la R&D et penser petit !
Stratégie du spécialiste : Comme le suiveur, il na pas beaucoup de capacité financière ( il va prendre un segment de référence qui est attractif et avec peu de concurrence, il tente alors dêtre le seul
Le segment choisi doit :
Représenter un potentiel de profit suffisant
Avoir un potentiel de croissance
Etre peut attractif pour la concurrence
Correspondre aux compétences distinctives de lentreprise
Posséder une barrière à lentrée défendable
CH. 6 : Positionnement et plan marketing
Positionnement
Définition du positionnement Positionnement :
Cest létape la plus importante du marketing stratégique.
Cette étape consiste à donner au produit une place déterminée dans lesprit des consommateurs par rapport à la concurrence.
But = différencier en trouvant si possible un avantage concurrentiel durable !
Types de différenciation :
Par le produit (qualité (Miel, Apple), performance, fiabilité (duracel), design, innovation technologique
)
Par le service offert (facilité de la commande, délais, installation, formation, conseil, réparation
)
Par limage (personnalité de la marque (CocaCola, Rolex, les parfums, les cigarettes, les cosmétiques
))
Par le prix (haut de gamme, bas de gamme, rapport qualité/prix (Ikea, Colruyt, Aldi,
)
RMQ : il y a une seule différenciation par produit
Chaîne de valeur (Porter) :
Cette chaîne de valeur est un des outils possibles dans la recherche dun élément de différenciation. Le but est de créer un avantage concurrentiel substantiel et durable (externe).
Le principe est que toute entreprise représente un ensemble dactivités et chaque activité est une source potentielle de différenciation.
Critères dune bonne différenciation :
Il faut être unique par rapport aux concurrents. La différenciation doit être importante pour lacheteur et défendable à long terme. Enfin, elle doit être communicable (pas trop complexe à expliquer) et financièrement viable.
Par ex :
Positionnement du marché du café en France
Grand-Mère : savoir faire reconnu, garde son secret
Mélita : la technologie du café
Maison du Café : conditionnement sous vide ( conserve larôme
Santa : boire beaucoup de café sans sénerver
Jacques-Vabre : à boire au matin et au soir
J Fabre : se faire plaisir
Qualité : Mélita, Gd-Mère, Maison du Café
Image : Fabre, Stentar
Positionnement de diverses entreprises :
Jacquemotte : le produit
Chat Noir : limage, le produit et le prix ( trop de différentiation( erreur de marketing
Louis Vuiton : image
BMW et Rolex : limage
Contrex : le produit
Perrier ; limage
Mach 3 (gilette) : la technologie
Lien avec le marketing mix :
Le positionnement définit la stratégie de base choisie pour le produit ou la marque. Cette stratégie se traduit dans le choix du marketing mix par le produit, la distribution, le prix et la communication ?
Les éléments du marketing mix doivent être en cohérence totale avec le positionnement)
Plan marketing stratégique
Déroulement :
Définition de la mission de lentreprise :
Cest une vision à LT. On doit définir le domaine dactivités ainsi que les objectifs prioritaires de lentreprise. Il faut aussi analyser les contraintes (financière-personnes-temps) de lentreprise ainsi que ses ressources disponibles mais aussi quels sont les principes directeurs et les valeurs de lentreprise.
Enfin, on peut définir les options stratégiques de base c-à-d les ambitions de lentreprise (leader ? différenciation marketing ? domination par les coûts ?
)
Analyse externe de lenvironnement :
= Opportunités ou menaces extérieures auxquelles est confrontée lentreprise dans le marché des produits. Il faut faire alors différentes analyses comme lanalyse des tendances du marché, du comportement des consommateurs, de lenvironnement concurrentiel, quel est le contexte international, lanalyse de lenvironnement technologique, légal, social et politique ainsi que celui de lévolution de la distribution
Analyse interne de lentreprise :
= Analyse des forces et des faiblesses de lentreprise. A nouveau, les différentes analyses sont : analyse de lentreprise, de ses capacités financières, de la distribution, de la politique de prix, de la force et de la qualité de la communication, ainsi que lanalyse du portefeuille de produit (matrice BCG/General Electric) et celle de sa gamme de produit, de sa marque et de son image
Analyse SWOT :
= analyse strengths/weaknesses et opportunities/threats.
Cest donc lanalyse des forces et faiblesses de lentreprise ainsi que des opportunités et des menaces issues de lenvironnement.
Définition des objectifs :
!!! Etape la plus importante !!!
Les objectifs peuvent être exprimés en objectifs de volume de vente (CA, unités physiques), objectifs financiers (profit), de part de marché, consommateurs (taux de notoriété, image),
(Il est très important dintégrer ces objectifs.
Choix de la stratégie marketing :
= le comment de la réalisation des objectifs.
Il faut :
Définir la stratégie de base : défense, pénétration, développement par les produits, développement par les marchés, développement international ????
Enoncé de la stratégie en identifiant un ou des segments cibles et en définissant le positionnement.
Décisions stratégiques de produit et de marque :
= Définition des objectifs comme par ex : atteindre une qualité significativement plus élevée sur les attributs clefs du produit par rapport au concurrent le plus dangereux) et de la stratégie (moyens mis en uvre).
Décisions stratégiques de prix :
A nouveau définition dobjectifs (ex : conserver un prix moyen = à
) et de stratégie (moyens mis en uvre).
Décisions stratégiques de distribution :
Définition des objectifs (ex : couverture de canaux de distribution) et de stratégie (moyens mis en uvre).
Décisions stratégiques de communication :
Définition des objectifs (ex : notoriété, taux dessai, image de marque,
) et de stratégie (moyens mis en uvre comme pub TV, pub Radio,
).
Budget marketing et analyse de sensibilité :
= Description détaillée des moyens nécessaires pour chacun des éléments du programme marketing.
CH.7 : Analyse de portefeuille et choix des stratégies de base.
Analyse de portefeuille :
Lobjectif est daider lentreprise à allouer ses ressources entre ses différents produits, marchés. Lanalyse consiste à identifier la position stratégique de chaque produit/marché selon
lattrait du marché,
la force concurrentielle de lentreprise
Les 2 méthodes les plus utilisées sont :
La matrice du Boston Consulting Group (BCG) : cest une matrice danalyse de la part de marché/taux de croissance.
La matrice attractivité/compétitivité (General Electric).
Matrice du BCG :
= Matrice « croissance (cest lélément dattractivité)/part de marché relative (cest lélément de compétitivité) ».
Elle fonctionne selon 2 critères :
Le taux de croissance du marché de référence
La part de marché relative du leader.
Elle fonctionne sur 2 hypothèses :
Leffet dexpérience (au plus il y a n effet de volume, au plus mes coûts diminuent)
Le cycle de vie.
Le Boston Consulting Group a alors identifié 4 groupes de produits-marchés (BCG) :
Les vaches à lait
Les vedettes
Les enfants à problèmes
Les poids morts
Les objectifs stratégiques, les besoins financiers (qui varient suivant les groupes de produits) et la contribution au profit seront différents pour chaque groupe. V. 2 graphiques p. 92
Définissons ces 4 produits-marchés :
Les vaches à lait :
Ses caractéristiques sont une faible croissance, mais une part de marché dominante. Elles génèrent plus de liquidité que nécessaire pour conserver la part de marché. Lobjectif prioritaire en den récolter via différentes stratégies comme conserver une part de marché dominante, investir en réduction de coûts et technologies, éviter de surinvestir
Les vedettes :
Ici, on est en présence dune forte croissance et dune part de marché élevée. Les profits sont plus substantiels. Les vedettes nécessitent des liquidités élevées pour soutenir la croissance. Lobjectif est de développer la part de marché via des stratégies comme protéger les parts de marché, obtenir de nouveaux utilisateurs, baisser les prix si nécessaire,
Les enfants à problèmes :
Ici, la croissance est rapide mais la part de marché est faible. La rentabilité est donc faible et la demande de liquidité est élevée
Lobjectif est le développement sélectif. Les stratégies sont dinvestir fortement pour accroître la part de marché, racheter des concurrents, désinvestir quand cela est nécessaire,
Les poids morts :
La croissance est faible, la part de marché est faible. On est en présence dun désavantage point de vue coût. Il y a peu dopportunités de croissance, donc lobjectif principal est labandon au profil bas (on ne va pas beaucoup investir). Les stratégies sont de cibler un segment spécifique, écrémer en réduisant le support, désinvestir,
Le diagnostic du portefeuille
Cest en fait une indication de la stratégie envisageable pour chaque produit-marché. Cest également une appréciation des besoins financiers et du potentiel de rentabilité. Lévaluation de léquilibre du portefeuille dactivités se fait sur base de la répartition du chiffre daffaires selon les quadrants.
Il en résulte un développement de scénarios pour maintenir ou restaurer léquilibre.
Scénario de développement p.95 slide 14
Les avantages de la matrice du BCG :
Solidité du développement théorique
Utilisation dindicateurs objectifs dattractivité et de compétitivité
Synthèse visuelle des activités de la firme
Les limites de la matrice du BCG:
Existence de leffet dexpérience (industries de volume)
La notion davantages concurrentiels est interne, et non externe (les avantages sont liés à des coûts).
Difficulté de mesure
Les orientations sont générales, pas de recommandations précises.
( Si on est dans une logique de différenciation marketing, cette matrice ne sert à rien, elle ne sert que dans des stratégies de domination de coûts, de volume,
Matrice de la General Electric : = matrice attractivité/compétitivité.
Pour lattractivité du marché, on utilise plusieurs indicateurs dattractivité (un index est défini). Les indicateurs sont externes à la firme et non contrôlables.
Pour la compétitivité du marché, on utilise plusieurs indicateurs de compétitivité (un index est défini). Les indicateurs sont internes et liés aux forces et aux faiblesses de lentreprise.
Les critères sont établis au cas par cas.
Avantages de la matrice GE :
Application plus générale que BCG
Grande flexibilité de par le choix des indicateurs
Les limites de la matrice :
Risque de subjectivité dans les mesures
Procédure lourde et exigeante
Recommandations générales
Utilité des ces outils :
Tempérer les visons à CT (équilibre entre activités)
Inciter les entreprises à réfléchir en termes dattractivité et en termes de capacité concurrentielle
Etablir des priorités en termes de ressources humaines et financières
Suggérer des stratégies de développement différencié par activités
P 97 s 16
P 98 s 19
Formulation des stratégies de base :
Il faut tout dabord déterminer la nature de lavantage concurrentiel durable (productivité ou pouvoir de marché). Il existe en marketing 3 grandes stratégies de base (Porter) :
Domination par les coûts : on essaye davoir les coûts les plus bas (ex : les coûts les plus bas)
Différenciation : mettre en avant un avantage concurrentiel qui va nous permettre de nous différencier face aux autres concurrents ( on peut demander un coût plus élevé : 90´% des entreprises actuelles (ex : Sony, HP, 3M)
Concentration : on se concentre sur un segment particulier
P99 slide 21
Stratégie de différenciation :
Le but est de donner au produit des qualités distinctives (objectives et subjectives) qui le différencie des concurrents afin de détenir un pouvoir de marché.
Le résultat doit générer des profits supérieurs grâce à un prix plus élevé et ce, malgré des coûts supérieurs.
Cela protège lentreprise des forces concurrentielle (barrières à lentrée) : les concurrents directs, lentrée de concurrents nouveaux, fournisseur puissant, produits de substitution
Risques :
Le prix peut devenir trop élevé.
Les besoins dun produit différencié sestompent avec la banalisation du produit.
Les imitations réduisent limpact de la différenciation, il y aura dès lors une perte du pouvoir de marché car la différence devient de plus en plus faible.
Stratégie de domination par les coûts :
Le but est datteindre un prix faible en limitant les coûts à tous les niveaux du « business system ». Il y a donc à nouveau protection face aux forces concurrentielles
Ici, on a un seul levier de différence, cest le prix. Cest donc celui qui a la structure de coût la plus faible qui va survivre.
Cette stratégie car ce nest pas tjs facile de maintenir des coûts bas (ex : si on augmente des MP
)
Risques :
Les changements technologiques annulent les effets dexpérience.
Il peut aussi y avoir diffusion de la technologie parmi les concurrents.
Il peut y avoir une incapacité à détecter les changements nécessaires.
Enfin, il peut y avoir inflation dans les coûts.
A un moment on arrive plus à être le moins cher
Stratégie de concentration :
Le but est de se concentrer sur les besoins dun segment et de choisir soit la différenciation soit la domination par les coûts.
On sadresse donc à une niche (= petit segment qui a des besoins tellement spécifiques que les généraliste ne pourront combler) du marché.
Par ex : Ferrari, porshe, loréal Professional,
Risques :
Le différentiel de prix risque dêtre trop important par rapport aux produits non spécialisés. Les différences entre segment et marché global sestompent
Le segment se subdivise alors en sous-segments plus spécialisés.
((( Il ny a pas de stratégie qui est meilleure que lautre
Stratégies de croissance :
Il existe à nouveau 3 types de stratégie :
Stratégie de croissance intensive (au sein du marché de référence : avec le produit existant sur le marché existant) :
Lobjectif est de croître au sein de son marché de référence. On opère donc avec nos produits actuels dans des marchés définis.
P 103 s 30
les 3 stratégies de la croissance intensive sont :
Stratégie de pénétration de marché :
On veut accroître les ventes dans les marchés existants. Le but est
donc daccroître la demande primaire (conversion des non
utilisateurs de la catégorie, augmenter la quantité utilisée ainsi
que la fréquence dutilisation et on va trouver des utilisations
nouvelles,
).
On veut aussi accroître la part de marché en gagnant des clients
sur les concurrents
Par ex : les opérateurs mobiles : minutes gratuites, et ils touchent les non utilisateurs avec des systèmes de parrainage, en diminuants les coûts avec laugmentation du prix de la recharge.
Stratégie de développement par les produits :
Ici, on veut accroître les ventes dans les marchés actuels en améliorant les produits actuels ou en développant des nouveaux.
Ex : en ajoutant de nouvelles caractéristiques, en améliorant la qualité des produits, en étendant et rajeunissant la gamme de produits, en acquérant des nouvelles gammes de produits,
Par ex : fabriquant de GSM : il y a plus de fonctionnalité sur le GSM (appareil photo, caméra
)
Stratégie de développement par les marchés :
Le but est de développer les ventes en introduisant les produits actuels dans de nouveaux marchés.
Ex : expansion géographique, nouveaux circuits de distribution, nouveaux segments dacheteurs,
Stratégie de croissance intégrative :
Lobjectif est de croître au sein de la filière industrielle. Il existe différents
Types dintégration :
en amont : rachat de fournisseurs, de sources dapprovisionnement
vers laval : afin dacquérir ou de contrôler ses débouchés
latérale : afin dacquérir ou de contrôler certains concurrents,
Stratégie de croissance par diversification :
Lobjectif est de croître à partir dopportunités situées en dehors de la filière industrielle. Cest la stratégie la plus risquée mais souvent la plus payante.
On a à faire à 2 types de diversifications :
Concentrique = ajouter des activités complémentaires sur le plan technologique ou marketing
Pure = développer des activités sans aucun rapport avec les produits ou marchés existants.
CH.8. Outils danalyse marketing
Types détudes :
Il existe 3 grands types détudes :
Les études exploratoires :
Ce sont des études qualitatives (ex : exploitation de données secondaires,
groupe de discussion, interviews dexperts,
).
Les avantages sont la flexibilité, limagination, peu de formalisme, la rapidité,
et cest moins coûteux dune analyse quantitative.
Les désavantages sont que les résultats ne sont pas représentatifs, mais
seulement indicatifs
Ils ne peuvent donc être généralisés. De plus, les résultats peuvent être subjectifs selon les interprétations
Les études descriptives (quantitatives) :
Les objectifs sont
a) donner une photographie ou suivre lévolution dun aspect du marché.
Ex : décrire la structure concurrentielle dun marché, décrire le comportement
dachat, décrire limage de marque,
b) de créer une étude de marché
Pour que celle-ci soit efficace, il faut quil existe une ou plusieurs hypothèses, que linformation recherchée soit clairement définie et que la méthode de recueil de linformation soir clairement identifiée.
Il existe différents types denquêtes (par entretien personnel, par
téléphone,
).
Les études causales :
Cest une analyse des liens de causalités par traitements statistiques
sophistiqués.
(( Une bonne étude sera celle qui a recours à la méthode scientifique, qui
est créative, qui mesure la valeur et le coût de linformation, possède un sens critique développé,
CH.9 : Les décisions stratégiques liées au produit et à la marque.
« Un produit peut être copié par la concurrence, une marque est unique
».
Définition de la marque :
Une marque est un nom ou un symbole servant à identifier un produit dun autre et qui inscrit dans lesprit des consommateurs un ensemble de perceptions à la fois rationnelles et émotionnelles.
Par ex : club med / neckerman, addidas / Nike, Coca-Cola/Red Bull
Une marque est donc plus quun produit
P 118 s 9
Dans quel contexte a émergé le concept de marque ?
Dans les années 80, il y a eu une prise de conscience du capital que représentent les marques. On est au début dune série dacquisitions, les actifs immatériels commencent à être privilégiés.
Par ex : la valeur des marques en milliards de dollars : 1) Coca-Cola 67, 2) Microsoft 61, 3) IBM 54, 4) GE 44, 5) Intel 33, 6) Disney 27, 7) Mc Donald 25, 8) Nokia 24,
9) Toyota 23, 10) Malboro 21
De plus Nestlé pour devenir n° 1 de lalimentaire a racheter des marques qui étaient fortes (KitKat, Buitoni, Maggi, Perier, Smarties, San Pelligrino.)
Uniliver : Knorr et Slimfast, Kraft : Côte dOr, Procter and Gamble:
Vicks
Dans les années 90, on a observé une croissance des marques de distributeurs et une intensité de la concurrence entre marques.
Dans les années 2000, le succès des marques continue mais une réaction anti-marque se développe
Avantages de la marque :
Pour lentreprise :
La marque créée une différenciation par rapport aux concurrents. Il y a aussi une création dune fidélité à un produit ainsi quune possibilité de proposer un prix plus élevé.
( Création dun avantage concurrentiel et dune barrière à lentrée en effet, de nos jours les PME ont beaucoup de difficultés à créer des marques car cela coûte cher ( publicité
) ( les PME ne marquent plus leurs produits et elles le font marquer par des grands distributeurs MAIS le problème est que comme le produit nest plus marqué, si il devient trop cher, les grands distributeurs sen débarrassent ( les PME nont pas de pouvoir de négociation ( Avantage de créer une marque
Pour le consommateur :
Il y a une diminution du risque dachat et une création de confiance. Mais aussi une garantie de la qualité du produit, une garantie de sécurité et la marque à une certaine valeur, un certain signe afin de se différencier
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Concepts clés :
Positionnement/identité de marque :
Il y a différenciation du produit par rapport aux concurrents en donnant une place déterminée dans lesprit des consommateurs. Lidentité donnera des éléments supplémentaires de personnalités (marque amusantes, tristes
)
Image de marque :
Il y a perception par le consommateur du positionnement/ de lidentité de la
marque. Limage doit être en ligne avec le positionnement choisi par lentreprise. Est-ce que limage est ce quelle désire communiquer ?
Les conséquences sont :
Nécessité de comparer le positionnement de la marque avec son image
Des différences existent entre ce que lentreprise désire et ce que le consommateur perçoit
Des études doivent être régulièrement organisées.
Capital de marque :
Cest un nouveau concept créé fin des années 80. Il a été créé car il y avait
nécessité de valoriser financièrement les marques et daméliorer la productivité marketing.
le capital de la marque au niveau consommateur est la force de celle-ci
en effet la notoriété et la marque sont des éléments importants.
Prisme didentité de Kapferer :
Physique
Relation Personnalité
Reflet Culture
Mentalisation
La mentalisation, cest le miroir interne de la marque, processus interne qui pousse à lachat de la marque.
Le reflet cest le type de personnes qui ont lhabitude dacheter cette marque.
( pour comprendre une marque il faut comprendre ces 6 facettes différentes
Par ex : Mercedes
Mentalité : grandes berlines, fiabilités conforts
Relation : distance
Personnalité : Sobre, conservateur
Reflet : homme, âge, notable, aisé
Culture : germanique, ordre, culture, discipline
Mentalisation : montrer son statut
Pour comprendre la force dune marque, on ne peut se baser uniquement sur
les variables de ventes ou de parts de marché. La force de la marque réside aussi dans lesprit des consommateurs sous forme de perceptions, dassociations et dimage.
Le capital de marque = valeur ajoutée donnée à un produit à la suite dinvestissements marketing.
Les politiques de marques :
Choix du nom de la marque :
Il existe différents types de marque :
la marque produit : On affecte ici un produit à un nom.
Ex : Ariel, dash, vittel, Evian,
la marque-gamme : Un ensemble de produits sous un même nom et
qui ont un même positionnement (ou un même marché).
Ex : Moulinex, seb, dim,
la marque-ombrelle : La même marque soutient plusieurs produits dans
des marchés différents.
Ex : Heinz, Virgin, canon, palmolive,
la marque-source :
Cest une stratégie de marque-ombrelle avec des produits qui ont un prénom ( 2 marques sont utilisées conjointement : une mère et une fille.
Ex : Jazz de Yves St Laurent , Pepito de Lu, hello de LU, danao de danone
Pour que le nom choisi soit de qualité, il faut quil ne soit pas descriptif (car si trop descriptif, il sera trop générique => on pourra le copier), il faut penser international (cela est difficile car il faut vérifier dans tous les pays que le nom nexiste pas et quil na pas une signification négative dans une certaine langue), il ne doit pas être générique sinon la marque perd son pouvoir de différenciation (une marque désignant un ensemble de produit : ex bic, kleenex, Pampers, karcher
), il faut lintégrer dans le temps et il doit être facile à prononcer.
Co-branding :
On fait une alliance avec une autre marque afin daugmenter les chances de succès.
Ex : Phillips et Nivea : philipshave cool skin
Phillips et douw Egbert : Senseo/ Phillips et interbrew : perfect draft.
Quelles sont les raisons de faire du co-branding ?
Les raisons sont multiples :
Elargir la cible des consommateurs,
Rapidité daccès à de nouveaux marchés
Renforcer la fidélisation
Utiliser les avantages technologiques de chacun
Synergie de notoriété
Partage de coûts de production et de pénétration
Contrer les marques de distributeurs
Maintenant quelles sont les limites du co-branding ?
Longueur délaboration et de mise en uvre des partenariats
Risque de cannibalisation dun produit/service de lun des partenaires
Déséquilibre de notoriété et risque de dilution dimage pour lun des partenaires
Délicatesse des mécanismes de partage de valeur à priori et à postériori
Il existe 2 types de co-branding :
Les alliances stratégiques :
On se divise les coûts et les risques dinnovations. Cest une association qui se
fera à plus long terme et les investissements sont plus significatifs.
Ex : Sony Ericsson, Douw Egbert et Senseo
Les alliances tactiques :
Les alliances sont ponctuelles (court terme) visant plus la communication que
la stratégie de produit. Il y a de faibles investissements des partenaires tout comme une faible intégration.
Ex : procter and Gamble et Fisher Price : pampers offre des jouets Fisher Price avec ses produits
Extension de marques : On utilise le même nom et la même image sur des produits différent ex : taillefine (eau, biscuit, yaourt
)
Aux Etats-Unis, 40% des lancements de nouveaux produits furent des
extensions. Seulement 30% des nouvelles marques survivent plus de 4 années plus de 50% pour les extensions. (Il y a moins de marques mais tout autant de produits dans les gammes
Quelles sont les raisons de cette évolution ?
Les coûts du lancement de nouveaux produits sont élevés.
Les coûts de publicité sont également élevés.
La défense de pérennité dune marque est plus aisée avec des extensions.
On utilise un capital image
Cest un besoin potentiel pour une marque mono-produit de sétendre !
Il existe à nouveau 2 types dextension :
de la gamme :
= extension par voisinage, on lance des produits sous le même nom dans la
même catégorie.
Les avantages : on utilise de la notoriété, et on fait des économies à terme dans
la publicité.
Les inconvénients : lassociation en cas déchec se fait auprès de la marque
mère et il y a risque de confusion si le positionnement nest pas clair.
de marque :
= extension discontinue, on lance des produits sous le même nom mais pas
dans la même catégorie.
Les avantages : on utilise de la notoriété.
Les inconvénients : limage de la marque ne convient peut-être pas, et il y a
dilution de limage si échec.
Quelles sont les particularités des extensions ?
Extension vers le bas :
Ex : Mercedes (mercedes A)
Extension vers le haut :
Ex Volkswagen (Phaeton)
Extension dans les 2 sens :
Ex : Groupe Accor (formule 1, Ibis, Novotel, Sofitel,
).
Quest ce qui fait le succès dune extension ?
Tout dabord, il faut que lextension appartienne au même concept que la marque. Ensuite, les limites dun certain know how de lentreprise ne sont pas outrepassées. Enfin, la distance perçue avec les produits pivots de la marque doit être acceptable.
Internationalisation de marque :
Tout le monde sait quil y a une certaine priorité donnée aux marques
internationales et globales.
De plus, il y a importance des économies déchelle possibles
Ex :
Procter & Gamble possèdent 300 marques (avt 1200).
Nestlé se concentre sur 6 marques mondiales (Nescafe, Nestea, Buitoni,
Maggi et Frieskies).
Loréal possède 17 marques mondiales.
Ola : qui est connue dans plusieurs pays mais sous des noms différents a fait disparaître le nom sur ses produits au profit de son logo qui lui est international : le Cur ( économies déchelles
En conséquence, de nombreuses marques locales ont été éliminées (BBL,
Générale de Banque, CGER, Marie-Thumas, Gaufre Suzy
)
Pérennité de la marque :
Linnovation est permanente. La communication doit être continue. La prime de prix doit être = à la valeur ajoutée perçue. Il y aura création de barrières à lentrée.
CH. 10 : Les décisions liées à la distribution.
A° LA DISTRIBUTION :
Les réseaux de distribution :
Un circuit de distribution est une structure formée par les partenaires intervenant dans le processus concurrentiel en vue de mettre des biens au service des consommateurs.
La distribution possède plusieurs fonctions :
Transporter : transporter les produits du fabricant jusque chez lui.
Fractionner : il va séparer les différents produits selon les habitudes du consommateur (ex : Makro gosse quantité, Champion plus petite quantité)
Stocker
Assortir : il va avoir différentes marques pour un même bien (ex : Milka, Côte dOr) ( il doit les assortir pour faire plaisirs à ses différents consommateurs.
Acheter : il achète les biens quil vend au producteur ( il prend des risques si il narrive pas à vendre des biens = perte sèche
Contacter : il va contacter les consommateurs à laide de publicité
Informer : des vendeurs spécialisés vont savoir informer les clients à propos dun certain produit (cest surtout dans des magasins comme Vanden Borre, Media Mark
on ce ne sont pas des achats de tous les jours)
Promouvoir : faire des promotions (offres ; coupons
) ( mettre un avant un produit par rapport à un autre
Vendre
Les raisons dêtre de la distribution sont :
La démultiplication des contacts : il offre des contacts variés et permet de toucher un grand nombre de consommateur
Les économies déchelle car le distributeur va faire la distribution pour beaucoup dentreprises en même temps
Un meilleur assortiment offert (en tant que consommateur, cest un avantage car on a alors le choix
)
Un meilleur service.
A lexam, on peut nous demander quelles sont les différentes fonctions de la
distribution, les raisons dêtre
Quels sont les différents types dintermédiaires?
Les grossistes (ils achètent des produits quils vont eux-mêmes vendre à dautres intermédiaires) ( il ne revend pas directement au consommateur
Les détaillants indépendants (ex : boulanger, boucher, ( ils nont pas de chaîne)
La distribution intégrée (hyper-marchés comme carrefour et les supermarchés ou encore les chaînes intégrées spécialisées comme brico,
)
Les « hard-discounters » (ce sont les distributeurs qui ont les prix les plus bas comme Aldi, Lidl...) important développement ces dernières années
Les agents et les courtiers (ex : les courtiers en assurance qui ne développent pas eux-mêmes les assurances (rôle de lassureur) mais il va les distribuer. aujourd'hui, les assureurs ne passent plus toujours par des courtiers, ils vendent directement eux-mêmes
Les sociétés de services (ex : les banques)
Critères de choix dun réseau de distribution :
Principalement 3 critères :
Caractéristiques du marché (est-il géographiquement étendu, y a t-il beaucoup de consommateurs ?
)
Caractéristiques des produits distribués (périssable ? produits complexes demandant plus dinfirmation ?
)
Caractéristiques de lentreprise (moyen financier élevé ? bas ?
)
Les plus importants sont : quels types de segments et quels types de personnes toucher ?
Stratégie de couverture (dvlpt du segment cible) choisie par le distributeur :
Tout dabord faisons une petite typologie des produits :
4 grandes familles de produits :
Les produits dachats courants :
Produits de 1ère nécessité (lait, viande,
)
Produits dachats impulsifs (on lachète parce quon le voit (bonbons, chips,
))
Produits de dépannage (achat courant comme un parapluie, crème solaire,
)
Les produits dachats réfléchis : Le risque est plus élevé car le prix est plus élevé. Ex : TV, ordinateur,
Les produits de spécialité : ce sont les produits de luxe, la distribution est plus exclusive.
Les produits non recherchés : les techniques de ventes doivent être assez poussées.
En ce qui concerne les stratégies de couverture, on en distingue 3 :
La distribution intensive : ( cest une distribution très large
Lobjectif est de maximiser la disponibilité du produit, c à d maximiser la
couverture, laccès au produit.
Ex : COCA-COLA
Les types de produits sont ceux dachats courants, matières 1ère de base et services
à faible implication.
Les difficultés de cette distribution sont :
Complication de la gestion des commandes et donc des coûts vu quil y a énormément darticles (sassurer que le produit est toujours dans le rayon)
Risque de perdre le contrôle de sa politique de commercialisation (ne plus maîtriser certains éléments du marketing mix). (ce sont les grandes surfaces qui décident la façon dont le produit sera mis en avant).
Risque de ne pas maintenir une image de marque cohérente.
La distribution sélective : ( on faut une sélection de certains magasins : ex ; Télé, radio, ces produits ne se vendent pas dans nimporte quel magasin
Lobjectif est de recourir à un nombre dintermédiaires inférieur au nombre
disponible.
Les types de produits sont les achats réfléchis (ex : tv, ordi
)
Il existe différents critères de choix des intermédiaires :
La taille du distributeur (petit ou grand magasin : Vanden Borre Blokker
)
La qualité du servie (= élément de différenciation)
La compétence technique (au plus le produit est complexe, au plus il faut des infirmations sur le produit ( on choisit un distributeur compétent)
Le sélectif ne sait pas avoir des prix aussi bas que lintensif ; il peut y avoir des contradictions dans les canaux de distribution
La distribution exclusive et franchisage :
Cest la forme extrême de distribution sélective.
Les types de produits sont ceux de haute qualité, de prestige ou services
Supérieurs (Ex : Godiva, Ralph Lauren,
)
Une forme particulière de distribution exclusive est le franchisage. Cela consiste
à demander à un indépendant de vendre notre produite et celui-ci va investir lui-même MAIS il va pouvoir utiliser lenseigne de la marque. (Ex : Mc Donald, pain quotidien, Léonidas, Etam, Benetton, Prémaman, Pizza Hut
)
Avantages pour le franchiseur :
Il a accès à une source de capitaux. Il peut éviter les frais fixes élevés des
magasins propres (en effet ce nest pas lui qui va investir pour la déco
du magasin mais cest lindépendant). Il peut coopérer avec des distributeurs indépendants mais motivés ainsi quavec des hommes daffaires locaux. Il peut créer une nouvelle source de revenus basée sur un savoir-faire technique. Il peut enfin bénéficier déconomie déchelle.
Avantages pour le franchisé :
Il peut démarrer une entreprise avec un capital réduit. Il réduit le risque. Il
reçoit une formation et une assistance tout en bénéficiant dun meilleur pouvoir dachat. Il bénéficie également de R&D constants et de nouveaux produits. Il reçoit une aide à la gestion et enfin continue à appartenir à une grande organisation.
Stratégies de communication vis-à-vis des intermédiaires :
2 types :
Stratégies de pression (Marketing push) = donner un max. de promotion pour mieux vendre son produit dans la distribution. (( on communique de manière prioritaire avec le distributeur)
Stratégies daspiration (Marketing pull) le but est de ne pas dépenser de largent avec les intermédiaires, on vise le consommateur final et on se dit quil viendra directement chez le producteur)
RMQ : souvent on utilise une combinaison des 2.
B° Le marketing stratégique du distributeur :
Le distributeur lui-même se rend compte quil peut être plus efficace en utilisant
des concepts de marketing
( il nest plus seulement passif mais il devient actif, il fait des études de marchés pour pouvoir se différencier des autres distributeurs.
Les grandes entreprises de distributions avec leurs ventes et leurs pourcentage à
létranger sont :
Wal Mart, USA, 229, 51%
Carrefour, France, 73, 51%
Metro, Allemagne, 56, 48%
Ahold, P-B, 52, 83%
Tesco, GB, 50, 21%
Mutations de la grande distribution :
Ces dix dernières années, de grands changements se sont produits dans la grande
distribution
En effet, la concurrence sest fait plus accrue, on observe des processus de concentration (+ dalliances, - dacteurs + Spécialisation des magasins : Toys r us, intertoys, Go-Sport, Maniet, Tom&CO) tout comme des processus dinternationalisation (avant, chaque pays avec ses propres distributeurs), on voit également le développement de nouveaux formats de distribution (Hard Discounters avec Aldi,
), une professionnalisation de plus en plus grande ainsi quune pression sur les prix, donc pression sur les fournisseurs.
((Tout cela a fait que les distributeurs sont désormais à la recherche de nouveaux avantages concurrentiels
Quest ce que ce processus dinternationalisation ?
Linternationalisation sest faite tardivement comparé à dautres industries
Pq ?
Différences socio-économiques (les besoins sont locaux)
Différences dintérêts pour les produits (on peut noter ici le succès dIKEA grâce à son identification dun même segment de consommateurs)
Petite entreprise locale
Il ny avait donc pas nécessité de sinternationaliser.
Mais on a finalement trouvé des raisons daccélération de linternationalisation :
Homogénéisation des marchés
Saturation de certains marchés locaux ou stagnation
Changements culturels
Les nouveaux formats développés sont :
Discounters (Aldi, Lidl,
)
Distributeurs spécialisés (Maxi toys,
)
Entrepôts/clubs (Macro)
Hyper hypermarchés (Biggs)
Recherche de nouveaux avantages concurrentiels :
2 grandes stratégies sont suivies dans le domaine :
Domination par les coûts :
= ALDI, LIDL
Différentes réductions de coûts sont opérationnelles :
Réduction des coûts logistiques : On utilise le DPP (Direct Product Profit) qui mesure la profitabilité de chaque référence. Cest important car on sait ce quil faut pousser comme produit et ce quil faut écarter.
Réduction des coûts administratifs : on utilise de nouvelles techniques de scanning (cela engrange moins de personnel) tout comme de nouvelle méthode déchange de données (EDI) : cet échange se faire entre lordinateur du fabricant et celui du distributeur. Enfin on utilise le ECR (Efficient Customer Réponse) : système pour voir comment être efficace entre distributeur et fabricant en éliminant tous les coûts inutiles.
Apparaissent alors les économies déchelles avec les augmentations de la taille des magasins et des entreprises, offre plus large de produits et une plus grande diversification.
Réduction des coûts dachat : la technique est la concentration (on a plus de poids au niveau de lachat auprès des fournisseurs) et le coopération avec les centrales dachat.
Différenciation :
Comment ?
Segmentation et positionnement (ex : colruyt : produits de marques au prix le plus bas, Delhaize : qualité, fraicheur, service, carrefour : grande variété de produits avec des prix très agressifs, en effet comme ils sont n°2, il peut se permettre dacheter en grande quantité ( économie déchelles)
Offre de produit plus large
Développement des produits de distributeurs
Développement de la communication (ex : pub dans les journaux).
Développement des marques de distributeurs :
Il y a création de marques de distributeurs à côté des marques de producteurs. Le
succès est important dans de nombreuses catégories.
2 types dévolution peuvent être tirés :
Des marques de distributeurs :
Années 70 : Lancement des produits blancs pour concurrencer les discounters. Le
succès est modéré
Années 80 et 90 : marques de distributeurs offrant un bon rapport qualité/prix. Le
succès est grand !
Du rôle :
Le rôle a évolué au cours des années :
Stratégie dattaque : diminution du pouvoir des entreprises
Croissance des marges : augmenter les marges des catégories
Différenciation marketing : offrir un produit différencié pour construire limage de marque.
Les raisons :
CONSOMMATEUR DISTRIBUETEURSS
La Récession économique : Dvlpmt des
- plus sensible au rapport discounters
Qualité/prix - plus de concu
-Attitude positive par rapport -pression sur les prix
aux marques de distributeurs - plus de marges et
-Conso intelligent de différenciation
PRODUCTEUR
Entrée dans la fabrication des marques de distributeurs
Baisse des ventes des marques
Besoin de volume
Production des marques de distributions
Il existe différents types de marques
Prix et qualité peu élevés (produits blancs) le but au départ était de concurrencer les hard-discounters qui faisaient leur entrée sur le marché.
Prix et qualité moyens (me-too). Ici on va copier ce qui existe déjà : ex : les Kellogs
Très bonne qualité à un prix élevé. : ex : bio de Delhaize
Les catégories qui obtiennent un succès considérable sont celles où linnovation
est limitée dans le marché, lintensité de la publicité est faible (( pas dimage de marque), la concentration de lindustrie est élevée et limplication du consommateur est faible (pas intéressé par ce produit car on achète sans sy intéressé vraiment)
(( les fabricants doivent tout le temps innover pour ne pas se faire copier
Par ex : les parts de marchés des marques de distributeurs en Europe en 92 et 2000 :
GB 33 & 46%, Suisse 42 & 42%, Belgique 16 & 26%, France 15 & 19%,
Ex de produits copiés qui marché bien : la mayo, les chips, les eaux, le yaourt, les pâtes ceux sui marchent moins bien sont la bière, le whisky, les céréales, le chewing-gum, le shampoing car ce sont des produits pour lesquels les marques sont forts importantes ( on ne va pas acheter ce produit si ce nest pas de la marque
Quels sont les avantages pour le distributeur ?
Ils sont multiples :
Création de fidélité
Augmentation du pouvoir par rapport aux fabricants
Coûts plus faibles (coût dintroduction et de publicité)
Prix plus bas
Meilleure présentation dans les rayons (à la hauteur des yeux car ce qui se vend le mieux est à cette hauteur)
Bon support promotionnel
Pas de coûts dintroduction
Utilisation de limage sur tous les produits
Coûts de communication plus faibles (car économie déchelle).
Néanmoins, il existe quand même quelques inconvénients :
Pas possible de connaître les consommateurs dans chaque catégorie de produits. Les produits sont moins adaptés car trop nombreux pour se spécialiser
Image de plus grande qualité pour les fabricants
Difficulté de bénéficier dune avance technologique (imite juste).
Cependant, on constate que les avantages prennent le dessus sur les inconvénients.
On peut aussi se poser la question du futur de ces marques
Il y aura
probablement une amélioration de la qualité de celles-ci. De nouvelles catégories seront sûrement créées.
Les raisons de fabrication des marques de distributeurs sont
Utilisation de capacités excédentaires
Bénéficier déconomie déchelle et dexpérience
Empêcher les concurrents de produire pour les grands distributeurs
Améliorer les relations avec les distributeurs
Il y a des risques à fabriquer des marques. En effet, pour un distributeur, il peut y a avoir perte de pouvoir, guerre des prix, baisse dintérêts pour les marques de producteurs si il y a bonne qualité des produits de distributeurs et, enfin, conflit interne et contradiction (car les employés dun même groupe peuvent se concurrencer).
C° La restructuration des réseaux de distribution
Avec larrivée dinternet, les sociétés peuvent directement contacter le
Consommateur (ex : Dell distribue seulement via internet ses produits ( comme il ne les vend pas sur le marché, il y gagne en marge car pas dintermédiaire et il peut offrir des ordinateurs à moindre prix et comme il produit sur commande, il na pas de stock)
Le commerce électronique :
Le commerce électronique est soit complémentaire soit substitut des opérations
« on-line » (les magasins
) et « off-line » (internet)
Substitution : ex : Dell, Easyjet, Amazon.com
Utilisation des 2 : ex : Barnes and Noble, Virgin Express
Il est a noté quil y a aussi la désintermédiation : les tâches assumées par le distributeur sont reprises par le fabricant ou le consommateur( cest une nouvelle répartition des tâches.
Il y a aussi un rôle joué par les infomédiaires : comme il y a une perte de contact, on a un nouveau besoin dinformation ( apparition de nouveaux intermédiaires : ce sont des agents qui sélectionnent les meilleures offres sur internet et autre part.
CH.11 : Les décisions liées au produit et à la marque.
Une marque doit faire preuve de beaucoup dinnovations à travers de nouveaux produits de manière à avancer.
Importance de linnovation :
Les innovations ont un impact décisif sur le profit des entreprises. Ces innovations sont importantes pour la survie et le développement dune entreprise. Cependant, il est difficile dinnover. En effet des améliorations sont possibles mais de véritables innovations sont beaucoup plus difficiles.
Pourquoi des échecs ?
Linnovation a plus de chances de réussir si le produit appartient à un grand acteur (savoir faire, ressources financières,
). Le taux de réussite est plus élevé sil na que peu de concurrents. Il y a dailleurs nécessité de faire tester le produit auprès des consommateurs. Il se peut que le produit ne soit pas en ligne avec les promesses.
Composantes dune innovation :
Limportance du risque associé à une innovation dépend de 3 facteurs :
Le degré doriginalité et de complexité du concept (= risque marché)
Le degré dinnovation de la technologie pour réaliser le concept (= risque technologique).
Le degré de nouveauté pour lentreprise (= risque stratégique).
Il faut distinguer nouveauté et innovation. En effet, une véritable innovation est un produit, service ou concept qui apporte une nouvelle solution au problème de lacheteur. Ex : disque => CD.
Lexpression « produits nouveaux » est employée indifféremment pour désigner des innovations mineures ou majeures.
Typologie des innovations :
On peut classer linnovation selon 4 critères :
Degré de nouveauté pour lentreprise et le marché :
Nouveauté du marché pour lentreprise
Faible Elevé
Elevé Risque technique Risque technique et commercial
Nouveauté du produit
Pour lentreprise faible Risque limité Risque commercial
Nature de linnovation :
2 types de nature :
Innovation à dominante technologique :
= caractéristiques physiques du produit (procédés de fabrication, utilisation dun nouveau composant, dune nouvelle matière 1ère).
Innovation à dominante organisationnelle :
= Mode dorganisation, de distribution, de vente
Type de changement technologique ou comportemental :
Changement technologique
Faible Elevé
Changement Elevé Rupture organisationnelle Innovation radicale
Comportemental (Kinépolis) (GSM, internet)
Faible Amélioration technologique Rupture technologique
(fax papier standard) Electronique (eléctro-
mécanique).
Améliorations technologiques :
= Amélioration progressive du produit sans impact sur le comportement de lacheteur.
Ruptures technologiques :
= Innovations à changements technologiques importants mais sans modifier le comportement de lacheteur.
Ruptures organisationnelles :
= Innovations à faible changement technologique mais qui impliquent un changement dans les comportements.
Innovations radicales :
= Changement technologique et comportemental.
Organisation du processus dinnovation :
Il est important dinstitutionnaliser le processus de création de nouveaux produits.
Ex : 3M est une société excellente en termes dinnovations. En effet, sa philosophie repose sur le fait que 25% des ventes de la société doivent venir de produits nexistant pas 5 années auparavant.
Raisons dinsuccès :
Pas détudes de marché
Le produit na pas tenu ses promesses (on a été trop ambitieux).
Le produit a été mal positionné
Le prix est trop élevé
Il y a sous-estimation des réactions de la concurrence
Il y a sous-estimation des coûts
Facteurs de succès des innovations :
Supériorité du produit (qualités distinctives)
Savoir-faire marketing (compréhension du marché, des besoins,
)
Savoir-faire technologique (bonne synergie R&D, production et ingénierie)
Cooper a encore rassemblé différents facteurs de succès comme un produit supérieur, une forte orientation de marché (= compréhension de la clientèle), un concept de produit global, une analyse préliminaire intensive, une définition précise du concept, un plan de lancement structuré et, enfin, une coordination inter fonctionnelle
Etapes délaboration dun nouveau produit :
Recherche des idées :
Par les clients, les chercheurs, les concurrents, la direction générale, les distributeurs, les sources secondaires comme les études de marché,
Filtrage des idées (il faut en choisir un certain nombre) :
Lobjectif est de détecter et déliminer le plus tôt possible les mauvaises idées. A ce stade, analyse rapide, interne et peu coûteuse. Via une grille dévaluation, ce sont les facteurs les plus importants qui sont analysés.
Développement dun concept :
On décrit la promesse quapporte ce nouveau produit, sans fiche technique. Ensuite on choisi le positionnement du nouveau produit (quelles sont les intentions dachats ?).
Test du concept :
Cest le 1er investissement de lentreprise. On soumet la description du concept aux consommateurs potentiels (soit via un concept, soit via une annonce publicitaire). On dégage alors les intentions dachat (si + de 60% sont contents, alors cest un bon concept). Ex de q ? posée : le concept est-il clair ? Quels sont les + ? Répondent-ils à un réel besoin ? Quelles sont vos intentions dachats ?
Elaboration de la technique marketing (à qui ce produit sera destiné) :
Segmentation et choix du marché cible, positionnement et marketing mix.
Analyse économique et financière :
Estimation des ventes et des coûts/bénéfices.
Elaboration du produit :
Développement dun prototype.
Test du marché :
Si ce sont des produits de grande consommation, on fait des tests de concept et dutilisation, on fourni le produit dans des magasins « laboratoires » ou des marchés-tests simulés (ex : que à Namur) ou encore dans des zones tests ou des marchés témoins.
Si ce sont des produits industriels, on fait des tests techniques, des tests dacceptabilité ou encore des salons professionnels.
Lancement :
On répond à 4 questions : Quand (saison)? Où (pays) ? Auprès de qui (consommateurs) ? Comment (distribution)?
Processus dadoption par le consommateur :
Un nouveau produit sera abordé de manière différente par différents consommateurs.
La théorie de diffusion des innovations :
Innovateurs (2.5%)
Adopteurs précoces (13.5%)
Majorité précoce (34%)
Majorité tardive (34%)
Retardataires (16%)
Graphiquement, on a donc une courbe de gauss.
V P 171.
Lanalyse de la viabilité économique nous dit quil existe 3 pts critiques :
Le point mort simple (on quitte la zone de perte)
Le point mort déquilibre général (les recettes globales couvrent les dépenses globales)
Le point dacquisition du capital productif (les bénéfices permettent de réinvestir dans de nouveaux investissements).
V. Graphe p. 173.
CH.12 : Les décisions stratégiques de prix.
Rôle du prix :
Le prix est important principalement pour 2 raisons :
Cest un instrument de stimulation de la demande
Cest un facteur déterminant de la rentabilité (du produit de la gamme) de lentreprise ; déterminant car le prix ne peut être trop élevé car sinon il ny aura pas de demande
Cependant, le prix nécessite une triple cohérence :
Cohérence interne (contraintes de coûts et de rentabilité) càd comprendre tous les coûts nécessaires pour produire la produit (le prix ne doit pas être < au coût). Le prix doit couvrir les coûts
Cohérence externe (capacité du marché, cest une contrainte imposée par les consommateurs). le prix doit être attractif pour le consommateur.
Cohérence stratégique (positionnement du produit).
Ce qui va influencer les décisions en terme de prix est le niveau de la demande, la
rentabilité de lentreprise (C.T. C.A.), la perception (qualité
), limage de la marque, la comparaison avec les concurrents (cest plus facile que les comparaisons de qualité) et, enfin, la comptabilité avec les autres composantes du mix (cohérence avec le positionnement).
Prendre des décisions de prix est très complexe. En effet, il y a accélération du
progrès technologique et raccourcissement du cycle de vie des produits. De plus, il y a multiplication de marques de distributeurs
En plus des contraintes légales et sociales, il y a contraction du pouvoir dachat et transparence via leuro
La responsabilité de la fixation des prix est diversement localisée dans
lentreprise.
Ex : PME : direction générale. Grande société : directeurs de division ou chefs de produits, ou service spécialisé (tarification lourde)
Définition de prix :
Prix planché (prix limite) il couvre le prix coût direct
Prix technique = point mort : il couvre le coût direct + les frais fixes/E(Q)
Prix cible : prix technique / (1 marge souhaitée).
Erreurs des politiques de prix :
Le prix est déterminé à partir du seul prix de revient en ne tenant pas compte de
toute une série déléments comme le prix des concurrents, stratégie,
Le prix est pas assez rapidement modifié suite à des changements du marché
La
réponse à une guerre de prix doit être très immédiate.
De plus, le prix est élaboré sans référence aux autres variables du mix
Enfin, le prix ne tient pas assez compte de la variété des produits offerts et des
segments de marché.
Processus de fixation des prix :
Les différentes étapes sont : 1. déterminer lobjectif (grande part de marché,
image,
); 2. évaluer la demande (élasticité par rapport au prix) ; 3. estimer les coûts (CF, CM, marge,
) ; 4. analyser la concurrence ; 5. choisir une méthode de tarification ; 6. fixer le prix (attention, il y a des seuils psychologiques : ex : 2,99¬
Déterminer l objectif :
Le prix découle logiquement du choix de la cible et du positionnement. Différents objectifs peuvent être choisis comme la survie, la maximisation du
profit (ne tient pas compte des autres variables du marketing mix et des réactions des concurrents), la maximisation de la part de marché (ex : le prix de pénétration = prix bas, il est plus bas que le prix calculé), lécrémage, la recherche dimage
Evaluation de la demande :
Plusieurs facteurs affectent la sensibilité aux prix :
différentiation du produit importante
connaissance des produits de substitution ? oui-non, si non, la sensibilité par rapport au prix nest pas élevée
facilité de comparaison ? oui-non, si non, la sensibilité par rapport au prix nest pas élevée
poids de la dépense faible-élevé, si élevé, le consommateur est plus sensible au prix (ex : voiture) si faible, pas sensible (ex : bonbons
)
poids du prix perçu dans le coût total
qualité perçue : au plus la quantité est élevée, au moins le consommateur sera sensible au prix
Moins la demande est élastique, plus le prix pourra être élevé.
Au plus le produit est unique, au plus on peut augmenter le prix.
Pour mesurer cette élasticité par rapport au prix, plusieurs méthodes sont
valables. En effet, il y a la méthode des jugements dexperts, les enquêtes consommateurs, lexpérimentation-prix (ex : faux supermarché), études économétriques,
Une fois que lon connaît lélasticité, on sait comment agir sur les prix pour
stimuler la demande. On peut également comprendre les marques qui résisteront mieux à des hausses de prix. Enfin, on peut moduler des prix dans une même gamme de produits.
Cependant, ces mesures délasticité ont des limites :
Mesure après les faits
Il est souvent plus intéressant de connaître la perception des prix par les acheteurs (qui dépend généralement de la perception de la qualité de ces derniers)
Lélasticité ne mesure par leffet sur la propension à essayer le produit, sur sa fidélité,
Estimation des coûts :
La demande induit souvent un prix plafond, les coûts induisent le prix planché. Lentreprise doit estimer ses coûts pour différents niveaux de production et dexpérience. Les coûts comprennent les coûts fixes et les coûts variables.
Analyser la concurrence :
On relève les prix, on analyse les tarifs catalogue, on fait des enquêtes auprès des consommateurs pour apprécier le rapport qualité-prix.
Le prix doit exprimer le positionnement concurrentiel du produit
Choix dune méthode de tarification :
Les différentes méthodes mettent laccent sur certains des facteurs cités plus haut :
Le coût plus marge : ne tient pas compte de la demande ni des concurrents (méthode interne)
Le taux de rentabilité souhaité : ne tient pas compte de lélasticité de la demande des concurrents (méthode externe)
La valeur perçue : suppose de bonnes méthodes destimation de la perception du produit (méthode externe)
Le prix du marché : fixation des prix en considération de la concurrence (méthode externe).
Fixation du prix :
Lobjectif des étapes précédentes était de réduire les fourchettes de prix acceptables. On doit maintenant optimiser les prix en fonction des dimensions psychologiques et des réactions des distributeurs, vendeurs, fournisseurs, pouvoirs publics,
Les variations de prix :
Les entreprises font varier leur prix de multiples manières autour du prix de base :
Flexibilité des prix selon les marchés
Flexibilité en fonction de la saisonnalité
Prix promotionnels (offres spéciales, crédit gratuit, coupons,
)
Remises et rabais (escompte pour paiement comptant, remises pour quantité, rabais saisonnier et soldes, reprises,
)
Prix des services et « yield management »
Flexibilité dans le commerce en ligne
Les modifications de prix :
Soit baisse de prix. Les raisons sont multiples (capacité de production excédentaire, baisse de part de marché, nécessité de répercuter la baisse de coût,
). Les risques dune telle baisse sont dégradation dimage, baisse de fidélité, risque de volume,
Soit hausse de prix. Les raisons sont inflation des coûts, excès de demande,
Les risques sont baisse de la demande
Ces modifications suscitent des réactions : pourquoi le concurrent a modifié sont prix ? Le prix est-il modifié de façon temporaire ? Quel impact sur les parts de marché, quelle est la réponse la plus probable des concurrents ?...Le leader de marché est souvent la cible dune guerre de prix de la part de ses concurrents. Le leader peut réagir de diverses manières :
Maintenir ses prix
Maintenir ses prix en contre-attaquant sur dautres terrains
Réduire ses prix
Augmenter les prix et contre-attaquer sur le produit
Lancer une marque défensive
Prix de lancement dun nouveau produit :
2 types de stratégie sont suivis :
Stratégie de prix décrémage :
On vend à un prix élevé en se limitant volontairement aux consommateurs qui dont prêts à payer un prix fort pour le nouveau produit (méthode plus financière que commerciale).
Stratégie de prix de pénétration :
On vend à un prix bas pour acquérir une part de marché élevée.
Cette stratégie doit répondre à une série de conditions :
Demande élastique au prix
Possibilité datteindre de faibles coûts unitaires (économies déchelle ou effet dexpérience)
Menace dune forte concurrence potentielle
Marché haut de gamme est satisfait
Coût de transfert peu élevé
CH. 13 : Les décisions stratégiques de communication.
A° La communication
Les outils de communication :
Publicité (télévision, magazine, radio, postering,
)
Above the line
.
Below the line
Promotion des ventes Ventes Relation publiques
Marketing événementiel Sponsoring Marketing direct
Publicité :
Lobjectif est de communiquer un message à une audience relativement large. Les moyens sont : la télévision, le magazine, la radio, le cinéma,
Il existe 3 types de publicité : informative (on explique le nouveau produit), persuasive (on fournit des arguments pour le produit) et de rappel (ex : coca-cola).
Avantages :
Couvre une large audience
Bonne qualité de communication de limage de marque
Effet durable car elle permet de développer une image de marque à Long Terme (on a pas spécialement des effets immédiats), de communiquer le positionnement (>< promotion).
Désavantages :
Coûts relativement élevés
Pas de ciblage possible
Encombrement publicitaire
Promotion des ventes :
Lobjectif est de stimuler les consommateurs à essayer, acheter un produit ou continuer à utiliser un produit. Les moyens sont : coupons, échantillonnage, carte de fidélité, concours,
Avantage : effet immédiat sur les ventes
Désavantages : effet à Court Terme, peut dégrader la marque, augmente la sensibilité au prix,
Marketing événementiel et sponsoring :
Lobjectif est clairement daugmenter la notoriété du produit, la marque, mais on a pas le temps de mettre en avant le positionnement. On nexplique rien, le but est juste de faire connaître.
Les moyens : tout ce qui est nouveau !
Avantages : création rapide de notoriété, retombée presse (sélectionner des événements bien spécifiques à la cible).
Inconvénients : Effets difficilement mesurables, pas assez long terme
Marketing direct :
Lobjectif est de cibler les consommateurs avec un message personnalisé. Avec lInternet, ce type de marketing sest développé très rapidement. Les moyens sont donc le téléphone, le mailing, lInternet,
Avantage : ciblage très précis
Désavantages : nécessité davoir de bons fichiers, coûts pour maintenir ces fichiers
Relations publiques :
Lobjectif est de créer la notoriété et limage de la société. Les moyens sont des contacts de presse, de la publicité rédactionnelle, de la communication institutionnelle,
Avantages : caractère moins commercial
Désavantages : Difficulté danalyser les effets.
Ventes :
Lobjectif est de convaincre les acheteurs dacheter le produit. Les moyens sont les forces de ventes interne ou externe.
Avantage : contacts personnalisés
Désavantages : très coûteux, pas de création dimage de marque
Facteurs de sélection des outils :
Facteurs liés au produit :
Quantité et complexité des informations (très complexe : TV, peu complexe : radio).
Facteurs liés aux étapes du cycle de vie :
Introduction (échantillons, coupons, ( créer la notoriété, le faire essayer)
Croissance (contacter le plus de contacts possibles)
Maturité (promotion, carte de fidélité)
Déclin (on investit plus dans la communication)
Facteurs liés au type de produit :
Industriel ou grande consommation
Produits à prix faible ou élevé
Facteurs liés au type de consommateur :
Peu ou beaucoup de consommateurs
Besoin dinformation
Modèles de laction de la communication :
Le développement de la publicité va passer par différents stades. Cest ce quon appelle le modèle de la hiérarchie des effets :
Publicité ( Stade cognitif ( Stade affectif ( Comportement
Faire savoir Faire aimer Faire agir
( notoriété, (attrait pour la marque, (conviction, achat)
connaissance du effet sur limage,
produit) préférence pour le
produit)
La stratégie de communication :
La cible :
Le choix dune audience a un impact important sur le message et sur le medium.
Les objectifs :
Lentreprise doit spécifier quel type de réponse elle attend des consommateurs. Il existe 3 types de réponses :
Cognitive (notoriété, connaissance)
Affective (attitude, préférence, conviction)
Comportementale (achat, part de marché)
V. exemple p. 203.
Le message :
4 problèmes doivent être résolus :
Que faut-il dire ? (contenu du message)
Il faut convaincre dune manière rationnelle (montrer les bénéfices du produit) : démontrer que le produit va délivrer sa promesse.
Comment le dire ? (structure du message)
Sous quelle forme ? (format du message)
Approprié au médium !
Qui doit le dire ? (source du message)
La crédibilité de la source peut également jouer un rôle important.
Allouer un budget :
Il existe différentes méthodes basées sur :
les ressources disponibles : faible ou élevé (si ressources élevées, parfois on dépense trop)
le pourcentage du C.A souvent établi trop arbitrairement.
lalignement sur la concurrence : on dépense le même montant que la concurrence mais la concurrence a-t-elle bien défini son montant ?
lanalyse des objectifs et des besoins : analyse ayant le plus de sens : on calcule le budget daprès le produit de lentreprise, daprès la cible
B° Le développement publicitaire :
Le développement publicitaire :
Il existe différents partenaires :
Les annonceurs (lentreprise qui fait de la pub)
Les agences de publicité : les créatifs : personne créant les pubs.
Les médias (TV, presse, radio, cinéma, affichage,
)
Les agences médias : pour négocier le prix des pubs avec les médias
RMQ : pour avoir une publicité efficace, il faut suivre un cheminement très
Rigoureux
Ex : les plus grands annonceurs en Belgique :
Société total dépense (en millions d ¬ en 2OO4)
1) Procter and Gramble 85
2) Etat belge 79
3) Belgacom 72
4) Danone 68
5) LOréal 42
6) DIeteren 34
7) France Telecom 27
8) Fortis 24
9) Telenet 24
10) PSA Peugeot-Citroën 24
Développement de la stratégie publicitaire :
Définition des objectifs :
Quel est le résultat recherché ? (notoriété car nouveau produit, on fixe un
objectif par ex de 60% à atteindre en 6 mois et sil nest pas atteint on retourne voir lagence de pub pour lui demander pourquoi
, essai, amélioration de limage de la marque
)
Quelle est laudience ciblée ?
Le segment ciblé ?
Etablissement de la stratégie publicitaire :
Quel est le positionnement choisi ?
Comment le traduire sous la forme dune « copy strategy » (= positionnement
Publicitaire = la traduction de notre positionnement) ?
La « copy-stratégie » est divisée en 3 § :
le positionnement classique ( bénéfice consommateur
la raison pour laquelle on doit nous croire en termes de bénéfice (reason-Why ou support)
la personnalité de la marque (style « brand character »)
EX : VOLVO : 1. voiture qui offre une sécurité incomparable à ses occupants
2. Volvo offre toute une série daccessoires de pointe permettant
de mieux protéger le véhicule.
3. Volvo : marque sérieuse et solide
RMQ : parfois le 2ème paragraphe nexiste pas (ex : domaine des cosmétiques, domaine du luxe
)
EX : ANTIKAL : 1. Antikal est supérieur aux méthodes traditionnelles pour
enlever le calcaire et rendre les surfaces brillantes.
2. La formule fonctionne par simple contact et dissolve les
incrustations les plus solides grâce à son effervescence.
3. Antikal est enthousiaste et tenace. Un dur au cur tendre.
La copy strategy est lémanation de la stratégie marketing. Cette stratégie est
établie pour le long terme. On décrit le contenu mais pas la forme du message.
Copy strategy :
Pour quune copy strategy ait du succès, il faut quelle :
Soit spécifique et concrète
Se concentre sur une promesse de nase, plus plusieurs (USP)
Soit distinctive par rapport aux concurrents
Repose que des avantages consommateurs et non techniques (car différentes techniques peuvent répondre aux mêmes besoins de plus la technologie va évoluer et nous on ne pourra pas changer notre stratégie)
Soit durable (pas liée à une mode car celle-ci est éphémère)
Développement du « copy brief »
Contenu :
Description du projet
Rappel de la « copy strategy »
Contexte concurrentiel
« consumer insights »
Réponses attendues
Développement dun « board »
Production de la publicité
Style dexécutions publicitaires :
Différents types :
Tranche de vie
Style de vie
Fantaisie
Témoignage
Expertise technique/preuve scientifique
Personnage symbole
Humoristique
le risque est que lon ne se souvienne plus du produit mais seulement de lhumour
Mesure de lefficacité publicitaire :
Les outils de mesure sont les ventes, laugmentation de la connaissance de la
marque, le changement dattitude (ces trois premiers outils sont fait a posteriori par rapport à la pub) par les études de marché ou des tests marketing spécifique (ceux-ci sont indispensable).
Il y a différents tests à faire selon les étapes de développement :
test de concept
test du board (test de compréhension)
test du spot (avant ou après lexposition dans les médias (test de mémorisation, de reconnaissance
)
Choix des médias :
2 approches stratégiques à retenir :
Couverture :
Nouveaux produits, forte fidélité à la marque, cible large, taux de rachat long
( le but est de couvrir un grand nombre dindividus le plus large possible
Fréquence :
Forte concurrence, message complexe, taux de rachat élevé, faible fidélité à la marque, cible étroite( le but est davoir le des spots de publicité le plus fréquemment possible
CH. 14 : Les stratégies de marketing international et global.
A° Du marketing international au marketing global :
Raisons de la globalisation :
Différentes raisons :
Globalisation de léconomie
Concurrence de plus en plus mondiale
Nécessité pour les entreprises de réduire leurs coûts et de trouver de nouveaux avantages concurrentiels.
Définitions :
Le marketing international (multi-domestique) est un marketing qui
commercialise les produits au niveau international avec des programmes de marketing locaux. On adapte donc les produits aux besoins locaux.
Le marketing global standardise un maximum déléments du marketing mix afin
davoir idéalement un produit standard pour tous les marchés, et, si possible, la même publicité. (ex : nokia, Mc Do, ikea, caterpillar, Coca-Cola, P&G, British Airways, Citi, Mars, Siemens
).
Accélération de lévolution vers le marketing global :
Pourquoi le tout sest accéléré ?
Les entreprises recherchent de nouveaux avantages concurrentiels :
En effet, comme il y a croissance de la pression concurrentielle, le marketing
global est considéré comme un avantage concurrentiel (économie de coût)
Lavantage est de maximiser la taille. En effet, bénéficier du levier de la taille
dans toutes les étapes de lentreprise (R&D, fabrication, logistique, marketing) peut générer des réductions de coûts substantielles.
Ex : RAIDER ( TWIX
R&D : Centralisation du département ( éco déchelle
FABR. : Centralisation de la production (augmentation du volume ( éco déchelle)
LOGISTIQUE : Réduction des coûts de stocks
MARKETING MIX :
Commercialisation : même emballage
Communication : notoriété globale, image plus cohérente, même pub pour différents pays
Dans lindustrie, quand une firme commence à globaliser ses stratégies, les
autres suivent
(Ex : Unilever qui a suivi P&G)
De plus, il y a souvent de la pression de la communauté financière. En effet,
les actionnaires et les analystes financiers favorisent les restructurations qui mènent à des économies déchelles (augmentation de la valeur de laction).
Derniers changements :
Des multinationales commencent à comprendre les limites de la globalisation. Elles se dirigent vers un niveau moins élevé de globalisation.
Avantages marketing global :
Réductions des coûts à tous niveaux (un avantage sur les prix augmente les profits) (logistique, production, marketing)
Rapidité de lancement (on va plus vite via effet dexpérience,
) (moins dun an)
Image mondiale (pour les gens qui voyagent beaucoup : trouver la même marque partout)
Meilleur contrôle sur les filiales (quand le groupe est centralisé, les dirigeants peuvent plus imposer ce quils veulent)
Unilever a suivit P&G en globalisant ses marques :
Centralisation des stratégies
Concentration 400 marques internationales
Elimination de 1200 autres marques.
Désavantages du marketing global :
Centralisation excessive (( société trop lente( pas de réponses assez rapide si changement au point de vue local)
Insensibilité aux marchés locaux
Risque dexécution locale moins performante
Produit standard (pas nécessairement en ligne avec les besoins locaux les plus importants) (cest bon au point de vu des coûts mais ce nest pas bon au point de vue local)
Risque daffaiblir limage de marque
Management du risque plus difficile (problèmes locaux ( problèmes globaux)
EX : certaines entreprises après avoir globalisé leurs produits décident de faire marche arrière :
P&G
Coca-Cola : 2000 changements de stratégie
« Coca-Cola was operating as big, slow and sometimes insensitive global company. The world has changed. It is demanding greater flexibility, responsiveness and local sensitivity
Douglas Daft: CEO Coca-Cola mars 2OOO
( retour au marketing multi-domestique.
Slow : en effet les décisions étaient prises au plus haut niveau ( Qd il y a un
problème, avant que tt ne bouge, la société narrive pas à démarrer
Greater flexibility : il faut être plus flexible pour réagir au plus vite
Local sensitivity : problème de compréhension et de communication. En effet, il
ne faut pas faire passer le message de la même façon dans tous les pays car les habitants nont pas la même culture
( depuis 2000 chez Coca-Cola, les filiales peuvent développer des initiatives.
(Ex en Belgique, le Fanta pomelo)
Le marketing global est un processus principalement mené pour des raisons
déconomies (avantages de coûts sur base des économies déchelle).
On ne demande pas le point de vue des consommateurs
Quest ce que le marketing ???
Essayer de mieux répondre que la concurrence aux besoins des consommateurs (>< globalisation excessive).
Conclusions :
Les avantages de la globalisation sont indiscutables
Il existe aussi des risques
Les consommateurs doivent être écoutés
(( un équilibre de marques globales et locales est plus approprié.
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il faut comprendre les besoins des consommateurs
il faut segmenter le marché
il faut trouver le produit qui convient à un nombre limité dindividus ( il faut avoir un max dinfos sur le marché et sur le consommateur
positionnement ( différenciation
FiN
E(Q) = Quantité espérée dans loption étudiée (=> recouvre coûts directs et coûts fixes)
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Entrants potentiels
Fournisseurs
Concurrents du secteur
Clients
Substituts
R & D
Production
Logistique
Commercialisation
Client
Distributeurs Concurrents
Prescripteurs Environnement
Les entreprises utilisant les 3 1ères approches naccordent pas beaucoup dimportance à la communication.