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Ça c'est une figure diagrammatique, on va appeler ça diagramme, ... de l' inconscient.17.03, ces deux opérations de causation du sujet, Lacan le dit bien qu'il ..... les diagramme d'Euler Venn, qui servent à la logique et qui peuvent s' écrire en ...




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Jean-Michel VAPPEREAU, à l’ENS, salle Ceylan, 02-02-2010



I- 00.00


Je traite de la répétition, de la répétition et j’ai pris comme point de départ ce qui c’est passé en 1964 quand Lacan a interrompu son séminaire à St Anne et qu’il a commencé à faire son séminaire dans les locaux de l’Ecole Normale Supérieure, et ça tombe bien que Bertrand Ogilvie m’ait proposé de faire le cours ici, surtout dans le cadre de cette association de ceux qui s’intéressent à la philosophe en France, la philosophie contemporaine, parce que ce dont je veux parler c’est à propos de cette répétition c’est de ce qui c’est passé en 1964, par ce que vous le savez peut-être il y a eu un colloque à Royaumont organisé par Deleuze qui était consacré à Nietzsche et on peut encore se le procurer aux éditions de minuit, on s’est pas précipité dessus apparemment, il est encore disponible et il y a les minutes du colloques où est intervenu Klossowski, Pierre Klossowski a fait un exposé sur l’éternel retour, très bel exposé dans ce volume, et puis vous pouvez aussi le lire dans son livre Nietzsche et le cercle vicieux, Oubli et anamnèse dans l’expérience vécue de l’éternel retour du même, et puis comme vous le savez Deleuze quatre ans plus tard va soutenir une thèse publiée au PUF, ça s’appelle Différence et répétition, donc au même moment Lacan commence son séminaire ici avec les Quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, dans lesquels se trouve la répétition, il parle de la répétition lors d’une leçon principalement, mais il commence à la fin de la leçon IV, il présente ce qu’il va dire de la répétition, c’est le troisième point dans l’édition du Seuil, et puis il consacre sous le titre de la Tuche et de l’automaton toute la question V à la question de la répétition, et il reprend les choses dans la leçon VI, au début, Je continue. Wiederholung, vous i-je rappelé – et je vous en ai dit déjà assez pour accentuer dans la référence étymologique que je vous en ai donnée, haler, ce qu’elle implique de connotation lassante. Et puis cette sixième leçon Lacan après le premier tiers il va retourner la tapisserie, comme il en a la possibilité et là il commence à étudier sous le titre de l’œil et du regard, la question du visible et de l’invisible car le livre de Merleau-Ponty est paru, le livre posthume de Merleau-Ponty est paru à ce moment là, mais dans tout ce qui va suivre à propos du visible et de l’invisible et du tableau et du fameux tableau de Hans Holbein les ambassadeurs , 1533, avec l’anamorphose qui est en bas, Lacan va commenter ce qu’il dit et ce qu’il veut dire de la répétition et là il prend un exemple dans le champ scopique avec le tableau, à l’occasion de la publication du livre de Merleau-Ponty, alors qu’est ce que j’apporte avec ces disques de couleur, que j’ai mis au tableau que j’ai colorés, que j’ai dessiné et mis au tableau, et bien j’avance la proposition suivante, c’est qu’on ne peut pas entendre ce que Lacan nous dit de la répétition qui n’a pas commencé seulement en 1964, puisqu’il est question de la répétition à partir de son séminaire sur la lettre volée par exemple qui a donné lieu à un écrit et que Lacan a mis au début des Ecrits, et vous savez qu’il a ajouté une introduction qu’il a mise à la fin, dans laquelle il propose des exercices formels de transcription pour montrer comment fonctionne une mémoire, je pense que ces choses là ont rendu les choses difficiles à entendre, et à suivre pour les auditeurs de l’époque, et encore aujourd’hui pour les lecteurs de Lacan qui n’y entendent pas ce qui apparaît, si on se reporte à un écrit de Lacan, pas seulement le séminaire, c’est justement ce qu’on ne fait pas, un écrit de Lacan qui date de la même année 1964, et qui est le compte rendu de son intervention dans un colloque, et qui s’intitule Position de l’inconscient . Position de l’inconscient c’est écrit par Lacan à la demande de Henri Ey, c’est les interventions de Lacan au congrès de Bonneval, reprise de 60 à 64, et dans ce texte de 64, que je tiens et comme il le dit dans une note à la fin, toujours équivoque, il dit que c’est un complément au discours de Rome, donc ce que je fais depuis maintenant bientôt 30 ans à propos des travaux de topologie, des graphes, topologie des nœuds, et bien j’ai constaté qu’on avait omis de lire l’écrit de 1964, Position de l’inconscient, ou on ne l’avait pas lu suffisamment du fait que le séminaire de 64 est paru, celui qui était tenu à la même époque puisque tout ça ça c’est passé plus tard, puisque Position de l’inconscient est paru, puis ensuite a été publié dans les Ecrits en 1966 , le séminaire Les quatre concepts et paru lui seulement dans les années 1970, on l’a beaucoup lu, mais il faut lire Position de l’inconscient, parce que là Lacan apporte quelque chose qui est un complément au Discours de Rome, quelque chose qui n’est pas dans le discours de Rome, ça s’explique un peu par la petite note, les lettres qu’il a ajouté à son écrit qui s’appelle L’instance de la lettre ; il a fait suivre sont écrit d’une série de petites lettres (ttyemupt) et son éditeur lui a demandé ce que cela voulait dire, c’est un message que Lacan s’envoie à lui même, c’est paru dans l’Encyclopédie Universalis, il s’écrit à lui même : tu t’y es mis un peu tard, il avait fait le discours de Rome et puis il s’est aperçu qu’il y avait quelque chose qu’il fallait ajouter, 09.19, qu’il ajoute, c’est ma proposition dans ce qui appelle un complément et qui est Position de l’inconscient, tout ce que j’ai fait sur le pliage et le dépliage du schéma de Freud de la lettre 52 pour monter comment on peut lire des schémas de Lacan qui s’appellent schémas L, schémas R, schémas I, et mettre ça sur la bande de moebius comme il l’explique en 1966, pour voir qu’il y a quelque chose qui s’esquisse d’un nœud, mais qu’il n’y a pas de nœud, puisque ça se passe à la surface d’un plan projectif, donc c’est encore des problèmes intrinsèques à la notion de surface ce qui est contraire à la notion de nœud qui est une notion extrinsèque et la prochaine fois, puisque je vais faire ici trois cours au moins, peut-être quatre, la prochaine fois on va aborder grâce à ces ronds, une autre lecture des schémas de Lacan mais aujourd’hui on va s’occuper puisque j’ai fait une présentation la dernière fois, je vais avancer un petit peu et je vais avancer dans les calculs qui accompagnent ces schémas, ces figures ce sont des figures de géométrie que j’accompagne d’un diagramme,




Ça c’est une figure diagrammatique, on va appeler ça diagramme, la différence entre ces figures géométriques et un diagramme, c’est que un diagramme c’est déjà une écriture, aujourd’hui dans le langage des catégories les catégoriciens font beaucoup de diagrammes commutatifs par exemple, des flèches pour indiquer ce qu’ils appellent flèches et objets, c’est une façon d’écrire en mathématique qui n’est pas réductible à la théorie des ensembles, mais là on va rester très proche de la théorie des ensembles, on va même c’est ça qui est étonnant, remarquable et renversant, il nous conduit dans une écriture logique, de logique même booléenne, alors que l’on sait quel était le différent qu’il pouvait y avoir entre Boole et Frege, et puis Boole c’est comme Turing, c’est les anglo saxons, c’est l’Angleterre, c’est une pensée qu’on considère sur le continent plutôt comme mécaniste, et alors certains préfèrent se retourner vers l’idéalisme allemand, les français eux on le cul entre deux chaises entre les anglais et les allemands, ils ne savent pas très bien comment se situer et Lacan lui il n’hésite pas, puisque lui il tord cette langue française pour faire entrer dans cette langue ce qui répugne à cette langue, c’est ce que j’ai appris en lisant Milner, c’est que Maurras à fait ce diagnostique, que la belle langue française ne tolère pas la dialectique allemande, la dialectique Hégélienne et que c’est absolument impossible à écrire en français, la dialectique, je pense que Lacan introduit la dialectique parce que justement comme l’a rappeler Ogilvie dans son petit livre sur La question du sujet chez Lacan, Lacan il a été Maurrassien quand il était à Stanislas, il était d’une famille catholique d’Orléans et il a sûrement beaucoup plus réfléchit que d’autres au fait de ce que c’était que cette histoire de langue française, qui ne tolérerait pas la dialectique, et c’est intéressant sous cet aspect de le comparer avec Deleuze qui lui écrit une langue française très attrayante, et qui a des mérites littéraires énormes mais qui n’a pas le tranchant du style littéraire de Lacan qui lui recourt aussi à des compositions algébriques et diagrammatiques, par exemple en algèbre les deux opérations qui sont définies dans Position de l’inconscient, l’aliénation et la séparation, permettent de construire la structure du fantasme S barré poinçon de a, qui est une écriture algébrique qui peut ressembler à quelque chose d’une écriture d’un connecteur logique


comme dans l’algèbre de Boole, et c’est l’enjeu de cette étude de l’aliénation et de la séparation, que de construire cet opérateur du poinçon, Lacan le commente dans son séminaire, il y a des leçons consacrées à ça dans les Quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, alors comme j’ai déjà construit l’aliénation, mais je vais en reparler, j’ai construit l’aliénation et j’ai écrit un article qui s’appelle le Vel de l’aliénation, comme un opérateur de logique classique, c’est écrit comme ceci, c’est une implication niée, 14.53, et j’explique quel est le type de problème logique que Lacan traite avec ça, que d’un point de vue analytique que synthétique, et là la question c’est de construire un opérateur, dans Position de l’inconscient, un opérateur qui doit, qui vient à modifier l’intersection ou le produit l’intersection alors vous voyez ici, vous avez deux disques qui sont côte à côte, et si on les approche l’un de l’autre on peut les faire se superposer par une partie médiante, et cette partie s’appelle l’intersection entre S et A, intersection c’est plutôt le mot ensembliste, le terme en logique de la coordination ce qu’on appelle le calcul des propositions, le terme c’est plutôt la conjonction, et le produit en algèbre de Boole cette conjonction logique , elle s’écrit comme une multiplication dans l’algèbre de la logique, alors c’est en lisant ce que Lacan dit sur la séparation que la chose suivante m’est apparue, je l’ai lu il y a 15 jours, je vais vous le redire c’est toujours bien de revenir au point de départ, je suis parti de cette formule que Lacan donne pour la séparation, il dit : venons en à la seconde opération où se ferme la causation du sujet, pour y trouver la structure de bord dans sa fonction de limite, plus haut il parle du bord et de la théorie des surfaces, et de ce qu’il appelle une géométrie, dans sa fonction de limite mais aussi dans la torsion qui motive l’empiètement de l’inconscient.17.03, ces deux opérations de causation du sujet, Lacan le dit bien qu’il va les construire comme étant l’articulation entre le Sujet et l’Autre, et que l’Inconscient c’est la coupure qui les sépare en acte, c’est ce qu’il dit dans ce texte, plus haut, alors cette forme logique de la séparation voilà ce qu’il nous dit, cette opération nous l’appellerons séparation nous y reconnaîtrons ce que Freud, appelle Ichpaltung, ou refente du sujet, vous voyez qu’ici le sujet n’est pas encore barré, alors que dans le fantasme le sujet est marqué d’une barre, la première chose que va apporter cette précision et cette réflexion apportée à la question du Sujet, dans sa relation à l’Autre, ça va être de nous apporter de la précision dans la relation du sujet en tant que non barré ou barré et l’objet tel qu’il apparaît dans le fantasme, le poinçon dans Kant avec Sade Lacan nous dit que ça doit se lire « désir de » , moi j’ai entendu en 1982, dire oui, on sait bien le sujet est divisé par l’objet, et l’objet est divisé par le sujet, puis le sujet disparaît Ichpaltung et l’objet disparaît aussi donc il ne reste rien et alors, voilà le discours de l’opinion, voilà le discours généralement reçu à propos de cette question, chez ceux qui peuvent paraître les meilleurs, le problème c’est que c’est déjà pas mal si l’objet coupe le sujet en question, le refent et que la refente équivaut au fait que le sujet lui-même coupe l’objet et que l’un disparaît et que l’autre disparaît, moi déjà ça m’a jamais paru si simple, car qu’est ce que ça veut dire tout ça, ça mériterait quelques éclaircissements, et puis de l’autre côté vous voyez que le fait de dire « et alors ! » c’est une façon de dire qu’on est un peu blasé, ça correspond exactement à ce qu’il va se passer le week-end prochain (06-12-2010), il y a des Assises qui ont été proposées par une association, l’Association de psychanalyse de Jacques Lacan a proposé des Assises à propos du savoir du psychanalyste, le savoir du psychanalyste Lacan en a parlé, il a même fait un séminaire qui porte ce titre, Le savoir du psychanalyste en parallèle de Où pire … , 19.53, et donc là il va y avoir des Assises, le titre de cette réunion c’est intitulé, Assises sur la savoir du psychanalyste, moi ça fait 30 ans que je peux constater qu’on s’assoit sur le Savoir du psychanalyste, et moi je me demande qui est elle ? , - rires dans la salle - car si c’était un mec on aurait dit « il est assis sur le savoir du psychanalyste », non là c’est assises, avec un s, donc elles sont plusieurs, à s’asseoir sur le savoir du psychanalyste, c’est quand même embêtant car ce qui caractérise notre époque et le discours analytique de notre époque, après Lacan, c’est cette histoire de jouissance, dont on voudrait nous faire croire qu’on a fabriqué le champ Lacanien et de la jouissance dont Lacan parle dans le séminaire l’Envers de la psychanalyse, que l’on parlerait de la jouissance mais que l’on aurait fait, mais on aurait fait, on aurait oublié qu’est ce que vient faire cette jouissance, entre quoi et quoi, Lacan définit dans son écrit la Psychanalyse et ses relations avec la réalité, Lacan définit le symptôme en disant que c’est de la jouissance que la vérité trouve à résister au savoir, donc je veux bien que Freud le conseil quand on aborde un nouveau cas, il est conseillé d’abandonner tout ce qu’on sait et de reprendre les choses avec une certaine fraîcheur, mais ça ne veut pas dire pour autant qu’on ne sait rien et qu’on s’assoit sur le savoir, surtout si vous réfléchissez à cette définition du symptôme, vous voyez bien qu’il n’est pas question de faire une espèce d’apologie de la vérité, parce que le vérité c’est de la jouissance avec l’équivoque que cela comporte, elle trouve de la jouissance, en même temps c’est de la qu’elle va tirer, qu’elle va trouver à s’opposer au savoir, à résister au savoir, donc cette tension qu’il y a entre vérité et savoir qui pour moi c’est la loi du langage, c’est ce que Lacan appelle la structure dans le séminaire Encore, la structure du langage c’est quoi, c’est le principe d’inertie, et si vous voulez savoir ce que c’est que le principe d’inertie, faites un petit exercice de mathématique, vous verrez si vous arrivez à vous rendre compte que la parole qui se réfère à la vérité et bien ça n’a pas du tout la même inertie que l’écriture, et moi je tiens que quand on se réfère au savoir on traite de l’écriture, essayez, faites l’enquête, dès qu’il est question de savoir, le savoir c’est pas la connaissance, c’est pas le savoir faire, la savoir c’est toujours quelqu’un qui sait écrire, quelqu’un qui sait lire, donc il y a une inertie de l’écriture, du côté du savoir, et même je considère que les mathématiques qui sont un pur exercice d’écriture et donc de savoir, la mathématique c’est donc un savoir dogmatique, hyper dogmatique, au sens ou Kojève a écrit ça que le dogmatisme c’est toujours les discours sans paroles, les discours silencieux, il cite parmi les discours dogmatiques, la Révélation, la loi morale, vous vous souvenez de Kant qui regarde le ciel et devant lui il reconnaît la loi morale, ensuite vous avez la science expérimentale, même si vous faites de l’acoustique, les expériences de laboratoire sont des choses silencieuses, qu’on doit prendre acte, prendre note, de ce que ça donne, après avoir été montées en silence, et puis les mathématiques, donc pour Kojève voilà 4 discours dogmatiques, et moi je tiens que les mathématiques c’est hyper dogmatique, je fais simplement remarquer la chose suivante c’est que Lacan à constaté que Freud était dogmatisé par ce qu’il avait laissé 25 volumes, et que lui en écoutant Kojève, il s’est rendu compte que Kojève pouvait par la parole, en français, raconter Hegel, on aime ou on aime pas, mais que c’était une manière de dédogmatiser Hegel, et l’exercice de la parole dédogmatise, donc Lacan il est devenu Lacan en entendant Kojève parler de la phénoménologie de l’esprit de Hegel, à mon avis il a compris qu’il fallait faire ça, à mon avis c’est ce qui l’a conduit à faire 27 ans de séminaire parlé, ce qui cause quelque tracas à ses héritiers, qui se bagarrent, on sait pas si ils se bagarrent pour avoir le plus d’adhérents ou pour être les premiers à avoir publié le séminaire. Ça à l’aire de marcher ensemble !, .. ; Lacan a orchestré cette dispute, de la publication des séminaires, pour que les séminaires soient publiés, 25.58, ce qui compte pour nous c’est que il y a plusieurs éditions du séminaire aujourd’hui, et ils sont publiés, et qu’un discours parlé qui justement n’est pas dogmatique est beaucoup menacé de disparition qu’un discours écrit, du fait de cette inertie elle-même, et qu’à la suite de Lacan j’appelle l’inertie qui caractérise la structure du langage, c’est que dans la parole c’est toujours les embrouilles du vrai, on arrive pas à répéter deux fois la même chose exactement, même les grands acteurs, même les acteurs qui sont grands, ils savent très bien de temps en temps nous faire le texte qu’ils ont à nous dire, de manière qu’on trouve le texte magnifique, même si c’est pas exactement le texte, on ne va pas écouter Shakespeare avec le texte écrit sous les yeux, il y a des musicologues qui écoutent la musique comme ça, en suivant l’interprétation sur la partition, enfin on voit bien qu’il y a un inertie de ce qui est parole de ce qui est danse, de ce qui est l’Afrique, de ce qui est les civilisations de la Parole, qui sont tout à fait différentes de nos civilisations qui sont des civilisations de l’inertie et de l’écriture, et ça va même jusqu’aux mathématique, et donc moi je tiens que Lacan il dédogmatise Freud en parlant, d’où ses séminaires parlés, il a laissé quelques écrits, voyez moi j’ai ça avec moi ( Ecrits et Autres écrits) , moi je suis un lecteurs des Ecrits, donc j’ai pas peur du dogmatisme, et du savoir, mais en même temps que Lacan dédogmatise par la parole, il va beaucoup plus loin que Freud, il prolonge le geste de Freud qui quand il a entendu parler par Brentano, de la négation, de l’existence, du prédicat, il a tout de suite écrit son petit texte sur la négation, Freud quand il trouve les moyens d’écriture lorsqu’il veut articuler ce qu’il veut nous apprendre , nous enseigner, nous indiquer et nous apprendre à lire, quand Feud veut nous apprendre à lire, s’il trouve des moyens d’écriture, il les emploie, donc Freud n’a pas peur du dogmatisme, Lacan non plus avec ses mathématiques, et je pense que ces histoires que nous vivons actuellement dans une comédie qui a des effets redoutables, parce que la psychanalyse elle se défait, le discours analytique est rabaissé, et j’en suis même arrivé à penser que Freud a écrit sur la rabaissement de la sexualité chez l’homme, j’ai bien l’impression que nous pouvons constater qu’il y a aussi un rabaissement de la pensée et un rabaissement de la raison, et que peut être si la raison a quelque chose à voir avec la parole, avec la phallus, et la sexualité, et bien justement c’est peut-être la même chose la raison et la sexualité, ne l’appelons pas la sexualité, appelons là plutôt la sexuation, ou tout simplement sexe, c'est-à-dire qu’on parle mal de sexe, on a tendance à dégrader ce qui est sexe, c’est vrai que nous sommes nés comme le dit le docteur Freud entre l’urine et la merde, donc il y a de l’obscénité dans le corps, la question elle est là justement, est-ce que c’est une raison pour en parler si mal, d’ailleurs ma fille m’a fait remarquer cet après midi que Jean Genet a écrit que Freud a fait beaucoup pour les homosexuels et l’homosexualité dans la mesure ou il a parlé de la sexualité infantile, ce qu’il a fait et dit sur la sexualité infantile, pas seulement dans les trois essais, parce que les trois essais ils vont culminer dans l’introduction de la phase phallique en 1923, phase phallique à l’occasion de laquelle tout le monde lui tombe dessus, les dames américaines, et Jones qui essaie de le défendre qui dit exactement le contraire de ce que dit Freud, il dit que les petit garçons naissent avec des chaussons roses et que les petites filles avec des chaussons bleus, ou l’inverse, et que de toute façon c’est marqué d’avance, et vous voyez il y a une dégradation, et nous sommes nous dans une période de grande dégradation ce qui explique cet espèce de regain de pétainisme qui se sent ici, qui se sent en France, à Paris, et je trouve ça absolument effrayant, parce que justement il y a quelque chose qui est en arrêt, l’enjeu c’est comment esquiver Lacan, et on nous fait des procès, parce que certains vont privilégier la vérité et la parole et d’autres vont privilégier l’écriture (et le savoir), la question du freudisme c’est : apprendre à lire,

II, 00.00
apprendre à parler, et savoir ce que parler veut dire, et apprendre à écrire, et savoir aussi quelles sont les difficultés que chacun rencontre avec l’écriture, donc il n’y a pas seulement la difficulté des mathématiques, n’importe quel exercice d’écriture est un exercice qui peut être extrêmement difficile, ce qu’on nous apprend finalement c’est quoi en dehors de la psychanalyse, on nous apprend cachez, dissimuler tout ce que vous ne savez pas bien faire en matière de parole, d’écriture et de lecture et puis mettez en avant, mettez en valeur ce que vous faites le mieux, et qu’est ce que ça fait ce qu’on fait de mieux, ça fait très peu, nous sommes une espèce comme ça qui développons une technologie bio et des technologies nanos, machiniques et biologiques, mais nous ne savons que très peu de chose de ce qui nous constitue nous même en tant que parole, écriture et lecture, voilà, je pense que Lacan nous apprend au contraire, en ayant vu ce qu’il se passait avec Freud, mais lui n’a pas chercher à forcer les choses au-delà de ce qu’il a indiqué, et puis il savait bien que pour lui ça se passerait de la même manière, ce qui fait qu’à mon avis il a organisé cette comédie dans laquelle nous sommes, c’est Laurel et Hardy qui se battent, je crois qu’il ne faut pas du tout s’émouvoir de ça, mais qu’il faut plutôt réfléchir, qu’est ce qui fait qu’on nous Enlise Sexe et Raison, avec la psychanalyse dans une espèce de discours pieux, d’incantation et que finalement on en vient à avouer que on s’assied sur le savoir alors qu’à mon avis le savoir fait partie du problème.
Alors ma position elle est de faire de savoir mais au ras des pâquerettes, voir très simple, c’est pas du tout par démagogie, parce que je sais que c’est difficile pour chacun, donc je pense que plus c’est simple, d’ailleurs j’ai appris ça de Lacan, il le dit dans la seconde leçon du séminaire l’Angoisse, il dit, l’idéal d’un enseignement c’est toujours un idéal de simplicité, mais simplicité ne veut pas dire rabaissement, ne veut pas dire nous raconter des sornettes, et ne pas nous faire croire que parce qu’on sait résoudre une équation du 2 eme degré, on a une maîtrise de tout ce qui est écriture, vous comprenez , même qu’on peut commenter brillamment Aristote en grec, ou Platon, ou bien que ce soit Frege en allemand, je pense que tout ça c’est une façon d’occuper le terrain, alors moi je lis patiemment Lacan depuis des années, je ne comprenais rien à tout ça quand il est mort, j’ai passé neuf ans auprès de lui, je comprenais ce que je faisais, j’arrivais à travailler et à parler avec Soury, et Lacan du fait du transfert, on osait pas trop lui demander, mais de temps en temps quand même, peut être parce que j’étais impertinent, je lui ai demandé des choses, mais c’était un peu pour le taquiner, mais de toute façon la règle du jeu dans le sujet supposé savoir, le sujet supposé savoir, c’est celui à qui on va pas demander quelque chose ou on va pas dire quelque chose parce que il est supposé le savoir déjà, c’est pour ça que c’est l’argument du transfert, alors la psychanalyse il faudrait enfin dire une fois pour toute, pour tous les curés et les psychologues, qui veulent faire des psychothérapies il faudrait leur expliquer que dans la psychanalyse on est pas en train de demander au gens de parler pour qu’ils se confient, ou que la parole aurait cette valeur lévitatoire d’avoir tout d’un coup ce pouvoir magique, on attend quelque chose de parler, mais qu’est ce qu’on attend, Freud a inventé la psychanalyse à partir du transfert, parce que justement le transfert ça commence à partir du silence, c’est quand on ne peut pas parler, quand on ne peut pas dire quelque chose d’important qu’il se passe quelque chose d’important,et justement le psychanalyste il ne peut rien dire ni ne rien savoir de ce que l’autre n’a pas dit, donc il n’y a que l’analysant qui se trouve en position active, si il est imprégné d’une certaine honnêteté intellectuelle, ce qui suppose qu’on s’assoit pas sur le savoir, moi je maintiens que l’esprit scientifique c’est pas la même chose que la subjectivité scientifique, 04.37, il ne s’agit pas d’être scientiste n’importe comment, mais l’esprit scientifique c’est quelque chose qui fait partie de la tâche analysante, et que le mieux placé pour savoir ce qu’il n’a pas dit, il voulait le dire, il allait le dire, mais en présence de Monsieur ou de Madame Untelle, justement il ne le dit pas et c’est là que justement il peut commencer à faire son analyse, voyez moi j’ai des gens qui me disent 15 ans après avoir commencé leur analyse, ils me disent un truc, ils me disent ça j’y ai pensé la première fois que je suis venu vous voir, et je me suis dis que je ne vous le dirai pas, ils ont perdu 15 ans, ils ne se sont pas interrogé sur la raison du fait qu’ils ne me le disent pas, ce qu’ils disent ne m’intéresse pas puisque ce qui compte c’est ce qu’ils ne disent pas, et ce qu’ils ne disent pas ça ne m’intéresse pas plus puisque je ne le sais pas puisqu’ils ne me le disent pas, donc voyez bien c’est pour ça que je pratique même la psychanalyse en espagnol à Buenos aires aussi bien qu’à Paris, la fonction du psychanalyste, quand même il faut bien imaginer qu’il entend quelque chose de ce qu’on lui raconte pour que ça ait une efficace, mais il faut comme le dit Freud que ce ne soit pas en effigie ni en absence, il se passe quelque chose dans la parole qui est tout à fait extraordinaire, dans cette histoire de transfert, c’est qu’il y a des choses, dans une situation donnée, ça ne se dit pas, on ne le dit pas, le sujet ne peut pas le dire, alors qu’il peut le dire très bien, c’est bien la fonction de la vérité qui joue un rôle, c’est bien la fonction de l’énonciation, alors on nous bassine comme ça une espèce de théologie de l’acte, mais l’acte analytique c’est l’analysant qui commence quand il prend un rendez-vous, et ensuite il doit être dirigé vers le fait que l’analyste lui il donne tout sa valeur à l’acte que l’analysant, comme un naïf candidat à commencé à accomplir dans le savoir, c’est ça que le discours analytique devrait assurer s’il y en avait un, c'est-à-dire un lien social entre des gens qui ont un peu de l’expérience de ça, et puis qui ose en parler, la question elle est comment pouvoir en parler avec les autres, alors Lacan nous a proposé les cartels en dehors de la cure, je pense que le cartel est une très bonne formule, de faire des cartels avec pas trop de monde, 07.05, et puis de discuter, mais comment réussir à instaurer justement un style de travail qui est lié justement à une certaine confiance, mais il est vrai que l’absence de confiance ou le savoir mathématique ça a pu provoquer un transfert, massif, aussi bien sur mon nom par exemple, il n’y a qu’à voir ce qu’il m’est arrivé sur Internet quand on a fait un site après la parution de mon livre Nœud, vous avez une bande de fada qui se sont emparés du groupe de dialogue qui s’appelle Yahoo, ils ont voulu occuper le terrain, ils étaient des agents de différents courants, ils sont assez repérables parce qu’on les connaît, on connaît leurs discours, et donc le problème c’est qu’on a vu apparaître là un délire, il y en a qui s’en sont plaint, il y a les personnes que j’appelle les bicyclettes qui ont noté qu’ils était très étonnés qu’on dise tant de bêtises dans un site où un groupe de dialogue où il était question de topologie, de psychanalyse, mais c’était typiquement de l’acting out, c’est du transfert dans analyse, du transfert sans lecture, qu’est ce que c’est, c’est un délire, c’est ça la psychose, la psychose qu’est ce que c’est, c’est le transfert sans la lecture, c’est un acting out, moi je ne suis pas effrayé par les acting out, mais je pense qu’il faut qu’il faut préciser que tout le monde est là en train de chercher après cette question de la forclusion qu’est ce que Lacan a voulu dire, c’est ce que je vais reprendre dans la suite de cet exposé d’aujourd’hui, 08.45, à propos des schémas R et I , et à propos des trous que Lacan fait dans le schémas, pour revenir sur qu’il a fait dans le Sinthome ?, où il a complètement modifié la doctrine qu’on peut se faire de la psychose et du traitement possible de la psychose dans la psychanalyse, il y a une rupture très tardive chez Lacan quand il va désigner tout ce qu’il a étudié à propos de Schreber à propos de la psychose freudienne avec le fait que Freud lui a surmonté grâce à la Réalité psychique, grâce à son symptôme, cette paranoïa, et il va proposer de revenir à cette paranoïa qu’il appelle personnalité, la psychose paranoïaque comme personnalité qu’il illustre comme un nœud de trèfle,





Comment expliquer ça, et bien pour expliquer ça, il faut passer par l’écriture de ces choses là, c'est-à-dire qu’il faut faire la différence entre des dessins de géométrie, des diagrammes, et ce que je voudrai vous montrer ce soir c’est comment grâce au diagramme, on peut arriver à une écriture booléenne de ce qui se passe entre S, A, a, a’, voilà tenez, je vous montre simplement l’esprit de la chose, de ce qui est au tableau, (voir figures page 1) vous avez ici un diagramme on va dire que c’est un diagramme synchronique, alors que ici vous avez un développement diachronique, donc pourquoi les linguistes qui se plaignent de pas toujours bien trouver comment articuler la synchronie et la diachronie, vous voyez la simplicité chez Lacan, moi c’est ce que j’ai compris de Lacan, 10.27, avec un talent pour nous présenter les choses d’une manière absolument renversante que sur le coup on y entend rien, mais n’empêche que de choisir un objet comme celui-ci, qui donne lieu à une diachronie qui est parfaitement distincte de la synchronie, puisque ce diagramme contient chacune des quatre étapes que j’au mis au tableau, vous noterez que les étapes sont appelées alpha, bêta, delta, phi, parce que j’ai supprimer l’étape gamma, et l’étape epsilon, dans la mesure où j’ai essayé de réduire les choses à quatre stations particulièrement caractéristiques, mais on pourrait faire bouger les choses d’une manière même continue, donc comment le diagramme synchronique contient les quatre situations d’un seul coup ?, ça c’est la première étape, alors pour bien voir ça d’abord notez que dans chacune des figures il y a quatre cercles, les quatre cercles ils sont numérotés, S, A, a, a’, mais a et a’, sont des trous dans les disques S et A, ça c’est quelque chose qui est constant pour tout notre problème, donc c’est quelque chose qui relève de la synchronie du problème, donc comment marquer dans le diagramme cette situation du fait que nous avons un trou à l’intérieur d’un disque, si j’appelle x le disque, et le trou j’au qu’à l’appeler t, qu’est ce que c’est que ça en terme de diagramme, et ça c’est une des inventions de Lacan qu’il appelle le point de capiton,

c’est à cette occasion que je me suis rendu compte que ça allait bien au-delà de son graphe du désir, dans le séminaire V, puis dans Subversion du sujet et dialectique du désir, voilà comment on peut utiliser ce que j’appelle à la suite de Lacan le point de capiton, si on a deux cercles qui sont dans cette situation, géométrique remarquable, les diagramme d’Euler Venn, qui servent à la logique et qui peuvent s’écrire en algèbre de Boole, et bien les diagrammes leurs propriétés et leurs mérites c’est d’être disposés de telle manière que les ronds qui les constitues déterminent le maximum de surfaces, de zones, de faces du graphe, de zones du plan, le maximum que l’on puisse obtenir avec les deux cercles, ça ça dépend d’un théorème de Jordan, vous voyez je peux aussi faire dans l’érudition, le théorème de Jordan dit qu’un cercle ça définit un dedans et un dehors, toujours, donc quand vous prenez un premier cercle vous avez deux zones, quand vous prenez un deuxième cercle vous avez si vous voulez faire un diagramme d’Euler Venn, Venn il a écrit tout un livre, ça s’appelle Logique symbolique, sur cette question des diagrammes, il faut faire un cercle qui va couper les deux zones en question, ce qui fait que les deux zones qui s’appellent 1 et 0 au début, elles se trouvent dédoublées chacune en deux, ça ça va nous servir pour apprendre à calculer, vous voyez que si j’ajoute maintenant un troisième cercle pour faire un diagramme d’Euler Venn, je vais ajouter ceci , là je suis dans la zone 0, là c’est 0, là c’est 0, pour le cercle 1, là c’est 0, et là je suis dans 1, et là je suis dans 1, je passe donc de 2, 4, 8, c’est toujours 2 puissance n, 
quand il y a 3 cercles il y a 8 zones, c’est ce que ça veut dire, donc ici il y a deux cercles, ces deux cercles sont des cercles d’Euler, justement parce qu’ils déterminent le maximum de zones qu’on puissent déterminer en fonction du découpage du plan en deux, et comment faire entrer le trou t à l’intérieur de x, il suffit de dire que cette zone là, il faut l’annuler, il faut la faire disparaître, par exemple on peut dire que ici, si on veut écrire ça en logique, on peut dire que t implique x, t => x , le diagramme va nous donner une écriture, nous avons des objets géométriques que nous allons écrire d’une manière diagrammatique, et que nous allons aussi écrire d’une manière logique et d’une manière algébrique, donc on va pouvoir passer d’un certain nombre de transcriptions, ce qui fait que le mieux c’est que chacun d’entre vous et bien il prenne ce qu’il préfère, il faut voir le type d’écriture qu’il préfère, mais Lacan il nous propose de parcourir l’ensemble des ces jeux d’écritures ; alors qu’est ce que c’est que cette histoire de point de capiton, l’idée vous voyez ce schéma, si cette zone est une zone vide qui a été évidée, par l’évidence, elle n’est pas là, vous avez une zone qui est à l’intérieur de t et de x, une zone qui est à l’intérieur de x mais en dehors de t, ça donne ces deux zones là, je peux les numéroter, vous avez une zone extérieure que je vais numéroter 0, une zone 1 qui est x, une zone 2 qui est t à l’intérieur de x , vous retrouvez ici parfaitement les 3 zones, et il y en a une qui est absente, alors l’idée c’est que ce type de schéma, si vous rétractez toute cette zone puisqu’elle est vide, vous voyez bien que vous pouvez remplacer la zone hachurée par un gros point comme ça, sur lequel il y a 2 points, et vous avez ici une ligne parce que vous avez la zone 2, ça c’est le trait t, du trou t, et vous avez une autre ligne ici, qui s’appelle x, ça vous donne la zone 1 et la zone 0, et vous voyez que ce gros, cette zone du diagramme d’Euler Venn, devient du fait de la technique du point de capiton, devient un gros point, on va condenser ces deux points avec ce gros point de manière à obtenir quoi 1 point, ceci, ça c’est le diagramme d’Euler Venn de t et de x, avec t qui implique x , t => x , 18.10,
alors vous me direz que ça ce n’est pas exactement la même chose que ça, et bien justement lorsque vous pratiquez le point de capiton, c’est pour ça que Lacan l’a appelé le point de capiton, vous voyez que c’est pareil si deux traits capitonnent, c'est-à-dire sont dans une situation de tangence, et c’est la même chose si ils sont disjoints, si il n’y a pas de point, quand vous avez un point de capiton vous pouvez disjoindre les deux, c’est ce qu’on fait dans l’étude des nœuds, vous trouverez ça beaucoup plus loin dans l’étude des nœuds, pas beaucoup plus loin dans Lacan, parce que dans l’étude des nœuds, le skein calculus, inventé par Conway, consiste à remplacer un croisement avec un point, par deux choses qui sont ceci, c'est-à-dire c’est le parcourt de ces deux lignes qui ne se rencontre pas ici, ou bien comme ceci, c’est justement quelque chose qu’on fait de manière diagrammatique depuis Conway, le polynôme de Conway, ça date de 1955, Lacan a sans doute été émerveillé de voir Conway, qui est un type formidable, vous savez Conway, c’est le type qui a inventé la théorie de nombres que discute Badiou dans Nombres, il a inventé des nombres que personne n’avait imaginés, et dans les nombres de Conway vous trouvez touts les nombres qu’on avait jusqu’à l’époque cherché à composer entre eux, puisqu’on a pas beaucoup de modèle de ces faits d’écritures, pour moi les nombres ce sont des faits d’écritures, c’est comme les couleurs, alors donc voilà le point de capiton, ça c’est dans le skein calculus des nœuds par exemple, on calcul grâce à ça des polynômes, ce qui ne donne pas un résultat magnifique parce que moi je tiens que les nœuds ne se réduisent pas à des polynômes, ça ne se réduit pas à de l’algèbre classique, mais voici une petite technique de Lacan qu’il a fait en silence, comme ça et il y a beaucoup de moment dans son séminaire où ça vient en surface, ça vient friser, on peut le lire et alors ceci, maintenant comment on va représenter avec la même technique les 2 ronds séparés, qui n’ont pas d’intersection, que ces deux là, ils ont une intersection, c’est t qui est l’intersection de t avec x, puisque t est inclus dedans, 2 eme étape :
alors je vais effacer ça et je vais vous dessiner la situation des 2 ronds S et A, non inclus l’un dans l’autres mais au contraire disjoints, comme S et A sont disjoints,

20.49,

vous allez le retrouver tout de suite de la même manière, dans le cas ou on va faire un autre type de capitonnage, si on veut représenter deux ronds disjoints comme ça, tels que il n’y ait pas d’intersection, on pourrait dire que p et q c’est vide, on pourrait mettre une négation devant, c’est comme ça qu’on dit que p et q n’ont pas d’intersection, et bien voilà p voilà q, ensuite il va falloir qu’on peaufine l’écriture logique et l’écriture algébrique de Boole, vous voyez ces deux ronds comment on peut rendre compte de leurs situations avec un diagramme d’Euler Venn, qui comporte nécessairement les 4 zones déterminées au maximum par ces 2 ronds, voilà p et voilà q, vous voyez bien que si ils ne se superposent pas, si ils n’ont pas d’intersection, c’est que leur conjonction est vide, et donc leur conjonction est vide, si je remplace par un point de capiton leur intersection, ça s’appelle leur conjonction, vous voyez que ça donne un truc comme ça, et si je réduis ça, ça donne un truc comme ça et maintenant si je défais le capitonnage, c'est-à-dire la tangence et bien ça donne un truc comme ça, c'est-à-dire ce que j’ai là-bas au bout, donc on peut faire bouger nos schémas, nos figures, on peut les faire bouger dans une présentation, ce n’est pas une représentation, c’est l’amorce d’un écriture, d’une écriture qui nous fait passer de la représentation à l’écriture dans une écriture synchronique diagrammatique, c’est comme ça qu’on va pouvoir représenter ces schémas.
Alors je vous montre le premier geste, donc ça c’était le deuxième exemple du capitonnage, oui, ce qui m’a étonné aussi beaucoup pendant longtemps, c’est que Lacan appelle point de capiton ,quand il parle du point de capiton que je vous ai commenté grâce à ça, le point de tangence, Lacan au tableau il met ça, mais vous dites c’est pas un capitonnage, c’est un intersection, le capitonnage je vous ai dit c’est quelque chose comme ça, Lacan se moque des psychiatres et des portes capitonnées, dans les cellules où on enferme les fous pour qu’ils ne se cognent pas trop contre les murs, donc il parle de ça très tôt du point de capiton, il a choisit ça dès le séminaire III, pour se moquer un peu de ses collègues psychiatres, ils étaient nombreux à St Anne, pourquoi Lacan appelle point de capiton ça et pas ça, et bien si vous lisez le séminaire avec attention et bien vous verrez qu’effectivement Lacan fait bouger des cercles d’Euler, il essaie de faire ce que je dessine ici, à l’époque il essaie de faire bouger des cercles, c’est pas des disques troués, c’est des cercles, et il essaie de les faire se traverser pour créer des circuits, parce que si ça tourne comme ça ici, et là, vous avez un circuit qui se forme dans le capitonnage, ça c’est le séminaire V qui s’appelle les Formations de l’inconscient, où il fabrique ce graphe, mais je pense que Lacan a un usage du point de capiton qui a une fonction topologique beaucoup plus générale chez lui, et c’est ce que je vais continuer à vous explique dans cette mise en diagramme de mes schémas, alors je suis obligé de passer à l’étape suivante on revenant au cas précédent, c'est-à-dire en vous proposant de marquer, si je ne capitonne pas, si je ne fais pas capitonner mon schéma, mon diagramme plutôt qui est là, je rapproche schéma et diagramme puisque on va montrer que les schémas de Lacan ce sont des diagrammes, vous voyez que si j’écris la situation de a qui est à l’intérieur de S,


je propose d’écrire ça avec un diagramme d’Euler Venn avec S et a, je vous ai proposé de rayer cette partie, alors nous allons rayer cette partie de a qui est en dehors de S, dans le diagramme synchronique de l’ensemble de nos figures, nous allons êtres obligé, c’est une question de lecture, il faut que vous exerciez votre regard, moi j’ai dessiné a comme une espèce de haricot, bon ça c’est une espèce de problème qu’on apprend à résoudre en faisant de la topologie des nœuds, parce que on s’intéresse par exemple pour faire la chaîne borroméenne à quatre, on est obligé de voir comment on pourrait la construire avec le maximum d’intersections, vous pourrez remarquer que 1 rond, 2 ronds, 3 ronds, tout va bien, ils sont bien symétriques les 3, c’est le nœud borroméen, ça va vous donner l’occasion de vous épater, de trouver ça formidable, ça marche bien, ça a une symétrie de centre 3, mais comment faire pour mettre  HYPERLINK "http://fr.wikipedia.org/wiki/Diagramme_de_Venn" le quatrième rond dans un diagramme d’ HYPERLINK "http://serge.mehl.free.fr/chrono/Euler.html" Euler Venn, ( notez que le cas de quatre ronds pose un problème d’écriture puisque  HYPERLINK "http://serge.mehl.free.fr/chrono/Venn.html" on ne peut pas représenter dans la symétrie les 16 zones !!)  HYPERLINK "http://serge.mehl.free.fr/chrono/Venn.html" Venn dans son bouquin il va jusqu’à 6 ronds, et il montre à la fin qu’on arrive avec des ellipses bien calculées à avoir toutes les zones mais il y a une des zone elle est réduite à une tête d’épingle, c’est un truc de maniaque, mais dans ce domaine là, il faut être maniaque, il faut pas avoir peur des psychiatres ni des psychanalystes, il faut y aller jusqu’au plus con des cons des conneries du maniaque, pourquoi, parce que vous apercevrez que vous ne pouvez pas créer une figure avec toutes les zones d’un diagramme d’Euler Venn, de telle manière que vous ayez une bonne symétrie 4, je vous donne un exemple de symétrie quatre avec 4 ronds, et bien ça va être surnuméraire, vous allez vous trouver avec un embêtement, vous avez quoi, vous avez bien une zone qui est à l’intérieur de chacun des cercles, mais vous avez combien de zone, une, deux …quatorze, bon j’ai compté la zone extérieur 1, ça fait 14 zones, j’ai dit tout à l’heure que les cercles d’ Euler Venn ça fait 2 puissance n, ça devrait faire 2 puissance 4, ça fait 16, donc il y a quelque chose qui va pas dans ce dessin, il vous manque des zones et il y en a qui vont compter deux fois, donc vous n’avez pas une bonne figure à partir de 4, c’est marrant parce que c’est mis à plat dans le plan qui est de dimension 2, mais ça ressemble quand même à un problème de dimension, ça rentre pas bien, c’est comme le cross cap qui ne rentre pas bien dans l’espace 3, il y a quelque chose de la dimension de l’espace qui fait que 3 ça marche bien, moi je propose qu’on invente de nouvelles définitions de la dimension, voilà une nouvelle définition de la dimension, l’espace est de dimension 3, parce que dans notre espace les fragments de plans qu’on peut connaître, et bien ils permettent de bien disposer 3 ronds, symétriquement, mais que avec 4 ça ne marche plus ; donc pour vous dire quoi que je sais que j’ai ici mes 16 zones, pourquoi j’ai mis mes haricots, 28.49, parce que ici j’ai bien divisé le premier rond par le deuxième rond en deux, le 3 eme rond, j’aurai pu le mettre comme ça, mais je ne l’ai pas mis comme ça, je ne l’ai pas mis bien symétrique, car je veux avoir une espèce de symétrie avec mon 4, donc je suis déjà obligé de faire gaffe, qu’est ce que je fais, et bien mon 3 eme rond et bien je le mets comme un haricot, à ce moment là, il divise bien chaque zone en deux, et pour apprendre à lire ce diagramme il faut bien comprendre que chaque cercle divise l’ensemble des zones qui lui pré existe en deux, et toutes, chacune une fois divisée en deux, ya des problèmes de connexité, des problèmes de proximité qui vont se créer dans cette histoire, Soury, Pierre Soury il était très préoccupé par la question, si on retire ce rond là, cette zone là va se retrouver proche de celle-ci les deux ici elles sont très éloignées entre elles, elles ne sont pas adjacentes, ces deux là, et si je retire ce rond là, ces 2 zones deviennent 1 zone, ces 2 zones deviennent 1 zone, et elles deviennent adjacente le long de cette arrête, donc il y a de nombreux problèmes dans cette histoire de diagramme, et on a bien tors de croire que ces choses là ce sont des choses qui n’intéressent pas les enfants, et à l’age adulte on vous a envoyé à l’école pour que vous vous ne vous y intéressiez pas, mais ça intéresse beaucoup les enfants et pas seulement les autistes, et oui, vous voyez comme disait Gombrowicz à propos de Sartre , la phénoménologie c’est vachement bien, où finit la table où commence le sol, alors là vous voyez, l’autisme du professeur de philosophie c’est vachement bien,




III-00.00

Comment faire pour que ça ne rende pas débile et que ça maintienne dans une intelligence, moi je prétends qu’il faut dédogmatiser ça et donc il faut le dire, il faut en parler, moi je parle de ces histoires, des histoires de cons, alors du coup le quatrième se place bien pour diviser chacun en deux, si je les mets comme ça, ça c’est le fruit de ma grande expérience des nœuds, mais oui, puisque vous vous supposez que j’ai une grande expérience , c’est vrai ça fait 20 ans que je fais des conneries avec ça, bon donc, voilà comment se trouve a par rapport à S, c’est pour ça que la zone qui est ici extérieure à S et qui est dans a, c’est une éclipse, je vais hachurer pour indiquer que a est inclus, c’est un trou à l’intérieur de S, je retire toute les zones qui sont extérieur à S et dans a, c'est-à-dire que je fais ceci, et moyennant de ma lecture du point de capiton, ces 2 points étant identifiés avec la zone qui est elle-même un point, si je déforme ça d’une manière un peu souple, vous voyez il me reste 3 zones, c’est les 3 zones qu’il me reste dans mon schéma géométrique, dans mon objet géométrique, et je fais la même chose pour a’ avec A, ce qui fait que tout ça peut s’écrire en algèbre, vous voyez, comment ça va s’écrire en algèbre ce que je suis en train de faire, ici en algèbre de Boole c’est la partie qui est dans a, en intersection, c’est le produit avec la négation avec ce qui est en dehors de S et la négation de S en algèbre de Boole ça s’écrit + 1, donc vous avez ici a inter non S et ceci doit être hachuré, donc il faut dire non, ça veut dire qu’il faut mettre une négation devant, cette situation ça s’écrit comme ça, mon diagramme, il me dit déjà que j’ai a facteur de S +1 , + 1 qui est nécessaire pour représenter mes pièces du jeu, de mon jeu géométrique et que j’ai besoin d’avoir la même chose, en terme de a’ et de A, donc j’ai a’, A + 1, + 1 et comme j’ai les deux qui doivent s’imposer et bien le domaine D zéro de notre problème, c’est quoi le domaine D zéro, c’est cette zone extérieure, j’ai plus alors 16 zones j’ai 9 zones

et bien si vous faites de la logique et bien vous verrez que ceci ça écrit que le domaine de 9 zones, il s’écrit comme ceci et c’est quelque chose qui va être constant dans tout notre exercice, il va falloir apprendre ça, il y a donc un texte que je peux vous envoyer, j’ai passé l’automne un deuxième texte qu’on peut améliorer puisque j’ai fait encore des corrections récemment, mais que je vais finir par vous envoyer et qu’on va appeler Calculs, dans lequel ce que je vous explique aujourd’hui, puisque j’ai expliqué déjà les choses déjà en septembre, ce que je vous explique aujourd’hui ça va paraître dans ce texte, dans cette deuxième partie qui s’appelle Calculs, où j’ai essayé de faire les choses les plus simples possibles, comment procéder de la manière la plus simple possible qui n’est pas la plus élégante, on va découvrir ensuite qu’il y a une manière plus élégante d’écrire les choses, j’ai l’impression que si je commence par la manière la plus élégante vous allez avoir car vous êtes des sujets du langage et vous avez une idée de la logique et de la géométrie, vous ne pouvez pas vous en empêcher,vous êtes déjà suffisamment atteints par le langage, si on saute l’étape, la première étape, ça va vous laisser un espèce d’ effet de vide, d’évidement, et bien sûr il y aura suffisamment de choses qui manquent c’est pas la peine d’en rajouter, voilà mon point de vue, 04.47,
alors j’ai donc proposé une dernière étape qui consiste à écrire le domaine, pour chaque étape le diagramme synchronique qui contient toute les étapes, et qui va donner le schéma de Lacan, les schémas R, L, et I, de Lacan, ça on verra ça la semaine prochaine, vous voyez regardez maintenant dans ce schéma je peux les colorer en fonction de toutes figures, et ici c’est la zone qui est rouge, c’est la zone S, cette zone elle sera toujours rouge, dans chaque étape elle est rouge, jamais cette zone ne devient d’une autre couleur, mais vous allez dire mais vous vous trompez, ici elle devient bleu, parce qu’ici elle est rouge, celle là est verte, c’est la 8 qui est verte, elle est toujours verte, alors je vais vous montrer maintenant à la deuxième étape, maintenant après avoir vidé les les …, pour faire les trous, la deuxième étape, et maintenant la troisième étape si vous voulez, maintenant je vais effacer ça, 06.05, je vous propose de regarder la chose suivante c’est que je ne me trompe pas, parce que dans cette étape qu’est ce qu’il manque, il y a combien de zone dans cette étape, il y a 5 zones, marquons le, alpha c’est 5, bêta c’est 6, il y en a une qui apparaît, c’est quoi qui apparaît c’est l’intersection qui est bleu, et bien l’intersection elle est là, mais vous allez me dire mais l’intersection elle est aussi ici, et aussi là, et aussi là, parce que chaque cercle coupe toutes les zones des autres cercles en deux, il y a deux cercles a a’, qui coupent les zones de S et de A, vous voyez bien dans ce diagramme vous voyez, dans ce diagramme vous avez toujours S et A, et a et a’ vont couper chaque zone déterminée par S et A, les 4 zones, n’oubliez pas celle de l’extérieur, 1, 2, 3, 4, elles vont être coupées chaque zone par 4, en 4, donc on peut écrire une combinaison linéaire de S + 1, de S + 1) A, de S A, je vais écrire au dessus .. on peut écrire


et chaque domaine ce sera une combinaison linéaire de ces choses là, avec un coefficient ici qu’on va appeler x, y, z, t, on peut comme ça décrire, alors qu’est ce qu’on a fait ?, on a supprimé ça, on a supprimé ça, donc déjà ici on va avoir un effet sur les coefficients, x, y, z, et t, qui vont nous décrire le domaine des zéros, donc pour l’instant je ne l’écris pas mais je vous indique dans quelle direction je me dirige, vers quoi j’essaie d’aller, c'est-à-dire que nous sommes à l’étape où on va pouvoir considérer que regardez cette zone bleu qui vous donne l’impression que S est devenu bleu, et que A est devenu bleu, c’est quoi, et bien ici c’est parce que c’est l’intersection de S et de A, si vous continuez le mouvement vous voyez bien qu’ils se superposent, pour vous aider à avoir une intuition de ces choses là, comme il y a une dame absolument charmante qui s’appelle madame Rubo, Alicia, comme toute les femmes en Argentine s’appellent Alicia ; Alicia, elle a fait ça, elle a fait exactement ce que Lacan a montré, parce que c’est Lacan qui a montré ça à son séminaire, il a fait fabriquer des choses comme ça, et l’intérêt de prendre ça avec un disque jaune et un disque bleu, contrairement à mon curieux chromatisme où ma superposition du rouge et du vert donne du bleu, vous voyez quel état je fais des nombres et quel état je fais des couleurs, pour moi c’est de l’écriture, il n’y a qu’à définir ce chromatisme là, mais le chromatisme physique que vos connaissez, il est comme ça, avec bleu et jaune,


si vous les superposez ça fait vert, alors regardez vraiment que le mouvement continu, quand ils sont séparés vous avez un mouvement continu, je vais le mettre sur le mur c’est beaucoup plus joli, tout le monde voit sur le mur blanc, c’est à cause des voyages en avion qu’ils sont un peu tordus, donc vous voyez les deux disques qui sont bien séparés, quand vous les faites se superposer dans une intersection, vous voyez l’intersection qui apparaît ici, et Lacan nous dit que c’est cette intersection qui doit modifier cette intersection, l’intersection c’est une notion ensembliste, on peut dire la conjonction, le produit au sens de Boole, cette intersection, cette conjonction ici elle est verte, et il y a deux disques qui sont jaune et bleu , si je prolonge le mouvement qu’est ce qui se passe, regardez, ce qui se passe c’est que les trous entrent dans l’intersection, là vous avez l’étape numéro 3 que j’ai appelée delta, vous avez l’étape où les deux trous prennent la couleur du disque opposé, la manque, le trou, l’absence, le défaut qu’il y a au milieu du disque bleu, il devient une partie jaune, et le défaut qu’il y a au milieu du disque jaune il devient bleu, là vous avez l’étape de la séparation, la séparation c’est cette transformation qui modifie l’intersection classique où les deux couleurs se superposent et qui font apparaître cette situation qui est celle du schéma R, où dans la zone de la Réalité psychique vous voyez des ronds, jaunes et bleus qui apparaissent ça c’est l’intersection, et si vous prolongez le mouvement vous avez les trous qui se superposent et les deux disques deviennent verts, c’est pour ça que je les ai colorés ici en bleu, vous pouvez vous fabriquer ça si vous voulez vous amuser, j’ai demandé à mon fils Emile de m’en fabriquer en plus petit, pour qu’ils soient moins pliés et qu’ils rentrent dans ma valise, il m’a proposé de faire ça en plexiglas, il m’a dit qu’il trouverait un matériaux adéquat pour le faire, j’espère peut-être l’année prochaine je pourrai vous le montrer, alors de quoi s’agit-il, il s’agit d’écrire cette transformation de l’intersection, qui s’appelle séparation, et ça c’est la séparation c’est le schéma R, c’est ce qu’on verra la semaine prochaine, ça correspond au schéma R, vous noterez dans le schéma R, dans les Ecrits, vous noterez cette chose, que quand Lacan nous présente le schéma R dans un petit carré qu’il dit qu’on peut mettre sur le plan projectif, c’est vrai qu’il faudra mettre ça sur le plan projectif, dans son texte qui s’appelle Question préliminaire à tout traitement possible des psychoses,

vous avez le schéma R, quand vous voyez la pauvreté de ce qu’à fait Monsieur Le Meunier, dans les annexes de ce livre, à propos de ce schéma R, vous voyez que a et a’, ils sont écrits, ils ne sont pas dessinés à l’intérieur de la zone R, et Lacan a pris soin de ne pas les dessiner mais de les écrire, mais c’est justement à propos de a et de a’, qu’il va falloir comme je l’ai montré dans Etoffe, faire un trou pour obtenir le schéma I, où le schéma I, vous avez un trou a a’,

(Ajout du transcripteur)

(Ajout du transcripteur)
et dans nos schémas à quoi correspond le schéma I, il y a le trou Po et le trou Phi o, dans la psychose de Schreber, mais qu’est ce que vous avez et que vous ne voyez pas comme un trou, c’est le trou Réel, que vous oubliez parce qu’il est tout autour, 14.09, si vous fermez ça, si vous fermez les bretelles pour faire une bande de Moebius, vous verrez que le trou ici et là, c’est le trou d’une bande de Moebius, c’est ce que j’ai montré dans Etoffe, et ce trou a a’, c’est le trou qui apparaît ici quand il y a superposition, donc ici c’est un morceau du schéma I, mais il y a deux autres trous, Po et Phi o, et bien c’est cette situation là qui est le schéma I aussi (voir schémas page 1), bon c’est ça que je voudrai vous montrer et voir comment on met ça sur le plan projectif, la prochaine fois, mais pour l’instant revenons à notre écriture algébrique, alors de quelles couleurs sont les zones 2, 3, 5, et 6 qu’il reste, celle qui est à l’extérieur on va lui laisser la couleur du tableau, puisque on utilise le gris du tableau, comme le blanc du mur, pour parler de la zone extérieure et ce qui est trou quand les trous sont dans le vide, donc il y a 3 trous, le 1 c’est une trou c’est l’intersection a a’, c’est un trou qui est ici, cette zone là elle doit rester de la couleur du tableau, puisque c’est ce trou a a’, que j’ai noté ici, c’est la superposition des deux trous a a’, vous avez ici cette zone 6, c’est quoi, ça c’est le trou a’, et voyez bien que dans mon schéma le trou 6 il est à l’intérieur de a’, à l’intérieur de A, en dehors de S et en dehors de a, donc ici c’est un vide aussi, 5 c’est le trou a, il est à l’intérieur de S, . ? ., il est à l extérieur de A, et il est à l extérieur de a , c est donc l autre trou, ça c est le trou a de ces deux premières situations að ðet ðbð ð, alors qu est ce que c est que 2 et 3, et bien ce sont nos fameux disques vert et rouge à l’intérieur de l’intersection, est-ce que 2 et 3 sont à l’intérieur de l’intersection, oui parfaitement regardez, l’intersection entre S et A, où est-elle, c’est la zone 2 qui est verte, et dans le zone 3 qu’apparaît la couleur rouge, donc vous avez ici, l’intersection c’est quoi, l’intersection qu’il faut modifier par cet exercice, c’est cette zone là l’intersection et vous voyez bien que les deux trous, vert et rouge, le trou qui est à l’intérieur de S mais qui devient vert qui est là, comme vous avez pu le voir sur mes disques dans le modèle physique, ça vous oblige à distinguer le modèle physique, la présentation, qui est déjà vers l’écriture d’une géométrie, on va passer ensuite à une écriture diagrammatique, et ensuite à un écriture logique de coordination des proposition, et algébrique avec une algèbre de Boole, qu’est ce que c’est que cette écriture vers laquelle nous allons, écoutez, Lacan il en a parlé dès 1957, 17.25, en 57 dans un texte qui s’appelle la Chose freudienne, il écrit la chose suivante : c’est pourquoi nous enseignons qu’il n’y a pas dans la situation analytique deux sujets présents, mais deux sujets pourvus de deux objets qui sont le moi et l’autre, ok , là on entre dans le style de construction de Lacan, l’autre c’est Lacan, le Moi c’était déjà dans Freud, depuis le narcissisme de 1914, donc on est là , on avance, mais c’est plus le moi de la psychologie, le moi et l’autre, cet autre ayant l’indice d’un petit a initial. C’est pour ça que je les appelle a et a’, bon pourquoi, vous allez voir pourquoi, parce que ici Lacan continue, Or en raison des singularités d’une mathématique dialectique, nous dit Lacan, c’est ça qui me fait rire, pauvre Maurras, une mathématique dialectique avec lesquelles il faudra se familiariser, leur réunion dans la paire des sujets S et A, là voyez ce passage là, Lacan est en train de nous parler de la situation analytique et il nous dit, dans la situation analytique, rendez vous compte de ce qui vous attend avec une psychanalyse, vous vous retrouvez comme ces espèces de pauvres disques avec un trou au milieu, il n’y a pas grand-chose de plus à comprendre pourquoi parce que là il ne s’agit pas de représenter, il s’agit d’écrire, il faut voir comment ça peut s’écrire ce qu’il se passe, c’est ça qu’il faut piger, si vous pensez qu’écrire c’est un duplicate de la parole, là la psychanalyse c’est pas la peine de commencer, il va vous falloir beaucoup d’année avant que vous vous en aperceviez, que écrire c’est magnifique, que écrire on sait pas ce que c’est, lire non plus, parler non plus à part faire la parade sexuelle, les animaux parlent dit Lacan, mais ils ne parlent pas dans la langage, il n’écrive pas, ils ne lisent pas, ils ne lisent pas, ils vont faire leurs petits excrément au coin du territoire, ils font des postures, les paons font la roue, les poissons mettent des belles couleurs, c’est ce que Deleuze appelle percepts, il essaie de construire ça, mais il aurait mieux fait de lire Lacan et Freud, mais il ne pouvait pas, on ne peut pas être contemporain d’un monstre comme Lacan, et en plus de se mettre à son école, en plus il a essayé d’alpaguer Derrida, ça n’a pas marché non plus, il a raison Derrida, il ne faut pas se laisser embarquer, c’est quand même comme ça que ça se passe dans la pensée, lisez le dialogue qui n’a pas eu lieu entre Sartre et Lévi-Strauss par exemple, c’est la critique de la raison dialectique et la Pensée Sauvage, Lévi-Strauss répond mais il n’en a rien à faire, même chose pour Derrida, qu’est ce vous voulez qu’il dise aux leçons que Derrida voulait lui donner à propos de la leçon d’écriture justement, c’est extraordinaire, parce que Derrida a écrit un livre, je pense que Lacan l’écarte parce qu’il voulait le séduire, il voulait l’attirer dans la psychanalyse, il voulait y mettre tout le monde, il voulait y faire entrer tout le monde là dedans, même le chauffeur de taxi, c’est ce qui épatait toute la famille était un peu éberluée, mais la question n’est pas là, .. ?.., c’est quand même dommage parce qu’on se prive de beaucoup de satisfactions, 20.54, et c’est ça que je trouve dommage c’est qu’on arrive pas à trouver le style pour en profiter quand même, parce que Lacan c’est quelqu’un qui a été chercher pour nous parler de ces écritures, de cette entrée dans l’écriture, de cette entrée dans la lecture, il a trouvé le terme chez Freud dans la théorie de l’identification qui est Einzingerzung, le trait unaire, le trait unaire c’est le trait différentiel, c’est phonématique, c’est le début du phonème, c’est le trait distinctif que va prélever l’enfant sur un parent ou sur un ami, pour s’identifier, voyez ce point d’appui de l’identification, voilà ce que ne comprennent pas les psys et le behaviorisme… ?; le comportement et les vêtements vous pouvez faire toutes les mythologies et les écrits sur la mode que vous voulez, ce que ne comprennent pas tous ces gens là, c’est que ce qui nous intéressent quand c’est freudien c’est parce que c’est écrit, c’est parce que c’est à lire, et que même dans la parole, voyez vous les postures, c’est la fonction imaginaire du phallus, ça commence avec le trauma et ça devient du trait unaire, c’est pas encore la lettre, c’est même pas encore le signifiant, c’est quelque chose qui est en train de se former et qui s’appelle différence, et cette différence elle est déjà marquée par la structure de la répétition, j’ai expliqué ça la semaine dernière avec le huit intérieur ce que je pourrai faire encore si vous me le demandez, dans cette histoire, de parole, d’écriture et de lecture vous voyez que Lacan a peaufiné un enseignement qui est d’une élégance et d’un simplicité extraordinaire, mais il a tordu ça de telle manière que ça ne se donne pas, ça ne se donne pas il faut aller le chercher, et seulement pour aller le chercher il ne faut pas être dans l’incrédulité, il ne faut pas s’asseoir sur le savoir, il ne faut pas être dans l’incrédulité totale, vous savez l’incrédulité chez Freud, ça se dit Unglauben, voyez on est dans le monde de l’unglobalisation, vous comprenez on globalise tout, et l’unglauben c’est la porte avec toutes les croyances délirantes, étonnez vous de voir la religion reprendre du poil de la bête, et évidemment quand ils ne sont plus dans les questions de difficultés ? , c’est plus l’œcuménisme c’est la guerre totale, c’est ça qui nous attend, vous avez vu on a commencé à tirer sur les chrétiens chez les musulmans en Mélanésie et en Egypte, donc le Pape a voulu faire quelques petits coups il est sorti de son embuscade, et bien ça a fait qu’on commence à leurs tirer dessus les chrétiens, vous allez voir ça va être extrêmement charmant si on ne veut pas accepter pour apprendre il ne faut pas être un esprit fort, moi j’ai trouvé cette définition de l’esprit fort chez Vico, Vico les appelle les esprits robustes, ce sont ceux qui sont déjà en train de critiquer ce qu’il sont encore en train d’apprendre, notez ça dans vos papiers c’est une assez belle formule, vous avez des tas de gens qui vous disent qu’ils ont déjà tout compris à l’avance, comme ça ça évite qu’on pense qu’il y a des choses qu’ils ont pas compris, alors donc vous voyez que grâce à ce diagramme, je vais pouvoir écrire chacune des étapes, qu’est ce que c’est que la première étape, comment ce diagramme qui contient les quatre étapes et même plus encore, il en contient six facilement, il contient tout le mouvement, ce diagramme synchronique, c’est ce qu’on rêve, c’est la langue de Saussure, se serait lalangue que Lacan propose d’appeler en un seul mot, l’objet de la linguistique c’est lalangue en tant que synchronie, et bien ça contient la diachronie comme le dit Jakobson et ça malheureusement Saussure il l’appelle la parole, il est loin de .. ?.., car la parole c’est pas seulement la diachronie, si Lacan corrige Saussure dans un geste Saussurien, 25.09, c’est parce qu’il prend acte de la synchronie comme objet de la linguistique, l’objet de la linguistique c’est le système synchronique de la langue, et s’il le modifie un petit peu , Saussure lui il est plus faible sur l’autre côté, vous voyez bien que dans la diachronie vous ne pouvez pas définir la parole dans la diachronie car dans la diachronie vous n’avez pas quoi, vous n’avez pas cet espèce d’effet de phallus imaginaire, dont j’étais en train de parler qui fait que les animaux parlent, et que le sexe on peut pas dire qu’il n’est pas naturel, je ne veux pas dire qu’il est naturel non plus d’ailleurs, ne dites pas qu’il n’est pas naturel, mais ne dites pas qu’il est naturel, alors qu’est ce que vous faites, comment vous allez en parler, c’est embêtant, mais n’empêche quand vous partez de cette posture dans la parole qui s’appelle énonciation, vous vous apercevez que le phallus symbolique il a une fonction, dans cette histoire et c’est ce qu’on appelle la vérité,et donc que la plus grande difficulté que nous ayons c’est d’arriver à distinguer entre la fonction imaginaire du phallus symbolique, comment arriver à séparer dans le fantasme, puisque on n’en sort pas, on est toujours dans un fantasme, comment bien écrire la conjonction et la disjonction entre les termes, entre l’imaginaire et le symbolique, entre ce qu’on pourrait mettre comme rouge et comme vert, comme S et comme A, c’est comme ça qu’on va les écrire dans le schéma R, mais n’empêche que c’est très difficile d’arriver à introduire cette différence, qui reste que la parole ça va être aussi bien la posture, la parade, notre parade territoriale, la manière dont nous allons occuper le territoire, mais notre territoire il est structuré par quelque chose qu’il n’y a pas chez les animaux, c’est des portes, les animaux ils n’ont pas de portes, ils ont un territoire qui va être structuré par un certain nombre de cris, par la parole, mais le chien qui aboie, il parle, mais le problème c’est qu’il ne sait pas lire, il aboie toujours pareil, il y a un chien chez moi, il aboie toujours pareil, il a pris comme territoire le couloir, c’est très chiant, on ne peut pas passer d’une pièce dans l’autre sans se faire aboyer dessus, vous voyez les chiens et nous on peut aussi aboyer, c’est sûr qu’on peut réduire le sujet à se taire, et à se terrer et à devenir un animal, regardez l’histoire de Cyrulnik qui a tant de succès dans le monde entier, remplacer le désir par la résilience, c’est la résilience qui va vous expliquer pourquoi quelqu’un fait des choses extraordinaire, parce qu’il a reçu des coups de marteau sur la gueule quand il était enfant, c’est un scandale, ce que je veux préciser ce sont ses fonctions, comment la parole va se trouver transformée, et va être de la parole lisible dans le langage, ça c’est l’exercice de la psychanalyse ; et alors où est la répétition pour finir, et bien la répétition elle est ici, à partir de cette séparation, de cette modification de l’intersection, qu’est ce que vous pouvez déduire de cela, vous pouvez déduire que dans cette situation le sujet S, il voit une partie de lui-même qui réapparaît qui s’appelle a’ maintenant, et qui est dans le manque de l’Autre, c’est ce que Lacan écrit dans Position de l’inconscient, le sujet aperçoit son manque, son manque c’était a, le trou qu’il avait de son côté, il le trouve maintenant dans l’autre, et cette partie qu’il avait perdue dans l’aliénation, pourquoi il l’a perdue, voilà la première question c’est celle que j’ai traitée tout à l’heure en numéro 1, c’est comment parler bien de ceci et de cela en terme d’aliénation, ça c’est une chose qu’il faut que je précise mais que je ne vais pas faire aujourd’hui, et bien ce manque réapparaît mais maintenant il est là, et dans le manque du sujet apparaît une partie perdue de l’Autre, qu’il avait perdu précédemment et vous voyez que ce schéma vous pouvez en trouver une réalisation dans la parole, de ce schéma de la répétition, de ce lien absolu que le sujet a avec quelque chose qu’il a perdu et qui malgré cette perte et d’autant plus que ça a été perdu le lien va être d’autant plus absolu, il va retrouver une partie de lui-même dans le manque de l’Autre, c’est ça qui structure le désir, qu’est ce que c’est que l’exemple réalisé que vous avez de ça, et bien lisez St Augustin, lisez dans les confessions de St Augustin comment St Augustin décrit cet enfant qui est l’aîné n’est ce pas, et qui voit son petit frère au sein, qu’est ce que nous écrit Lacan à ce propos, il nous écrit que les seins de la mère, se sont des phanères, vous savez les plantes phanérogames, ces parties qui se détachent, que les plantes perdent pour la reproduction sexuée, les phanères c’est plaqué sur le corps, comme les médailles des militaires, et puis vous voyez c’est quelque chose qui peut se détacher, et d’ailleurs, lisez Hans, et le petit Hans il vous expliquera que le plombier il va venir démonter le petit robinet, et qu’il le remontra, et que l’organe mâle, il est toujours démontable, et toujours séparé, les seins, l’organe sexuel,vous voyez ici que l’enfant qui est jaloux, St Augustin le décrit comme étant pris d’une jalousie féroce devant cette situation, l’enfant quand il voit qu’on lui donne le sein qui est une partie de lui-même, il s’en fout du sevrage, c’est ça qu’il faut comprendre dans les problèmes d’addiction, les problèmes d’anorexie, qu’est ce que c’est que l’anorexie ?, c’est une tentative d’écrire et de réaliser ce qui est là sur le tableau, c'est-à-dire que quelque chose, on s’en fout que ça ait été perdu, le sevrage, l’objet du sevrage, le sein, les selles c’est pareil, nous restons fixés à notre merde, et nous restons fixés au sein de la même manière, c’est ça qu’on essaye de réaliser avec son corps et de dire avec une parole complètement imaginaire, ce qui fait que vous avez ici la situation de l’enfant qui a perdu, Lacan va jusqu’à parler du placenta comme étant un de ces objets, qui se perd, c’est une partie du corps qui est perdu à la naissance, et avec lequel nous garderons un lien absolu, absolu ça veut dire séparé, c’est ça la séparation, la séparation elle est liée à la répétition, et la répétition elle est liée à cette séparation, et que sans cela il n’y a pas de clinique psychanalytique, vous pouvez vous raconter tous les bobards de papa maman qui pleurent, l’angoisse, l’éducation des enfants, les troubles dans la familles, les couples, le malheur dans l’amour et la sexualité, si vous n’admettez pas cette dimension, . ?.., la jalousie, la jalousie existe, regardez elle a conduit les sœurs Papin à massacrer leur patronne, elles ne se sont pas contenter de les tuer, puisque les deux sœurs elles ont déjà une relation de corps à placenta et qu’elles retrouvent chez les patronnes la même structure, et du coup elles vont les assassiner comme Moosbruger, dans l’Homme sans qualité, lisez Musil, rendez vous compte que dans les années avant guerre, avant Auschwitz et Hiroshima les intellectuels français qui n’étaient pas débiles, et même européen et même dans le monde entier ils s’intéressaient à la répétition et du crime paranoïaque comme le crime incompréhensible majeur, vous voyez que Genet à fait les bonnes avec ça, rendez-vous compte que nous avons oublié ça et Lacan l’a répété pendant 27 ans, de telle manière à ce que personne ne le comprenne, parce que on n’en voulait pas, et moi je ne reproche pas à ceux qui n’en voulait pas de ne pas en vouloir, ce que je reproche c’est à ceux qui prétendent que si eux ils ont bien chercher et ils n’ont rien trouvé, ceux qui disent à la télé on a tout essayé, Les Meuniers, et bien ils ont pas tout essayé, ils ont pas essayé ça, c’est des ronds à la noix,des choses simples comme ça qu’il faut essayer de commenter et de développer, et d’écrire, alors …vous vouliez parler, dites nous …..

Bibliographie chronologique des principaux ouvrages cités dans le cours

Klossowski, L’Eternel retour, in Cahiers de Royaumont, Nietzsche Sous la direction de Gilles Deleuze ; Pierre Klossowski, « Oubli et anamnèse dans l'expérience vécue de l'éternel retour du Même » 1966
Klossowski, Nietzsche et le Cercle vicieux, Paris, Mercure de France, 1969
Deleuze, Différence et répétition, Puf, 2000
Lacan, S XI, les Quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse, 1963-1964
Merleau-Ponty Maurice, Le visible et l'invisible, texte établi par Claude Lefort, Paris, aux Éditions Gallimard, collection « Tel », 1979 (1964), pages 185-195
Lacan, Position de l’inconscient, Ecrits, p829, Seuil
Lacan, l’Instance de la lettre dans l’inconscient freudien, p493, Ecrits, 1957, Ttymupt
Lacan, le Discours de Rome, Ecrits II, p 133, Seuil , 1953
Ogilvie, La formation du concept de sujet chez Lacan, Puf, 1987 ?
Lacan, S XIX bis, Le savoir du psychanalyste, 1971-1972
Lacan, S XIX, Où pire …1971-1972
Lacan, XVII,l’Envers de la psychanalyse, 1969-1970
Lacan, De la Psychanalyse et ses relations avec la réalité, p351, Ecrits II, Seuil, 1967
Lacan, S XX, Encore, 1972-1973
Kojève, Introduction à la lecture de Hegel, tel, Gallimard,
Lacan, Ecrits, 1966, Autres Ecrits, 2001, Seuil,
Brentano, ?
Freud, La négation, Résultats Idées Problèmes 2, 1925
Freud, Les trois essais sur la sexualité, 1905, Gallimard, 1987
Freud, la phase phallique, 1923, Abrégé de psychanalyse p 15, Puf
Lacan, séminaire X, l’Angoisse , 1962-1963
Lacan, De la psychose paranoïaque dans son rapport à la personnalité, 1932, Seuil, 1975
Lacan , D’une question préliminaire à tout traitement possible de la psychose, p531, Ecrits, 1955-1956
Lacan, séminaire V, Les formations de l’inconscient, 1957-1958
Lacan, Subversion du sujet et dialectique du désir, Ecrits p 793, 1960
Venn John, Logique symbolique (Symbolic Logic) 1894, 2e ed London, Macmillan (voir aussi : Jean Gattegno et Ernest Coumet, Logique sans peine, Lewis Caroll, éd. Hermann, 1966. Traduction française (partielle) de l'ouvrage Symbolic Logic publié par Lewis Carroll en 1896-97 ; contient des références à l'ouvrage Symbolic Logic de Venn. Selon Wikipedia.)
Badiou , le Nombre et les nombres, Seuil, 1990
 HYPERLINK "http://serge.mehl.free.fr/chrono/Conway.html" Conway, ouvrage en français : Le livre des nombres, 1998, Eyrolles, …
Gombrowicz, Cours de philosophie en six heures un quart ; (1904), Rivage Poche-1969
Vappereau, Etoffe, 1988, TEE
Lacan, la Chose freudienne, 1957, Ecrits Vol 1, p 429-430, Seuil,
Sartre, la critique de la raison dialectique, Nrf, 1960
Lévi-Strauss, la pensée sauvage, 1991, Agora
Musil, l’Homme sans qualité, 1937 (Voyage au bout du possible, autre titre du tome 1)
Mathématiques : une aide précieuse sur  HYPERLINK "http://serge.mehl.free.fr/" ChronoMath pour les novices …
(Note du transcripteur : cette transcription du cours de Jean-Michel Vappereau est perfectible, merci de vos propositions,  HYPERLINK "mailto:gaogoa@free.fr" Pascal Gaonac’h )
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