veille media - Collectif VAN
17 déc. 2008 ... Le sujet n'est pas tant d'organiser l'histoire ? le travail de l'historien se ...... de l'
époque, plus un examen des fosses communes au village.
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"http://www.collectifvan.org" www.collectifvan.org - Visionnez dans la rubrique Photothèque les photos de l'exposition en plein air organisée par le Collectif VAN [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme] sur le Parvis de Notre-Dame de Paris le dimanche 26 avril 2009 de 10h à 20h. Le dimanche 26 avril 2009 de 10h à 20h, le Collectif VAN [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme] a organisé, sur le Parvis de Notre-Dame de Paris, sa 5ème journée annuelle de sensibilisation aux génocides et à leur négation. 15 associations des droits de l'homme se sont mobilisées autour du Collectif VAN pour cette nouvelle action solidaire qui s'est inscrite non seulement dans la perspective des prochaines élections européennes et des débats sur l'adhésion de la Turquie à l'U.E., mais aussi dans celle de la Saison de la Turquie en France [juillet 2009/mars 2010] dont on a tout lieu de penser qu'elle passera sous silence le négationnisme d'Etat de la Turquie et le sort des minorités, victimes de génocides pluriels. Des milliers de passants ont visité l'exposition en plein air du Collectif VAN. Patrick Devedjian, ministre de la Relance, est venu témoigner de son soutien à la lutte contre le négationnisme de l'Etat turc, tout comme Hamlet Gasparian, représentant de l'Ambassade d'Arménie en France et Alexis Govcian, président du CCAF [Conseil de Coordination des organisations Arméniennes de France]. L'exposition en plein air du Collectif VAN a mis en scène huit stèles géantes pour huit visages dhommes, de femmes et denfants (turc, arménien, assyro-chaldéen-syriaque, kurde, etc.). Ces visages ont interpellé le public sur la réalité tragique des minorités : juifs, chrétiens (au moins 25% de la population de Turquie en 1914, 0,2% aujourd'hui), musulmans non turcs ou non sunnites (près de 43% de la population de Turquie dont les droits sont bafoués). Une neuvième stèle a rendu hommage au journaliste arménien de Turquie Hrant Dink, rédacteur en chef de lhebdomadaire Agos, assassiné le 19 janvier 2007 à Istanbul. Par le biais de son action participative et citoyenne, le Collectif VAN a révèlé laggravation, en Turquie, d'un ultra-nationalisme soutenu par lEtat profond, d'une arménophobie et d'un antisémitisme inquiétants, ainsi que les manquements à la démocratie et aux droits de lhomme malgré des réformes apparentes. Comme chaque année, le Collectif VAN a invité le public à manifester sa solidarité aux victimes de génocides et de négationnisme : les visiteurs ont accroché les visuels des stèles en réduction, sur des cordes entourant un cube en structure tubulaire, au centre duquel gisaient 3 pendus décrochés, représentant les victimes du génocide arménien. A l'heure où la société civile turque s'interroge sur son histoire, où des intellectuels turcs sont menacés de mort pour avoir brisé le tabou d'une histoire officielle érigée en dogme, le Collectif VAN a questionné l'Europe : que fait l'U.E. pour protéger les minorités de Turquie, empêcher la diffusion des thèses négationnistes (y compris dans les médias français) et encourager l'évolution démocratique de la Turquie ? Occupation de Chypre, négation des génocides arménien, assyro-chaldéen et grec commis par l'Empire ottoman et la République turque, soutien d'Ankara au président soudanais Omar El Béchir accusé de Crimes contre l'Humanité au Darfour : qui posera les limites ? ACTION DU COLLECTIF VAN SOUTENUE PAR LES 15 ASSOCIATIONS SUIVANTES : Allemagne AGA [Working Group Recognition Against genocide for international understanding Berlin - Allemagne] HYPERLINK "http://www.aga-online.org/de/ueberuns/index.php" \t "_blank" www.aga-online.org Association of opponents to genocides [Verein der Völkermordgegner Francfort sur le Main - Allemagne] France L'Arche [Le mensuel du judaïsme français] AIRCRIGE [Association internationale de recherche sur les crimes contre l'humanité et les génocides] HYPERLINK "http://aircrigeweb.free.fr/" \t "_blank" aircrigeweb.free.fr CPCR [Collectif des Parties Civiles pour le Rwanda] HYPERLINK "http://www.collectifpartiescivilesrwanda.fr/" \t "_blank" www.collectifpartiescivilesrwanda.fr CRF [Communauté Rwandaise de France] HYPERLINK "http://communauterwandaisedefrance.wordpress.com/" \t "_blank" communauterwandaisedefrance.wordpress.com CUD [Collectif Urgence Darfour] HYPERLINK "http://www.urgencedarfour.com/" \t "_blank" www.urgencedarfour.com IACS[Institut Assyro-Chaldéen-Syriaque] Ibuka France HYPERLINK "http://one.xthost.info/ibukafrance/" \t "_blank" one.xthost.info/ibukafrance MEMORIAL 98 HYPERLINK "http://memorial98.over-blog.com/" \t "_blank" memorial98.over-blog.com MPCT HYPERLINK "http://www.mpctasso.org/" \t "_blank" www.mpctasso.org SOS Racisme HYPERLINK "http://www.sos-racisme.org/" \t "_blank" www.sos-racisme.org UEJF [Union des Etudiants Juifs de France] HYPERLINK "http://www.uejf.org/" \t "_blank" www.uejf.org Vigilance Soudan HYPERLINK "http://www.vigilsd.org/" \t "_blank" http://www.vigilsd.org/ Turquie IHD [Association des droits de lHomme de Turquie] HYPERLINK "http://www.ihd.org.tr/english/" \t "_blank" www.ihd.org.tr/english/ Action menée sous légide du CCAF [Conseil de Coordination des organisations Arméniennes de France] HYPERLINK "http://www.ccaf.info/24avril2009.htm" \t "_blank" http://www.ccaf.info/24avril2009.htm RAPPEL : Une Messe de Requiem en hommage aux 1 500 000 victimes du génocide arménien est célébrée le même jour à 16:00 en la Cathédrale Notre-Dame de Paris. HYPERLINK "http://www.notredamedeparis.fr/Divine-Liturgie-en-rite-armenien,799" \t "_blank" http://www.notredamedeparis.fr/Divine-Liturgie-en-rite-armenien,799 Voir les photos: HYPERLINK "http://www.collectifvan.org/article_photo.php?r=6&id=208" \t "_blank" 1915/2009 : « Le négationnisme ne connaît pas la crise » (1ère partie) HYPERLINK "http://www.collectifvan.org/article_photo.php?r=6&id=208" http://www.collectifvan.org/article_photo.php?r=6&id=208
HYPERLINK "http://www.collectifvan.org/article_photo.php?r=6&id=209" \t "_blank" 1915/2009 : « Le négationnisme ne connaît pas la crise » (2ème partie) HYPERLINK "http://www.collectifvan.org/article_photo.php?r=6&id=209" http://www.collectifvan.org/article_photo.php?r=6&id=209
HYPERLINK "http://www.collectifvan.org/article_photo.php?r=6&id=210" \t "_blank" 1915/2009 : « Le négationnisme ne connaît pas la crise » (3ème partie) HYPERLINK "http://www.collectifvan.org/article_photo.php?r=6&id=210" http://www.collectifvan.org/article_photo.php?r=6&id=210
Grande Catastrophe : un emprunt lexical à caractère raciste
Info Collectif VAN - HYPERLINK "http://www.collectifvan.org" www.collectifvan.org - La psychanalyste Janine Altounian analyse très justement "l'engouement" actuel consistant à remplacer le terme de génocide par le mot "MedzYeghen" (Grande Catastrophe en arménien) comme un emprunt lexical à caractère raciste. Cela concerne tout aussi bien la récente déclaration d'Obama que les écrits de Cengiz Aktar, professeur à luniversité Bahçesehir (Istanbul) et co-instigateur de la pétition d'excuses aux Arméniens. Leur message est clair : "Arméniens, circulez, le génocide ne vous concerne pas". Janine Altounian : "Medz Yeghen" : un emprunt lexical à caractère raciste dimanche26 avril 2009, par Ara/armenews À la lecture de léditorial du 25 avril dAra Toranian remarquant que « lexpression arménienne de MedzYeghen bénéficie ces derniers temps dune seconde jeunesse », Janine Altounian nous écrit : "Si je suis obligée de me résoudre à « loption diplomatique » dObama dont on peut même aller jusquà penser que labsence, dans sa déclaration, du signifiant en G alors que le signifié en est néanmoins maintenu, ridiculise le dictat du déni turc, je suis par contre outrée par lutilisation, en quelque sorte raciste, de « lexpression arménienne de MedzYeghen qui bénéficie, comme tu dis, ces derniers temps dune seconde jeunesse ». Je men explique : ce que les Arméniens ont vécu ne bénéficierait donc pas dune dénomination commune au vocabulaire politique usuel par respect pour le mensonge protecteur des accords avec la Turquie, soit. Mais avoir recours à un signifiant arménien, cest poser la réalité arménienne comme intraduisible dans la langue de la culture universelle, inaccessible à elle, cest la ghettoïser dans sa langue. Ça me fait penser à la position raciste de lethnopsychiatrie qui prescrit des injections de culture dorigine aux exilés politiques ou économiques en souffrance dont le psychisme ne peut survivre aux violences subies. En somme : « enfermez vous dans votre culture et vous irez mieux, vous ne vivez quune carence culturelle » Et aux Arméniens on va dire : « mais oui on reconnaît votre MedzYeghen, le génocide ne vous concerne pas". Évidemment Obama navait pas le choix, il lui fallait un mot, du coup il a fait un usage « raciste » de la langue, le racisme ne lui étant évidemment pas inconnu. Les mots seraient comme les places dautobus, on les attribuerait différemment selon les usagers." Janine Altounian Lire dans nos News: HYPERLINK "http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=30398" \t "_blank" Au-delà du génocide arménien la Grande Catastrophe HYPERLINK "http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=30398" http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=30398
HYPERLINK "http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=30399" \t "_blank" Lhistoire et le droit
HYPERLINK "http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=30399" http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=30399
HYPERLINK "http://www.armenews.com/article.php3?id_article=51076" http://www.armenews.com/article.php3?id_article=51076
Le Président OBAMA évite le mot "génocide" dans sa déclaration du 24 Avril
Info Collectif VAN - HYPERLINK "http://www.collectifvan.org" www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous soumet la traduction d'un article de l'ANCA parue sur le site de la Fédération Euro-Arménienne pour la Justice et la Démocratie le 25 avril 2009. 25 avril 2009 *** Traduction Gérard Merdjanian - Commentaires du site de la Fédération Euro-Arménienne : Chez les politologues, il était donné à deux contre trois, ou dit autrement, deux tiers des observateurs pensaient quil utiliserait le mot fatidique : GENOCIDE. La périphrase - "lune des grandes atrocités du 20ème siècle, le Medz Yegern, avait commencée" employée par Barack Obama, le place dans la lignée de ses prédécesseurs, quils soient Démocrates ou Républicains. La realpolitik prime les sentiments personnels. Hélas pour les Arméniens, la Turquie a remporté une nouvelle manche. On attendait une chose du Président américain : quil exprime clairement la position de son administration et non ses sentiments personnels. Tout le reste est du bla-bla politicien. Mais ne soyons pas naïf. Tout Etat cherche avant tout ses intérêts personnels. Pour les Etats-Unis, cela consiste à conforter ses positions dans la région, voire à les faire progresser. La géopolitique américaine au Proche-Orient et dans une certaine mesure au Moyen-Orient repose sur deux piliers : La Turquie et Israël. Et pour assurer leur politique étrangère, les Etats-Unis ne peuvent se passer de lappui de ces deux pays. Il en résulte quoi ? Une pression synonyme de chantage politique. Pour la Turquie, cest bien sûr la non-reconnaissance du génocide arménien ; pour Israël avoir les mains libres sur sa politique palestinienne. Erdogan peut dormir sur ses deux oreilles, son sommeil ne sera pas agité cette année. Quant à la normalisation avec son voisin
ce nest pas demain la veille. *** "Malgré les déclarations répétées en tant que sénateur de qualifier correctement le génocide arménien et une promesse claire de campagne présidentielle En tant que président, je vais reconnaître le génocide arménien, le président Barack Obama a publié aujourdhui 24 avril, une déclaration évitant la bonne qualification du génocide arménien", a indiqué le Comité National Arménien dAmérique (ANCA). Suite à la déclaration de la Maison Blanche, le président de lANCA, Ken Hachikian, a fait la mise au point suivante : "Je me joins à tous les Américano-Arméniens pour exprimer notre profonde déception envers le président Obama qui na pas honoré son engagement solennel de reconnaître le génocide arménien". "Malgré ses multiples promesses, claires et réitérées, qui témoignent dune connaissance approfondie des faits, des implications pratiques, et de la profonde dimension morale que signifie la reconnaissance du génocide arménien, le Président a choisi, comme voie politique, de laisser notre nation combattre le génocide et de rester ainsi lotage des menaces de la Turquie". "La déclaration présidentielle représente un recul de sa promesse et un revers concernant le changement radical quil avait promis sur la façon dont lAmérique comptait faire face aux crimes de génocide". "Le génocide doit être confronté de manière inconditionnelle au niveau des valeurs américaines et de notre humanité commune. Comme Américains, nous ne devons jamais permettre à la prévention ou la reconnaissance de ce crime, dêtre réduite à une question politique pouvant être un sujet négociable, retirée sous la pression, ou utilisée pour faire avancer un agenda politique, daucune sorte". "Nous exhortons le président à agir rapidement pour corriger la position de son administration sur le génocide arménien, en condamnant correctement ce crime, en le commémorant, en supprimant le bâillon mis par la Turquie sur sa reconnaissance par les États-Unis, et en travaillant publiquement pour ladoption de la résolution sur le Génocide Arménien par le Congrès", a conclu Hachikian. En tant que sénateur et candidat présidentiel, le Président Obama avait promis à maintes reprises quil reconnaîtrait le génocide arménien et promettait de "résoudre sans faillir" le génocide du Darfour, déclarant, « lAmérique mérite un chef qui parle la vérité sur le génocide arménien et répond avec force à tous les génocides. Jai lintention dêtre ce Président". HYPERLINK "http://www.anca.org/press_releases/press_releases.php?prid=1701" \t "_blank" WASHINGTON, DC ANCA
HYPERLINK "http://www.anca.org/press_releases/press_releases.php?prid=1701" http://www.anca.org/press_releases/press_releases.php?prid=1701
HYPERLINK "http://eafjd.eu/spip.php?breve1922" http://eafjd.eu/spip.php?breve1922
"Les relations Arméno-Turques ne sont jamais allées aussi loin"
Info Collectif VAN - HYPERLINK "http://www.collectifvan.org" www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous soumet la traduction d'un article en anglais du journal arménien Radio Publique dArménie parue sur le site de la Fédération Euro-Arménienne pour la Justice et la Démocratie le 28 avril 2009. 28 avril 2009 *** Traduction Gérard Merdjanian - Commentaires du site de la Fédération Euro-Arménienne : De même quen vieillissant on ne se souvient que des bonnes choses, en général, un diplomate positive et ne relève que les bonnes choses dans les déclarations, orales ou écrites. Le ministre arménien des Affaires étrangères ne déroge pas à la règle. Cest quen face, cest-à-dire chez les diplomates turcs, on se gène nettement moins pour parler de sujets qui fâchent. Ainsi le Premier ministre Erdogan a maintes fois répété ce mois-ci, y compris le jour du 24 Avril, que la Turquie maintenait ses conditions préalables à toute normalisation avec lArménie. On peut concevoir quà la limite la Turquie ouvrirait sa frontière, sans pour autant établir de relations diplomatiques, si le seul contentieux ne portait que sur le génocide arménien. Mais hélas, la dite frontière a été fermée en 1993, non à cause du génocide, mais à cause du conflit du Karabakh. Or sur ce point rien na changé, ni du côté arménien (droit à lautodétermination du Haut-Karabakh, ni côté azéri (intégrité territoriale). Chacun interprétant à sa manière lesprit du droit international, alors que les médiateurs sappuient sur la lettre. Quant à voir les dirigeants turcs sagenouiller au mémorial arménien du génocide, je reprendrai les paroles du Pasteur M.L King : I have un dream
*** Selon le le ministre des Affaires étrangères arménien, Edouard Nalbandian, le président turc Abdullah Gül lors de sa visite à Erevan pour assister au match de qualification entre lArménie et la Turquie, a marqué le début dune étape nouvelle dans le processus de normalisation des relations. "Une réunion très importante a eu lieu entre les Présidents arménien et turc. Une autre réunion tout aussi importante a eu lieu entre le Président arménien et le Premier ministre turc, à Davos. Il y a eu un certain nombre de réunions au niveau des ministres des Affaires étrangères. Et aujourdhui, nous sommes arrivés à la déclaration publiée le 22 avril qui marque les progrès dans le processus de négociation". Selon Edouard Nalbandian, cette déclaration est venu réaffirmer que nous sommes prêts pour la normalisation des relations et louverture de la frontière, sans conditions préalables. Se référant à des commentaires et des avis divers, aussi bien en Turquie et quen Arménie, sur le fait que nous faisons des concessions, il précise : "Jai limpression que nous ne croyons pas en nous-mêmes et que nous ne sommes pas sûrs de notre force. Nous ne pensons pas que lArménie peut vraiment progresser. Nous avons toujours pensé que si nous réalisons quelque chose de bien, quelque chose de mauvais doit être caché derrière. Or nous pensons que quelquun va certainement nous tromper. Qui se trompe ? Si vous pensez que cest la Turquie, la Turquie va donc se tromper elle-même, tromper la communauté internationale, les États-Unis, la Russie et lUnion européenne. Notre aspiration est juste et ferme : lArménie est prête à établir des relations à part entière avec la Turquie sans conditions préalables. Et nous avons limpression que les autorités turques tiennent également à aller de lavant et à normaliser les relations entre les deux pays". A la question sur le fait que la déclaration a été rendue publique le 22 avril, cest-à-dire la veille de la Commémoration des victimes du génocide arménien, le ministre Nalbandian a répondu : "Quand nous disons que la normalisation des relations doit se faire sans conditions préalables, nous entendons quil ny a pas de conditions liées à la résolution du conflit du Karabakh ou à la reconnaissance du génocide arménien. La normalisation des relations ne remet aucunement en question la réalité du génocide. Jespère quaprès la normalisation de nos relations, les dirigeants turcs se joindront aux autorités arméniennes pour déposer ensemble une couronne de fleurs au monument à la mémoire des victimes du génocide arménien de Dzidzernagapert. Pourquoi ne pourrions-nous pas faire comme Charles de Gaulle et dAdenauer ? Je suis sûr que les dirigeants arméniens et turcs feront ce pas". Parlant de la Feuille de route, le ministre a indiqué que cétait simplement un accord définissant les étapes que les parties doivent prendre, mais que cette feuille de route ne comportait pas de dispositions ou de principes. Les dispositions et les principes seront inclus dans laccord qui sera signé entre les deux pays. Concernant la déclaration du Président américain Barack Obama le 24 Avril, Edouard Nalbandian a déclaré : "Tout dabord, je dois dire que la déclaration du Président Obama est un pas en avant par rapport au discours de ses prédécesseurs. Le discours comporte des points très forts. Il a dit quil avait toujours maintenu sa propre vision des événements de 1915, et que son point de vue sur cette histoire na pas changé. Président Obama a utilisé lexpression Medz Yeghern [ndlt : Grande Catastrophe], qui nous utilisons nous-même comme synonyme de génocide". HYPERLINK "http://www.armradio.am/news/?part=pol&id=14858" \t "_blank" Radio Publique dArménie HYPERLINK "http://www.armradio.am/news/?part=pol&id=14858" http://www.armradio.am/news/?part=pol&id=14858
HYPERLINK "http://eafjd.eu/spip.php?breve1932" http://eafjd.eu/spip.php?breve1932
MINUAD insiste sur la nécessité de stabiliser la situation humanitaire au Darfour
Info Collectif VAN - HYPERLINK "http://www.collectifvan.org" www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous livre cette information publiée sur le site de l'ONU le 27 avril 2009. 27/04/2009 Le Chef de la MINUAD insiste devant le Conseil de sécurité sur la nécessité de stabiliser la situation humanitaire au Darfour Le Représentant spécial conjoint Union africaine-ONU pour le Darfour, M. Rodolphe Adada, a insisté, ce matin, devant le Conseil de sécurité sur la nécessité de stabiliser la situation humanitaire dans la province soudanaise, de répondre aux différentes menaces à la sécurité et de poursuivre le déploiement de lOpération hybride Union africaine-ONU au Darfour (MINUAD) afin quelle atteigne sa pleine capacité. Aujourdhui, la MINUAD, dont il est également le Chef, « est partout présente au Darfour » et sa voix « sétend et est écoutée », sest félicité M. Adada, en présentant le dernier rapport du Secrétaire général sur le déploiement de la Mission. Néanmoins, a-t-il ajouté, il est impossible pour linstant de proclamer son succès, car « la guerre continue au Darfour », et « des millions de personnes se trouvent encore dans les camps de personnes déplacées ou continuent dêtre des réfugiées ». Dans son rapport, le Secrétaire général observe que « nous sommes à un moment critique au Darfour ». Il met notamment laccent sur lurgence de trouver une solution à laide du dialogue politique. « Une solution politique négociée, solidement appuyée par une communauté internationale unie et par le Conseil de sécurité demeure la condition sine qua non pour mettre fin à la souffrance au Darfour », écrit M. Ban Ki-moon. Au cours de son exposé, M. Adada a expliqué que le conflit au Darfour était « aujourdhui un conflit de tous contre tous »: « les forces gouvernementales contre les mouvements armés, les mouvements entre eux, les forces gouvernementales contre les milices, les groupes tribaux les uns contre les autres ». À cela, il convient dajouter un « banditisme endémique dû à un effondrement de lordre public et de létat de droit ». Il est donc vital, a-t-il estimé, que le Conseil de sécurité envoie un « signal clair à toutes les parties » selon lequel « les actions militaires agressives sont inacceptables ». Le Représentant a également qualifié de « préoccupant » létat des relations entre le Tchad et le Soudan. « En fait, a-t-il ajouté, le danger dune détérioration sérieuse de la situation au Darfour ne peut pas être écarté. » Le Chef de la MINUAD a estimé quil ny avait pas de solution militaire au conflit du Darfour, lequel est, à ses yeux, un « conflit de nature politique ». « Il est important que ce Conseil envoie un message fort à toutes les parties pour la reprise rapide des pourparlers inclusifs », a-t-il ainsi affirmé. Malheureusement, a-t-il ajouté, « les progrès observés en février avec les premiers pourparlers de Doha ne se sont pas encore traduits en résultats concrets ». M Adada a en effet constaté que le processus politique au Soudan avait « semblé se geler », en particulier depuis la décision de la Cour pénale internationale (CPI) démettre un mandat darrêt contre le Président Omar Al-Bashir. « La question de la CPI a dominé la vie politique au Soudan, et la polarisée », a-t-il estimé, précisant quelle avait « affaibli ceux qui, au Soudan, travaillaient pour le compromis et le consensus ». Il faut, a-t-il dit, « trouver des points de consensus et faire jouer un plus grand rôle aux éléments modérés, en particulier dans la société civile, pour désamorcer les tensions ». Si, selon le Représentant spécial, « la perspective de conclusion dun cessez-le-feu complet semble lointaine », un engagement des parties à une cessation des hostilités demeure cependant « envisageable à court terme ». Sagissant de la crise humanitaire qui, a-t-il estimé, était « contenue » au début de cette année, la décision du Gouvernement soudanais dexpulser 13 organisations non gouvernementales (ONG) internationales et den suspendre trois nationales, le 4 mars 2009, « a totalement changé cette donne ». « Cette action, dirigée contre des organisations indispensables, a causé une interruption des services humanitaires essentiels aux populations affectées », a affirmé M. Adada. Bien que ne disposant pas de mandat dans les affaires humanitaires, la MINUAD est « préoccupée par le risque dune catastrophe humanitaire », a-t-il déclaré. Enfin, concernant le déploiement de la MINUAD, M. Adada a jugé que les efforts du Conseil avaient été déterminants pour surmonter les gigantesques défis posés. À la fin 2008, les deux tiers du déploiement ont été réalisés, a-t-il dit, tandis que tous les pays contributeurs de troupes « ont été identifiés », ce qui signifie que dici à la fin de lannée, 92% des effectifs mandatés seront atteints. M. Adada a salué le travail militaire et civil de la MINUAD, et la mémoire de « 14 collègues qui ont perdu la vie au service des populations au Darfour ». Son rôle, a-t-il dit, « est de mieux en mieux reconnu par le peuple du Darfour ». De lavis du Représentant spécial, le succès de lOpération « repose entre les mains des dirigeants politiques du Soudan ». « Cest leur décision qui fera que le peuple du Darfour vivra en paix ou devra continuer à endurer les affres de la guerre », a-t-il ajouté, invitant la communauté internationale, représentée par le Conseil de sécurité, à « le leur faire comprendre ». Rapport du Secrétaire général sur le déploiement de l'opération hybride Union Africaine-Nations Unies au Darfour( S/2009/201) Dans ce rapport, le Secrétaire général, M. Ban Ki-moon, constate que la situation au cours des deux derniers mois, a été dominée par la décision de la Chambre préliminaire I de la Cour pénale internationale (CPI), du 4 mars 2009, démettre un mandat darrêt à lencontre du Président soudanais, Omar Hassan Ahmad Al-Bashir. Le Secrétaire général exhorte ainsi le Gouvernement soudanais à coopérer pleinement avec toutes les entités des Nations Unies et dassurer la sécurité de la population civile et des personnels et biens de lONU. Il qualifie « dextrêmement préjudiciable » la décision du Gouvernement dexpulser ou de dissoudre 16 ONG qui uvraient pour laide humanitaire et les droits de lhomme, et avertit que lélimination dune partie aussi importante des capacités humanitaires met en danger la vie de plus dun million de personnes. M. Ban demande instamment au Gouvernement soudanais de rétablir un climat de confiance mutuelle entre lui et la communauté humanitaire et se dit « extrêmement inquiet » de limpact que cette mesure dexpulsion risque davoir sur le travail de la MINUAD. Le Secrétaire général indique également que les conditions générales de sécurité au Darfour continuent dêtre une préoccupation fondamentale. Il sinquiète notamment des affrontements armés qui se poursuivent entre le Gouvernement et les mouvements, des combats entre groupes tribaux qui ont chroniquement lieu dans tout le Darfour, ainsi que des forces massées le long de la frontière soudano-tchadienne. Il déclare également que la sécurité des membres du personnel de lONU et de personnel associé est devenue critique, évoquant notamment les détournements de véhicules et dincursions dans les enceintes de la Mission qui sont « de plus en plus audacieux ». Le Secrétaire général explique de même quen raison de linsécurité, la MINUAD a été incapable de se rendre sur place pour évaluer limpact des bombardements sur la population civile, mais quelle nen a pas moins obtenu des résultats sur le terrain. « Les récents événements en matière de sécurité mettent une nouvelle fois en lumière les difficultés fondamentales auxquelles la MINUAD continue dêtre confrontée dans un contexte où les parties naffichent aucune intention de renoncer à la force », observe-t-il notamment, pour ensuite renouveler son appel auprès des États Membres qui sont en mesure de fournir des moyens critiques à la Mission de le faire sans plus attendre. « Nous sommes à un moment critique au Darfour », indique le Secrétaire général. Il insiste notamment sur lurgence de trouver une solution à laide du dialogue politique et renouvelle son appel à toutes les parties pour quelles travaillent ensemble avec le Médiateur en chef conjoint. « Une solution politique négociée, solidement appuyée par une communauté internationale unie et par le Conseil de sécurité demeure la condition sine qua non pour mettre fin à la souffrance au Darfour ».
HYPERLINK "http://www.un.org/News/fr-press/docs/2009/CS9644.doc.htm" http://www.un.org/News/fr-press/docs/2009/CS9644.doc.htm
Revue de la presse turque 26.04.2009
Info Collectif VAN - HYPERLINK "http://www.collectifvan.org" www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous invite à lire cette revue de la presse turque du 26 avril 2009 publiée sur la TRT (Télévision & Radio de Turquie). Nous vous présentons la revue de la presse turque du dimanche 26 avril 2009 Posted 26.04.2009 08:32:53 UTC Updated 26.04.2009 08:32:53 UTC Les journaux de ce jour consacrent une vaste place au message du président américain Barack Obama concernant les évènements de 1915. A ce titre le quotidien Hürriyet reproduit dans ses colonnes les paroles du Président de la République Abdullah Gül qui précise quil nadhère pas à certaines parties de la déclaration dObama. Le chef dEtat turc avait indiqué quil fallait partager aussi la douleur des Turcs et Musulmans. « Pour la première fois il y a de grands efforts déployés. Les travaux qui étaient lents et au ralenti se sont accélérés considérablement. Tout le monde intervient au plus haut niveau pour contribuer fructueusement à la résolution de ces problèmes. En parlant de « problèmes » au pluriel vous comprenez bien que je fais allusion aux problèmes de toute la région. J espère que toutes les difficultés seront résolues et que toutes les parties de la région coopèreront davantage » a témoigné le président Gül. Le même journal rapporte aussi les propos du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdoan, qui a déclaré à Istanbul, en réponse à une question, que ce n était pas aux politiciens de rechercher l histoire mais aux historiens. « Nous ferons face au passé » a souligné le chef du gouvernement turc Erdoan qui a estimé que le texte préparé par Obama visait à ménager les parties, ajoutant que ce n était toute de même pas un texte satisfaisant la Turquie. « Par conséquent il faut éviter de faire des déclarations qui pourraient faire de l ombre au processus de normalisation des relations. C'est-à-dire qu aucun politicien ne doit, par simple engagement personnel ou investissement pour son avenir, effectuer des déclarations pouvant porter préjudice à la paix entre les pays. » a témoigné le Premier ministre R.T.Erdoan. Entre temps les déclarations du ministère turc des Affaires étrangères attirent lattention. La déclaration a fait savoir que certaines expressions figurant dans le message dObama et certaines évaluations historiques quant aux évènements de 1915 étaient inacceptables. Titrant « Le printemps de Prague » Hürriyet annonce que le Président de la République dAzerbaïdjan Ilham Aliyev et son homologue arménien Serge Sarkissian se réuniraient le 7 mai à Prague, capitale de la République Tchèque, selon les sources du groupe Minsk de lOrganisation pour la sécurité et la coopération en Europe, OSCE. Selon linformation, des dimensions jamais évoquées jusquà présent de la question du Karabakh seront mis sur table à Prague. Les journaux notent également, que la société « ETL Systems Limited » opérant en Angleterre dans lingénierie satellite et de communication et dont un des deux partenaires est le chypriote turc Esen Bayar, sest vu décerner pour le seconde fois de suite le « prix du commerce et de linitiative internationale » par la Reine Elisabeth II. Les journaux de ce jour annoncent aussi que le 12ème sommet de léconomie dEurasie sera organisé par le groupe Marmara du 6 au 8 mai. Y participeront notamment 2 présidents de République et 7 anciens présidents. Le président de la fondation du groupe Marmara Akkan Suver avait souligné que les présidents hôtes effectueraient un remue-méninges, « brain storming ». Titrant « Le virus mystérieux tue, le monde est en panique » le journal Vatan note que suite au cas de la grippe aviaire qui a fait 257 morts il y a deux ans, maintenant le continent américain est ravagé par la grippe porcine, mélange de la grippe aviaire, humaine et de celle du porc. Au cours des deux dernières semaines 68 personnes ont péri au Mexique. Les écoles ont été fermées et lOrganisation mondiale de la santé est passée en alerte à cause du déplacement du virus vers les Etats-Unis. Les experts notent que pour se protéger les mains doivent être lavées avec beaucoup de savon et ce par intervalles réguliers. Cétait la revue de la presse turque.
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SOMMAIRE DE LA REVUE DE PRESSE DU CVAN DU 28.04.2009
Info Collectif VAN - HYPERLINK "http://www.collectifvan.org/"www.collectifvan.org - Le Collectif VAN [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme] vous propose une revue de presse des informations parues dans la presse francophone, sur les thèmes concernant : la Turquie, le génocide arménien, le négationnisme, le Darfour, la Shoah, le génocide des tutsi, l'Union européenne, etc... Nous vous suggérons également de prendre le temps de lire ou relire nos informations et traductions mises en ligne sur :
HYPERLINK "http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1."http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1.
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=30488" \t "_blank" Grande Catastrophe : un emprunt lexical à caractère raciste Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - La psychanalyste Janine Altounian analyse très justement "l'engouement" actuel consistant à remplacer le terme de génocide par le mot "MedzYeghen" (Grande Catastrophe en arménien) comme un emprunt lexical à caractère raciste. Cela concerne tout aussi bien la récente déclaration d'Obama que les écrits de Cengiz Aktar, professeur à luniversité Bahçesehir (Istanbul) et co-instigateur de la pétition d'excuses aux Arméniens. Leur message est clair : "Arméniens, circulez, le génocide ne vous concerne pas". HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=30488" http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=30488
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=30440" \t "_blank" Le Président OBAMA évite le mot "génocide" dans sa déclaration du 24 Avril Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous soumet la traduction d'un article de l'ANCA parue sur le site de la Fédération Euro-Arménienne pour la Justice et la Démocratie le 25 avril 2009. "Malgré les déclarations répétées en tant que sénateur de qualifier correctement le génocide arménien et une promesse claire de campagne présidentielle En tant que président, je vais reconnaître le génocide arménien, le président Barack Obama a publié aujourdhui 24 avril, une déclaration évitant la bonne qualification du génocide arménien", a indiqué le Comité National Arménien dAmérique (ANCA). HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=30440" http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=30440
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=30502" \t "_blank" MINUAD insiste sur la nécessité de stabiliser la situation humanitaire au Darfour Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous livre cette information publiée sur le site de l'ONU le 27 avril 2009. Le Représentant spécial conjoint Union africaine-ONU pour le Darfour, M. Rodolphe Adada, a insisté, ce matin, devant le Conseil de sécurité sur la nécessité de stabiliser la situation humanitaire dans la province soudanaise, de répondre aux différentes menaces à la sécurité et de poursuivre le déploiement de lOpération hybride Union africaine-ONU au Darfour (MINUAD) afin quelle atteigne sa pleine capacité. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=30502" http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=30502
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=30481" \t "_blank" Revue de la presse turque 26.04.2009 Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous invite à lire cette revue de la presse turque du 26 avril 2009 publiée sur la TRT (Télévision & Radio de Turquie). Les journaux de ce jour consacrent une vaste place au message du président américain Barack Obama concernant les évènements de 1915. A ce titre le quotidien Hürriyet reproduit dans ses colonnes les paroles du Président de la République Abdullah Gül qui précise quil nadhère pas à certaines parties de la déclaration dObama. Le chef dEtat turc avait indiqué quil fallait partager aussi la douleur des Turcs et Musulmans. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=30481" http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=30481
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30510" \t "_blank" Le nom du premier ambassadeur turc en Arménie connue Le nom du premier ambassadeur turc, qui sera accrédité à Yerevan est connu selon le site turc Gazeteport. Selon la feuille de route signée par la Turquie et lArménie, lambassadeur de Turquie en Géorgie Ertan Tezgor sera aussi accrédité à Yerevan après que des relations diplomatiques soient établies entre les deux pays. Ertan Tezgor sera le premier diplomate turc accrédité en Arménie. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30510" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30510
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30505" \t "_blank" Soudan: au pays de Béchir, la dernière réforme de la presse passe mal Un projet de réforme de la presse au Soudan suscite une levée de boucliers, pour son aspect répressif, dans le plus grand pays d'Afrique où les journaux sont déjà passés chaque nuit au crible des censeurs d'Etat avant d'arriver en kiosque. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30505" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30505
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30509" \t "_blank" Koksal Toptan : Obama mal informé sur les incidents à lencontre des Arméniens Le président du Parlement turc Koksal Toptan a déclaré dimanche que les remarques du Président américain Barack Obama sur les événements de 1915 ont sérieusement nui au processus de normalisation de relations entre la Turquie et lArménie. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30509" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30509
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30512" \t "_blank" Le bloc-notes de Bernard-Henri Lévy - Pourquoi il faut commémorer les morts de la Shoah Ne faut-il pas, demandent certains, laisser les morts enterrer les morts et l'oubli, le bon oubli, cicatriser les blessures du passé ? Oui, bien sûr, il le faut. Et rien n'est, d'ailleurs, plus conforme aux commandements de la Torah que cette injonction évangélique d'enterrer vite, une fois pour toutes, les morts. Sauf... Oui, sauf quand ce sont des morts qui ne sont, justement, pas enterrés. Sauf quand ce sont des morts dont la mort même impliquait qu'elle fût sans tombe. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30512" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30512
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30500" \t "_blank" Ligue arabe : « Le Darfour au centre d'une réunion urgente des délégués permanents» M'beki souligne l'importance de la concertation avec la Ligue arabe en vue d'accélérer le règlement pacifique au Darfour. Une réunion urgente des délégués permanents à la Ligue arabe aura lieu demain pour traiter de la crise du Darfour et examiner le suivi des décisions du dernier sommet arabe de Doha, a annoncé hier la Ligue arabe. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30500" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30500
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30504" \t "_blank" La FRA claque la porte du gouvernement La Fédération Révolutionnaire Arménienne Dachnaktsoutioun entend dénoncer par sa sortie de la coalition gouvernementale la feuille de route signée entre Erevan et Ankara. Selon la FRA, ces accords arméno-turcs mettraient en danger la viabilité et la souveraineté de lEtat arménien. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30504" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30504
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30489" \t "_blank" Réconciliation possible cette année L'annonce d'une « feuille de route » menant à la normalisation des relations entre l'Arménie et la Turquie représente un véritable espoir de reprise du dialogue entre les deux pays. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30489" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30489
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30486" \t "_blank" Le golgotha arménien : Un récit essentiel Un événement prestigieux. Peter Balakian a choisi la fameuse librairie Strand à New-York pour présenter le 22 avril, à 19 heures, le livre quil a traduit avec Aris Sevag : le Golgotha arménien, ed Alfred A. Knopf. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30486" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30486
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30501" \t "_blank" Soudan : peine capitale pour 11 rebelles du Darfour Onze rebelles du Mouvement pour la Justice et lEgalité (JEM) du Darfour ont été condamnés à mort pour détention illégale darmes et activités terroristes, a annoncé lundi, le juge Hafez Ahmed. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30501" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30501
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30490" \t "_blank" Plusieurs blessés à Istanbul dans des raids contre des activistes Sept policiers turcs et deux civils ont été blessés, lundi 27 avril, dans une fusillade à Istanbul lors d'une opération contre une cellule d'activistes d'extrême gauche, indiquent les autorités. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30490" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30490
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30503" \t "_blank" Cinq ans pour négation de l'Holocauste L'auteur et idéologue autrichien Gerd Honsik a été condamné lundi à cinq de prison pour négation de l'Holocauste et diffusion de propagande nazie. Honsik, 67 ans, a été condamné à l'issue de trois jours de procès marqués par ses protestations véhémentes. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30503" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30503
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30491" \t "_blank" Littérature turque : lever les tabous à Istanbul Le Salon du livre de Genève ouvre ses portes mercredi avec la Turquie comme hôte dhonneur. Rencontre à Istanbul avec trois écrivains qui mettent des mots sur les traumas du pays. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30491" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30491
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30499" \t "_blank" Producteurs et consommateurs de gaz vont améliorer la sécurité énergétique Une trentaine de pays producteurs et consommateurs de gaz d'Europe centrale et orientale, d'Asie centrale et du Moyen Orient se sont engagés samedi à améliorer la sécurité énergétique de l'Europe dans une déclaration adoptée à l'issue de leur sommet à Sofia. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30499" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30499
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30495" \t "_blank" Quand le cinéma rencontre les droits de lHomme au Festival international du film dIstanbul « Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler dautre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout », a dit un jour Jean-Luc Godard. Le Conseil de lEurope, dont les objectifs sont entre autres la promotion des droits de lHomme et la recherche de solutions communes aux problèmes de société, comme lintolérance, la discrimination, la violence, a trouvé un vecteur privilégié pour souvrir à un large public : le cinéma. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30495" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30495
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30496" \t "_blank" Barack Obama se met à lécoute de la scène internationale Cela fera cent jours jeudi 30 avril que Barack Obama a accédé à la présidence des États-Unis. « La Croix » analyse les changements diplomatiques enregistrés depuis son arrivée à la Maison-Blanche. Canada, Mexique, Europe, Turquie, Irak
les voyages à létranger effectués par Barack Obama depuis sa prestation de serment comme président des États-Unis le 20 janvier dernier sont en partie révélateurs des priorités de la Maison-Blanche. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30496" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30496
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30493" \t "_blank" Fusillade meurtrière à Istanbul Les forces de lordre turques ont déployé ce matin les gros moyens pour venir à bout dun activiste dextrême gauche retranché dans un appartement de la rive asiatique de la ville dIstanbul. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30493" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30493
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30498" \t "_blank" Turquie: Vers un remaniement ministériel Le Premier ministre turc Tayyip Erdogan prévoit de procéder à un remaniement ministériel dans les prochains jours, après les mauvais résultats électoraux enregistrés par son parti le mois dernier. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30498" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30498
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30497" \t "_blank" Message de prisonniers d'Auschwitz dans une bouteille: surprise du déporté français Albert Veissid, déporté français au camp nazi d'Auschwitz dont le nom figure dans un message caché dans une bouteille récemment retrouvée par des ouvriers polonais, a affirmé lundi à l'AFP "ne pas se rappeler de cette bouteille" même s'il n'a oublié aucun détail du camp. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30497" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30497
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30487" \t "_blank" De la démocratie en Europe (I) Turquie or not Turquie ? (1) Doucement, la campagne électorale pour les élections européennes commence à avoir un écho dans les médias. Vendredi 24 avril, Libération, faisait sa une sur le sujet, avec Rachida Dati en première page. Ce même jour, le Parti socialiste (PS) lançait officiellement sa campagne lors dun meeting à Toulouse. À la recherche de thèmes de campagne qui clivent les différents partis politiques, la question de ladhésion de la Turquie au sein de lUE reposée lors de la récente visite diplomatique de Barack Obama en Europe pourrait être une occasion de faire de la politique et de parler de lavenir de lEurope. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30487" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30487
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30485" \t "_blank" Histoire : de la façon de remplir les pages blanches Selon Hurriyet Daily News, le Ministre de léducation a publié un chapitre révisé du livre dhistoire de lAnnée 8 et demandé aux maîtres quils enseignent à partir du nouveau texte. Le retrait du nom de politiciens influents et une modification dans la définition du fondamentalisme feraient partie des changements. La décision du ministre aurait provoqué un vif débat sur leffet du chapitre sur lhistoire de la République : mise à jour ou révision ? HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30485" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30485
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30492" \t "_blank" «La Turquie est la solution à 80 % des défis qui se posent à lUnion» Cest le premier vrai «Monsieur Europe» de la Turquie, le premier à être titulaire dun plein portefeuille avec rang de ministre dEtat, pour bien souligner limportance que le gouvernement de Recep Tayyip Erdogan accorde à nouveau au dossier de ladhésion à lUE. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30492" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30492
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30494" \t "_blank" Simone Veil, une femme libre Le personnage est impressionnant, le parcours magnifique. Il nempêche, Simone Veil reçoit avec une très belle simplicité. A 82 ans, le discours est toujours aussi sûr et animé. Franc aussi ; pas de langue de bois chez cette miraculée dAuschwitz. Elle a accepté de témoigner sur France Info à loccasion de la journée du "Souvenir des déportés". HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30494" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30494
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30483" \t "_blank" La censure contre Nedim Gürsel Cest un très mauvais point pour la Turquie au moment où ce pays vient encore de réaffirmer, mardi à Prague, sa volonté dintégrer lUnion européenne : un procès contre lécrivain Nedim Gürsel va souvrir le 5 mai à Istanbul. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30483" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30483
HYPERLINK "http://collectifvan.org/art_modif1.php3?r=0&id=30513&page=1" \t "_blank" Obama « champion des thèses arméniennes » Après avoir repris et commenté dans son article, les réactions dAbdullah Gul à la déclaration du Président des USA de vendredi, lhebdomadaire Turkish Weekly cite dans sa version en ligne un certain Dr Nilgun Gulcan, politicien scientifique turc selon lequel le discours dObama ne contient que des arguments arméniens. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=30528" \t "_blank" "Les relations Arméno-Turques ne sont jamais allées aussi loin" Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous soumet la traduction d'un article en anglais du journal arménien Radio Publique dArménie parue sur le site de la Fédération Euro-Arménienne pour la Justice et la Démocratie le 28 avril 2009. Selon le le ministre des Affaires étrangères arménien, Edouard Nalbandian, le président turc Abdullah Gül lors de sa visite à Erevan pour assister au match de qualification entre lArménie et la Turquie, a marqué le début dune étape nouvelle dans le processus de normalisation des relations. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=30528" http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=30528
Un accord arméno-turc tomberait à pic HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30527" \t "_blank" pour Barack Obama L'Arménie et la Turquie seraient «tombées d'accord sur un cadre global pour la normalisation de leurs relations bilatérales». Effet d'annonce? Tentative de diversion? Percée réelle? La Suisse a fait office de médiation. Mais rien encore ne s'est véritablement concrétisé. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30527" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30527
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30525" \t "_blank" Nouvelle donne diplomatique dans le sud du Caucase L'année 2009 sera-t-elle celle des changements au sud du Caucase ? Jadis passage obligé de toutes les invasions, la région (Géorgie, Azerbaïdjan, Arménie) est devenue le laboratoire de la politique étrangère des puissances environnantes : la Russie, la Turquie et l'Iran. Preuve que les choses bougent, la Turquie et l'Arménie, privées de relations diplomatiques depuis 1993, sont tombées d'accord le 22 avril, sur une "feuille de route" en vue d'une normalisation. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30525" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30525
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30524" \t "_blank" Baskin Oran accuse Ataturk davoir profité de « la grande catastrophe » Sur la chaîne de télévision Habertürk, Baskin Oran était linvité de lémission Kisa Devre ( le Circuit Court) où il a été interrogé par Cem Mumcu et Harun Tekin. Baskin Oran a prétendu que le problème arménien était un élément sous-jacent de la fondation de la République Turque. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30524" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30524
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30523" \t "_blank" Dici et dodyssée Mathias Enard. Avant de découvrir Téhéran ou Beyrouth, cet écrivain de 37 ans se rêvait diplomate. Aujourdhui, ses amis le croient agent secret. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30523" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30523
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30520" \t "_blank" La Martelle: La déportation se raconte au lycée Jules-Ferry « Au départ, même si elles ne me le disaient pas, étudier la déportation n'intéressait pas forcément mes élèves. Et puis, quand je leur ai dit que nous allions rencontrer deux déportés juifs résistants, alors là, c'était devenu concret. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30520" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30520
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30521" \t "_blank" LAzerbaïdjan met en garde contre un dégel des relations turco-arméniennes LAzerbaïdjan a averti jeudi la Turquie et lArménie que les deux pays doivent seulement normaliser leurs relations si des troupes arméniennes se sont retirées en même temps du Karabagh. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30521" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30521
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30518" \t "_blank" Meyzieu : commémoration du génocide arménien Samedi, une cérémonie commémorative du génocide des Arméniens s'est tenue devant la stèle érigée rue du 24-Avril 1915. A l'appel de l'AMASC ( Association majolane arménienne pour la solidarité et la culture), en présence d'élus et d'autorités religieuses. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30518" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30518
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30522" \t "_blank" Une tragédie méconnue Auteur du roman populaire "Erevan", Gilbert Sinoué juge les Arméniens trop pudiques. Le génocide arménien est-il trop méconnu du grand public ?Oui. Paradoxalement, il est très étrange de constater que cette tragédie est assez mal connue, comme si on avait voulu jeter un voile sur ce drame qui a quand même provoqué la mort de près dun million de personnes. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30522" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30522
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30519" \t "_blank" Obama ne dit pas génocide mais y pense Le président des Etats-Unis parle de "grande atrocité du XXe siècle". Il fâche tout de même les Turcs en évoquant 1,5 million de morts. Il était très attendu par les Arméniens et par les Turcs, le communiqué du président des Etats-Unis à loccasion, vendredi, du 94e anniversaire du génocide arménien. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30519" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30519
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30526" \t "_blank" LArménie piégée au Haut-Karabakh Moscou tente de convaincre Erevan dadhérer au projet de règlement du statut de lenclave arménienne en Azerbaïdjan. Cest avec une grande impatience quon attendait jeudi, à Moscou, les résultats du face-à-face entre le président russe Dimitri Medvedev et son homologue arménien Serge Sarkissian, venu surtout pour apporter une réponse à la question de savoir si lArménie accepte ou non de participer en juin au sommet arméno-azerbaïdjanais censé adopter une formule transitoire de règlement du problème du Haut-Karabakh. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30526" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30526
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30515" \t "_blank" Commémoration du génocide arménien La pluie persistante de dimanche dernier n'a pas découragé la population à venir assister aux cérémonies commémoratives du 94e anniversaire du génocide des Arméniens. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30515" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30515
HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30514" \t "_blank" Négationnisme - Un Autrichien condamnée à 5 ans de prison L'auteur et idéologue autrichien Gerd Honsik a été condamné lundi à cinq de prison pour négation de l'Holocauste et diffusion de propagande nazie. HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30514" http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30514
GENOCIDE ARMENIEN
Obama « champion des thèses arméniennes »
lundi27 avril 2009, par Jean Eckian/armenews Après avoir repris et commenté dans son article, les réactions dAbdullah Gul à la déclaration du Président des USA de vendredi, lhebdomadaire Turkish Weekly cite dans sa version en ligne un certain Dr Nilgun Gulcan, politicien scientifique turc selon lequel le discours dObama ne contient que des arguments arméniens. Cest un champion des thèses arméniennes : ce nest pas un modérateur entre les deux parties, son discours est plein derreurs et daccusations arméniennes aurait-elle déclaré. Turkish Weekly poursuit en citant le Dr Sedat Laciner, directeur de lOrganisation de Recherche Stratégique dAnkara (USAK) selon qui lapproche pro-arménienne finira par saper le partenariat turco-américain. Il aurait ajouté que la position pro-arménienne dans le Caucase nest pas rationnelle et naide pas aux intérêts américains. LArménie est dans le camp de la Russie tandis que la Turquie, la Géorgie et lAzerbaïdjan sont des pays pro-occidentaux. Le maintien dune politique pro-arménienne dans le Caucase nuit à lalliance pro-occidentale dans le Caucase. Ce même Dr Laciner, dans une interview donnée à Turkish Weekly le 25 avril 2009, navait pas hésité à dire LArménie nest pas une victime ; au contraire, cest un pays occupant. Il y relevait que dans les territoires occupés en dehors du Karabagh, la population est azérie. Délibérément ou non, cette déclaration fait une distinction intéressante sur la question du Karabagh. Gibert Beguian
HYPERLINK "http://www.armenews.com/article.php3?id_article=51077" http://www.armenews.com/article.php3?id_article=51077
Le golgotha arménien : Un récit essentiel
dimanche 12 avril 2009 lundi27 avril 2009, par Ara/armenews Un événement prestigieux. Peter Balakian a choisi la fameuse librairie Strand à New-York pour présenter le 22 avril, à 19 heures, le livre quil a traduit avec Aris Sevag : le Golgotha arménien, ed Alfred A. Knopf. Devant un pareterre conséquent et attentif, lauteur à succès a expliqué que ces mémoires avaient été écrites par son grand oncle, lévêque Grigoris Balakian, rescapé du génocide et mort à Marseille. Lécclésiastique livre ici un témoignage unique. Arrêté à Istanbul, il a accompagné des centaines de déportés sur les routes de Deir Zor, a rencontré des survivants venus de toute la Turquie et a recueilli leur récit. Mieux, les responsables turcs pensant quil nallait pas en réchapper ont commencé, sur les routes de la mort, à se confier à lui. Tout comme les Allemands, Suisses et Autrichiens, principalement ingénieurs travaillant dans les chemins de fer. Ce sont ces rencontres, ces confessions quil retrace dans cet ouvrage que Peter Balakian a mis dix ans à traduire et qui est composé de soixante et onze chapitres. Dans la version originale, arménienne, ce livre intitulé « Le Golgotha arménien, épisodes du martyre arménien : de Berlin à Deir Zor », avait été publié en deux tomes : le premier en 1922 à Vienne par Mekhitarist Press, le second en 1959 à Paris, par lImprimerie Araxes. Il a également été publié en France par le Cercle des écrits caucasiens, daprès une traduction de M. Hratch Bedrossian. Ce livre est capital « car, dit Peter Balakian, le Golgotha arménien approfondit notre connaissance du crime catastrophique que le gouvernement turc continue à renier. » Cette rencontre avec le public new-yorkais a été suivie par un séance de dédicaces. Puzant Buzantian
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Commémoration du génocide arménien
le 28.04.2009 04h00 La pluie persistante de dimanche dernier n'a pas découragé la population à venir assister aux cérémonies commémoratives du 94e anniversaire du génocide des Arméniens. Les orateurs se sont exprimés avec ardeur : « Il n'y a rien de plus insupportable, de plus insoutenable pour nous, descendants de 1915, que l'oubli de ce génocide et l'ignominieuse injustice de 94 longues années de déni », ont affirmé Hagop Etoyan et Jules Boyadjian. Le député Philippe Meunier a certifié son opposition aux lois mémorielles lorsque le débat s'ouvrira à l'Assemblée nationale, comme il sera toujours opposé à l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne, reconnaissance ou pas du génocide de 1915 par Ankara. Le maire Pierre Crédoz, s'est, pour sa part, félicité de voir l'Arménie et la Turquie avancer sur la voie de la réconciliation. Il a également certifié que « la reconnaissance du génocide arménien par la Turquie est la condition préalable sine qua non pour son admission à l'Union européenne qui doit être fidèle à ses valeurs fondatrices et à la résolution que son parlement a adoptée en 1987 ».
HYPERLINK "http://www.leprogres.fr/fr/permalien/article/997068/Commemoration-du-genocide-armenien.html" http://www.leprogres.fr/fr/permalien/article/997068/Commemoration-du-genocide-armenien.html
Obama ne dit pas génocide mais y pense
G.P. Mis en ligne le 27/04/2009 Le président des Etats-Unis parle de "grande atrocité du XXe siècle". Il fâche tout de même les Turcs en évoquant 1,5 million de morts. Une tragédie méconnue Il était très attendu par les Arméniens et par les Turcs, le communiqué du président des Etats-Unis à loccasion, vendredi, du 94e anniversaire du génocide arménien. Pendant sa campagne électorale, le candidat Barack Obama avait en effet clairement laissé entendre quil reconnaîtrait comme génocide le massacre des Arméniens en 1915 par le gouvernement Jeunes Turcs engagé dans la Première Guerre mondiale aux côtés de lAllemagne et contre la Russie, sa puissante voisine. Dès lors, vendredi soir, quand on a découvert que le Président se gardait de décrire comme un génocide les massacres dArméniens, on sest dit que M. Obama voulait ménager ses alliés turcs. Une coopération réaffirmée récemment à loccasion dune visite du président des Etats-Unis à Ankara et à Istanbul. Barack Obama a décrit ces massacres comme lune des "grandes atrocités du XXe siècle". "J ai exprimé avec constance mon opinion personnelle sur ce qui sest passé en 1915 et mon opinion sur lhistoire na pas changé. Ce qui continue à mintéresser, cest une reconnaissance entière, franche et juste des faits", a tenté dexpliquer le Président pour désamorcer les critiques de ceux qui ne manqueraient pas de lui reprocher une volte-face. Mais cétait sans compter sur lextrême sensibilité des Turcs sur ce dossier. Car Barack Obama a aussi repris à son compte le chiffre, contesté par la Turquie, dun million et demi dArméniens tués. Samedi, le ministère turc des Affaires étrangères a donc jugé "inacceptables certaines expressions du message (annuel des Etats-Unis, NdlR) et la perception de lhistoire quil renferme". Et de déplorer le fait que le message dObama ne mentionne pas "les centaines de milliers de Turcs" tués dans les combats entre Turcs et Arméniens pendant ces années-là. De son côté, la communauté arménienne des Etats-Unis a vivement critiqué le renoncement de M. Obama. Mais ni Ankara ni Erevan nont trop intérêt à échauffer les esprits sur ce dossier en ce moment. Les deux pays ont adopté mercredi dernier une feuille de route qui fixe un cadre et un calendrier pour leur normalisation.
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Meyzieu : commémoration du génocide arménien
le 27.04.2009 04h00 Samedi, une cérémonie commémorative du génocide des Arméniens s'est tenue devant la stèle érigée rue du 24-Avril 1915. A l'appel de l'AMASC ( Association majolane arménienne pour la solidarité et la culture), en présence d'élus et d'autorités religieuses. Une importante délégation d'Arméniens de Meyzieu et des environs s'est rassemblée pour se recueillir en souvenir de ce sinistre et douloureux évènement.
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Baskin Oran accuse Ataturk davoir profité de « la grande catastrophe »
lundi27 avril 2009, par Stéphane/armenews Sur la chaîne de télévision Habertürk, Baskin Oran était linvité de lémission Kisa Devre ( le Circuit Court) où il a été interrogé par Cem Mumcu et Harun Tekin. Baskin Oran a prétendu que le problème arménien était un élément sous-jacent de la fondation de la République Turque. Affirmant que des tribus Kurdes (ashiretler) sétaient appropriéss les propriétés des arméniens pendant la « déportation de 1915 » Baskin Oran a déclaré « si les Kurdes navaient pas soutenu Mustafa Kemal, la République Turque naurait pas été fondée ». Baskin Oran a prétendu quil naurait pas été possible détablir la République Turque [avec lappui des ] des tribus Kurdes, il y aurait eu un risque que les Arméniens reviennent pour revendiquer leurs propriétés
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ARMENIE/TURQUIE
Un accord arméno-turc tomberait à pic pour Barack Obama
28 avril 2009 - 14:03 L'Arménie et la Turquie seraient «tombées d'accord sur un cadre global pour la normalisation de leurs relations bilatérales». Effet d'annonce? Tentative de diversion? Percée réelle? La Suisse a fait office de médiation. Mais rien encore ne s'est véritablement concrétisé. Le calendrier fait bien les choses. Le communiqué de presse est signé par la Suisse, l'Arménie et la Turquie. Il annonce un accord turco-arménien et date du ... 22 avril 2009, soit deux jours avant la commémoration du génocide arménien de 1915. Résultat: le nouveau Président des Etats-Unis a souligné les progrès effectués par les deux parties. Et préféré soutenir le processus de réconciliation plutôt que d'appeler à la reconnaissance du «G-word», ainsi que les Américains surnomment le «génocide» arménien. Barack Obama ménage son allié turc. La Suisse a facilité les choses Très discrète sur son rôle, la Confédération, semble bien avoir joué les bons offices depuis au moins un an. Début avril à Istanbul, lors du Forum de l'ONU pour l'Alliance des civilisations, la ministre suisse des affaires étrangères, Micheline Calmy-Rey, s'est entretenue avec ses homologues turc et arménien en présence du Président américain. Et un certain nombre de rencontres discrètes se sont déroulées en terrain helvétique en mai et juillet 2008; puis en janvier 2009, en marge du Forum économique mondial de Davos. La tâche n'était cependant pas surhumaine pour Berne: les responsables turcs et les Arméniens ne sont pas des ennemis qui refusent absolument tout contact, à la différence par exemple, pour rester dans la région, des Syriens et des Israéliens. L'élection en 2008 d'un nouvel homme, Serge Sarkissian, au poste de Président de la république d'Arménie a très certainement facilité les choses. C'est en octobre de la même année, en effet, qu'a eu lieu la première visite d'un Président de la République de Turquie en Arménie depuis la fermeture de la frontière en 1991. Abdullah Gul est venu encourager les footballeurs turcs qui se battaient contre l'équipe arménienne. Ce qui a donné une nouvelle forme de visibilité aux contacts entre les deux gouvernements: on est passé d'une négociation en chambre à ce que certains nomment la «diplomatie du football». Laquelle trouvera son prolongement en octobre prochain lorsque le Président arménien se rendra en Turquie pour y assister au match retour et soutenir l'équipe qui porte ses couleurs. On ne part par de zéro «Lorsque les relations diplomatiques seront officiellement renouées, la normalisation pourrait être assez rapide. Car on ne part pas de zéro, explique Alexandre Toumarkine, spécialiste du Caucase et de la Mer Noire à l'Institut français d'études anatoliennes. Représentants arméniens et turcs se côtoient déjà dans le cadre de l'Organisation de la Coopération économique de la Mer noire.» Voilà plusieurs années déjà que des vols relient Erevan à Istanbul, même si les bus doivent encore passer par la Géorgie pour entrer en Turquie. C'est dire combien l'ouverture de la frontière entre Arménie et Turquie est attendue par les milliers d'Arméniens qui font le voyage d'Istanbul dans l'espoir d'y trouver un travail. Ce serait aussi l'assurance de nouveaux échanges économiques pour cette ancienne république soviétique devenue indépendante en 91 et toujours très sinistrée. «Là où le bât blesse, poursuit Alexandre Toumarkine, c'est qu'il est difficile pour les Turcs d'envisager l'ouverture de la frontière et la reprise des relations diplomatiques sans l'assentiment des Azeris». Soutenue par la Turquie, l'Azerbaïdjan turcophone est en guerre avec l'Arménie, qui lui dispute l'enclave du Haut-Karabakh, où vivent plusieurs milliers d'Arméniens. Un accord entre Ankara et Erevan risquerait d'affaiblir Bakou. D'où les déclarations récentes du Président azerbaïdjanais, Ihlam Aliev, envisageant de fermer le robinet de gaz qui approvisionne la Turquie si celle-ci ignorait les intérêts azéris. Une menace qui a agacé certains Turcs, désormais plus enclins à repenser un alignement qui n'apparait peut être pas aussi «payant» qu'il l'a été. Autre question délicate, celle du contentieux historique entre Arméniens et Turcs. La feuille de route prévoirait la mise en place d'une commission bilatérale aux attributions assez larges. Un sous-comité serait plus spécifiquement dédié à l'histoire commune, autrement dit à la délicate question du génocide. Ce qui conduit certains observateurs à se demander si les négociations entre Arméniens et Turcs n'ont pas avancé aussi vite parce que, au fond, la question de la reconnaissance du génocide possèderait une dynamique propre et une temporalité plus longue que celle de la seule normalisation des relations bilatérales . swissinfo, Ariane Bonzon, Istanbul ======= INQUIÉTUDES ARMÉNIENNES A Erevan, seize députés du parti nationaliste Dashnak ont démissionné du Parlement en signe de protestation. Même inquiétude chez les Arméniens suisses, et dans toute la diaspora. Il ne faudrait pas, disent-ils, que la normalisation des relations entre la Turquie et l'Arménie voisine se fasse au détriment de la reconnaissance du génocide. La Turquie refuse toujours d'admettre que ce crime contre l'humanité est bien un génocide tel que défini par le juriste Raphaël Lemkin en 1948. L'association Suisse-Arménie (ASA) invite aussi le Conseil fédéral, qui parle d'«événements tragiques» à reconnaitre le génocide et regrette que ce thème ait «été inclus de façon inappropriée dans ces négociations» et que «la diaspora arménienne n'ait pas été consulté sur l'argument». Pis, pour les plus suspicieux, tel le Français Ara Toranian, «le dialogue ne vise pas tant à déboucher sur un accord qu'à servir de frein à l'internationalisation de la question arménienne et à de nouvelles reconnaissances du génocide». De là à dire que Berne aurait donné sa caution à une manuvre dilatoire, il n'y a qu'un pas que les Arméniens suisses n'ont pas encore franchi publiquement. CHIFFRES 11 millions d'Arméniens dans le monde dont: - 3,2 millions en Arménie - 60.000 Turcs d'origine arménienne avec 50 000 travailleurs - souvent clandestins - venant d'Arménie voisine en Turquie ; - Diaspora: 1,1 M en Russie, 500.000 en France, 400.000 en Iran, 385.000 aux Etats-Unis,190.000 en Syrie, 140.000 au Liban, 42.000 en Allemagne. - 5000 Arméniens en Suisse (Chiffres Wikipédia)
HYPERLINK "http://www.swissinfo.ch/fre/a_la_une/Un_accord_armeno_turc_tomberait_a_pic_pour_Barack_Obama.html?siteSect=105&sid=10628552&cKey=1240917742000&ty=st" http://www.swissinfo.ch/fre/a_la_une/Un_accord_armeno_turc_tomberait_a_pic_pour_Barack_Obama.html?siteSect=105&sid=10628552&cKey=1240917742000&ty=st
Réconciliation possible cette année
par Piotr Moszynski Article publié le 27/04/2009 Dernière mise à jour le 27/04/2009 à 01:04 TU L'annonce d'une « feuille de route » menant à la normalisation des relations entre l'Arménie et la Turquie représente un véritable espoir de reprise du dialogue entre les deux pays. Les relations entre Ankara et Erevan sont au point mort depuis 1991 et leur frontière commune reste fermée. Le ministre arménien des Affaires étrangères, Edvard Nalbandian, estime que cela pourrait changer cette année. L'annonce de l'existence d'une « feuille de route » qui doit mener à l'amélioration des relations entre l'Arménie et la Turquie a fait sensation dans les deux pays. Et pour cause : depuis longtemps, ils n'entretiennent pas de relations diplomatiques et la frontière reste fermée. Le ministre arménien des Affaires étrangères, Edvard Nalbandian, estime que cela pourrait changer encore cette année. ========= Edvard Nalbandian Ministre arménien des Affaires étrangères « Je pense que dans un avenir proche, nous pourrons rendre public nos accords et aller de l'avant pour réaliser les progrès obtenus pendant les négociations ». 27/04/2009 par Piotr Moszynski
HYPERLINK "http://www.rfi.fr/actufr/articles/112/article_80492.asp" http://www.rfi.fr/actufr/articles/112/article_80492.asp
La FRA claque la porte du gouvernement
le 27 avril 2009 La Fédération Révolutionnaire Arménienne Dachnaktsoutioun entend dénoncer par sa sortie de la coalition gouvernementale la feuille de route signée entre Erevan et Ankara. Selon la FRA, ces accords arméno-turcs mettraient en danger la viabilité et la souveraineté de lEtat arménien. Armen Roustamian sapprête à annoncer ce matin la décision de la FRA de quitter la coalition gouvernementale. Une décision qui intervient au lendemain de la feuille de route signée entre Erevan et Ankara, deux jours avant les commémorations du 24 avril et la communication attendue de Barack Obama. Dès le 23 avril, la FRA Dachnaktsoutioun avait dénoncé la manoeuvre grossière et dangereuse dont sest rendue complice selon elle la diplomatie arménienne. Jugeant « inacceptables » les « orientations de lArménie en politique étrangère », le Parti Dachnak avait alors annoncé dans son communiqué quil entendait « remettre à la discussion la pertinence de sa participation à la coalition gouvernementale ». "Il est absolument inacceptable pour nous que les relations avec lArménie soient normalisées aux dépens de la souveraineté de lArménie, de la viabilité de son existence et des droits nationaux et étatiques des futures générations arméniennes", avait estimé la FRA. Circonstance aggravante, Ankara ne semble rien lâcher de ses positions anti-arménienne en dépit des pourparlers affichés. "Les leaders de Turquie se sont récemment répandus en déclaration anti-arménienne, de manière générale et sur la question du Karabakh en particulier, et ils ont rétabli des préconditions à la normalisation des relations. La diffusion de cette annonce à cet instant et dans ces circonstances constitue une injure envers les intérêts de lArménie et du Peuple arménien".
HYPERLINK "http://france-armenie.net/spip.php?article362" http://france-armenie.net/spip.php?article362
Koksal Toptan : Obama mal informé sur les incidents à lencontre des Arméniens
mardi28 avril 2009, par Stéphane/armenews Le président du Parlement turc Koksal Toptan a déclaré dimanche que les remarques du Président américain Barack Obama sur les événements de 1915 ont sérieusement nui au processus de normalisation de relations entre la Turquie et lArménie. Koksal Toptan a déclaré aux journalistes que la Turquie pourrait prendre des mesures dans lavenir. Il a dit que malgré les efforts de la Turquie Barack Obama a été mal informé sur ce qui est arrivé en 1915. En ce qui concerne lappel de la Turquie concerant louverture des archives des parties intéressées à la découverte de la vérité quant à ces événements, Koksal Toptan a précisé débité que personne navait été intéressé. "Nous sommes prêts à ouvrir nos archives. Tout personne curieuse peut employer nos archives. Tous les pays doivent ouvrir leurs archives" a déclaré Koksal Toptan. Il a affirmé que certains cercles essayaient de faire pression sur la Turquie sur la base de suppositions sans faire de recherche et a mis en garde les politiciens arméniens quavec ce chemin les relations ne pourront pas être normalisées. En commentant les relations avec lAzerbaidjan Koksal Toptan a déclaré que de nombreuses contre-vérités avaient circulé récemment.Il a affirmé que le cours des relations entre la Turquie et lAzerbaidjan ne changerait pas notant que la Turquie ne signerait jamais de document qui aurait des implications négatives pour lAzerbaidjan.
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Le nom du premier ambassadeur turc en Arménie connue
mardi28 avril 2009, par Stéphane/armenews Le nom du premier ambassadeur turc, qui sera accrédité à Yerevan est connu selon le site turc Gazeteport. Selon la feuille de route signée par la Turquie et lArménie, lambassadeur de Turquie en Géorgie Ertan Tezgor sera aussi accrédité à Yerevan après que des relations diplomatiques soient établies entre les deux pays. Ertan Tezgor sera le premier diplomate turc accrédité en Arménie. Ertan Tezgor avait été le conseiller pour les affaires étrangères du Président du parlement turc pendant de longues années. Ertan Tezgor a été le sous-directeur du Département du Caucase au Ministère turc des Affaires Etrangères et est lambassadeur de la Turquie en Géorgie depuis cinq ans. Il a représenté la Turquie aux obsèques de lancien Premier ministre arménien Andranik Margaryan en mars 2007.
HYPERLINK "http://www.armenews.com/article.php3?id_article=51135" http://www.armenews.com/article.php3?id_article=51135
LAzerbaïdjan met en garde contre un dégel des relations turco-arméniennes
mardi28 avril 2009, par Stéphane/armenews LAzerbaïdjan a averti jeudi la Turquie et lArménie que les deux pays doivent seulement normaliser leurs relations si des troupes arméniennes se sont retirées en même temps du Karabagh. La Turquie et lArménie ont annoncé mercredi quils avaient conclu un accord sur une feuille de route. "Cest le droit souverain de chaque pays de définir ses relations avec dautres pays" a déclaré un porte-parole du Ministère azéri des Affaires Etrangères. "Néanmoins, lAzerbaïdjan considère que la normalisation de relations turco-arméniennes doit avoir lieu en parallèle avec le retrait des troupes arméniennes des terrotoires occupés de lAzerbaïdjan."
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UE/TURQUIE
«La Turquie est la solution à 80 % des défis qui se posent à lUnion»
Monde 27/04/2009 à 06h51 UE. Rencontre avec Egemen Bagis, le premier «Monsieur Europe» désigné par Ankara : MARC SEMO Cest le premier vrai «Monsieur Europe» de la Turquie, le premier à être titulaire dun plein portefeuille avec rang de ministre dEtat, pour bien souligner limportance que le gouvernement de Recep Tayyip Erdogan accorde à nouveau au dossier de ladhésion à lUE. Nommé il y a quatre mois, Egemen Bagis, 38 ans, qui fut pendant sept ans conseiller spécial pour les Affaires étrangères du Premier ministre, affiche un inébranlable optimisme. A len croire, malgré la torpeur des dernières années, les négociations commencées en 2005 redémarrent. «Tous les pays qui ont entamé ce processus lont achevé par une adhésion pleine et entière, et quand il sera arrivé à son terme, la Turquie sera différente de ce quelle est aujourdhui et lUnion européenne le sera aussi», explique à Libération le nouveau ministre turc des Affaires européennes, de passage à Paris mercredi, après une étape à Prague. Les Tchèques et les Suédois, qui prendront la succession à la tête de lUE, lont assuré que «la Turquie est de plus en plus proche de lUE» avec le soutien «dune vaste majorité de pays». Mais Paris comme Berlin affichent de plus en plus ouvertement leur volonté dune «pause» dans les élargissements. Technique. «La décision de commencer les négociations a été prise par tous les Etats membres, et seule une décision des Vingt-Sept pourrait les arrêter, mais je regrette que la question de ladhésion de la Turquie soit utilisée par certains leaders pour des questions de politique intérieure», soupire Egemen Bagis, qui préfère positiver, rappelant que «50 % des Français sont encore hostiles à une intégration de la Turquie dans lUE, mais quils étaient 65 % il y a deux ans». Vice-président de lAKP et député dIstanbul, Egemen Bagis est létoile montante de ce parti conservateur-libéral issu du mouvement islamiste, au pouvoir depuis 2002. Eduqué aux Etats-Unis où il travailla plusieurs années comme homme daffaires, Bagis bénéficie de solides réseaux outre-Atlantique. Quand on linterroge sur le soutien appuyé donné par Obama, dans ses discours à Ankara, à une adhésion de la Turquie, il éclate de rire. «Ce nest pas nous qui le lui avons demandé et il na fait que répéter, sur ce point, ce que disaient avant lui aussi bien Clinton que Bush, mais la décision appartient aux seuls Européens», rappelle le jeune ministre, que la spécificité technique des dossiers de lUE nimpressionne guère. Aux côtés de Recep Tayyip Erdogan, il fut directement engagé dans le processus qui permit à la Turquie de commencer les négociations en 2005, après quarante-cinq ans dattente. Le processus sétait depuis enlisé. Sur les 35 chapitres que compte le parcours menant à ladhésion, à peine 10 ont été ouverts et 8 sont gelés sur décision de Bruxelles, suite au refus de la Turquie douvrir ses ports et aéroports à Chypre. En novembre, le rapport annuel de la Commission européenne critiquait le ralentissement du processus des réformes. Le gouvernement a compris le péril. Erdogan sest rendu à Bruxelles en janvier pour la première fois depuis quatre ans, suivi les semaines suivantes par Denyz Baïkal, le leader du principal parti dopposition (CHP, kémaliste), puis par le chef de lEtat, Abdullah Gül. «Je préfère voir le verre à moitié plein et ce qui avance en matière de défense de lenvironnement, de liberté dexpression et de démocratie», assure Bagis, rappelant quen quelques mois le gouvernement de lAKP a adopté aussi bien la loi autorisant les émissions en kurde à la télévision publique que le protocole de Kyoto. Grand écart. «La marche vers lEurope représente le plus important processus doccidentalisation du pays après la création de la République», répète volontiers Egemen Bagis, insistant sur le signal que représenterait pour le milliard et demi de musulmans du monde - et les 20 millions vivant en Europe - la pleine intégration dune Turquie qui se veut aussi «un pont entre les civilisations», entre lEurope et lAsie, le Moyen-Orient, et le Caucase. Avec le risque de se trouver à faire le grand écart. La semaine dernière, le représentant dAnkara est resté dans la salle lors du discours virulent du président iranien pendant la conférence de Genève sur le racisme. «Nous avons une longue frontière avec lIran et, en quittant la salle, on ne résout rien : il faut rester et discuter pour changer la situation», explique Egemen Bagis, qui souligne le rôle diplomatique croissant de son pays sur la scène régionale, par exemple dans les négociations indirectes entre la Syrie et Israël, et «nous pourrions aussi jouer les médiateurs entre lIran et les Etats-Unis». Quil sagisse de sécurité énergétique, de démographie, de défense, de lutte contre la crise économique ou de démocratisation des pays voisins et de stabilisation régionale, Egemen Bagis en est convaincu : «La Turquie est la solution pour 80 % des défis qui se posent à lUE, et cette dernière est la réponse à 80 % des défis que doit affronter la Turquie.» Il ajoute avec un large sourire : «Cest du gagnant-gagnant.»
HYPERLINK "http://www.liberation.fr/monde/0101564142-la-turquie-est-la-solution-a-80-des-defis-qui-se-posent-a-l-union" http://www.liberation.fr/monde/0101564142-la-turquie-est-la-solution-a-80-des-defis-qui-se-posent-a-l-union
De la démocratie en Europe (I) Turquie or not Turquie ? (1)
Chronique d'abonnés par Samuel Faure 26.04.09 Constater le manque dintérêt citoyen Doucement, la campagne électorale pour les élections européennes commence à avoir un écho dans les médias. Vendredi 24 avril, Libération, faisait sa une sur le sujet, avec Rachida Dati en première page. Ce même jour, le Parti socialiste (PS) lançait officiellement sa campagne lors dun meeting à Toulouse. Néanmoins, il semble quil soit toujours aussi difficile pour les partis politiques de mobiliser leurs électeurs. Si lon en croit les derniers sondages, labstention avoisinerait les 50% le 7 juin prochain. Résultat peu surprenant quand les questions politiques ont été jusquà présent laissées sur le bord du chemin. Contexte oblige, lexception qui confirme la règle porte sur les solutions que lEurope pourrait apporter face à la crise. Mais même sur ce thème, les lignes de clivages politiques sont difficilement perceptibles. De Phillipe de Villiers à Jean-Luc Mélenchon en passant par Vincent Peillon et Michel Barnier, les politiques sapproprient tour à tour le discours sur « lEurope qui protège », « lEurope qui régule ». Pas évident dans ce contexte politique mou de susciter un intérêt citoyen. À la recherche de thèmes de campagne qui clivent les différents partis politiques, la question de ladhésion de la Turquie au sein de lUE reposée lors de la récente visite diplomatique de Barack Obama en Europe pourrait être une occasion de faire de la politique et de parler de lavenir de lEurope. Cest ce que pense Bruno Cautrès, chercheur à Sciences Po Paris et interrogé vendredi 17 avril. Il serait heureux pour la citoyenneté, et politiquement courageux que les candidat(e)s semparent de ce sujet. Heureux pour la citoyenneté parce que la question de ladhésion de la Turquie est une question qui intéresse lopinion publique. En suscitant lintérêt citoyen, elle permettrait la mobilisation électorale. Politiquement courageux parce quun débat de fond, au-delà des faux-semblants, permettrait de clarifier les positionnements politiques des partis sur cette question dabord, sur le reste ensuite. En dessinant des lignes de clivage structurantes, elle permettrait de sortir du brouillard politique actuel. Samuel Faure est diplômé en Science Politique du Centre dexcellence sur lUnion européenne de lUniversité de Montréal et de lUniversité McGill (Canada), et rédacteur du blog du Monde, HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=4&id=30487" \t "_blank" Sur le chemin des élections européennes 2009.
HYPERLINK "http://www.lemonde.fr/opinions/chronique/2009/04/26/de-la-democratie-en-europe-i-turquie-or-not-turquie-1_1185593_3232.html" http://www.lemonde.fr/opinions/chronique/2009/04/26/de-la-democratie-en-europe-i-turquie-or-not-turquie-1_1185593_3232.html
TURQUIE
Histoire : de la façon de remplir les pages blanches
lundi27 avril 2009, par Jean Eckian/armenews Selon Hurriyet Daily News, le Ministre de léducation a publié un chapitre révisé du livre dhistoire de lAnnée 8 et demandé aux maîtres quils enseignent à partir du nouveau texte. Le retrait du nom de politiciens influents et une modification dans la définition du fondamentalisme feraient partie des changements. La décision du ministre aurait provoqué un vif débat sur leffet du chapitre sur lhistoire de la République : mise à jour ou révision ? Les changements faits dans le manuel des classes où est enseignée lhistoire de la République ont laissé quantité de blancs dans les quarante dernières années du pays, révélant que lhistoire récente de la Turquie est difficile à maîtriser. Le septième chapitre du livre, Turquie daprès Ataturk : la deuxième guerre mondiale et après a été critiqué pour la mention de la capture du leader du PKK en 1999 ; certains changements en profondeur opérés par le ministère de léducation ont provoqué des froncements de sourcil. Le ministre a publié les 27 pages du chapitre sur son site en demandant quelles soint utilisées à la place de la version imprimée dans le manuel. Le chapitre se concentre sur lhistoire du pays après 1939 et par conséquent sur le rôle de la Turquie dans la seconde guerre mondiale. Le début du régime démocratique multi-partis, les coups détat de 1960, 1971 et 1980, les années 1970 dominées par les terrorismes dextrêmes gauche et droite, les efforts de la Turquie pour rejoindre lUE, le début des attaques du PKK dans les années 80 et la capture dOçalan en 1999, les guerres du Golfe et la région après la disparition de lunion Soviétique y sont développés. Les historiens pensent que lhistoire récente devrait être traitée de façon objective. Toktamis Ates, enseignant de luniversité dIstanbul, dit que la commission dEducation et de Discipline a préparé les textes en fonction des vues et opinions politiques des personnes qui la composent. Les personnes qui ont vécu ces évènements sont encore là et léloge (des coups détat) qui en est fait peut les blesser, a-til déclaré sur NTV News le 21 avril. Mais Zubeyde Kilic, présidente du Syndicat du Personnel enseignant a déclaré que le manuel dhistoire nest pas conforme à leurs souhaits, spécialement pour les coups détat. Selon elle, celui de septembre 1980 était une atteinte majeure à la démocratie. Et ne devrait pas y figurer de façon aussi superficielle. Le fondamentalisme Daily Milliyet sest concentré sur les changements, en insistant sur les menaces fondamentalistes sur le pays. Dans la version précédente, les actes fondamentalistes étaient définis comme étant des efforts pour créer le chaos à travers la différence de croyances, et pour accuser le sécularisme comme propagande anti-religion contre létat et contre le fondateur de la Turquie Ataturk. Dans la nouvelle version, il nest pas fait mention du sécularisme mais on y accuse les fondamentalistes dessayer de perpétrer des actes anti-scientifiques en rejetant les valeurs progressistes pour le retour dun système médiéval. Un autre dirigeant dune division du syndicat des enseignants, dit que le changement reflète lintervention du parti au pouvoir, Justice et Développement, dans le programme denseignement, dans le but de défendre les vues politiques islamiques. Les fondamentalistes disent quAlévis et athées cest la même chose, et ils condamnent Ataturk pour avoir instauré un système séculaire en Turquie. Mais ces détails ont disparu, ce qui rend difficile lenseignement du fondamentalisme en Turquie de façon concrète. La nouvelle version cite la déclaration dAtaturk qui prévenait que des personnes et des groupes souhaitant le retour au passé se dressaient devant la république. Le chapitre soutient que les fondamentalistes ont été une menace depuis linstauration de la république. Les coups détat militaires Le nouveau chapitre en réfère aux coups détat de 1960, 1971 et 1980 comme ayant suspendu le cours de la démocratisation du pays et ajoute que leurs conséquances négatives ont été corrigées par des changements à la constitution, des lois nouvelles sur les partis et des réformes plus larges. Les deux pages étaient consacrées aux coups détat dans le chapitre original ont été remplacées par deux phrases. La section concernant la déclaration du 28 février 1996 écrite par le militaire qui amena la chute du gouvernement de coalition, dénommée coup détat post moderne, a été enlevée purement et simplement. Selon un autre chef du syndicat des enseignants, le retrait des coups détat du cours est une bonne chose parce que la version précédente présentait ces coups détat comme des actes raisonnables et légitimes. Parmi les sections qui nont pas été reprises dans le nouveau chapitre on trouve celles où étaient mentionnés les anciens présidents Turgut Ozal et Suleyman Demirel et lancien premier ministre Bulent Ecevit. Les missionnaires Lactivité des missionnaires étaient incluses dans les sections sur les menaces au pays et les menaces fondamentales. On y écrivait lactivité des missionnaires nest pas une simple activité de prolifération religieuse. Elle ne peut être légitimée par la liberté de pensée ou la liberté dexpression. Cest un mouvement systématique et organisé tendant à forcer les individus à changer de religion. Lactivité des missionnaires comporte également des perspectives politiques, économiques et culturelles ; elle est soutenue par les ONG et par des forces étrangères.. Les missionnaires exploitent les problèmes économiques individuels et constituent une menace pour lunité nationale et la souveraineté. Les Arméniens La section Pourquoi les Arméniens sont-ils un problème ? a été changée en Relations Turco-Arméniennes. La nouvelle section liste les activités terroristes des années 70 et 80 dirigées contre les diplomates turcs et note que la Turquie a ouvert ses archives sur les incidents de 1915. Le journal Aksam relève que ces changements se produisent au moment ou la Turquie et lArménie essayent daméliorer leurs relations bilatérales. Traduction : Gilbert Beguian
HYPERLINK "http://www.armenews.com/article.php3?id_article=51004" http://www.armenews.com/article.php3?id_article=51004
Fusillade meurtrière à Istanbul
27/04 13:24 CET Les forces de lordre turques ont déployé ce matin les gros moyens pour venir à bout dun activiste dextrême gauche retranché dans un appartement de la rive asiatique de la ville dIstanbul. Daprès le ministre de lintérieur, trois personnes sont mortes, dont un policier et un civil. La fusillade, qui a éclaté très tôt, a duré 6 heures. Plusieurs policiers ont été blessés ainsi quun cameraman. Lactiviste serait lun des chefs de lorganisation clandestine, commandement révolutionnaire. Il disposait dune important quantité de munitions et dengins explosifs. Daprès le gouverneur dIstanbul, la police a mené durant la nuit une soixantaine de raids contre des militants suspectés de planifier des attaques spectaculaires. Selon les média turcs, une quarantaine de personnes ont été arrêtées dans tout le pays.
HYPERLINK "http://fr.euronews.net/2009/04/27/fusillade-meurtriere-a-istanbul/" http://fr.euronews.net/2009/04/27/fusillade-meurtriere-a-istanbul/
Plusieurs blessés à Istanbul dans des raids contre des activistes
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 27.04.09 | 11h04 Sept policiers turcs et deux civils ont été blessés, lundi 27 avril, dans une fusillade à Istanbul lors d'une opération contre une cellule d'activistes d'extrême gauche, indiquent les autorités. La police, lourdement armée, a lancé un raid avant l'aube contre un appartement situé dans la partie asiatique de la ville. Le bâtiment, d'où s'échappait une épaisse fumée, était survolé dans la matinée par des hélicoptères. Les forces de l'ordre ont mené durant la nuit une soixantaine de raids contre des activistes d'extrême gauche soupçonnés de préparer des "attaques spectaculaires". La police a fait état d'une cinquantaine d'arrestations dans sept villes de Turquie, selon l'Agence anatolienne de presse. Outre les séparatistes kurdes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), plusieurs groupes armés d'extrême gauche ainsi que des groupes radicaux islamistes sont actifs en Turquie.
HYPERLINK "http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/04/27/plusieurs-blesses-a-istanbul-dans-des-raids-contre-des-activistes_1185860_3214.html" http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/04/27/plusieurs-blesses-a-istanbul-dans-des-raids-contre-des-activistes_1185860_3214.html
Littérature turque : lever les tabous à Istanbul
Lisbeth Koutchoumoff lundi 27 avril 2009 - 07:00 Le Salon du livre de Genève ouvre ses portes mercredi avec la Turquie comme hôte dhonneur. Rencontre à Istanbul avec trois écrivains qui mettent des mots sur les traumas du pays. Les écrivains turcs seront à lhonneur au 23e Salon international du livre et de la presse de Genève qui ouvre ses portes mercredi. Ils seront une dizaine dhommes et de femmes, romanciers, auteurs de polars, caricaturistes et traducteurs, à raconter, par leur seule présence, une histoire peu connue en Europe. Celle de lincroyable pugnacité du milieu littéraire et intellectuel turc, de sa flamme créative, de sa foi dans la force et lindépendance de lesprit contre toutes les oppressions. Lan dernier, cétait la Foire du livre de Francfort, la plus importante du monde, qui invitait la Turquie et savouait soufflée par la vague : 300 écrivains et éditeurs, avec en tête, bien sûr, Orhan Pamuk, Prix Nobel de littérature 2006, lamoureux dIstanbul qui lui préfère depuis peu les Etats-Unis, et qui prend régulièrement la parole sur les sujets à vif comme le sort des Arméniens durant la Première Guerre mondiale. Ou comme la liberté dexpression. Dans son discours inaugural, tenu droit dans les yeux du président Abdullah Gül, lauteur de Mon Nom est Rouge et du Livre noir rappelait que « lhabitude du gouvernement de poursuivre les écrivains et leurs livres demeure. Larticle 301 du Code pénal continue dêtre employé pour réduire au silence les écrivains de la même façon quil a été employé contre moi. Mais nallez pas croire que les écrivains et les éditeurs se découragent pour autant ! » a conclu lécrivain, saluant léclat actuel du marché du livre turc, dopé par une croissance jamais vue jusquici. Le président, à laise, a applaudi à la fin. En ce début avril à Istanbul, le soleil perce enfin après plusieurs jours de grisaille. La capitale économique et culturelle de la Turquie sébroue. Ne pas baisser les bras, disait Pamuk. Lexpression semble avoir été inventée pour Müge Sökmen. A quelques rues de la place Taksim, cur du quartier européen dune ville à cheval sur lEurope et lAsie, la maison dédition quelle a fondée en 1982 avec son mari et cinq autres amis étudiants sétire sur plusieurs étages. Metis simpose depuis vingt-six ans comme la plus prestigieuse maison littéraire du pays. Cest la pause de midi. Lambiance est feutrée jusquà ce que Müge Sökmen commence à parler et à rire. Quand Metis a été créée, la Turquie nétait pas encore sortie de sa descente aux enfers dont le coup dEtat militaire du 12 septembre 1980 et les deux années de répression qui suivirent constituèrent le point dorgue. Six cent mille personnes ont subi la torture. Lélite intellectuelle du pays est décimée. Toute vie artistique stoppée. Les écrivains réduits au silence. On peut concevoir période plus propice pour ouvrir une maison dédition. « Nous avions raté la révolution, mais nous voulions résister et surtout maintenir vivant le débat intellectuel. » Avec une direction tournante pour éviter que les risques ne pèsent sur un seul membre du groupe, avec une équipe davocats de pointe pour contrer les procès, léquipe traduit les récits dopposants dIrlande, dAfrique du Sud et de Palestine. Les grands textes de lEcole de Francfort aussi. Le bouche-à-oreille assure la promotion. « Pour chacun des titres, lavis de nos avocats était négatif. Mais nous décidions dy aller quand même. » Vingt ans plus tard, face à des collègues éditeurs américains désemparés devant les menaces que le Patriot Act post-11 septembre faisait peser sur leur liberté de publier, Müge a souri et leur a dit : « Just do it. Publiez quand même. Et ayez de bons avocats. » Une nouvelle génération Depuis cinq ans, léditrice assiste avec bonheur à léclosion de cette nuée de nouveaux talents qui caractérise la scène littéraire actuelle. « Ils sont les enfants de celles et ceux qui ont subi le coup dEtat. Je suis touchée par le regard quils portent sur les événements que nous avons traversés et dont, souvent, ils ont subi les conséquences. Et puis, surtout, ils ont décidé de parler, eux. » Parmi cette nouvelle génération, trois auteurs ont marqué les esprits dès leur premier roman. Chacun à leur façon, ils évoquent un besoin vital daffronter les traumas historiques du pays, de lever les tabous et toutes les frontières. Murat Uyurkulak, 36 ans, homme en colère. Deux romans coup de poing à son actif. Les fenêtres panoramiques donnent sur les toits de Kurtuluç Sondurak, quartier grec franchement populaire, et sur le ciel qui est redevenu gris. Lappartement déploie des airs de vaisseau fantôme. « On oublie souvent les conséquences intimes des drames politiques. Leurs effets sur les enfants notamment. Ma famille a explosé suite au coup dEtat militaire. » Murat Uyurkulak semble habité par un volcan intérieur. Il a écrit Tol (mauvais garçon en kurde), son premier roman, comme on pousse un cri. Sa langue argotique, très travaillée, a saisi les lecteurs à la parution en 2002. Tout comme lévocation sans fard du coup dEtat et de la guerre contre les Kurdes. « Mes parents étaient des instituteurs modestes, des militants de gauche. Je me souviens très bien de la lumière dans leurs yeux et dans ceux de leurs amis lorsquil y avait des fêtes à la maison. Cette lumière sest éteinte avec le coup dEtat. Mes parents ont été torturés. Lhorreur a détruit leur couple. Ils ont perdu la guerre face aux militaires. Que faire avec cet échec ? Comment y survivre ? Ce qui a le plus touché dans mon roman, je crois, cest que jaffirme que la génération sacrifiée de mes parents avait raison de se battre. » Tol paraîtra en français cet automne aux Editions Galaade. Ce roman na pas valu de procès à son auteur. Explications de Müge Sökmen, son éditrice : « Ce sont les auteurs de gros best-sellers qui sont menacés et, parmi eux, ceux qui ont capté lattention de lOccident et qui sont du coup perçus comme des agents déstabilisateurs du pays ou allez savoir quoi, explique-t-elle. Ces procès prennent une énergie folle et coûtent de largent, mais il sagit plus dun harcèlement que dune réelle menace. » Murat milite à son tour. Anarchiste-communiste, le meilleur des mélanges selon lui. Har, son deuxième roman, suit la transformation de la société multiculturelle de lEmpire ottoman finissant en un monde monoculturel. « Malgré les massacres et les persécutions, le rêve de lélite kémaliste a échoué. Il reste, certes très peu, mais il reste quand même des Grecs et des Arméniens en Turquie. Il nous faut regarder nos traumas en face, reconnaître nos fautes envers les minorités du pays, nous débarrasser de nos fantômes. Ces dénis de lhistoire empêchent dappréhender lautre normalement, quil sagisse des minorités ou des femmes et des homosexuels. Cela ne fera pas revenir les morts mais nous pourrons enfin commencer une nouvelle vie, nous débarrasser du contrôle des militaires sur le pays, nous défaire du nationalisme et de tous ces dirigeants stupides. » Sema Kaygusuz, 36 ans, chamane, a écrit un premier roman plein décume. La grand-mère joue un rôle capital ici. Chaque année, Sema Kaygusuz passait quinze jours chez elle à Samsun sur les bords de la mer Noire. Et lécoutait dévider les légendes anatoliennes à spirales. Elle la regardait vivre aussi selon les rites alevis, ce mariage entre chiisme, soufisme et antiques religions des Turcs dAsie centrale, soudées au rythme des saisons et des récoltes. Un culte suivi par un tiers des habitants du pays et cause récurrente de persécutions puis de discriminations. A la naissance de sa petite-fille, la grand-mère a planté un figuier. A la mort dun oncle, elle a fait creuser une tombe supplémentaire pour accueillir le djinn qui le suivait. « Jobservais ces deux tombes comme la démonstration dune peine immense », se souvient Sema. Face à la grand-mère rêveuse, un père officier aux pensées de gauche qui se retrouve dès lors relégué avec sa famille dans des garnisons à la Dino Buzzati, aux confins du pays. On comprend mieux le souffle qui séchappe de La Chute des prières, son premier roman (Actes Sud, 2009). Avec une énergie de chamane, elle tresse un maillage de mythes inventés, puisés à la source grecque, mésopotamienne et anatolienne. Il y est question de linitiation dune jeune femme qui séchappe petit à petit des malédictions familiales. Pour y parvenir, dans le vent violent dune île de la mer Egée, le personnage réécrit la geste familiale. Sema Kaygusuz déploie alors cette écriture en boucles oniriques où chaque phrase semble porter en elle la suivante, où temps et espace se fondent, où les générations se dissolvent. Lintime multiplicité des êtres, tel est lémerveillement nécessaire, loin de toute barricade officielle. Et la zone franche où sélaborent les romans simpose comme le terrain vague magique doù peuvent naître toutes les libertés. « Intérieurement, je me sens dabord appartenir au monde et pas turque. Je ne veux pas non plus être limitée à la culture alevis. Ni voir mon univers défini par des concepts politiques. Mon enfance a été paradisiaque. Puis à 10 ans, je me suis retrouvée lenfant dune dictature, puis à 30 ans, citoyenne dun soi-disant Etat de droit. » Sema regarde le petit jardin qui se déploie devant son appartement au rez-de-chaussée. Bulle de calme dans le district de Besiktas connu pour son club de foot et son stade. Il est 16h, Sema a rendez-vous avec Birhan Keskin, jeune poétesse dont les vers résonnent de plus en plus largement en Turquie. Volontiers chamane aussi, lassée des rigidités désignées comme civilisées, Birhan aspire à un retour à la crudité barbare. Pour le moment, les deux femmes mangent des poissons tout juste pêchés dans lestuaire de la Corne dor. Le soleil fatigué vire au rouge. Les minarets se découpent dans la lumière bleue du soir. « Jai la conscience aiguë décrire aussi au nom des écrivains de la génération précédente qui ont été réduits au silence. Nous traversons une période faste sur le plan culturel. Et sur celui des libertés aussi malgré tout. Je suis fière des écrivains de mon âge. Beaucoup de voix fortes, indépendantes, montent. » "La Turquie a besoin de lEurope mais lEurope a aussi besoin de la Turquie." Les pêcheurs sactivent sur le pont Galata juste au-dessus. La visite de Barack Obama a passablement perturbé le trafic tout au long de la journée. Et lEurope, on y pense encore ? « La Turquie a besoin de lEurope mais lEurope a aussi besoin de la Turquie. Le peuple turc change très vite tandis que le système politique est englué dans une sorte de dictature molle. LEurope demeure une chimère tant quon nen sera pas sorti. » Asli Erdogan, 42 ans, ex-ballerine, ex-physicienne. Auteure culte. A écrit six romans trempés de violence. Retour à la place Taksim. La nuit est bien tombée. Les voitures tournent. Lavenue Istiklal à deux pas, longue avenue piétonne traversée par un tram 1900, résonne toutes boutiques allumées. Asli Erdogan a choisi un café bondé à côté du grand hôtel Marmara, rutilant de lustres géants. Ambiance branchée épuisante. « Cétait un vieux café qui a été complètement refait. A la table, là au fond, le poète Onat Kutlar a été victime dune bombe en 1995. On na jamais très bien su qui lavait tué. Il y avait une petite plaque commémorative mais elle a été enlevée pendant les travaux de réfection. La Turquie se construit sur loubli. Et sur le déni, la pire violence que lon puisse infliger aux victimes. » A 24 ans, Asli Erdogan était une physicienne surdouée qui écrivait une thèse sur le boson de Higgs au CERN à Genève. « Jétais la seule femme dans léquipe réputée la meilleure du monde. Le machisme, le stress, la compétitivité à outrance, jai vécu deux années denfer. » Une nuit, elle rentre dans sa chambre de bonne à Genève, dans la Vieille-Ville, et écrit jusquau matin. Cinq mois durant, elle tiendra ce rythme. Boson de Higgs le jour, écriture la nuit. Cela donnera Le Mandarin miraculeux (Actes Sud, 2006), une nouvelle déambulatoire à lécriture encore jeune mais où perce déjà cette violence intérieure, presque insoutenable, sa marque. Retour en Turquie. La physique est mise dans un tiroir. Pour vivre elle donne des cours de ballet. Et tombe amoureuse dun Africain. Elle découvre alors la communauté africaine dIstanbul et les exactions quelle subit. Notamment, un camp de détention sauvage où des prisonniers sentassent sans procès. Elle en fait sa cause. Au point de mettre sa vie en danger. Elle doit quitter le pays au plus vite. Un ami scientifique de Genève lui trouve in extremis un poste à Rio. Elle ny reste pas longtemps. Danse encore, donne des cours de langue. Erre surtout dans la mégapole brésilienne. Rentre en Turquie et écrit La Ville dont la cape est rouge (Actes Sud, 2003), son chef-duvre, flamboyante et sensuelle noyade dans Rio, qui lui vaut une reconnaissance immédiate en Turquie et au plan international. Elle tient une chronique dans le journal Radikal. Sattelle à tous les sujets brûlants : lutte des Kurdes, tortures, conditions de détention, viols, etc. Elle intervient particulièrement au moment des grèves de la faim des prisonniers fin 2000 et début 2001. Radikal la remercie en mars de la même année. « Je ne comprends pas que la Turquie nait pas encore eu son grand roman sur le coup dEtat, sur la guerre contre les Kurdes, sur les Arméniens. Les Latino-Américains le font. Pourquoi pas nous ? » Les yeux dAsli Erdogan lancent des lueurs habitées. Elle écrit en ce moment. Un roman sur la torture. Fille de torturés, ce sera la première fois quelle aborde de front la question. « Jai grandi dans un milieu familial violent. Mon père est de gauche mais il est nationaliste. Il est en guerre ouverte contre moi depuis que jai signé la pétition sur les Arméniens et les Kurdes. » Depuis quelle écrit son roman, des douleurs effroyables ont surgi dans sa nuque. Diagnostic : quatre hernies discales qui lempêchent de tenir sa tête droite. Des mois de traitement. Avec quinze ans de retard, les violences policières quelle a subies juste avant son départ pour Rio irradiaient son corps. « Cela veut dire que mon livre touche juste, cest plutôt bon signe. » On remarque alors une petite minerve posée sur la table. « Au bout dune heure assise, je dois la mettre. » Ce ne sera pas nécessaire. Elle sort, happée par les bruits de Taksim. Asli Erdogan va retrouver les cris qui ne cessent de strier lécriture de son roman. Elle va marcher peut-être un peu dabord. Le long du Bosphore qui scintille, beau à pleurer.
HYPERLINK "http://www.letemps.ch/Page/Uuid/13d52602-2b8e-11de-b8c0-17fbb2530ca1/Lever_les_tabous_%C3%A0_Istanbul" http://www.letemps.ch/Page/Uuid/13d52602-2b8e-11de-b8c0-17fbb2530ca1/Lever_les_tabous_%C3%A0_Istanbul
La censure contre Nedim Gürsel
Article paru le 27 avril 2009 Turquie . Un procès en sorcellerie est intenté à lécrivain pour son ouvrage les Filles dAllah. Cest un très mauvais point pour la Turquie au moment où ce pays vient encore de réaffirmer, mardi à Prague, sa volontéhttp://collectifvan.org/send_art.php3?r=0 dintégrer lUnion européenne : un procès contre lécrivain Nedim Gürsel va souvrir le 5 mai à Istanbul. Objet du délit : son dernier livre, paru en Turquie il y a un an, et qui doit être traduit et publié au Seuil en octobre prochain, les Filles dAllah. Un ouvrage qui a rencontré un grand succès en Turquie où il a déjà été vendu à plus de 30 000 exemplaires, mais dont le titre a évidemment attiré lattention des milieux islamistes et intégristes, toujours à laffut. « Le procès quils mintentent, explique Nedim Gürsel, se fonde sur larticle 216, alinéa 3, du Code pénal turc qui punit de six mois à un an de prison "quiconque aurait dénigré les valeurs religieuses dune partie de la population". Jai fait une lettre ouverte publiée dans la presse turque pour expliquer que je respecte la religion mais que jestime avoir le droit de la critiquer. Cela a fait beaucoup de bruit dans la presse qui, en général, a fait de très bonnes critiques de mon livre. Ce qui minquiète, cest que le petit groupe dintégristes qui sest fait une spécialité dattaquer les écrivains et les intellectuels ait obtenu quune nouvelle enquête soit ouverte alors que lété dernier le procureur avait prononcé un non-lieu. Cela veut dire quil y a des gens prêts à tout pour me punir dune façon ou dune autre. » Ce qui est largement aussi inquiétant, cest que le bureau chargé des affaires religieuses rattaché au cabinet du premier ministre Erdogan soit dans le coup dune attaque qui sapparente à un procès en sorcellerie. « Je suis dautant plus surpris, dit Nedim Gürsel, que M. Erdogan a tout récemment promis, lors de la réhabilitation officielle du grand poète Nazim Hikmet, condamné à la prison et à lexil pour ses écrits, quil ny aurait "plus jamais en Turquie de procès de ce genre". » Ironie du sort : Nedim Gürsel est lun des principaux spécialistes du grand poète turc dont loeuvre est un des objets de ses recherches au CNRS et de son enseignement à Paris où il vit depuis plus de trente ans. Ce nest pas la première fois que lécrivain a à faire avec la justice de son pays pour des raisons de censure. Deux de ces romans, Un long été à Istanbul (1980) et la Première Femme (1986), lui ont déjà valu des procès retentissants. « Mais, dit-il, avec les progrès accomplis par la Turquie pour se rapprocher des normes de la législation européenne, je croyais ces temps-là révolus. » La déception est dautant plus grande chez lécrivain quil est un fervent partisan de ladhésion de son pays à lUnion européenne. Il vient justement de publier - pour la première fois directement en français - un essai en ce sens intitulé la Turquie, une idée neuve en Europe (1). Quand au roman incriminé, les Filles dAllah, il sagit dune oeuvre inspirée par sa propre enfance. Il y raconte linitiation à lislam dun jeune garçon par son grand-père, aimé, admiré et très pieux, qui lui lit et lui décrypte le Coran. Un petit garçon fasciné par limagerie du livre sacré, effrayé par lenfer, mais qui perdra la foi et posera sur lislam des questions qui, aujourdhui encore, restent interdites dans bien des pays musulmans
même si comme la Turquie ils se veulent laïques. (1) La Turquie, une idée neuve en Europe. Empreinte, 15 euros, 155 pages. Françoise Germain-Robin
HYPERLINK "http://www.humanite.fr/2009-04-27_International_La-censure-contre-Nedim-Gursel" http://www.humanite.fr/2009-04-27_International_La-censure-contre-Nedim-Gursel
Turquie: Vers un remaniement ministériel
24/04/2009 - 13:17 Le Premier ministre turc Tayyip Erdogan prévoit de procéder à un remaniement ministériel dans les prochains jours, après les mauvais résultats électoraux enregistrés par son parti le mois dernier. Erdogan n'aurait pas encore effectué de désignation sur la liste gouvernementale qu'il devra présenter au président Abdullah Gul. Ce remaniement ne devrait pas apporter de grands changements dans la politique économique de la Turquie, bien que les médias locaux anticipent un départ du ministre de l'Economie Mehmet Simsek.
HYPERLINK "http://www.lejdd.fr/cmc/scanner/international/200917/turquie-vers-un-remaniement-ministeriel-_204289.html" http://www.lejdd.fr/cmc/scanner/international/200917/turquie-vers-un-remaniement-ministeriel-_204289.html
Quand le cinéma rencontre les droits de lHomme au Festival international du film dIstanbul
lundi 27 avril 2009 « Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler dautre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout », a dit un jour Jean-Luc Godard. Le Conseil de lEurope, dont les objectifs sont entre autres la promotion des droits de lHomme et la recherche de solutions communes aux problèmes de société, comme lintolérance, la discrimination, la violence, a trouvé un vecteur privilégié pour souvrir à un large public : le cinéma. Le 28ème Festival international du film d Istanbul, créé en 1982, s est déroulé du 4 au 19 avril 2009. Depuis 1985, lors de ce Festival, est décerné le prix de la tulipe d or « Alt1n Lale » aussi bien à des films en compétition dans différentes catégories (meilleur film étranger ou meilleur film turc) quaux réalisateurs et aux acteurs. Depuis 2007, le Conseil de lEurope décerne un nouveau prix lors de la cérémonie de clôture du Festival : le prix FACE. Une sculpture en bronze (création « spirale de lélévation » de Freddy Ruhlman) et une somme de 10 000 euros financée par Eurimages (fond du Conseil de lEurope pour laide à la coproduction, à la distribution et à lexploitation duvres cinématographiques européennes) récompensent les lauréats de ce prix. Les membres du jury, qui composent la section des droits de lHomme du Festival, récompensent un réalisateur qui sensibilise le public aux questions des droits de lHomme et contribue à en faire comprendre limportance. Ainsi, dans une ville construite sur deux continents, le Festival international du film dIstanbul et le Conseil de lEurope allient culture et droits de lHomme, et contribuent par là même à cette mission de diffusion dinformation et de promotion au plus grand nombre. En avril 2007, le commissaire aux droits de lHomme du Conseil de lEurope en personne a décerné ce prix au réalisateur mauritanien, Abderrahmane Sissako, pour son film «Bamako» qui montre que «légalité, le plein respect des droits de lHomme et la participation active des citoyens ordinaires sont nécessaires pour garantir la justice sociale et le développement social et économique». En avril 2008, la Secrétaire générale adjointe du Conseil de lEurope, Madame Maud de Boer-Buquicchio, a récompensé cette fois le réalisateur, Li Yang, pour son film «Blind Mountain». Parmi les 10 films en compétitions cette année, le réalisateur, Marco Berchis, a reçu le prix FACE pour son film «Birdwatchers». Selon le jury : « Dans un monde dont les frontières ne cessent de reculer, le respect des populations autochtones et des minorités est essentiel. Le film Birdwatchers véhicule ce message(
) ». De plus, un prix spécial du jury a été décerné à Nandita Das, pour son film «Firaaq», qui traite de lintolérance religieuse et des querelles sectaires. Cette initiative fait donc particulièrement la promotion de films qui traitent de questions sensibles comme lintolérance, les minorités, la discrimination envers les femmes, légalité de droit
Bilgehan ERCOK Publié par OVIPOT
HYPERLINK "http://ovipot.blogspot.com/2009/04/quand-le-cinema-rencontre-les-droits-de.html" http://ovipot.blogspot.com/2009/04/quand-le-cinema-rencontre-les-droits-de.html
NEGATIONNISME
Négationnisme - Un Autrichien condamnée à 5 ans de prison
Actu France Soir, le mardi 28 avril 2009 à 09:58 L'auteur et idéologue autrichien Gerd Honsik a été condamné lundi à cinq de prison pour négation de l'Holocauste et diffusion de propagande nazie. Honsik, 67 ans, a été condamné à l'issue de trois jours de procès marqués par ses protestations véhémentes. L'auteur s'était distingué par le passé dans les pages de son magazine Halt et à travers plusieurs ouvrages. Honsik se définit lui-même comme un social-démocrate attaché à sa liberté d'expression, qu'il dit bafouée, et explique qu'il rejette seulement "l'idéal qui diabolise le national socialisme". Il assure en outre n'avoir jamais nié l'existence des chambres à gaz dans lesquelles six millions de juifs ont été exterminés, mais dit ne pas croire à leur véracité "puis qu'il n'a pas pu vérifier lui-même". Le procureur Stefan Apostol, qui le considère comme "un des leaders idéologiques" du mouvement néo-nazi en Europe, souhaitait une peine plus longue pour Honsik en raison de son statut de récidiviste. Il avait déjà été condamné en 1992 pour des chefs d'accusations similaires mais avait profité de l'appel de la décision pour fuir l'Autriche. Il avait trouvé refuge en Espagne où il a profité de sa liberté pour diffuser sur internet de nouveaux écrits promouvant le nazisme. Ces publications lui ont valu d'être de nouveau poursuivi puis extradé vers l'Autriche après deux refus initiaux de Madrid, a précisé le parquet.
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SHOAH
Le bloc-notes de Bernard-Henri Lévy - Pourquoi il faut commémorer les morts de la Shoah
Publié le 23/04/2009 N°1910 Le Point Bernard-Henri Lévy Ne faut-il pas, demandent certains, laisser les morts enterrer les morts et l'oubli, le bon oubli, cicatriser les blessures du passé ? Oui, bien sûr, il le faut. Et rien n'est, d'ailleurs, plus conforme aux commandements de la Torah que cette injonction évangélique d'enterrer vite, une fois pour toutes, les morts. Sauf... Oui, sauf quand ce sont des morts qui ne sont, justement, pas enterrés. Sauf quand ce sont des morts dont la mort même impliquait qu'elle fût sans tombe. Sauf quand ce sont des morts dont il était prévu qu'ils ne laissent, nulle part, de trace. Alors, oui, il appartient aux vivants d'être les tombeaux vivants de ces morts. Et alors oui, par exception, il est du devoir des survivants de porter en eux le souvenir de ces pères qui auront, à jamais, l'âge de leurs enfants. Nous sommes les tombeaux de nos pères... Ces morts, ces pauvres morts, ont de grandes douleurs... Ce sont les mots de Baudelaire. C'est le cas de la Shoah. Ce crime, dit-on encore, fut un grand crime. Mais où voyez-vous qu'il soit plus grand que d'autres ? et pourquoi, dans cette suite de crimes qu'est l'histoire des hommes, cette place d'exception ? Il ne s'agit pas de cela, naturellement. Et rien n'est plus étranger à la tradition juive que cette idée d'établir, entre les morts, quelque hiérarchie que ce soit. Sauf qu'il s'est produit là un événement sans précédent. Et c'est un projet de mise à mort qui impliquait, non seulement l'absence de trace, mais l'impossibilité pour les victimes de trouver un lieu, un seul, où se dérober à leurs bourreaux. Les victimes des autres génocides pouvaient, en théorie, et pour peu qu'ils trouvent asile dans un pays voisin, échapper aux assassins. Pas d'échappatoire pour les juifs. L'Europe entière et bientôt, en théorie, le monde devenus un piège immense. Une extermination-c'est cela qu'elle eut de singulier-qui, parce qu'elle se voulait sans reste, ne laissait aucun recours. Cette notion d'extermination sans reste est importante pour une autre raison, concrète-et cette raison, c'est Israël. Car, à nouveau, on entend : « oui, d'accord, un crime ; oui, à la rigueur, un crime singulier ; mais les survivants de la tragédie, pourquoi les avoir installés dans la seule partie du monde qui ne trempa pas dans le crime et qui est le monde arabe ? » Réponse, encore : c'est le monde même qui fut ce piège ; il n'y eut pas une partie du monde où ne souffla le mauvais vent de cette mort ; et le monde arabe ne fut pas en reste dans ce projet d'extermination sans reste. Nous avons, aujourd'hui, toutes les informations sur la question. Nous avons les Mémoires du grand mufti-hitlérien-de Jérusalem. Nous avons les travaux des historiens racontant la légion SS arabe attendant-derrière l'armée de Rommel-le moment de foncer exterminer les juifs déjà installés en Palestine. Nous savons, en d'autres termes, que le nazisme fut une idéologie mondiale qui connut des versions nationales et, en particulier, une version arabe-et c'est, aussi, à rappeler cela que sert de commémorer la Shoah. J'écris ces lignes le 20 avril 2009. On aurait pu, pour fixer cette commémoration, choisir le jour de l'ouverture des camps. Ou celui de la conférence de Wannsee. Ou n'importe quel autre jour témoignant du martyre juif. Or non. C'est le 27 nisan de l'année hébraïque-cette année, le 20 avril et le jour anniversaire, donc, de l'insurrection du ghetto de Varsovie-qui a été choisi. Et, dans les âpres débats qui présidèrent à ce choix, ce détail n'échappa bien sûr à personne. Ce qu'il signifiait ? Que l'on voulait briser le cliché d'un peuple allant à la mort comme bêtes à l'abattoir. Que l'on voulait célébrer ces épisodes héroïques que furent les révoltes de Sobibor, Birkenau, Treblinka. Que l'on entendait, autrement dit, commémorer un massacre mais également une résistance. Pour moi qui suis fils, non de déporté, mais de résistant, cette volonté est essentielle. Elle invite à se souvenir qu'il y a toujours, jusque dans la nuit la plus noire, lieu de s'insurger et d'espérer. Un dernier mot. Puisque nous en sommes aux questions de calendrier, il y a un vrai hasard, en revanche, qui fait que s'est ouvert, le même jour, dans la même ville, la conférence « antiraciste » de Durban II. Et il s'est trouvé, derechef, des voix pour dire : « ne craignez-vous pas, en vous fixant sur les génocides anciens, de manquer ceux qui adviennent, ici, maintenant, sous vos yeux ? » Eh bien non, bien sûr, cela n'est pas à craindre. Car, outre que ladite conférence tourna (j'y reviendrai) à la mascarade, outre qu'elle aura servi à un criminel nommé Ahmadinejad (j'y reviendrai, aussi) à salir le beau concept d'antiracisme, je retourne la question. Pourquoi les institutions vouées au souvenir de la Shoah se sont-elles toutes mobilisées pour le Darfour ? Pourquoi les premiers à avoir compris ce qui se passait au Rwanda furent-ils ceux qui, juifs ou non juifs, avaient la Shoah au coeur ? Pourquoi, quand le monde fermait les yeux sur le massacre des musulmans de Bosnie, revint-il à des hommes dont le seul point commun était d'avoir en tête le « plus jamais ça » d'Auschwitz de sonner le tocsin ? Ils n'étaient pas mieux informés que d'autres. Ils avaient juste une boussole. Une échelle du mal et du pire. Une sorte de radar qui leur signalait, chaque fois, la proximité de la Bête et son parfum caractéristique. C'est cela, le souvenir de la Shoah. Et c'est pour cela, encore, qu'il faut la commémorer
HYPERLINK "http://www.lepoint.fr/actualites-chroniques/2009-04-23/le-bloc-notes-de-bernard-henri-levy-pourquoi-il-faut-commemorer-les-morts-de-la-shoah/989/0/337474" http://www.lepoint.fr/actualites-chroniques/2009-04-23/le-bloc-notes-de-bernard-henri-levy-pourquoi-il-faut-commemorer-les-morts-de-la-shoah/989/0/337474
Message de prisonniers d'Auschwitz dans une bouteille: surprise du déporté français
MARSEILLE (AFP) - 27/04/2009 21h12 Albert Veissid, déporté français au camp nazi d'Auschwitz dont le nom figure dans un message caché dans une bouteille récemment retrouvée par des ouvriers polonais, a affirmé lundi à l'AFP "ne pas se rappeler de cette bouteille" même s'il n'a oublié aucun détail du camp. "Je ne me rappelle pas de cette bouteille. Et pourtant c'est bien mon nom qui est marqué sur ce message et mon numéro de matricule: 12063. Je ne peux pas l'oublier ce numéro puisqu'il est sur mon bras", a déclaré par téléphone M. Veissid à l'AFP. Agé de 84 ans, cet ancien employé du secteur de la confection originaire de Lyon a été déporté le 30 mai 1944 à Auschwitz. Il venait d'avoir 20 ans. Il vit aujourd'hui dans un village près de Marseille. Son nom ainsi que celui de six prisonniers polonais a été retrouvé sur un message écrit à la main en septembre 1944 et découvert récemment par des ouvriers qui abattaient une cloison à l'Ecole supérieure d'Oswiecim (Auschwitz en polonais, sud), un bâtiment qui pendant la guerre avait servi d'entrepôt aux gardes allemands du camp de concentration. "Les Polonais ont appelé ma petite-fille aujourd'hui pour lui parler de ce message. Je ne me rappelle pas de cette bouteille pourtant je n'ai rien oublié de la déportation. Je me souviens que des Polonais chrétiens travaillaient en haut, à l'étage, pour le ravitaillement du camp. J'ai fraternisé avec eux. Parfois, ils volaient des seaux de marmelade et je leur cachais. Ils me donnaient plus de soupe. Peut-être que l'un d'eux a marqué mon nom et mon numéro de matricule?", se demande-t-il. M. Veissid s'était inscrit comme maçon à Auschwitz et a travaillé à la construction d'un "abri-refuge" pour les Allemands, ce qui lui a permis, selon lui, d'échapper à l'extermination subie par les juifs du camp. © 2009 AFP
HYPERLINK "http://www.tv5.org/TV5Site/info/sommaire-2-Monde.htm" http://www.tv5.org/TV5Site/info/sommaire-2-Monde.htm
Simone Veil, une femme libre
Carine Bécard - Hier, 14:30 Le personnage est impressionnant, le parcours magnifique. Il nempêche, Simone Veil reçoit avec une très belle simplicité. A 82 ans, le discours est toujours aussi sûr et animé. Franc aussi ; pas de langue de bois chez cette miraculée dAuschwitz. Elle a accepté de témoigner sur France Info à loccasion de la journée du "Souvenir des déportés". Simone Veil nous est à tous connue. Que dire que nous ne sachions pas déjà ? Bien peu de choses, cela va de soi ! Elle est une femme qui sest battue - toute sa vie - dans des circonstances tellement différentes. Sans relâche. Et par conviction. Aujourdhui, cest une femme sans regret. Elle a su travailler et avancer : lancienne rescapée des camps nazis a commencé par beaucoup uvrer dans ladministration pénitentiaire. Un épisode quelle a vécu comme une nécessité, presque une thérapie. Sa vie politique lui a permis dagir... Mais ce quelle na jamais cessé de vivre comme une urgence, cest sa bataille pour la mémoire de Shoah. Jusquà son dernier souffle, elle sest promise de rappeler lhorreur inlassablement et au plus grand nombre, pour mieux lutter contre.
HYPERLINK "http://www.france-info.com/spip.php?article283343&theme=81&sous_theme=120" http://www.france-info.com/spip.php?article283343&theme=81&sous_theme=120
Cinq ans pour négation de l'Holocauste
28/04/2009 - 07:16 L'auteur et idéologue autrichien Gerd Honsik a été condamné lundi à cinq de prison pour négation de l'Holocauste et diffusion de propagande nazie. Honsik, 67 ans, a été condamné à l'issue de trois jours de procès marqués par ses protestations véhémentes. Il avait déjà été condamné en 1992 pour des chefs d'accusations similaires mais avait profité de l'appel de la décision pour fuir l'Autriche. Il avait trouvé refuge en Espagne où il a profité de sa liberté pour diffuser sur internet de nouveaux écrits. Ces publications lui ont valu d'être de nouveau poursuivi puis extradé vers l'Autriche. Honsik se définit lui-même comme un social-démocrate attaché à sa liberté d'expression, qu'il dit bafouée, et explique qu'il rejette seulement "l'idéal qui diabolise le national socialisme".
HYPERLINK "http://www.lejdd.fr/cmc/scanner/international/200918/cinq-ans-pour-negation-de-l-holocauste_205150.html?popup" http://www.lejdd.fr/cmc/scanner/international/200918/cinq-ans-pour-negation-de-l-holocauste_205150.html?popup
DARFOUR
Soudan : peine capitale pour 11 rebelles du Darfour
Onze rebelles du Mouvement pour la Justice et lEgalité (JEM) du Darfour ont été condamnés à mort pour détention illégale darmes et activités terroristes, a annoncé lundi, le juge Hafez Ahmed. Ces rebelles avaient lancé une violente attaque en février 2009 en vue de prendre le contrôle de la capitale, rappelle RFI. Lapplication du verdict de la condamnation à mort est subordonnée par sa confirmation en appel, puis par la haute juridiction soudanaise et sa signature par le président soudanais Omar El-Béchir. (Lundi 27 Avril - 12:57)
HYPERLINK "http://www.afrik.com/breve16182.html" http://www.afrik.com/breve16182.html
Ligue arabe : « Le Darfour au centre d'une réunion urgente des délégués permanents»
27-04-2009 à 22:11 EL MOUDJAHID M'beki souligne l'importance de la concertation avec la Ligue arabe en vue d'accélérer le règlement pacifique au Darfour. Une réunion urgente des délégués permanents à la Ligue arabe aura lieu demain pour traiter de la crise du Darfour et examiner le suivi des décisions du dernier sommet arabe de Doha, a annoncé hier la Ligue arabe. Cette réunion à été convoquée à la demande du Soudan qui préside actuellement le Conseil de la Ligue arabe, a déclaré le directeur de l'administration de l'organisation panarabe, M. Mohamed Zaïdi. Les pays arabes se sont engagés lors du sommet de Doha à allouer une aide financière mensuelle au Soudan qui s'étalera sur une année. Une commission de haut niveau de l'Union africaine, composée des anciens présidents sud africain, M. Thabo M'beki, nigérian, M. Abdou Salam Aboubakr et burundais, M. Pierre Boyoya, se trouve en Egypte pour mener des consultations avec ce pays et la Ligue arabe sur la question soudanaise. Cette commission s'attellera à "coordonner les efforts et consultations entre la Ligue arabe et l'UA en vue de réaliser paix et justice au Darfour", a souligné l'ancien président sud africain Thabo M'beki. M. M'beki a par ailleurs affirmé que sa réunion avec le secrétaire général de la Ligue arabe, M. Amr Moussa l'aidera à "réfléchir sur certaines propositions pour un règlement de la crise du Darfour" ajoutant que la commission se rendra à Ndjamena (Tchad), à Addis-Abeba puis à Doha pour appuyer ces efforts de paix. Le secrétaire général de la Ligue arabe a de son coté fait état d'efforts arabo-africains en cours pour le règlement de la crise du Darfour précisant que la Ligue arabe et l'UA partagent les mêmes points de vue quant à cette crise.
HYPERLINK "http://www.elmoudjahid.com/accueil/monde/33041.html" http://www.elmoudjahid.com/accueil/monde/33041.html
Soudan: au pays de Béchir, la dernière réforme de la presse passe mal
KHARTOUM (AFP) - 27/04/2009 10h35 Un projet de réforme de la presse au Soudan suscite une levée de boucliers, pour son aspect répressif, dans le plus grand pays d'Afrique où les journaux sont déjà passés chaque nuit au crible des censeurs d'Etat avant d'arriver en kiosque. Avec une trentaine de titres publiés chaque jour en arabe et en anglais, représentant différentes tendances politiques --communistes, islamistes radicaux, pro-gouvernementaux...-- la presse soudanaise montre le visage d'une incroyable diversité. Mais, chaque soir, les "éditeurs de l'Etat" passent dans les salles de rédaction pour purger les épreuves de sujets ou de prises de position sensibles pour le gouvernement, une censure à laquelle ne sont toutefois pas assujettis les correspondants étrangers. Or, un nouveau projet de loi encadrant la presse écrite a été soumis la semaine dernière à l'Assemblée nationale soudanaise. Ce texte, qui fait l'unanimité contre lui au sein des rédactions, survient à un moment critique au Soudan, pays de 39 millions d'habitants qui doit tenir en février 2010 ses premières élections générales --régionales, législatives et présidentielle-- depuis 1986. Il prévoit notamment des amendes allant jusqu'à 50.000 livres soudanaises (21.500 USD) contre les publications ou les journalistes en infraction, sans détailler ces infractions, et accorde au Conseil de presse le pouvoir de fermer des journaux. Cinquante mille livres soudanaises, "c'est une somme colossale", déplore Moheddine Titawi, président de l'Association des journalistes soudanais, qui qualifie "d'injustes" les pouvoirs accordés au Conseil de presse dont l'indépendance de surcroît n'est pas garantie par le projet de loi. "Ce projet de loi se concentre seulement sur des mesures punitives, il ne traite pas de la liberté d'expression et du droit du public à l'information", regrette Mohammed Abd al-Qadir, membre du comité éditorial du grand quotidien pro-gouvernemental Al-Rayy al-Aaam (L'opinion publique). L'organisation Human Rights Watch (HRW) a aussi critiqué ce projet de loi, estimant, dans un rapport récent, qu'il comportait des "mesures strictes" concernant l'enregistrement des médias, des sanctions onéreuses pour des infractions "vagues", et un Conseil de presse "manquant d'indépendance". "Ce projet de loi exige plusieurs amendements. Comment pouvons-nous aller aux élections sans une presse libre?", estime pour sa part Yasir Arman, chef du groupe parlementaire du Mouvement populaire de libération du Soudan (SPLM), principale formation représentant le Sud-Soudan au Parlement à Khartoum. Déjà, des médias se sont plaints d'un renforcement de la censure depuis l'émission le 4 mars du mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) contre le président Omar el-Béchir, pour crimes de guerre et contre l'humanité au Darfour (ouest), vaste région en proie à un conflit complexe. "Avant, les censeurs nous interdisaient de publier des articles sur certains sujets. Maintenant ils nous demandent pourquoi nous n'avons pas couvert la visite de Béchir (à l'étranger) ou des manifestations pro-Béchir. Ils veulent nous imposer un programme", peste Al-Haj Ali Waraq Sid Ahmad, directeur de la rédaction du quotidien Ajras al-Huriyya (Les cloches de la liberté). "A cause de la censure, les gens à Khartoum ne savent pas ce qui passe au Darfour", affirme l'éditeur, grillant cigarette sur cigarette dans les locaux du journal qui a été interdit de publication trois jours consécutifs mi-avril. Les parlementaires soudanais pourraient aussi revoir au cours des prochaines semaines une loi sur la sécurité nationale datant de 1999 qui confère entre autres aux services de renseignement le droit de censurer des journaux avant leur publication. © 2009 AFP
HYPERLINK "http://www.tv5.org/TV5Site/info/article-Soudan_au_pays_de_Bechir_la_derniere_reforme_de_la_presse_passe_mal.htm?idrub=13&xml=newsmlmmd.d3dfc2c8ea50d0215a4eb00b21d479c7.21.xml" http://www.tv5.org/TV5Site/info/article-Soudan_au_pays_de_Bechir_la_derniere_reforme_de_la_presse_passe_mal.htm?idrub=13&xml=newsmlmmd.d3dfc2c8ea50d0215a4eb00b21d479c7.21.xml
BULGARIE
Producteurs et consommateurs de gaz vont améliorer la sécurité énergétique
SOFIA - Une trentaine de pays producteurs et consommateurs de gaz d'Europe centrale et orientale, d'Asie centrale et du Moyen Orient se sont engagés samedi à améliorer la sécurité énergétique de l'Europe dans une déclaration adoptée à l'issue de leur sommet à Sofia. Il faut un "développement rapide d'infrastructures internationales pour le gaz, des gazoducs, des terminaux GNL et des installations de stockages stratégiques afin de garantir la diversification des approvisionnements en gaz de l'Europe de manière durable et viable", ont souligné les représentants des pays invités par le président bulgare Gueorgui Parvanov. Les participants à ce sommet, convoqué par la Bulgarie après avoir connu l'une de ses plus graves crises énergétiques en janvier avec l'interruption des livraisons de gaz russe via l'Ukraine, ont insisté sur le fait que "tous les pays de transit des flux gaziers devraient assurer un acheminement sans problèmes et une surveillance efficace de ces flux". "Nos efforts communs doivent être concentrés sur la création de partenariats stratégiques au niveau régional et mondial", ont-ils souligné. Sans citer les deux projets majeurs de gazoducs en discussion, Nabucco soutenu par l'UE et South Stream initié par Moscou, les participants au sommet de Sofia ont plaidé pour la réalisation de "tous les projets gaziers dans les régions de la Mer noire et de la Caspienne et du sud-est de l'Europe". L'idée est de favoriser "tous les projets d'infrastructures qui contribuent a importer des volumes importants de gaz en Europe, diversifier les sources d'approvisionnement et voies de distribution et réduire les risques y compris ceux du transit". La Bulgarie, totalement dépendante du gaz russe, n'en recevait plus du tout en janvier après la fermeture des vannes en Ukraine à cause d'une dispute sur les prix entre Gazprom et les Ukrainiens. Depuis Sofia tente d'obtenir des dédommagements mais sans succès car les intermédiaires refusent d'en porter la responsabilité. Aussi la déclaration a demandé "un mécanisme international efficace de règlements des différends pour traiter" ce genre de problèmes. (©AFP / 25 avril 2009 12h52)
HYPERLINK "http://www.romandie.com/infos/news2/090425105229.pobl9ik6.asp" http://www.romandie.com/infos/news2/090425105229.pobl9ik6.asp
USA/TURQUIE
Barack Obama se met à lécoute de la scène internationale
27/04/2009 20:24 Cela fera cent jours jeudi 30 avril que Barack Obama a accédé à la présidence des États-Unis. « La Croix » analyse les changements diplomatiques enregistrés depuis son arrivée à la Maison-Blanche Les changements Canada, Mexique, Europe, Turquie, Irak
les voyages à létranger effectués par Barack Obama depuis sa prestation de serment comme président des États-Unis le 20 janvier dernier sont en partie révélateurs des priorités de la Maison-Blanche. Cest surtout dans larc de crise sétendant du conflit israélo-palestinien au Pakistan que les principaux changements ont été visibles. En 100 jours au pouvoir, Barack Obama na pas obtenu la paix au Proche-Orient, mais il a montré sa volonté de simpliquer personnellement là où son prédécesseur George W. Bush avait volontairement tardé. Barack Obama a adopté la politique de «la main tendue» en direction de lIran et de la Syrie, invitées à «user dune influence modératrice» sur le Hamas palestinien, le Hezbollah libanais et les opposants sunnites au gouvernement chiite irakien de Nouri Al Maliki. Barack Obama a aussi décidé de conforter lÉgypte dans son rôle de médiateur dans le conflit israélo-palestinien. Dici à lété, le président Hosni Moubarak sera reçu à la Maison-Blanche, à la suite de Benyamin Netanyahou et de Mahmoud Abbas. Tout en rappelant le droit dIsraël à assurer sa sécurité, Barack Obama a réitéré sa conviction que la paix au Proche-Orient passe par la création dun État palestinien, en dépit de lhostilité affichée du gouvernement Netanyahou. « Jespère que dans les prochains mois nous commencerons à voir des gestes de bonne volonté de toutes les parties », a-t-il souhaité. En Irak, le président américain a réaffirmé le calendrier de retrait du gros des troupes américaines, dici à fin août 2010 et un retrait total avant la fin de 2011. En Afghanistan, il a annoncé une nouvelle stratégie et lenvoi de troupes américaines supplémentaires. Le dossier iranien bénéfice également dun traitement très particulier. Barack Obama essaie de renouer le dialogue par une série de messages envoyés aux dirigeants iraniens pour les convier au dialogue et en reconnaissant le poids de Téhéran dans les dossiers tels lIrak, lAfghanistan ou le conflit israélo-palestinien. Outre la Russie, avec laquelle un espoir de réduction des armements nucléaires renaît, lautre région où un changement de ton a été perçu est lAmérique du Sud. Barack Obama y a réussi son examen de passage et séduit nombre des dirigeants du continent. Au sommet des Amérique, le 17 avril, il a promis «un nouveau chapitre de dialogue» dégal à égal entre les États-Unis et les pays de la région. Il sest dit prêt à dialoguer avec Cuba, tout en écartant pour lheure une levée rapide de lembargo. À la surprise générale, il a même serré la main du président vénézuélien, Hugo Chavez, grand pourfendeur des États-Unis. La méthode Sur les grands dossiers internationaux, Barack Obama a imprimé sa marque : une modestie affichée, le ton calme et posé, le sens de lécoute et la recherche du consensus. Dans un premier temps, le président américain sest fixé comme ambition de changer limage de lAmérique, mise à mal par la politique extérieure de son prédécesseur George Bush. Il sest rendu en Turquie notamment pour sadresser au monde musulman : « les États-Unis ne sont pas et ne seront jamais en guerre contre lislam », a-t-il lancé. Sur le Proche-Orient, son approche du dossier est diamétralement à lopposé de celle de George Bush qui a longtemps refusé de simpliquer directement dans le processus de paix israélo-palestinien avant de le relancer fin 2007 à Annapolis. « Lhistoire montre quun engagement robuste et continu des États-Unis peut réduire les clivages et créer les capacités qui permettent des progrès », a déclaré Barack Obama. Dès sa prise de fonction, le président américain a envoyé des émissaires sur le terrain, George Mitchell au Proche-Orient et Richard Holbrooke en Afghanistan et au Pakistan. Deux diplomates chevronnés puisque les deux ont une longue expérience de négociation dans des situations conflictuelles, George Mitchell en Irlande du Nord, et Richard Holbrooke, dans lex-Yougoslavie. Lun et lautre sont discrets et coordonnent leur action avec lensemble du gouvernement américain, pas seulement le département dÉtat et lagence de développement international Usaid, mais aussi le Pentagone et la Maison-Blanche. La secrétaire dÉtat Hillary Clinton agit également dans une grande synergie. La continuité Au-delà du style et dun intérêt marqué pour le multilatéralisme, les cent premiers jours de Barack Obama font apparaître, dans de nombreux secteurs, la continuité de la diplomatie américaine. Sur lOtan, les relations avec lAsie ou celles avec lAfrique, les différences avec George W. Bush sont minimes. La lutte contre le terrorisme figure toujours au titre de ses priorités et il exhorte ses alliés de lOtan à sengager davantage contre les talibans en Afghanistan. En Asie, « il faut aller plus loin avec Pékin », scande ladministration Obama. En rencontrant pour la première fois à Londres, en marge du G20, son homologue chinois Hu Jintao, Barack Obama a fait un pas dans cette direction, en annonçant «un renforcement des liens à tous les niveaux» avec Pékin et un dialogue tous azimuts : économie, climat, relations avec lIran, le Soudan ou le Zimbabwe ou encore la Corée du Nord. Mais selon le vice-président dAsia Centre, Jean-François Di Meglio, ce sont les Chinois qui seraient réticents. « Si les Chinois sont dans une dynamique qui les rapproche dun concept de G2, ils ne veulent surtout pas que ça saffiche car cela leur donnerait beaucoup de responsabilités. » En parallèle, Barack Obama a également conforté lalliance entre les États-Unis et le Japon comme « la pierre angulaire » de la sécurité en Extrême-Orient : le premier ministre japonais Taro Aso a été en février le premier dirigeant étranger à être reçu à la Maison-Blanche. À lexception du Darfour, le président Barack Obama na pas fait un geste particulier différent de son prédécesseur pour lAfrique. Il a seulement nommé en mars son secrétaire dÉtat adjoint chargé des affaires africaines, lambassadeur Johnnie Carson. Il était jusque-là ladjoint de lactuelle ambassadrice des États-Unis à lONU, Susan Rice, et connaît parfaitement lAfrique pour avoir été ambassadeur au Kenya, au Zimbabwe et en Ouganda. Julia FICATIER et Agnès ROTIVEL
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ARTICLES EN ANGLAIS
AYF Bike-a-Thon Marks Armenian Genocide Anniversary
BY PATIL ASLANIAN
ENCINO--More than 250 community members took part in an 11-mile bike-a-thon Saturday to commemorate the Armenian Genocide in a unique event organized by the Armenian Youth Federation San Fernando Valley Sardarabad chapter. Dubbed Cycle Against Denial, the bike-a-thon attracted participants from as far south as Orange County and as far north as Fresno and began and ended at the Holy Martyrs' Armenian Church. Cyclists ranged in age from 8-year old Eric Ikoyan to 73-year old Antranik Baghdasarian. The organizers said the bike-a-thon was a symbolic representation of the cycle of genocide, which continues today as a direct result of Turkey's ongoing denial of the Armenian Genocide. It was described by participants as a welcome change to the regular commemoration events held annually by the community. This is truly a new and unique way to remember our 1.5 million martyrs, said one cyclist on the ride. People on the street have been asking me why we are riding. I told them we are riding to raise awareness of the Armenian Genocide. After finishing the route, participants returned to Ferrahian High School for a commemoration program, featuring the singing of the Armenian and American national anthems, as well as remarks by Sardarabad chapter member Aline Karakozian and community activist Mourad Topalian. The event also included an original poem by Levon Shant Demirjian along with a prayer and candlelight vigil. The bike-a-thon came the day after President Obama broke his campaign promise to recognize the Armenian Genocide by avoiding the word %u218genocide' during his April 24 statement. Speaking to the crowd after the bike-a-thon, Karakozian condemned the Turkish government's efforts to blackmail Obama into silence. They are trying to discourage us but we are not afraid and will never give up, she said. They can deny the genocide, they can deny the truth, but they cannot deny what I see here in front of me: the passionate souls, the inflamed hearts, and the enraged minds, Karakozian exclaimed. We are still standing at our churches, our schools, our children, we are all here, we are able and we will continue to struggle for recognition. Obama's statement also came two days after the Armenian and Turkish foreign ministries issued a joint statement announcing that they had agreed on a roadmap for normalizing their relation. The statement, which was issued on the eve of the Genocide's anniversary, is seen as having been a tacit signal to Obama by Armenian President Serzh Sarkisian to not recognize the Genocide. Topalian criticized President Sarkisian for announcing the roadmap two days before April 24, when he knew here in the United States that we truly have a chance to make history. We don't know any of the details; your government doesn't know the details; your people do not know the details; and the Armenia Diaspora surely does not know the details and you're going to tell us wait until all the details are known and then judge it? Topalian asked, stressing the disastrous consequences that would follow if Sarkisian's administration agrees to establishing a commission to examine the Genocide. HYPERLINK "http://www.drkassabian.com" \t "_blank" INCLUDEPICTURE "http://www.asbarez.com/banners/kassab.jpg" \* MERGEFORMATINET
Monday, April 27, 2009
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Clinton Hails Turkish-Armenian AgreementWASHINGTON (RFE/RL)--U.S. Secretary of State Hillary Clinton was reported to describe as historic a Turkish-Armenian statement on the normalization of bilateral relations in a phone call with Armenian Foreign Minister Eduard Nalbandian on Monday.The Armenian Foreign Ministry said Clinton phoned Nalbandian to discuss the latest developments in the Turkish-Armenian dialogue and the Nagorno-Karabakh negotiating process.Secretary of State Clinton welcomed the [April 22] joint statement by the foreign ministries of Armenia, Turkey and Switzerland, describing it as a historic step towards the establishment of normal relations between the two countries, the ministry said in a statement.In their joint statement, Ankara and Yerevan said they have agreed on a roadmap for establishing diplomatic relations and reopening the Turkish-Armenian border. The U.S. State Department was quick to welcome the announcement. We urge Armenia and Turkey to proceed according to the agreed framework and roadmap, a department spokesman said.Speaking at the U.S. House Foreign Affairs Committee on Wednesday, Clinton confirmed Washington's involvement in the fence-mending talks. The Turkish and Armenian governments have sought U.S. support and encouragement of their reconciliation efforts, she said.According to Nalbandian's press office, Clinton also expressed hope that the internationally mediated peace talks between Armenia and Azerbaijan will produce a breakthrough soon. No further details were reported.The Armenian Revolutionary Federation (ARF) has condemned the agreement announced by Ankara and Yerevan as a threat to Armenia's national interests. The influential party, which quit the governing coalition on Monday as a result of the decision, has declared time and again, that good-neighborly relations between the two countries can only be established after the recognition by Turkey of the Armenian Genocide and the restoration of the rights of the Armenian people.
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Monday, April 27, 2009
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What Happens Next?BY ARA KHACHATOURIAN
he timing of the now-infamous Roadmap announced last Wednesday by the foreign ministries of Armenia, Turkey and Switzerland not only cast a dark cloud over April 24 commemorations around the world and in Armenia, but also put in motion political events, the results of which may, in the long run, hurt Armenia and Armenians and their national aspirations and security.Monday's announcement by the Armenian Revolutionary Federation to quit Armenia's coalition government resulted from this and other contentious issues stemming from Yerevan's handling of this process and creating a new political landscape that can have its implications in the Diaspora.It is always desirable and socio-economically necessary to have good relations with one's neighbors, but the manner in which this particular agreement was derived raises questions about the viability of Armenia's position in this and other regional aspects. The agreement, which is shrouded in secrecy and official Yerevan's refusal to dialogue with its people prior to taking the country on a journey of historic proportions, makes it hard to not conjecture that in this process Armenia has made certain concessions.Although President Serzh Sarkisian and Foreign Minister Eduard Nalbandian continue to reiterate that these discussions and any future agreement on opening of the borders will be derived without any pre-conditions, the timing--two days before the official 94th anniversary of the Armenian Genocide--signals that an irreversible and irrevocable concession was already forced on and made by Armenia. While during the negotiation process, the parties can express and adopt positions that may lead to success or breakdown of talks, the fact will always remain that the announcement was made on April 22. There is no going back.The Turkish side adeptly manipulated this process beginning with leaks in Turkish, US and Azeri press alleging that Armenia had already agreed to certain provisions the most important of which was the establishment of a commission to address the Genocide and the second the recognition of today's Turkish borders, which effectively signaled that Armenia was willing to recognize the Kars treaty to which it was never a signatory.During recent weeks, the tenor of the Sarkisian administration on the issue of Genocide recognition also changed.In an interview, which was conducted before the roadmap agreement but was published after the announcement Sarkisian told the Wall Street Journal that recognition of Genocide was for restoration of justice and prevention of genocide in the future--a very watered-down version of the Armenian Cause. Sarkisian went on tell the WSJ that If some countries decide to create difficulties in those [Armenia-Turkey] relations, they would just announce a recognition of genocide and so would compromise relations between Armenia and Turkey. Once again, it is not we who are pushing the US to recognize the genocide. For an administration, which from day one has stated that the international recognition of the Armenian Genocide was an integral part of its foreign and domestic policy, this flip-flopping by the president sends a mixed signal to foreign governments and thwarts decades-long efforts to garner recognition for the Genocide.The meddling US-factor cannot be ignored in this equation. The unprecedented attention that the Caucasus/Turkey received during the first 100 days of the Obama administration, with Hillary Clinton and then Barack Obama visiting Turkey and the State Department's consigliore, Matthew Bryza effectively setting up camp in the Caucasus and specifically at Ilham Aliyev's doorstep, signaled that the US wanted to place this issue on the fast track, because it wanted to advance its agenda in the region and the role Turkey needed to play in order for US aspirations to succeed. Obama was not going to risk a repeat of 2003 when Turkey refused US access to Iraq through the Incirlik airbase.So, why not give everyone what they wanted.Obama perched Turkey on a mantle as a regional player/leader/conduit and through Vice-President Joe Biden applauded Sarkisian for his leadership, an affirmation by the US that the Armenian president needed and direly wanted ever since taking office in April 2008. So, Armenia was quick to give in to US demands, perhaps in hopes that it will receive a larger US aid package and the once-frozen Millennium challenge money.This is no excuse for Obama to trample on his own campaign pledge on April 24, but if the Armenian leadership was willing to show disdain on the timing of this announcement, then more reason for the US to justify its actions by pointing the finger at Armenia.Nevertheless, Obama's betrayal of his own pledge is unforgivable and demonstrates that this agent for change buckled down under pressure from the various forces that define the US agenda and became synonymous with his predecessors. By not properly recognizing the Genocide, Obama alienated a very vocal support-base, which went to great lengths to ensure his election. The always word-conscious Obama should be told that Medz Yeghern does not mean Tseghaspanutiune--Genocide.So, what does happen next? The domino effect that Yerevan's faulty timing has created will impact on how we do things here in the US. This means securing the passage of the Genocide resolution is now, more than ever, more critical and demands a more vigorous grassroots involvement to ensure that the number of co-sponsors increases and that Speaker Pelosi will place this for a vote on the House floor.Her remarks last week indicated her continued insistence that the Genocide be recognized. We should harness the bi-partisan support toward the passage of the resolution, which, in essence, direct the president to properly recognize the Genocide.As for the ARF, it will become an alternative on the political scene in Armenia and will be able to guide the people through principled policies aimed at fostering national interests and it will continue to vocally oppose any effort or agreement that will pose a threat to national security and threaten our national aspirations. 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Monday, April 27, 2009
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Next Armenian-Azeri Summit Set For May 7
YEREVAN (Combined Sources)--The presidents of Armenia and Azerbaijan have agreed to meet again on May 7 to try to speed up the resolution of the Nagorno-Karabakh conflict, international mediators said on Monday, ending yet another round of regional shuttle diplomacy.The U.S., Russian and French co-chairs of the OSCE Minsk Group spoke to journalists after holding talks in Yerevan with President Serzh Sarkisian and Foreign Minister Eduard Nalbandian. They already met the Armenian leaders at the start of their latest regional tour on Wednesday.President [Ilham] Aliyev and President [Serzh] Sarkisian have accepted our proposal to hold their next meeting in Prague on May 7, announced the Minsk Group's French co-chair, Bernard Fassier. Fassier and his two counterparts met with Azerbaijani President Ilham Aliyev in Baku late last week. They were also due to visit Nagorno-Karabakh. According to Fassier the trip was cancelled because of bad weather. The troika was only able to talk to Karabakh President Bako Sahakian by phone, he said.Fassier said he hoped the meeting would be constructive and productive as the three previous meetings of the Armenian and Azerbaijani presidents held in Saint-Petersburg, Moscow and Davos. The meeting will take place on the sidelines of a European Union summit to be held in the Czech capital. Fassier said the mediators hope that Aliyev and Sarkisian will hold a follow-up discussion in Saint-Petersburg, Russia in early June.Such a meeting was reportedly proposed by Russia, whose president, Dmitry Medvedev held separate informal talks with his Armenian and Azerbaijani counterparts earlier this month. Medvedev said last week that the conflicting parties are ready to move in the constructive direction in order to solve this very difficult problem. Aliyev, for his part, expressed hope in Moscow that the Karabakh conflict will be settled rather quickly.Like Sarkisian, Fassier and his U.S. colleague, Matthew Bryza, touted Aliyev's statements as encouraging. He said new opportunities exist for a rapid solution of the conflict, adding that the co-chairs will do their best to contribute to the process. A resolution within the coming three months is quite real, he said.Bryza, who is also the Deputy US Secretary of State, has been engaged in shuttle diplomacy between Armenia and Azerbaijan for the past few weeks in an effort to lock an Armenian-Azerbaijani framework agreement.He spoke of a new phase in the Nagorno-Karabakh peace process after he and his fellow mediators held talks with Armenian leaders in Yerevan on April 22. His announcement was followed by reports the next day that Armenian President Serzh Sarkisian and his Russian counterpart Dmitri Medvedev had reported fresh progress in the Nagorno-Karabakh conflict in their talks in Moscow. Sarkisian's announcement from Moscow came as news broke that Armenia and Turkey had issued a joint statement announcing an agreement on a roadmap for normalizing Turkish-Armenian relations. The statement said the two parties have achieved tangible progress and mutual understanding and have agreed on a comprehensive framework for the normalization of their bilateral relations in a mutually satisfactory manner.The announcement did not, however, specify whether that process can be completed before a resolution of the Nagorno-Karabakh conflict, which Turkey has set as a condition for opening its borders with Armenia. Bryza said that the dramatic thaw in Armenia's relations with Turkey will reflect positively on the Karabakh peace process. The positive mood that results from this signing [of a Turkish-Armenian statement] gives us new energy to accelerate our work to help resolve the Nagorno-Karabakh conflict, he said.The Russian co-chair, Yuri Merzlyakov also praised the recent agreement, telling reporters in Yerevan that the document will have a positive influence on the whole region.The normalization of relations would be a good basis for regional development. The rapprochement of the two countries reflects the positive energy in the region, and this energy benefits Armenia, Azerbaijan and the Karabakh solution. However, we expect the two processes to develop separately, Merzlyakov said. The Russian diplomat hinted also that another roadmap may be issued for Karabakh conflict. Everything depends on the decision of the parties on the level of the Presidents of the two countries. Fassier said the Madrid Proposals still remain on the table and many of its provisions are going to be discussed in Prague by Presidents Sarkisian and Aliyev. The Co-Chairs added that the Presidents could have another meeting in Saint Petersburg in June.
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Monday, April 27, 2009
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Turkey Criticizes Obama for Not Marking 'Suffering of Turks' on April 24
ANKARA (Combined Sources)--Turkey has criticized US President Barack Obama for his statement to the Armenian-American community on the 94th anniversary of the Genocide, claiming it was an unbalanced view of history and ignored the suffering of Turks. We consider some expressions in [Obama's] statement and the perception of history it contains concerning the events of 1915 as unacceptable, the Turkish foreign ministry said in a statement on Saturday, the Turkish Hurriyet Daily Newspaper reported. According to Hurriyet, the U.S. ambassador to Turkey, James Jeffrey, was summoned to the Turkish Foreign Ministry on Monday for consultations.The Turkish Foreign Ministry statement said that Obama's message had failed to mention the several hundreds of thousands of Turks, which Turkey claims died during the same period, when the Ottoman Empire was waging a two front war against the Western Allies. The statement echoed warnings by Turkish Prime Minister Recep Tayyip Erdogan on Sunday that political meddling would not help a tentative dialogue between Ankara and Yerevan to mend ties. This message does not satisfy us, Erdogan was quoted by the Anatolia news agency as telling reporters in Istanbul. Everyone must avoid statements that would overshadow the normalization process. Turkish President Abdullah Gul Saturday also criticized President Obama for not honoring the Turks in his message.In his statement, issued on Friday April 24, President Obama broke his campaign pledge to properly characterize the Armenian Genocide, evading the word genocide and instead using the Armenian phrase for Great Calamity--a tactic used repeatedly by President George Bush to placate Turkish demands on the United States to stay silent on the issue. As a senator and presidential candidate, Obama had sharply criticized the Bush administration for diplomatic tiptoeing around the critical human rights issue. He had repeatedly promised to bring change to the White House on the Armenian Genocide, by promising a principled commitment to commemorating and ending genocide. On January 19, 2008, Obama vowed that as president, "I will recognize the Armenian Genocide. His failure to properly recognize the Genocide came after the Armenian government issued a joint statement with Turkey announcing the two sides had agreed on a roadmap for normalizing bilateral relations. Ankara had leveraged its diplomatic rapprochement with Yerevan to scuttle US recognition of the Armenian Genocide, warning President Obama that an official recognition of its crime against the Armenian people would hurt US-Turkish relations and torpedo efforts to normalize relations with Armenia. The warning was designed to prevent recognition of the Armenian Genocide by the US President.
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Monday, April 27, 2009
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AYF Bike-a-Thon Marks Armenian Genocide Anniversary
BY PATIL ASLANIAN
ENCINO--More than 250 community members took part in an 11-mile bike-a-thon Saturday to commemorate the Armenian Genocide in a unique event organized by the Armenian Youth Federation San Fernando Valley Sardarabad chapter. Dubbed Cycle Against Denial, the bike-a-thon attracted participants from as far south as Orange County and as far north as Fresno and began and ended at the Holy Martyrs' Armenian Church. Cyclists ranged in age from 8-year old Eric Ikoyan to 73-year old Antranik Baghdasarian. The organizers said the bike-a-thon was a symbolic representation of the cycle of genocide, which continues today as a direct result of Turkey's ongoing denial of the Armenian Genocide. It was described by participants as a welcome change to the regular commemoration events held annually by the community. This is truly a new and unique way to remember our 1.5 million martyrs, said one cyclist on the ride. People on the street have been asking me why we are riding. I told them we are riding to raise awareness of the Armenian Genocide. After finishing the route, participants returned to Ferrahian High School for a commemoration program, featuring the singing of the Armenian and American national anthems, as well as remarks by Sardarabad chapter member Aline Karakozian and community activist Mourad Topalian. The event also included an original poem by Levon Shant Demirjian along with a prayer and candlelight vigil. The bike-a-thon came the day after President Obama broke his campaign promise to recognize the Armenian Genocide by avoiding the word %u218genocide' during his April 24 statement. Speaking to the crowd after the bike-a-thon, Karakozian condemned the Turkish government's efforts to blackmail Obama into silence. They are trying to discourage us but we are not afraid and will never give up, she said. They can deny the genocide, they can deny the truth, but they cannot deny what I see here in front of me: the passionate souls, the inflamed hearts, and the enraged minds, Karakozian exclaimed. We are still standing at our churches, our schools, our children, we are all here, we are able and we will continue to struggle for recognition. Obama's statement also came two days after the Armenian and Turkish foreign ministries issued a joint statement announcing that they had agreed on a roadmap for normalizing their relation. The statement, which was issued on the eve of the Genocide's anniversary, is seen as having been a tacit signal to Obama by Armenian President Serzh Sarkisian to not recognize the Genocide. Topalian criticized President Sarkisian for announcing the roadmap two days before April 24, when he knew here in the United States that we truly have a chance to make history. We don't know any of the details; your government doesn't know the details; your people do not know the details; and the Armenia Diaspora surely does not know the details and you're going to tell us wait until all the details are known and then judge it? Topalian asked, stressing the disastrous consequences that would follow if Sarkisian's administration agrees to establishing a commission to examine the Genocide. HYPERLINK "http://adfarm.mediaplex.com/ad/ck/9831-71574-26390-0" \t "_blank" INCLUDEPICTURE "http://www.asbarez.com/banners/Armenia_general%20rate_140x282.jpg" \* MERGEFORMATINET
Monday, April 27, 2009
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ARF Quits Governing Coalition
YEREVAN (Combined Sources)--The Armenian Revolutionary Federation on Monday announced that it is quitting Armenia's ruling coalition and cited insurmountable, fundamental disagreements over the government's approach toward normalizing relations with TurkeyIn a written statement presented by ARF Supreme Council of Armenia chairman Armen Rustamian Monday, the party condemned and called unacceptable the joint statement issued on April 22--less than two days before Armenian Genocide commemoration day--by the foreign ministries of Turkey and Armenia, announcing an agreement on a roadmap for normalizing Turkish-Armenian relations. The party also cited serious disagreements on some of the issues that are under discussion between Turkish and Armenian officials.Henceforth, the Armenian Revolutionary Federation will work as a new opposition force in Armenia's political landscape, said the statement, underlining that the party will present alternatives to the current government's policies, and will aim at counterbalancing and restraining the actions of the authorities.Rustamian explained that all party members holding senior positions in the executive and legislative branches will tender their resignations. The ARF was represented in the cabinet by three minister and several deputy ministers, two governors, as well as the deputy speaker post in the National Assembly. The ARF stressed that it will be dealing with Turkey-Armenia relations and the Karabakh issue based, exclusively, on national interests.The decision to pull out of the coalition government followed a meeting Saturday between President Serzh Sarkisian and two ARF leaders, Rustamian and ARF Bureau chairman, Hrant Markarian.Rustamian said Sarkisian briefed them on the essence of the still unpublicized roadmap agreement. The president's explanations did not satisfy us, Rustamian said on Monday.The ARF strongly condemned the roadmap agreement, which was announced by the Turkish and Armenian foreign ministries on April 22 and 23. Earlier last week, Markarian criticized the Sarkisian-administration's policies on Turkey, saying that Yerevan has made major concessions to Ankara while failing to secure the lifting of the Turkish economic blockade of Armenia. Rustamian on Monday reiterated the criticism, saying that Armenia has effectively ended its long-standing insistence on an unconditional establishment of diplomatic relations and reopening of the border between the two estranged nations. He said that Ankara continues to make that conditional on a resolution of the Nagorno-Karabakh conflict and an end to the campaign for international recognition of the Armenian Genocide. The Turks are now trying to turn those preconditions into conditions and include them into a package [deal with Armenia], said Rustamian, For them the key thing is to exploit the process of normalization and they are doing that very well. We must realize that.Rustamian said that the Turkish-Armenian agreement could deter more countries from officially recognizing the Armenian genocide. We must never allow the replacement of the process of international recognition by efforts to force Turkey to recognize the Armenian genocide, he said. One process should not suspend the other. Nobody here doubts that Turkey will do everything to avoid recognizing the Armenian genocide, added Rustamian. ARF Bureau member Dr. Viken Hovsepian will discuss this and other issues during the 8 o'clock hour of Monday's Horizon 180. Watch live HYPERLINK "http://www.horizonarmeniantv.com" \t "_blank" www.horizonarmeniantv.comBelow is the full text of the ARF's statement:
The Armenian Revolutionary Federation announces the cessation of its participation in the governing coalition.We deem it necessary to explain this step in view of its political significance and consequences, and the public's interest.First of all, the ARF joined the coalition in order to overcome, through uniting of forces, the crisis facing the country following the presidential elections and the threats to the independence and security of the two Armenian states, and with the aim of making coordinated reforms.During this period there were certain achievements, but insurmountable disagreements on matters of principle emerged with respect to the direction of the foreign policy.It has always been our conviction that one of the main directions of the state's national security strategy is the universal recognition and condemnation, especially by Turkey, of the Armenian Genocide. This is seen not only in the context of the restoration of historical justice, but also as a way to improve the overall environment of mutual trust in the region, while also preventing similar crimes in the future. In this sense, as we have already announced, we find unacceptable and condemn the agreement by Armenia's Ministry of Foreign Affairs to join the April 22 joint statement with Turkey, on the eve of April 24 and when the leaders of Turkey are making anti-Armenian announcements and restating preconditions for the normalization of relations. We also have principled disagreements with the position of the authorities of Armenia on certain issues being discussed in the Armenia-Turkey negotiations. We will publicize our positions regarding those issues when they are discussed in public.Henceforth, in the political landscape of Armenia the ARF will assume a new role, that of an opposition force. Our main priorities will be:1. To become a full-fledged alternative to the authorities, proposing our own programs and solutions on all major issues.2. As opposition to assume the role of effectively counterbalancing and restraining the authorities.3. To take the necessary actions to heal and refine the political landscape, to form civilized relations between the authorities and the opposition, to establish social justice and to strengthen democracy.4. To carry on comprehensive programs emanating from electoral promises, showcasing the ARF's ideological and political convictions.5. In the processes of normalization of Armenian-Turkish relations and the resolution of the Karabakh conflict, to be guided exclusively by our state-national interests and goals.We appreciate the work carried out jointly with our coalition partners and we wish them success in their endeavors in the interest of our state and people.ARMENIAN REVOLUTIONARY FEDERATIONSUPREME BODY OF ARMENIAApril 27, 2009
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Monday, April 27, 2009
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Posted Monday, April 27, 2009 2:58 PM
Obameter: Did Obama Break His Promise to Armenians?
Katie Connolly
As 100th day of Obama's presidency approaches, HYPERLINK "http://www.politifact.com/truth-o-meter/promises/" this tracker by Politifact is worth a click. The Obameter, as it is called, has numbered Obama's campaign promises and is tracking which promises have been kept, broken, stalled and compromised. Out of the 514 promises Politifact counted, Obama has kept 27, broken 6, compromised on 7 and stalled on 3. They also identify 63 promises which are "in the works". So overall, it seems that Obama is keeping many more promises than he is breaking.But deciding whether a promise has been kept or broken can be tricky. The latest promise Politifact has analyzed is Obama's campaign pledge to recognize the Armenian genocide. As a Senator, Obama criticized the Secretary of State Condoleezza Rice for recalling US Ambassador to Armenia John Evans after he used the term genocide to describe the systematic violence against Armenians by the Ottoman Empire around the time of World War I. Some estimates put the resulting death toll at 1.5 million Armenians. (You can read Senator Obama's letter to Rice on the HYPERLINK "http://armeniansforobama.com/armenian_issues.php" Armenians for Obama website.) Today, Turkey still refuses to use the term genocide to describe these atrocities and State Department employees are instructed not refer to the killings as such. In a 2006 letter to Secretary Rice, Obama wrote I believe that the controversy over Ambassador Evans use of the term genocide underscores the fact that the current U.S. position is untenable....The occurrence of Armenian genocide in 1915 is not an allegation, a personal opinion or a point of view. Supported by an overwhelming amount of historical evidence, it is a widely documented fact. A January 2008 statement on Obama's campaign website said "I also share with Armenian Americans so many of whom are descended from genocide survivors - a principled commitment to commemorating and ending genocide. That starts with acknowledging the tragic instances of genocide in world history. As a U.S. Senator, I have stood with the Armenian American community in calling for Turkey's acknowledgment of the Armenian Genocide." April 24 is Armenian Remembrance Day and the President issued a statement reflecting on the tragedy. He did not use the word genocide (nor did he use it on his recent trip to Turkey) so Politifact determines that the promise has been broken. Their argument is that Obama had indicated in the past that the use of the word itself is important. But Obama's statement did include this reference: "I have consistently stated my own view of what occurred in 1915, and my view of that history has not changed. My interest remains the achievement of a full, frank and just acknowledgment of the facts." He also used the Armenian term "Meds Yeghern" (translation: "the Great Calamity") which Armenians coined to refer to the tragedy before the word genocide was conceived.Perhaps ironically, this is not a "frank" statement of his belief that the actions constituted genocide, but it's definitely a hat tip in that direction. So is that really a broken promise? Is it a compromise? I wasn't sure, so I emailed a politically savvy Armenian friend for perspective. Heres what my friend wrote: Obama has used recent progress in normalization of relations between Armenia and Turkey as an excuse to not use the word genocide in his April 24th statement. It provides cover because he says he doesn't want to have the genocide issue take over U.S. relations. But it is common knowledge that the genocide recognition that Armenians have advocated for decades is a public declaration to the world, whether through a Presidential statement or a House resolution. And when Obama claimed that he would recognize it during the campaign, that is what he was referring to. That statement compelled Armenian-Americans to support Obama's candidacy more ardently than they had previously.The bottom line is this: even though he says his views haven't changed and yes, his previous views did clearly articulate his acknowledgment of the genocide, his campaign promise was that as President he would acknowledge the Armenian genocide. Using Meds Yeghern, in everyone's view, doesn't count. Using that word barely acknowledges the genocide to Armenians and it's not us who need reminding. We need it acknowledged to the rest of the world using the only word that can possibly characterize such atrocities.So Im going to agree with Politifact and count it as a broken promise, but one that may be salvaged in the future. Turns out this promise stuff aint easy.
HYPERLINK "http://blog.newsweek.com/blogs/thegaggle/archive/2009/04/27/obameter-did-obama-break-his-promise-to-armenians.aspx" http://blog.newsweek.com/blogs/thegaggle/archive/2009/04/27/obameter-did-obama-break-his-promise-to-armenians.aspx
Mozart and the Armenian genocide INCLUDEPICTURE "http://www.haaretz.com/hasen/images/0.gif" \* MERGEFORMATINET
By HYPERLINK "mailto:toms@haaretz.co.il" Tom Segev INCLUDEPICTURE "http://www.haaretz.com/hasen/images/0.gif" \* MERGEFORMATINET
On August 22, 1939, just days before the outbreak of World War II, Adolf Hitler met with his army generals. When he explained why he had decided to attack Poland, he assured them that the world would keep silent: "Who, after all, speaks today about the annihilation of the Armenians?," Hitler reasoned. This sentence has been quoted countless times as ostensible proof that the Armenian genocide served as a kind of "general rehearsal" for the annihilation of European Jewry. At the Holocaust Museum in Washington, these words are etched on one of the walls. Approximately 1.5 million Armenians were killed by the Turks during World War I. It was genocide; however, the quote attributed to Hitler is of dubious provenance. It originated with a well-known American journalist, Louis Lochner, an AP reporter in Nazi Germany and a Pulitzer Prize winner. Lochner reported on Hitler's speech in a book he published in 1942. After the war, Lochner gave a version of the speech to the American prosecutor at the Nuremberg trials. The prosecutor was not satisfied, because he didn't know the source of the speech, nor under what circumstances it was leaked to the reporter. He dispatched his people to search for the official version. It turned out that on that day, Hitler gave two speeches. The Americans managed to locate the official version of both; the line about the slaughter of the Armenians does not appear in either. The version Lochner got hold of was apparently a mix of the two. The prosecution in Nuremberg decided not to submit the reporter's version to the court, but did leak it to the press; the prosecutor apologized in court for the leak and claimed it occurred by mistake. At any rate, this is how the citation entered the heritage of the Armenian holocaust.
Turkey, of course, denies that there was an Armenian genocide, and last week it recalled its ambassador from Washington after the House of Representatives' Foreign Affairs Committee approved a bill calling the massacre of the Armenians genocide. This is how history has the power to make history: Denial of the Armenian holocaust is anchored in Turkish misgivings about its identity as a modern nation-state. Although the Turks' position is therefore understandable, it must not be supported. Unfortunately, Israel has removed itself from the nations whose voice ought to be heard on all matters pertaining to the violation of human rights; its military and other interests in Turkey are even leading Israel to lend a hand to the concealment of the Armenian genocide. The Turks are putting the Jews, and Israel, at the center of this affair. Last week, the Turkish foreign minister came to Israel and called on it to stop the U.S. Congress from adopting the decision of the foreign affairs committee; after all, everyone knows the Jews control the world, and the U.S. Congress. Meanwhile, the Turks are also issuing threats: The Congressional decision could put the Jewish community in Turkey at risk. This galling threat is just as despicable as the denial of the Armenian genocide itself, and just goes to show why decent people need to demand that Turkey finally learn to look in the mirror. The Germans have done so; it was painful at first, but worth it in the end. Who misled Werfel? The Turkish Foreign Ministry claims that it wasn't the Armenians, but the Turks themselves, who were the real victims. A special booklet published by the Turks says that the Greeks, the Russians and other Christians, including the Armenians, threatened Turkey's security and also killed many Turks, and hence there was no choice but to remove the Armenian population. The Turkish Foreign Ministry counts among the Christian world's evil deeds the occupation of Palestine by the British. General Allenby's armies entered Jerusalem a few weeks after the publication of the Balfour Declaration, 90 years ago, and are depicted as fighters in the service of the Zionist idea. The impression is that the ministry is still bewailing the loss of Jerusalem, although, as far as anyone knows, Turkey is not demanding that the city be returned. The Turkish Foreign Ministry attributes the "lie" about the Armenian massacre to two Jews - Henry Morgenthau and Franz Werfel. Morgenthau was U.S. ambassador to Turkey, and much of what the world knows about the Armenian genocide it learned from a book the ambassador wrote after his return home. The Turkish Foreign Ministry is careful not to identify Morgenthau as a Jew; it just paints him as a foolish propagandist. About Werfel, the Turkish Foreign Ministry writes that he published a book entitled "The Forty Days of Musa Dagh," but that was just a novel that can teach us nothing more than the film "Amadeus" might teach us about the composer Salieri. In this equation, the Armenians are Mozart and the Turks are Salieri, and just as Salieri didn't murder Mozart, the Turks didn't slaughter the Armenians. At this point, the ministry offers a small scoop: Shortly before his death, Werfel realized that he had been misled, and he regretted "Musa Dagh." This revelation is ascribed to one of Werfel's friends, and the Turkish Foreign Ministry takes the trouble to note: The man was a Spanish Jew named Abraham Sabar. And then comes the unassailable argument: "If the Armenians did indeed fall victim to genocide, how is it that so many Armenians are still alive today, and in Turkey as well?" Just as happens when countries try to explain away war crimes, the booklet published by the Turkish Foreign Ministry fluctuates between denial and justification until it finally arrives at the inevitable: partial admission. We didn't do it; we did it for security reasons; yes, there were exceptions, but the criminals were tried and punished. According to the ministry, no fewer than 1,397 people were punished, and some of them were executed. Now comes the calculation: If each one of them slaughtered just 10 Armenians, that would add up to about 13,000. Yet might one surmise that someone in Turkey wouldn't be punished for just 10 dead Armenians? And anyway, all of the "exceptions" certainly didn't make it to trial. Let's say that one out of every five criminals was convicted (making an actual total of 6,985); and each one of them slaughtered an average of 200 Armenians, then you would get close to 1.5 million - exceptions, of course, exceptions. Czech Republic, Syria, Jordan After a long search, the burial place has been found of two Czech underground fighters who, in the summer of 1942, assassinated one of the masterminds behind the plan to annihilate European Jewry, Reinhard Heydrich. The two, Jan Kubis and Josef Gabcik, committed suicide before the Nazis could catch them, and were buried in unmarked graves in one of Prague's cemeteries. Not far from them is buried Karl Herman Frank, who came up with the Germans' revenge for Heydrich's murder: the destruction of the village of Lidice. Not far from the site that Israeli planes attacked in Syria is the place where the world's oldest wall painting was discovered. French archaeologists estimate that it was made about 11,000 years ago. It is found on the wall of a cave, and like a work of 20th-century art, it is composed solely of colorful lines and blotches. The Jordanian government is completing construction of a small archaeological museum named for Lot. The round structure is already standing, on the shore of the Dead Sea, not far from the place where, they say, Lot's wife was turned into a pillar of salt.
HYPERLINK "http://www.haaretz.com/hasen/spages/914602.html" http://www.haaretz.com/hasen/spages/914602.html
Death Wells and the Suppression of Truth
By HYPERLINK "http://www.hairenik.com/weekly/author/aysegunaysu/" \o "Posts by Ayse Gunaysu" Ayse Gunaysu on April 27, 2009
All suppressed truths become poisonous. Friedrich Nietzsche in his Thus Spoke Zarathustra
The Armenian WeeklyApril 2009 Magazine
Suppressed truth poisons the suppressor; it also poisons those who are deprived of the knowledge of the truth. Not only that, but suppressed truth poisons the entire environment in which both the suppressor and those who are subjected to that suppression live. So, it poisons everything.
Nearly a century after the genocide of the Armenians and Assyrians/Syriacs, as well as other Christian peoples of Asia Minor, Turkey is still being poisoned by the suppression of the truth. And because the suppressed truth concerns a crime, because the suppressors are those in power, and because those deprived of the truth are the whole nation, it is the very future of that nation that is also poisoned.
If you are a ruler suppressing a truth, you have to suppress those who seek the truth as well. The poison feeds you with self-glorification in order to evade guilt, hatred to justify your lying, and cruelty to sustain the lie at all costs.
Bits of truth may be known to some of the people you rule. So you either have to make them join your self-deceptionby offering excuses for the crime you committed to persuade them that there was no other choiceor declare them traitors and carry on an endless war against those who resist persuasion.
But people tend to be persuaded. In Turkey, the great majority of people sincerely believe that if it is a question of life or death for the fatherland, then the state machinery may rightfully resort to unlawful methodsthat the so-called national interests justify all means. This is how the suppressed truth and the methods of that suppression poison minds, generation after generation; and how in the referendum two years after the military takeover of 1980, 92 percent of the voters endorsed the new constitution legitimizing the military dictatorship and elected the leader of the coup, Kenan Evren, as president.
Very recently, excavations began in Silopi, Sirnak (at the facilities of Turkeys national pipeline corporation, Botas) to investigate allegations that in the 1990s the bodies of those who went missing while under the custody of security forces had been dumped there. So far, some bones, hair, and pieces of clothing have been foundwhat was left after the clean-upand sent to a forensic laboratory for analysis. The excavations continued in Cizre, again a district of Sirnak. In connection with the findings, several people were arrested, including a colonel, which is a very extraordinary case in Turkey.
Sirnak is one of the places that has suffered the most from the suspension of rule of law for the sake of the unity of Turkey.
And it is the same place where, 94 years ago, masses of mostly Assyrians/Syriacs, but Armenians as well, though in smaller number, were either massacred outright or driven on foot to the mountains, where death was certain as a result of starvation, destitution, and exposure to harsh weather without any shelter. This was what happened in many places to the Armenians throughout Asia Minor during that reign of terror.
Now the death wells represent the continuation of the bloodshed and suppressed truths. After 94 years there are still unburied dead bodies to be searched through excavations.
There is a case in Turkey, popularly known as the Ergenekon case, where suspects of plotting in favor of a military coup are being tried. The defendants include ultra-nationalist retired military officials such as Veli Kucuk, whom Hrant Dink had pointed out as a threat to his life, and activists such as Kemal Kerincsiz, a leading figure in violent public protests against people contradicting anti-Armenian sentiments.
However, the investigation seems to focus more on the illegal organizations acting against the government than on the crimes committed in the Kurdish provinces in the southeastwhich represents the direct legacy of the Committee of Union and Progress (CUP), the perpetrators of the Armenian Genocide.
Besides, to a great extent we owe this breakthrough in the prosecution of criminals within the state machinery to the AKP Islamist governments struggle for survival in the face of the militarys longstanding powerwhich has as its ideological foundations authoritarian, anti-democratic, and racist secularism. This struggle between two powers, neither of which can have anything to do with the ideals of a really pluralistic way of life, leaves true dissidents in a position of continuously wavering between supporting the AK Partys steps for relative transparency and resolutely opposing its display of typical Turkish-Islamic synthesis ideology. So, within the context of the Ergenekon case, although every little step to throw light on the antidemocratic, ultra-nationalist, and militaristic schemes in Turkey deserves full support, there is still very little to rejoice.
That may sound overly pessimistic, but as long as Turkey goes on suppressing the truth, no real progress can be made.
The genocide of the Armenians and Assyrians in 1915 in the Ottoman Empire is the foremost truth that should be acknowledged; and it will be the key for the denial, for the renouncement of a system, that presupposes and imposes presupposition of this country to be the homeland of Sunni Turks only. However, in reality, its simultaneously the other way round: As long as this system prevails, no acknowledgement of genocide is possible. Here we reach a point representing all the complexity and potentiality of lifea point where any progress towards shaking the ideological and ontological foundations of the system will be a step forward in the long, stumbling process of approaching the acknowledgement of the genocide by the state and by the Turkish public.
Yes, All suppressed truths become poisonous, said Nietzsche many, many years ago, but he continued: And let everything break upwhich can be broken up by our truths! Many a house is still to be built!
This is the only way that will bring justice to our livesI mean recognizing the damage done and making amends; I mean honoring the memory of the victims and at least try to share the unsharable pain inflicted on the grandchildren of the victims; I mean displaying a will, a willingness, a readiness to conceive the unconceivable catastrophe that in 1915 fell upon the most talented, most skilled, most enlightened, and most industrious nation in Asia Minor.
HYPERLINK "http://www.hairenik.com/weekly/2009/04/27/%E2%80%98death-wells%E2%80%99-and-the-suppression-of-truth/" http://www.hairenik.com/weekly/2009/04/27/%E2%80%98death-wells%E2%80%99-and-the-suppression-of-truth/
ARF Quits Armenias Governing Coalition
By HYPERLINK "http://www.hairenik.com/weekly/author/khatchigmouradian/" \o "Posts by Khatchig Mouradian" Khatchig Mouradian on April 27, 2009
YEREVAN (A.W.)On Monday, April 27, the Armenian Revolutionary Federation (ARF) announced that it is parting ways with Armenias ruling coalition, citing insurmountable differences in foreign policy issues.
In a statement, the party condemned and deemed unacceptable the joint statement issued on April 22less than two days before Armenian Genocide commemoration dayby the foreign ministries of Turkey and Armenia. The party also cited serious disagreements on some of the issues that are under discussion between Turkish and Armenian officials.
Henceforth, the Armenian Revolutionary Federation will work as a new opposition force in Armenias political landscape, said the statement, underlining that the party will present alternatives to the current governments policies, and will aim at counterbalancing and restraining the actions of the authorities.
The ARF stressed that it will be dealing with Turkey-Armenia relations and the Karabagh issue based, exclusively, on national interests.
Road map
On April 22, the Ministries of Foreign Affairs of the Republic of Armenia, the Republic of Turkey and the Swiss Federal Department of Foreign Affairs issued a joint statement announcing that a road map of normalizing relations has been identified. The statement, posted on the websites of Armenias and Turkeys Foreign Ministries, read:
Turkey and Armenia, together with Switzerland as mediator, have been working intensively with a view to normalizing their bilateral relations and developing them in a spirit of good-neighborliness, and mutual respect, and thus to promoting peace, security and stability in the whole region.The two parties have achieved tangible progress and mutual understanding in this process and they have agreed on a comprehensive framework for the normalization of their bilateral relations in a mutually satisfactory manner. In this context, a road-map has been identified.This agreed basis provides a positive prospect for the on-going process.
The ARF reacted immediately, threatening to pull out of the coalition. In a statement issued on April 23, the party said, Good neighborly relations between the two countries can only be established after the recognition by Turkey of the Armenian Genocide and the restoration of the rights of the Armenian people. The statement underlined the partys position that the lifting of the blockade and the establishment of diplomatic relations, without preconditions, can only serve as first steps on this path. It is absolutely unacceptable for us that relations with Turkey be normalized at the expense of Armenias sovereignty, the viability of its existence, or the national and state rights of future Armenian generations.
HYPERLINK "http://www.hairenik.com/weekly/2009/04/27/arf-quits-armenia%E2%80%99s-governing-coalition/" http://www.hairenik.com/weekly/2009/04/27/arf-quits-armenia%E2%80%99s-governing-coalition/
Armenian Genocide Commemorated in Turkey
By HYPERLINK "http://www.hairenik.com/weekly/author/aysegunaysu/" \o "Posts by Ayse Gunaysu" Ayse Gunaysu on April 27, 2009
ISTANBUL, Turkey (A.W.)On April 24, the Istanbul branch of the Human Rights Organization of Turkey organized an event in Istanbul commemorating the Armenian Genocide. The commemoration was held in what was formerly the tobacco warehouse, now renovated and being used for exhibitions, events and meetings.
The event opened with the Armenian and Assyrian songs performed by the group Kardes Turkuler (Songs of Brotherhood).
Keskin and Zarakolu address the audience. A photograph of Taniel Varoujan is seen in the background.
Lawyer Eren Keskins greeted the audience, numbering around 150, and said, Today is the 24th of April, the 94th anniversary of the arrests in Istanbul which started the Armenian genocide in 1915. She added, The official history [in Turkey] denies the genocide, but we know what happened and we believe its important to tell people the truth. So, today we will commemorate the most brilliant intellectuals of the Ottoman Armenians: poets, writers physicians, lawyers, members of parliament, who were taken away on the 24th April 1915 and murdered.
The Bosphorus Performance Arts Group presented the life stories and poems of three great Armenian poets who perished during the Armenian GenocideRoupen Sevag, Siamanto, and Taniel Varoujanas well as the life and work of writer, lawyer and member of parliament Krikor Zohrab, who was also killed during the genocide. The presentation was accompanied by photographs projected on a screen and Armenian folk music played in the background.
Publisher Ragip Zarakolu talked about Teotig, the Armenian writer who was arrested together with others but escaped miraculously, and his famous book Hushartzan Abril Dasnimegi, which will be published in Turkish soon by the Belge publishing house. An exhibition of pages from this book was held in conjunction with the event, with lit candles under each page. A brief Turkish translation of each page was also provided.
In turn, Eren Keskin talked about Gomidas, while songs performed by Gomidas himself (recorded in 1912 in Paris) were played in the background and Gomidas photographs projected on the screen. At the end Eren Keskin said, lets leave the last word to Gomidas Vartabed. Then Gomidas song Karun a was heard while images of the deportation of Armenians were projected on the screen.
HYPERLINK "http://www.hairenik.com/weekly/2009/04/27/armenian-genocide-commemorated-in-turkey/" http://www.hairenik.com/weekly/2009/04/27/armenian-genocide-commemorated-in-turkey/
Armenias grief
Published: April 26 2009 20:01 | Last updated: April 26 2009 20:01
The agreement between Turkey and Armenia on a road map to normalise their relations is very good news. Their historic animosity since the slaughter and mass deportation of Armenians from the collapsing Ottoman empire in 1915 has destabilised the region, poisoned internal politics, isolated and impoverished Armenia, and cast a shadow over Turkeys relations with Europe and America. Now there is a chance of beginning to heal the wounds.
Yet first a word of caution. Last weeks declaration gave no clues to the precise terms of the agreement, nor a timetable. It seems to have been rushed out to enable HYPERLINK "http://www.ft.com/cms/s/0/af07367a-2ff7-11de-a2f8-00144feabdc0.html" \o "US and EU hail Turkey-Armenia breakthrough" \t "_blank" Barack Obama, US president, to issue a statement commemorating the 1915 massacres without using the word genocide to describe them. That marked a sensible retreat from his election campaign position in order not to alienate Turkey.
HYPERLINK "http://www.ft.com/cms/s/fa616f20-3293-11de-8116-00144feabdc0,Authorised=false.html?_i_location=http%3A%2F%2Fwww.ft.com%2Fcms%2Fs%2F0%2Ffa616f20-3293-11de-8116-00144feabdc0.html%3Fnclick_check%3D1&_i_referer=&nclick_check=1" http://www.ft.com/cms/s/fa616f20-3293-11de-8116-00144feabdc0,Authorised=false.html?_i_location=http%3A%2F%2Fwww.ft.com%2Fcms%2Fs%2F0%2Ffa616f20-3293-11de-8116-00144feabdc0.html%3Fnclick_check%3D1&_i_referer=&nclick_check=1
HYPERLINK "http://www.seyfocenter.se/index.php?sid=2&aID=36"
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The Assyrian Genocide of 1915
Today the ethnic category Assyrian is used for indigenous Christian peoples living in Kurdistan and northern Mesopotamia who speak (or once spoke) an Aramaic Semitic language. They were among the first peoples to become Christians and have kept ancient theologies, which came to differ very much from European Christianity.
By David Gaunt
Of all modern genocides, that perpetrated on the Assyrian peoples of Kurdistan during World War I is one of the most obscure and little known. HYPERLINK "http://www.seyfocenter.se/index.php?sid=2&aID=36" \l "_edn1" \o "" [1] Somewhere between 250,000 to 300,000 Assyrians, about half of the population, were killed or died from starvation or disease in a series of campaigns orchestrated by the Ottoman Turkish government. Despite considerable attention at the time, it has fallen from memory and is passed over in surveys of the history of genocide. The aim of this article is to simply narrate the story and its aftermath, but doing this necessitates dealing with the complicated ethnic and geographic background as well as contrasting this mass-murder with the better-known genocide of the Armenians, which took place at the same time. One of the lessons of the Assyrian genocide is that their enigmatic ethnic origins coupled with internal divisions into a labyrinth of religions compounding highly disputed national identity contributes greatly to the neglect of the Assyrians. The Republic of Turkey is famous for denying the Armenian genocide and it also rejects the similar claims of the Assyrians. However the International Association of Genocide Scholars has deemed what happened to them genocide.
Today the ethnic category Assyrian is used for indigenous Christian peoples living in Kurdistan and northern Mesopotamia who speak (or once spoke) an Aramaic Semitic language. They were among the first peoples to become Christians and have kept ancient theologies, which came to differ very much from European Christianity. Because of language and religion they are distinct not just from their Muslim Kurdish, Arab, and Turkish neighbors, but also from the Armenian and Greek Christians with their Indo-European languages. By the start of World War I there were an estimated 600,000 to 700,000 Assyrians who mostly lived inside southeastern Anatolia, but also in the closest Arab provinces and along the Irans side of the Turkish border. The Assyrians were much less numerous than the several million Armenians. Taking one or two subgroups to represent the whole, many synonyms have been used by western writers to describe the entire group: Syrians, Jacobites, Chaldeans, Assyrians, Assyro-Chaldeans, Chaldeo-Assyrians and so on. Quite naturally this causes overwhelming confusion among those who today unprepared begin to study older documents. By the time of the First World War, the British and Russians used the term Assyrian, while the Americans and French used Syrian.
Since the world war the name Assyrian has been generally used in international contexts. All of the peoples acknowledge some heritage from the classic Assyrian Empire (destroyed in 612 B. C.). But a vociferous group inside the Syrian Orthodox Church, for reasons best known to itself, insists vehemently on being called Syrian (sometimes Syriac or Aramean) as identity. The stronger the grip of this church, the less likely is a person to identify as Assyrian. As with most middle easterners, the basic binding is first to family and clan, then to religion and only in the last resort to nationality. The final stage of a unified Assyrian ethnic identity has not been attained. This internal dispute concerns doubts whether the eastern and western subgroups share a common history, and this includes the genocide of 1915. Although they are joined by language (but in mutually incomprehensible dialects) the basic east-west split is over theology with three major churches at loggerheads with each other. Each church had a traditional homeland isolated from the others. The Nestorian church was located along both sides of the Turkish-Iranian border and was the first to enthusiastically adopt the name Assyrian. One group in northern Iraq broke away from the Nestorians to form the Chaldean Church, which is united with Roman Catholicism. Together they collectively use Assyro-Chaldean or Chaldeo-Assyrian. Completely separate from these two is the Syrian Orthodox Church, which was strongest in the Turkish province of Diyarbakir. In addition there were Catholic and Protestant converts. In no province did the Assyrians form a majority, but the autonomous Nestorian tribes were a majority in the Hakkari Mountains in the extreme southeast, and the Syrian Orthodox dominated the Midyat district of Diyarbakir province.
Number of victims
In material prepared in 1920 by an Assyrian delegation to the Paris Peace Conference the number of killed during the war was estimated as 250,000. At renewed peace negotiations in Lausanne in 1923 a count of 275,000 was used. Having seen some of the primary lists used by the delegation, I observed that several Assyrian enclaves, that were located inside areas with much larger Armenian majorities, were missing. It is likely that the number of victims is higher as they were slaughtered at the same time and manner as their Armenian neighbors.
Van and Diyarbakir provinces had the highest number of victims with 80,000 and 63,000 killed, respectively. Going to more detailed investigations, the Syrian Orthodox Church specified the killing of 90,313 believers including 154 of its priests and 7 bishops and the destruction of 156 church buildings. HYPERLINK "http://www.seyfocenter.se/index.php?sid=2&aID=36" \l "_edn2" \o "" [2] The Chaldeans reported the loss of 6 bishops, 50 priests and 50,000 of its faithful. HYPERLINK "http://www.seyfocenter.se/index.php?sid=2&aID=36" \l "_edn3" \o "" [3] The Nestorians were so decimated and dispersed that they never managed to present any detailed figures.
When World War I came to an end the surviving Assyrians found themselves driven from their homes and forced to live in refugee camps in the southern Caucasus, in Syria and foremost in encampments in northern Iraq. A handful of women and children were kept as slaves in Turkish households. Only a fortunate few remained unharmed in their homes.
The pre-war background
Since the middle of the nineteenth century the dire plight of the Christian minorities in the Ottoman Empire had become part of international humanitarian concern. A series of diplomatic conventions aimed to improve their status. Chief among them was the Treaty of Berlin 1878 which bound the Sultan to allowing Christian participation in local government in places where they made up a substantial proportion of the population. But this was not implemented. Foreign consuls, who monitored humanitarian conditions, informed of ceaseless abuses. However, the more the Europeans and Americans tried to help the Christians, the more a fanatic backlash grew, particularly in the backward countryside of Kurdistan. Even the government was irritated over the European concern given the Christian minority and feared it as a step towards carving these areas away from the empire.
World opinion first realized the danger to the Assyrians in the 1840s when Kurdish emirs attacked mountaineers and farmers. European newspapers reported that the number of victims was ten thousand. HYPERLINK "http://www.seyfocenter.se/index.php?sid=2&aID=36" \l "_edn4" \o "" [4] Funds were collected for their relief. From the 1890s the situation in the Turkish interior deteriorated rapidly into a lawless state. Among the many reasons was the tightening bureaucratic control of the central government, which aimed to break traditional autonomy and which brought about anarchic banditry. Another was the increasing need for nomadic tribes to settle in permanent villages and they had the blessing of the government to seize Christian land. Accompanying this was widespread anti-Christian propaganda, which even permeated the attitude of the authorities. Raids against villages accompanied by forced conversion to Islam became everyday occurrences and the outright seizure of land became routine. Even the most notorious aggressors could hardly ever be brought to justice if the victim was non-Muslim. Several full-blown massacres were directed against the Armenians, but the mobs crying death to the unbelievers would attack Assyrians as well.
The worst pre-war outrages happened in 1894-96 and are called the Hamidiye massacres since the reigning Sultan Abdul Hamid II was believed to have encouraged the rioters behind the scenes. Thereafter he was known as the Red Sultan in the foreign press. His government blamed the victims for provoking the violence through their constant appeals for outside intervention. In Diyarbakir city pogroms occurred in November 1895 killing about one thousand Armenians and destroying two thousand of their shops. But the violence also afflicted Assyrians: altogether 173 killed, 89 houses plundered, and 308 shops torched.
Although the Young Turk revolution of 1908 reinstated a constitution that granted non-Muslims political rights, anti-Christian sentiments were so deeply entrenched that they actually intensified in the critical years previous to the world war. In April 1909 in the city and rural district of Adana, a thriving center of cotton production, mobs murdered tens of thousands of Christians. Estimates by contemporaries reckoned with 20,000 deaths, overwhelmingly Armenian, but including 1,272 Assyrians. A member of the National Assembly concluded: no distinction was made between the Christians. The Syrian Orthodox and the Catholics who do not have any similarity with the language of the Armenians
were killed. Turkish political hate-speech increasingly fixed on the high-profile radical Armenian movements, which had a revolutionary past, as potential disloyal elements but passed over the Assyrians in silence. The vulgar anti-Christian opinion of the eastern provinces, however, saw no difference. When new identification cards were issued, the registrars only wrote hiristiyan (Christian), in the space for religion, thus making it very easy to mix Assyrians in the fate of the Armenians.
From the start of the World War rumors spread that the Christians should expect the worst. The Ottoman army mobilized in early August 1914, but war did not start until the following November. At first some of the Christians were enrolled in front-line units, but soon it became the rule to put the Christians in unarmed labor battalions, serving as bearers, trench-diggers, construction workers under armed guards. Ultimately, most of the soldiers in labor battalions were shot during 1915. Some new recruits fled home and went into hiding after their first taste of army brutality. In the polarized atmosphere Muslims accused the Christians of deserting much more than Muslims. In turn, Christians suspected that they were hit harder by army requisitions and conscription than the Muslims. Throughout there was a strong Muslim belief that all Christians hoped for the victory of the enemy. It is highly likely that a November 1914 declaration of jihad, which called on Muslim soldiers in the British, French and Russian armed forces to mutiny, produced the side effect of endangering Turkeys Christians. Threats, arrests, assaults and murders of Christians became common. Authorities targeted individual Christians and this became particularly noticeable in early 1915. Searches for deserters led to the lynching of Assyrian draft-dodgers in mid February. In the following months soldiers swept throughout the provinces. In town after town Christians were ordered to deliver up their weapons, even churches and cemeteries were ransacked for hidden guns and bombs. Sometimes manipulated photos of seized weapons were published giving a seeming credence to the rumors of a planned rebellion and increasing the feeling of panic. Almost without exception, Christians who were public employees lost their jobs. Soon Assyrian and Armenian notables were arrested en masse accused of treason. As a rule they would be tortured to confess knowledge of anti-Turkish plots.
By May and June 1915, general massacres of Christians were underway and ordinary Armenians and Assyrians found themselves the focus of public contempt, being attacked for no other reason than their non-Muslim identity. Under the pretense that Assyrians refused to hand over their weapons, this period of individual harassment culminated with attacks by death-squads on villages close to Diyarbakir. Their instigator, Reshid Bey the provincial governor was convinced that the Armenians and Assyrians had rebelled. He motivated the creation of a special militia that witnesses called chete (gangs) because the regular army was away at the front. As a rule, a village would be suddenly encircled, quickly disarmed and the males liquidated, the women and children dispersed. In towns Assyrians could have Muslim friends and sometimes they were warned in advance of planned house searches. In April 1915 Assyrians in Mardin began as a precaution to burn all books and papers in French or Armenian. By late May 1,600 of Diyarbakir citys Christian notables, not just Armenians, had been imprisoned to stop the purported revolt. They were tortured and then sent away in groups by raft down the Tigris River, where they were murdered at suitable places. Downriver in Mosul, corpses and severed limbs were seen floating past during the second week in June. When the German consul protested to Mosuls governor, he was informed that Reshid Bey of Diyarbakir alone was responsible. By this time the Istanbul government had issued its first deportation decrees for Armenians (May 27, 1915) but they had not mentioned Diyarbakir since it was far from the front-line. The consul observed that what was happening was a general massacre not limited to the war-zone or to Armenians.
The Assyrians call this genocide the year of Seyfo (the Sword). Its details differed from place to place and from church to church. The degree to which an Assyrian subgroup was affected depended on how they reacted to the initial government aggression, how well or badly they were organized, how well or badly they got along with their Muslim neighbors. In most places the killing and ethnic cleansing of Assyrians was nearly total.
The eastern Assyrians
As mentioned, a native Assyrian population lived along both sides of the Turkish-Iranian border. They formed two small churches: the Nestorian and the breakaway Chaldean Catholics. They spoke a distinct dialect and used the same liturgy. With considerable exceptions the Nestorians were strongest in Turkey and Iran, while the Chaldeans were strongest in Iraq.
What happened to the eastern Assyrians can be characterized as a catastrophic full-scale forced government-ordered ethnic cleansing involving extreme loss of life. The motives for the government were political and military - to remove a potentially disloyal group from a strategic border. This came to focus on the Nestorian tribesmen. Economic and religious motives played a secondary role. Marked by precipitous 3,000 meter-high mountains the wild Hakkari area is the poorest and most isolated in Turkey. Assyrians had to leave to work in distant countries. Although calls for religious jihad were used to fire up the local Muslims the brunt of the violence was done by the Ottoman army.
A badly organized church, not even the patriarch knew the size of his flock but guessed a total of 150,000 in 1912. Russian spies were interested in military capacity and had little cause to exaggerate. They reckoned a population of between 100,000 and 135,000. Since the last half of the nineteenth century the Assyrian tribesmen had grown dissatisfied with their conditions: of tradition they were autonomous, but as the Ottomans strove for greater central control this freedom eroded. Through the patriarch they had contacts with British and Russian missionaries. The religious relations led to further political conversations, which came to the ears of the Turkish authorities. On October 26, 1914, on the eve of the declaration of war, Minister of Interior Talaat Pasha ordered the deportation of Assyrians living along the border. He accused them of collaborating with the Russians, and they would be deported hundreds of kilometers into the interior. They were to be dispersed with only a few families in each village in order that their language and culture would disappear and they would end up totally assimilated Turks.
Although the deportation never came to effect, the authorities harassed the Assyrians through arrests and summary executions. Repeated attacks by cavalry provoked a state of guerilla warfare as the Assyrians gradually retaliated. The Assyrians entered the administrative town of Julamerk and discovered official documents indicating the plans for their annihilation. In early May 1915 a defeated Ottoman army retreated across the border through Hakkari after having perpetrated atrocities on the Nestorians and Chaldeans of Iran. The Assyrians then decided on a joint effort with the Russians, who were rushing to relieve the besieged Armenians in near-by Van, to halt the Turkish soldiers. In the short-run this was an effective campaign disrupting the retreat, but in revenge the Turkish soldiers cut down any and all Christians it encountered. Thy left in their trail a bloody slaughter extending as far west as the city of Sairt.
The fate of the Assyrian tribes was sealed by the government decision for a full ethnic cleansing that came as a response. The Minister of Interior decreed drive them out and never let them return to their homelands. Fresh troops were brought up and a coordinated three-pronged invasion took place in June 1915. This army had heavy weapons and field guns, while part of the Assyrians fought with flintlock rifles. The Assyrians battled back bitterly, but even when victorious, they lost men and provisions. Encircled, their last resort was to clamber further up the high ridges where there was neither food nor shelter. Help promised by the Russians could not get through. Faced with the specter of certain death for his people, the patriarch decided breakout and head for the Russian lines. By October an estimated 20,000 to 35,000 mountaineers struggled into Russian occupied territory, leaving only a small rear guard. Up to a hundred thousand Assyrians were unaccounted for. The Hakkari district was from that moment on ethnically cleansed of Christians including destruction of houses, churches and crops. The refugees settled in tent camps in the open and many died of exposure during the winter.
Outside of a few places in Iran, where they shared the fate of their Nestorian neighbors, most of the Chaldeans lived in the Arabic speaking provinces and were safe from much of the physical damage. A series of Ottoman provincial governors decreed against attacks on Christians in the province of Mosul. This in itself shows geographic planning that Armenians and Assyrians would be driven out of the envisioned Turkish homeland in Anatolia, but survivors gained refuge in Arab territory. Unfortunately, 40,000 Chaldeans lived in enclaves in Anatolia and on Irans side of the border and felt the full brunt of ethnic and religious hostility.
Inside Turkey the Armenians were portrayed in the eyes of the government as a treasonous fifth column cohorting with the enemy. But this was hardly a reasonable motive for massacring non-combatant Assyrians in neutral Iran. The first to be massacred were males living in Salmas district. This was a crossroad where the Turkish and Russian armies fought many battles. Perhaps equally important, the Ottomans hoped to annex this district and thus treated it as if it was already theirs, making facts on the ground. Another reason was that Chaldean Catholics had close relations with France through missionaries. For a few months an Ottoman army commanded by Jevdet Bey (brother-in-law of war minister Enver) made its headquarters there. Pretending they needed to be registered, more than eight hundred local Armenian and Assyrian men were gathered in February 1915. During the next days most of them were beheaded and their bodies thrown into wells. After the Turkish retreat Iranian authorities found the corpses. This was an early indication of a general intention to annihilate Christians. News of this and other atrocities spread rapidly to the international press. In May came a strongly worded condemnation from British, French and Russians to hold all members of the Turkish government
together with its agents implicated in the massacres responsible for these crimes against humanity and civilization. HYPERLINK "http://www.seyfocenter.se/index.php?sid=2&aID=36" \l "_edn5" \o "" [5]
In the administrative capital of Urmia 3,700 Assyrians had found asylum in a French mission complex. In mid February 1915 Turkish troops entered the mission and captured sixty males. Among them were many priests and a bishop. Soon afterwards three were hanged in public and forty-eight were shot while the bishop was held for a huge ransom. We saw numbers of Muslims who made a spectacle of the place of execution, recorded a nun. In addition to outright executions, more than 600 refugees died of disease and starvation.
The main Chaldean settlements in Turkey were in a region known as Bohtan with an important bishopric in the town of Sairt. The Chaldeans here were massacred in early June 1915 on the orders of above-mentioned Jevdet Bey. A Kurdish chief hid bishop Addai Sher who was an internationally known scholar. But after a few days he was found and both he and the Kurdish chief were shot. Sairts other Christians were slaughtered and their corpses littered the countryside. A Venezuelan mercenary witnessed an atrocious spectacle afforded by a hill beside the highway. The ghastly slope was crowned by thousands of half-nude and still bleeding corpses, lying in heaps, or interlaced in deaths final embrace
Overcome by the hideous spectacle, and jumping our horses over the mountains of cadavers, which obstructed our passage, I entered Sairt with my men. There we found the police and the populace engaged in sacking the houses of the Christians. At the seraglio I met various sub-governors of the province, assembled in council under the chief of the local gendarmes, Nasim Effendi, who had directed the massacre in person. From their talk I realized at once that the thing had been arranged the day before by Jevdet Bey. Those who managed to survive the massacre were death-marched out in a column that was repeatedly plundered by the guards and attacked by Kurdish tribes.
The destruction of the Chaldean community in Anatolia was near complete. The planned nature of the genocide is clear since south of the Mosul province border, attacks on Christian villages were prohibited. This meant that the core of the Chaldean Church in present-day Iraq remained intact, while its northern dioceses were obliterated.
During the war many newspaper articles, brochures, books, lectures and benefit-rallies made the world aware of the suffering of the eastern Assyrians. When the Americans began to organize relief work the major association was the Committee for Armenian and Syrian Relief and it had a subsidiary named the Assyrian Relief Fund. It later changed its name to the Near East Relief. The reason for this awareness of Assyrian suffering was a flow of information from missionaries and diplomats stationed in Iran who interviewed refugees streaming over the border or who observed the repression of the Ottoman occupation army.
The western Assyrians
In contrast to the eastern Assyrians, what happened to the westerners was totally hidden from the eyes of the world. Here the few missionaries still active were subject to stringent censorship. Very few refugees came from this region. No German or American consuls were stationed in the western Assyrian regions. Therefore most information about the genocide was assembled after the war was over through interviews with survivors.
The genocide of the western Assyrians took the form of provincially organized campaigns initiated behind the scenes of the Armenian deportations, and without the full knowledge of the central government. In order to keep the campaign secret the Assyrians would normally be massacred outright rather than being marched away like the Armenians. The motive for the annihilation here is not as obviously political or military as was the case of the eastern Assyrians. The western Assyrians were badly disorganized and had no political movements. As a tiny minority, they did not demand autonomy and had weak foreign contacts. The military need was non-existant as their settlements were far from the frontline. Instead, religious and economic regards motivated the genocide. Most western Assyrians were farmers and lived in large villages with decent farmland long coveted by their Muslim neighbors, some of whom still lived the life of nomads. When thinking of grabbing land and getting plunder, local politicians and nomad chiefs saw little reason to distinguish them from the Armenians, who were actually quite rare in the Assyrian homelands. They inflamed religious fanatics to spur Kurdish tribesmen, who became the main aggressors. On occasion, the ministry of interior would make a show for foreign diplomats to stop to the massacres against the non-Armenian Christians, but as a rule such orders arrived after a long delay when the damage had already been done. Because the campaign against the western Assyrians was not part of the central governments policy, but rather a popular initiative, it places itself somewhere in a grey-zone between genocide and full-scale mass-murder. Still, even when the central government made its show to intervene in favor of non-Armenian Christians, it did not replace the responsible provincial administrators and politicians who learned to carry on in even greater secrecy. Sometimes they would simply lie and say they needed to attack Armenian villages or crush rebels. In the end only the city-dwelling Assyrians stood a chance while the countryside was reduced to rubble.
Most western Assyrians belonged to the Syrian Orthodox (also known as the Jacobite) Church. The core of this religion was solidly within Diyarbakir province. There was almost compact Christian settlement in the farm villages around the towns of Midyat, Nusaybin and Cizre, collectively called Turabdin. The patriarch never published any statistics over the size of his flock. Contemporary estimates point to a figure of between one hundred thousand and two hundred thousand. There were isolated enclaves mixed with Armenians outside the Assyrian homelands, foremost in Harput. One reason for the inability of the patriarch to give statistics was that his church was falling apart. A major cause was communication difficulties. The patriarchs resided in Mardin and spoke, like everyone there, Arabic. But most of his flock in the Turabdin retained a distinct western Assyrian vernacular, while others further distant adopted Armenian or even Kurdish language. The Turabdin diocese was in blatant confrontation demanding autonomy from the mother church. During the genocide the church leadership appears to have saved the Arabic speakers by collaborating with the Turkish authorities, but to have sacrificed the rebellious districts.
By late May 1915 fleeing Armenians had informed the Assyrians about the ongoing mass-violence in the north. The major slaughter of the Assyrian villages started in June 1915 and continued through early September. The provincial governor conspired with outlaws to attack rural villages. The Rama tribe, notorious bandits, was given a pardon in order to participate in the sacking of Assyrian villages along the Tigris River and cut down the Armenian prisoners sent on rafts down the river. In Mardin arrests of Christian notables in early June included both Armenian and Assyrian leaders from all denominations. To the surprise of the captives, the Syrian Orthodox patriarch managed to bribe the police into releasing just his parishioners, but ominously no others. Thereafter on the night of June 10 about 400 Armenian and Assyrian Catholics and Protestants were marched out and killed. Upon news of the mass-execution the Sultan decreed that all non-Armenians must be freed and after considerable delay this did happen in a few towns. However, this Sultans pardon met with limited respect and a large number of Assyrians were killed as soon as the prime goal of liquidating the Armenians had been reached, which was in early August.
Midyat was the only town with an Assyrian majority and the people lived in panic after witnessing the murdering and burning of the neighboring villages. However, when they asked the local governor what was in store for them, he replied that they need not worry as the government was only arresting Armenians. The sole Assyrian group admitted to be at risk was the Protestant since they were assumed to have foreign contacts through missionaries. In this tense atmosphere more than one hundred males from the Protestant community were arrested and executed in late June, while the other Assyrians acted as bystanders. The background to this breakdown of solidarity is very uncertain. Some say that the Syrian Orthodox quarreled with the Protestants because the latter would not supply guns. Others say that they were sacrificed in hope that the authorities would spare everyone else. Far from feeling secure, the remaining Assyrians soon realized that they would be attacked as large numbers of hostile tribes gathered. They decided on a preventive strike, seizing arms and ammunition. Troops were sent to crush the revolt. Fighting went on for about a week until the Assyrians had been routed. The events of Midyat have enabled Turkish historians to interpret the meager defense as a rebellion, thus justifying the full severity of its repression by the Ottoman authorities. HYPERLINK "http://www.seyfocenter.se/index.php?sid=2&aID=36" \l "_edn6" \o "" [6]
The rural Assyrian villages were subjected to massacres from the early summer of 1915. Normally tribesmen and death-squads made up of townsmen surrounded the villages and fired on them when the people were harvesting. There was never an order of deportation, but rather shooting began direct. Usually the entire village was wiped out. Although a few youths might make it to another village, those who had families to protect would remain and be slaughtered. The countryside was strewn with corpses, and wells, ravines, ponds and pits overflowed with the dead. In some cases Kurdish landlords succeeded to convey their Assyrian peasants to the Arab provinces. A number of Assyrian villages actually withstood the attacks and two managed to hold out until an armistice was declared in November 1915. Azakh village even resisted units from the Ottoman army equipped with machine guns and canons. The provincial government called it a rebel Armenian village and thereby succeeded to divert an elite detachment to stage the siege and the minister of war ordered the rebels suppressed immediately and with the utmost severity. Amazingly the defenders held out and after a month the army pulled back to wait for a more opportune moment.
Although destruction was widespread, the anti-Assyrian measures had to be done in some secrecy while the anti-Armenian activities were committed in the open. Thus there was a greater chance for Assyrians to survive than for Armenians, particularly if they lived in the towns. A French Dominican monk who was held in house arrest in Mardin became witness to the destruction of the Christians. He attempted to calculate population loss for the Mardin district which was the southernmost part of Diyarbakir province. He reckoned that the Syrian Orthodox lost 29,725 out of an original population of 51,725, comprising 57 percent. The Chaledeans lost 6,800 or 86 percent and the Syrian Catholics lost 18 percent. In contrast the Armenian loss amounted to 97 percent. HYPERLINK "http://www.seyfocenter.se/index.php?sid=2&aID=36" \l "_edn7" \o "" [7]
Interpretations of the genocide
The Assyrians were a dysfunctional array of small Christian communities split into several rival subgroups with no common aspirations for anything but freedom from harassment. But once World War I began they were up against overwhelming odds as the Ottoman state cynically used religion to enthuse its Muslim citizenry to support total war. This resulted in the demonization of non-Muslims, particularly the already vulnerable Armenian and Assyrian minorities. The Ottoman political leaders fixed their eyes on the Armenians, but in the mind of the Muslim man-in-the-street this broadened into hostility toward the Assyrians in places where there were few or no Armenians in southeastern parts of Diyarbakir province.
The instigators of the systematic killing were among Turkeys highest political leaders. The minister of interior, Talaat, issued the deportation order of October 1914 against the Nestorians and ordered the ethnic destruction of Hakkari in June 1915. The organizer of massacres in Iran and in the towns of Sairt and Bitlis was Jevdet Bey, the governor of Van and brother-in-law of the minister of war. And he was also responsible for the bombardment of the Armenian quarters in Van. He used troops under the command of General Halil Bey, the uncle of the minister of war. The provincial governor of Diyarbakir, a former military doctor who considered Christians bacteria, was particularly noted for his blood-thirst. All of these personalities belonged to the same political group, the Committee for Union and Progress.
Many of those who perpetrated the murders were soldiers in the regular army or gendarmerie, or members of the reserve cavalry recruited from Kurdish tribes. In Diyarbakir special death-squads had uniforms and government-issue rifles. Only when they felt the need for large numbers were Kurdish tribes, inflamed by hate-speech, mobilized.
After the world war was over the eastern Assyrians, naming themselves Assyro-Chaldeans, argued that they had been brutally victimized and lobbied for an independent country. Assyrian claims for their own state rested also on the principle of national self-determination, but unlike the Armenians they found no sponsors among the victorious powers. They attempted to place a moral obligation on Britain to reward them for joining the war on the allied side in order to aid the British army in the wars final year. As one writer put it the Nestorians were Britains smallest ally, but they had no documentary proof. HYPERLINK "http://www.seyfocenter.se/index.php?sid=2&aID=36" \l "_edn8" \o "" [8]
The claim that the Assyrians declared war on the Ottomans is also one of the main arguments that Turkish denialist historians utilize to dismiss the claim that it was genocide. Historian Sonyel makes a great deal of the unsuccessful Assyrian resistance to justify their ethnic cleansing and eradication. He states that the Assyrians were duped by false promises of independence into joining the war. Thus they ended up betrayed by the western powers and having eternally offended Turkey. HYPERLINK "http://www.seyfocenter.se/index.php?sid=2&aID=36" \l "_edn9" \o "" [9] Recently the Turkish Historical Society established an Assyrian section. Its first publication also blames the victims and echoes the theme of Assyrian treason. HYPERLINK "http://www.seyfocenter.se/index.php?sid=2&aID=36" \l "_edn10" \o "" [10] However, the circumstance that a targeted population mounts a meager defense does not mean that their enemy has the right to resort to collective punishment and eradicates the entire non-combatant population or to make a full ethnic cleansing. Most genocide takes place in the shadow of war, sometimes in near civil-war conditions, and the Assyrian case is no exception.
Since the Turkish historians are fixed on the issue, it is necessary to describe the circumstances in which the Assyrians took part in the war. The Russians approached the Iranian Assyrians a few months before the war. They started to form self-defense units in border villages and they received training and some surplus rifles. Spies informed the Ottomans who issued their deportation decree of October 1914 accusing the Turkish Assyrians of being the instruments of the enemy. When the Ottomans staged their massive military thrust in the Hakkari Mountains in June 1915 it was preceded by the Assyrian attack on Turkish troops, who were regrouping nearby in the face of a Russian offensive.
It has thus been maintained that the Assyrians tribes declared war on the Ottoman Empire in May 1915, when it united with an advancing Russian brigade. However, no text of such a document has been found. No such declaration is mentioned in military histories, and there was no mention in publications printed during the war years, so an actual declaration probably is a myth or after-construction. Russian historians point to a growing desire, starting years before the war, from the Assyrians for Russian help with weapons for self-defense against immanent, and later realized Ottoman aggression.
Nevertheless, without a formal declaration of war, after the ethnic cleansing of Hakkari the Assyrian volunteers enrolled in regiments alongside Russian forces and fought many battles. Among their generals was the Nestorian patriarchs brother. The cooperation with the Russians continued up to the Bolshevik revolution in November 1917 but ended when Soviet Russia signed a peace treaty with Turkey the following March. From this time on the Assyrian regiments remained alone in Northwest Iran equipped with abandoned Russian arms, ammunition and provisions. Strategically they stood between the Turkish army and the important oilfields of Baku.
At this moment encouragement came from British and French military who sent missions to see to it that the Assyrians keep on fighting, foremost to pave the way for the British army rushing to reach Baku before it fell into Turkish hands. Assyrian sources name a promise given at New Year 1918 by a British intelligence officer, that they would get their own country in return for aiding the British. Unfortunately for the Assyrians there was no formal letter from British government representatives granting them a state in return for an alliance, as was the case with the Sherif of Mecca in return for Arab participation. Thus it was possible to later deny that any promise had ever been given. The best that the Assyrians could summon up in the way of evidence were affidavits from French and Russian military and diplomats who witnessed the meetings. HYPERLINK "http://www.seyfocenter.se/index.php?sid=2&aID=36" \l "_edn11" \o "" [11]
The politics of Assyrian genocide
One of the first tasks of the Assyrians after the war was to make a claim for self-determination along the principles of Woodrow Wilson. A first reaction asserted: No nation in modern history has suffered as much as our nation. We have endured our massacres silently. The horrors
infinitely surpass those of Armenia. Often at the expense of the Assyrian atrocities the Armenians have received the sympathy of the European nations. HYPERLINK "http://www.seyfocenter.se/index.php?sid=2&aID=36" \l "_edn12" \o "" [12] This quote is symptomatic for how Assyrian activists in their eagerness for recognition positioned themselves against the Armenians. Exiles in the Caucasus echoed the same complaint: we have suffered and suffered more than others, we should also be considered entitled to recognition and realization of our ideals. A nation that has fought and fought well; a nation that has given hundreds of thousands for the cause of the allies and its own freedom, it would be the very height of injustice not to receive the rights to which she is justly entitled. Every sacrifice has a reward, and the sacrifices of the Assyrians cannot be justly rewarded with anything short of their freedom. HYPERLINK "http://www.seyfocenter.se/index.php?sid=2&aID=36" \l "_edn13" \o "" [13] A sense of hurt can be felt in the complaint The Assyrian atrocities have erroneously been listed under the name of Armenia. The Assyrian gallantry on battlefield, amazing as it has been to the French, Russian and British officers who have witnessed it, has been attributed to the valor of the Armenians. HYPERLINK "http://www.seyfocenter.se/index.php?sid=2&aID=36" \l "_edn14" \o "" [14]Although misguided and inappropriate, the Assyrians began national-political activity inspired by the spirit of self-determination, but accompanied by an acute sense of victimization.
The feeling of international neglect did have some basis in fact. For instance the voluminous report of Lord Bryce and Arnold Toynbee to the British Parliament devoted a hundred pages to the Assyrians, but this was fully obscured by the title given it The Treatment of the Armenians in the Ottoman Empire. Some of the earliest massacres perpetrated by the Ottoman army were on a mixed assembly of Assyrians and Armenians in northwest Iran. News about the early atrocities played an important part in the allied threat to prosecute the Turkish government for crimes against humanity and civilization. However, after this first burst of attention paid to the suffering of Assyrians, the amount of newspaper coverage declined as the killing stopped in Iran only to continue more intensely in Turkeys dark interior thus disappearing from sight. Much of the international newspaper coverage was dependant on letters from eyewitnesses, and the Turks enforced strict censorship. The Armenians did have their own news centers in European countries and could give a steady flow of information, but the Assyrians lacked communication channels and depended on foreign mission organizations. Lack of accessible documents delayed the start of historical research, and even that suffers from partial coverage of events inside Anatolia.
A common problem of the Assyrian churches is the chronic disputed legitimacy of their leadership, which expresses itself in vicious quarrels, splits and local fragmentation. Up until 1882 the Syrian Orthodox was considered by the Sultan to be part of the Armenian millet and it had to make its views known through the Armenian Patriarch in Constantinople. Despite, or perhaps because of, its newly won autonomy, the Syrian Orthodox Church was in great disarray in the pre-war decades. There was constant bickering over appointments as bribery proved the best was to gain office. Of tradition, the strongest eastern Assyrian ruler was the joint religious and secular head of the Nestorians, who as a rule inherited the position from his uncle. But even his status was challenged by dynastic quarrels leading to conversion to Catholicism or Russian Orthodoxy. On the eve of the Turkish invasion dynastic conflict led to the inexplicable assassination of the patriarchs cousin the ruler of the large Jilu tribe, thus alienating them. In Urmia, probably the regions most economically advanced city, the Assyrians insisted on selecting four separate community leaders one each for the Presbyterians, Roman Catholics, Russian Orthodox, and Nestorians. Efforts to select a single representative failed. HYPERLINK "http://www.seyfocenter.se/index.php?sid=2&aID=36" \l "_edn15" \o "" [15]
Politically the Assyrians were split. Assyrians in Iran had close experience of the constitutional struggle and its conflicting political ideologies, some inspired by the oil-workers of Baku. Since Iran was more open to missionary activity than Turkey. They also had access to schools and colleges, many attended university in Europe or America, they had a number of newspapers and printing presses and were on the whole the most intellectually advanced of all Assyrians. In contrast, few inside Turkey had more than rudimentary education and they had little political experience. No intellectuals inside Turkey portrayed themselves as Assyrian nationalists, but rather they praised a form of Ottoman cosmopolitanism. HYPERLINK "http://www.seyfocenter.se/index.php?sid=2&aID=36" \l "_edn16" \o "" [16]
Within a few days of the armistice ending World War I, the governments of France, Great Britain and the United States were on the receiving end of schemes from Assyrian associations pleading for their own independent country. Territorial claims covered areas in Ottoman Turkey and Iran. This included a region bordered on the west by the Euphrates River, in the north by the Murad Su River and thereafter following a line south of Lake Van to Lake Urmia, in the east from Lake Urmia and then following the Turkish-Persian border, in the south extending from the border over Tikrit to the Euphrates. The area designated included the important cities of Diyarbakir, Urfa, Mardin, Nisibin, Midyat, and Sairt inside Turkey; Urmia and Salmas inside Persia; Mosul, Kirkuk, Arbil, Suleimaniya, and Tikrit inside Iraq; plus a large chunk of Syria. An eve0
HYPERLINK "http://www.seyfocenter.se/index.php?sid=2&aID=36" http://www.seyfocenter.se/index.php?sid=2&aID=36
HYPERLINK "http://www.euronews.net/2009/04/24/armenia-is-seeking-to-forge-closer-links-with-the-rest-of-europe/" Armenia is seeking to forge closer links with the rest of Europe
24/04 17:22 CET
reporter
But long-running disputes with neighbours, particularly Turkey and Azerbaijan over the region of Nagorno-Karabakh, the task remains huge. euronews travelled to Armenia to see how the country is trying overcome its difficulties.
HYPERLINK "http://www.euronews.net/2009/04/24/armenia-is-seeking-to-forge-closer-links-with-the-rest-of-europe/" http://www.euronews.net/2009/04/24/armenia-is-seeking-to-forge-closer-links-with-the-rest-of-europe/
ARMENIAN GENOCIDE: OBAMA BROKE HIS PLEDGE
First failure in the U.S. Presidents Mandate to Restore Integrity in Politics
As expected, the U.S. President, Barack Obama made a statement about the Armenian Genocide, this Friday 24 April, the commemoration day of the Genocide. Terming the Genocide as one of the great atrocities of the 20th century, the U.S. President declared that The Meds Yeghern [Great Crime in Armenian] must live on in our memories, just as it lives on in the hearts of the Armenian people, He added: I consistently stated my own view of what occurred in 1915, and my view of that history has not changed. Before evoking the joint statement signed in extremis by Turkey and Armenia and the so-called reconciliation efforts, he also reaffirmed his interest in the achievement of a full, frank and just acknowledgment of the facts.
President Obama thus failed to honour his pledge to recognize it as genocide the term that appropriately bears a political, juridical and legal meaning as he had repeatedly committed to do during his election campaign.
With this step backwards, he failed to meet the expectations of millions of Americans and Europeans who had hoped the U.S. President would embody a political break with the record of its predecessors. In so doing, he also cast doubt on his own word and on the credibility of the United States in the world, and especially in the South Caucasus.
Millions of people and hundreds of NGOs urged president Obama to term as genocide the Armenian Genocide in order to give evidence of his understanding of democratic societies. By choosing to give in to the threatening pressures of a denialist, racist and militaristic State, and to the murky interests of its allies, he impedes the U.S. capacity to reclaim its traditional leading rank in the world, stated Hilda Tchoboian, the chairperson of the European Armenian Federation.
The Federation notes that Armenia and Turkey, under the aegis of Switzerland, disclosed late in the night between the 22 and 23 April a joint statement, less than 24 hours before the anniversary date of the Armenian Genocide. This statement alleges that the two countries have agreed on a comprehensive framework for the normalization of their bilateral relations in a mutually satisfactory manner, that they have achieved tangible progress and mutual understanding in this process and that a road-map has been identified in this context.
« This interim agreement gives no new sign that could be considered as progress in the negotiations. It gives no evidence that Turkey has stopped placing unacceptable preconditions for the normalisations of relations, nor is there any indication that Armenia is ready to accept Turkey's immoral and politically untenable preconditions noted Hilda Tchoboian. On the contrary, just after signing this statement, the Turkish Prime Minister denied again that Turkey intends to withdraw the blockade of Armenia, added the chairperson of the European Armenian Federation.
The Federation considers that the deficient position of President Obama a posteriori proves that the joint statement signed by Turkey and Armenia on the eve of April 24 was just an under-handed scheme aimed at misleading the international community and alleging imaginary progress in order to offer an easy way out for the U.S. President.
Four hundred NGOs from European civil society called upon President Obama to honour his pledge to recognize the Armenian Genocide. They are very disappointed today, said Tchoboian. Those manipulations dont affect the core issue: the Turkish State remains politically and criminally liable for the Genocide toward the Armenian People concluded the chairperson of the European Armenian Federation.
The Federation stands by the opinion that any road-map that bypasses the core issue of the Right to Justice of the Armenian People victims of the Genocide will be condemned by the whole European Armenians.
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RASSEMBLEMENTS EXPOSITIONS CONCERTS - SPECTACLES
Agenda - Avril/mai: programme de l'association "Accolades"L'association "Accolades" présente la deuxième partie de la conférence d'Anaïd Donabedian sur le thème " La langue arménienne contemporaine en Arménie et en diaspora " Entrée libre. Rens. : nairi.haytad@wanadoo.fr Dimanche 17 mai de 11h à 19h - Parc de la Coulée Verte, derrière la Médiathèque, place du Château Sainte Barbe à Fontenay aux Roses Dans le cadre de la Fête de Fontenay aux Roses, l'Arménie est présente avec le stand d'Accolades. CD, DVD, artisanat, livres, actualité et infos sur l'Arménie. Animation danse à 16h30. Rens. : HYPERLINK "mailto:nairi.haytad@wanadoo.fr"nairi.haytad@wanadoo.fr
Agenda - Exposition: La Foi contre lOubli
Dans le cadre de la semaine Arménienne de la Mémoire et de la Culture La Foi contre lOubli Photographies de Robert Terzian Sur la 93eme Commémoration du Génocide des Arméniens à Marseille le 24 Avril 2008. Reportage sur le Marathon des 12 Eglises Arméniennes de Marseille et de la Veillée au Flambeau du 23 Avril sur le Vieux Port. Guy Teissier Député Maire des 9 et 10 eme Président de la Commission de la Défense Nationale et des Forces Armées à lAssemblée Nationale Président dEuroméditerranée Anne-Marie dESTIENNE dORVES Conseillère Municipale à lEcole des Beaux Arts Conseillère dArrondissement déléguée à la Culture Vous invitent au Vernissage de lexposition Le Lundi 20 Avril 2009 à 18h30 Mairie de Maison Blanche 150 Bd Paul Claudel 13009 Marseille Exposition du 17 au 30 Avril 2009
Agenda - Concerts de Iris Torossian (harpe) et Karen Khochafian (violon)
Komitas, Spendiarian, Khachaturian, Debussy, Saint Saëns, Ravel... AURORE OROR : France / Arménie, un duo original violon et harpe. La complicité de deux artistes qui ouvrent leur coeur et leur sensibilité pour donner un autre regard aux oeuvres du répertoire connu et permettre la découverte doeuvres inédites du patrimoine musical arménien. En concert à la Sainte-Chapelle de Paris, Les 25, 27, 29 avril, 26, 28 juin et 3 juillet à 20 h 30. Prochaine sortie du 1er CD d'Iris Torossian (harpe) et Karen Khochafian (violon) avec des compositeurs français (Debussy, Ravel, Fauré, St-Saëns, Massenet) et arméniens (Komitas, Spendiarian, Ganatchian, Khatchaturian...). Le CD sortira officiellement le 23 avril chez Harmonia Mundi. De plus les 2 artistes se produiront les 25, 27 et 29 avril 2009 à 20h30 en concerts promotionnels à la Sainte-Chapelle, 6 boulevard du Palais, Paris 1er. (métro cité, St-Michel ou Châtelet).
Agenda - Traces de guerre, réparations et enjeux de réconciliation
Quelles sont les voies possibles dun vivre ensemble, voire dune réconciliation quand un conflit guerre mondiale, guerre entre deux nations, guerre civile a opposé dans la violence des populations ? Est-il possible de (re)vivre ensemble ? Laprès génocide peut-il être assimilé à une sortie de guerre ? Quelles sont les traces laissées par ces conflits et comment peut-on les étudier ? Traces de guerre, réparations et enjeux de réconciliation Séminaire denseignement et de recherche Dans le cadre du programme formation-recherche « Traces de guerre, mémoire et réconciliation » soutenu par le CIERA Programme 2009 HYPERLINK "http://irice.cnrs.fr/spip.php?article333" \n _blankhttp://irice.cnrs.fr/spip.php?article333 Le mercredi de 18h à 20h Responsables : Corine Defrance, Robert Frank, Maryvonne Le Puloch, Hugues Tertrais, Fabrice Virgili, Annette Wieviorka et Eva Weil (psychanalyste). Lieu : Institut Pierre Renouvin, 1 rue Victor Cousin, Galerie J. B. Dumas, escalier L, 1er étage, salle F 603 Quelles sont les voies possibles dun vivre ensemble, voire dune réconciliation quand un conflit guerre mondiale, guerre entre deux nations, guerre civile a opposé dans la violence des populations ? Est-il possible de (re)vivre ensemble ? Laprès génocide peut-il être assimilé à une sortie de guerre ? Quelles sont les traces laissées par ces conflits et comment peut-on les étudier ? Notre séminaire interroge les voies multiples qui ont été choisies au cours du XXe siècle pour mettre fin aux conflits et parfois assurer la réconciliation entre populations ou entre nations (procès ; réparations, « repentances »...). Ce séminaire poursuit donc une réflexion engagée lannée passée, notamment lors de la journée détude sur le massacre de Nankin. Il est interdisciplinaire (lhistoire, mais aussi lanthropologie, la psychanalyse, le droit, la littérature, le cinéma
) ; il ambitionne la comparaison internationale. Deux notions essentielles sont utilisées, explicitées et approfondies. Celle de traces de guerre dabord traces psychiques comme traces matérielles ; traces individuelles qui sexpriment notamment dans la littérature, ou traces collectives par exemple par le biais de la commémoration ou de lérection de mémoriaux. Cette notion a lavantage de permettre le dépassement des historiographies actuelles, devenues maintenant classiques, de « la mémoire des guerres » et des « violences de guerre ». Celle de réparations, ensuite, terme dont nous continuerons à décliner la polysémie. À partir de ces deux notions, nous poursuivrons notre réflexion autour de quatre problématiques : la question de savoir si la mise en récits et la mise en scène des traces de guerre a une valeur réparatrice, cathartique ou non ; la question de la dimension sexuée de ces traces et de leurs éventuelles réparations, aussi bien du point de vue des individus, des groupes, que des rapports entre nations daprès conflit ; la question de la prise en compte par le droit pénal international des crimes liés aux guerres et les effets des procès sur les imaginaires de guerre et de paix ; la question des enjeux, des difficultés et des conditions politiques et socio-culturelles/sociétales de la réconciliation. Plusieurs séances sont consacrées cette année aux traces laissées par les deux guerres mondiales et la guerre froide à Berlin où auront lieu au mois de juin 2009 trois journées détude. Programme des séances du séminaire 29 avril 2009 Eva Simonsen (université dOslo) Les « enfants de Boche » en Norvège : mémoire et réconciliation Institut Pierre Renouvin, 1 rue Victor Cousin, Galerie J. B. Dumas, escalier L, 1er étage, salle F 603 Horaire : 17h45 - 19h45 13 mai 2009 Fabrice Virgili (UMR IRICE) À propos du colloque « Les viols en temps de guerre : une histoire à écrire » Institut Pierre Renouvin, 1 rue Victor Cousin, Galerie J. B. Dumas, escalier L, 1er étage, salle F 603 Horaire : 17h45 - 19h45 27 mai 2009 Bilan du séminaire Institut Pierre Renouvin, 1 rue Victor Cousin, Galerie J. B. Dumas, escalier L, 1er étage, salle F 603 Horaire : 17h45 - 19h45
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Agenda - 29 avril: Conférence Génocide et Mémoire
Avec le soutien de la Fondation du Grand Orient de France Les Respectables Loges, France Arménie, Les Amis Fidèles, Les Amitiés dAlain Archipel, Arts et Métiers, Athéna, La Croisée dOgives, Les Disciples de Memphis, Ménès vous convient à une Conférence Publique Ouverte à tout public Sur le thème : Génocide et Mémoire, Expression artistique des diasporas 1) Le constat Au cours de laquelle des extraits de musiques et de films seront diffusés, projetés et débattus, à loccasion des interventions de : Bernard COHEN-HADAD, Alexis Govchyan Jean-Pierre Prashuth, Moise Priso Mercredi 29 avril 2009 à 20h Temple n 1 Arthur Groussier Hotel du GODF, 16 rue Cadet, 75009 Paris En présence de : Pierre Lambicchi Grand Maitre du Grand Orient de France Fabien Taieb, Alain Geraudelle, Roger Cordier Grands Maitres Adjoints du Grand Orient de France Marcel Weyl Vice-pésident de la Fondation du Grand Orient de France Réservation conseillée auprès de Madame Nicole Revidon au 01 45 23 74 49 nicole.revidon@godf-asso.com
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Agenda - Parution du numéro 341, Avril 2009
Parution du numéro 341, Avril 2009, de la revue "l'Histoire", avec un dossier consacré au Génocide des Arméniens, pages 8 à 21 On se rappellera que le même magazine donnait pour titre à son dossier du numéro 187, Avril 1995, le titre "Massacre des Arméniens"... Revue l'Histoire, Numéro 341, Avril 2009, Dossier "le génocide des Arméniens" Titre : Revue l'Histoire, Numéro 341, Avril 2009, Dossier "le génocide des Arméniens" / auteur(s) : Revue L Histoire Editeur : sophia publications Année : 2009 Imprimeur/Fabricant : G. Canale et C, Italie Description : 96 pages, 20 x 28 cm, couverture illustrée couleurs Notes : Commission paritaire 0408 K88242 ; ISSN 0182-244 Sujets : Dossier "le génocide des Arméniens" Prix : 6,00 euros ________________________________________ Commentaire : Dossier "le génocide des Arméniens", pages 8 à 21 ________________________________________ Texte éditorial "Au lecteur" La vérité en marche Environ 30 000 Turcs ont signé à ce jour une pétition via Internet, qui est une demande de pardon aux Arméniens. Cette initiative de quatre intellectuels, Cengiz Aktar, Ali Bayramoglu, Ahmet Insel et Baskin Oran, rend de plus en plus intenable l'occultation du génocide arménien de 1915 par les autorités turques. Même si le tabou n'est pas encore officiellement levé, la démarche pétitionnaire est un événement. Il s'agit d'un véritable appel à la conscience publique : aucune démocratie ne peut vivre sans affronter ouvertement son histoire. Cet éveil collectif est le résultat en partie des pressions internationales, mais aussi du travail des historiens, des chercheurs turcs qui ont su braver l'interdit nationaliste. A l'automne dernier, la publication en France de l'ouvrage de Taner Akçam « Un acte honteux. Le génocide arménien » et la question de la responsabilité turque a fait grand bruit. A l'approche du 24 avril, jour anniversaire de la rafle de plusieurs centaines de notables arméniens d'Istanbul, date de commémoration et de deuil pour les Arméniens, nous avons choisi de publier un autre historien turc, Fuat Dündar. Après avoir soutenu à l'EHESS, à Paris, une thèse sur ce sujet, il enseigne à l'université du Michigan. La froideur de sa démonstration rend les conclusions d'autant plus accablantes. Lintérêt et la nouveauté de sa démarche tiennent d'abord à sa méthode de travail qui est celle de la démographie historique. A l'origine de la « Grande Catastrophe », pour reprendre l'expression utilisée par les Arméniens, il y a eu la volonté politique des Jeunes-Turcs, au pouvoir depuis 1913, de « turciser » leur pays. A cette fin, tout était bon. Y compris cette gigantesque opération d'« ingénierie ethnique », qui consistait à diluer les minorités arménienne, mais aussi bulgare ou grecque dans la population de l'empire en fixant des quotas par province censés permettre leur assimilation à la nation turque. Dans cette affaire, l'auteur cible la lourde responsabilité du ministre de l'Intérieur ottoman Talat Pacha, grand organisateur d'une carte de la Turquie nouvelle qui portait en elle tous les crimes. Des documents inédits, notamment des télégrammes codés envoyés par Talat Pacha (et dont nous publions ici des extraits), permettent de suivre quasiment au jour le jour les décisions de déportation, et d'établir de façon un peu plus serrée quelle fut dans cette tragédie la part prise par le gouvernement jeune-turc, par les gouverneurs de province et, surtout, par la sinistre Organisation spéciale, qui, sur place, perpétra les massacres de masse. Cette histoire du génocide arménien est encore en chantier. Des archives restent à ouvrir ou à découvrir. Mais les recherches s'intensifient, le scénario se précise, les points de vue se rapprochent, « la vérité est en marche ». =============== Revue l'Histoire, Numéro 187, Avril 1995, Dossier Enquête sur la tragédie d'avril 1915, Le Massacre des Arméniens Titre : Revue l'Histoire, Numéro 187, Avril 1995, Dossier Enquête sur la tragédie d'avril 1915, Le Massacre des Arméniens / auteur(s) : Revue L Histoire Editeur : Société d éditions scientifiques, Paris Année : 1995 _____________ Commentaire : Sommaire LES TURCS ET LE MASSACRE DES ARMENIENS Yves Ternon : Mise à mort d'un peuple Jean-Jacques Becker : Les derniers jours de l'Empire ottoman Christian Makarian : Heureux comme un arménien en France Daniel Bermond : L'affaire Bernard Bewis Jean-Jacques becker : Génocide : du bon usage d'un mot Gilles Veinstein : Trois questions sur un massacre Yves Ternon : Il s'agit bien d'un génocide ! THE TURKS AND THE MASSACRE OF THE ARMENIANS Yves Ternon : The killing of a people Jean-Jacques Becker : The last days of the ottoman empire Christian Makarian : Happy as an armenian in France Daniel Bermond :The Bernard lewis case Jean-Jacques Becker : Genocide : the right use of a word Gilles Veinstein : Three questions about a massacre Yves Ternon : It really was a genocide!
HYPERLINK "http://www.acam-france.org/bibliographie/auteur.php?cle=revue-histoire"http://www.acam-france.org/bibliographie/auteur.php?cle=revue-histoire
Agenda - Avant-programme des 1ères Journées Arméniennes d'Althen Paluds
1ères Journées ARméniennes dAlthen Paluds 8-10 mai 2009 Yves Ternon et Claude Mutafian seront les animateurs du débat "Négationnisme et historiens". 2 autres débats sont prévus dont les facilitateurs seront Raymond Aydabirian et Mihran Amtablian. ALTHEN des PALUDS n'offre qu'une 50 aine de chambres ( hotels + gites). Réservez dès maintenant les packs hébergement/spectacles pour le WE du 8 au 9 ( ou 10). Les 1ères demandes seront servies en 1er. Prix : 60 euros la chambre pour 2 personnes, petit déjeuner compris soit 120 euros pour les 2 nuits. Téléphoner à la Mairie d'Althen pour les réservations: 04 90 62 01 02 La programmation des films est encore à peaufiner dans le détail. Serge Avédikian vous prépare notamment des raretés comme les films dArtavazd Pelechian. Laccueil des participants et leur installation se fera VENDREDI 8 matin ( avant midi) PLACE de lEglise dAlthen des Paluds. Des packs hébergement/ spectacles vous seront proposés. Pour nous permettre dévaluer les besoins et de négocier les prix des chambres, merci de nous adresser dès maintenant vos intentions de séjour avec vos noms, le nombre de chambres. Pour simplifier les choses, ces packs concerneront seult les séjours pour les 2 nuits ( 8 et 9 mai) ou les 3 nuits ( 8,9 et 10 mai). Ceux qui arrivent par le train devront donner au Comité dOrganisation leurs horaires darrivée et de départ pour la mise en place de navettes. La place de lEglise sera tout à la fois la PLACE de RENCONTRE, la PLACE du MARCHE, la PLACE du HAPPENING ( là où on peut danser, chanter, manger, boire etc
) . Cest ici que ROBERT KECHICHIAN fera un film-interview de Shamiram Sevak , la fille du poète Ruben Sevak assassiné en 1915. Cest ici que se termineront ces 1ères JARA par larrivée du groupe de danse depuis la grande salle qui nous entraînera dans un Kotchari géant et par le pot de clôture offert par Monsieur le Maire. Télécharger le programme
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Agenda - Salon du livre les 15-17 mai 2009 au Centre Culturel Alex Manoogian
LUGAB PARIS/IDF organise son premier salon du livre les 15, 16 et 17 Mai 2009 de 10 heures à 19 heures. REGARDS CROISÉS est loccasion de présenter plus de 300 titres : romans, récits, histoire, religion, BD, contes, beaux-arts, DVD
et de réunir des auteurs ayant écrit sur lArménie ou les Arméniens. PROGRAMME Vendredi 15 Mai à 19 heures : Présentation par Gilbert Sinoué de son roman Erevan et séance de dédicace. Samedi 16 Mai, à 18 heures : « Mémoire et Histoire ». Table ronde avec le géopoliticien Gérard Chaliand, les historiens Claude Mutafian, Yves Ternon, et Raymond Kevorkian , le politologue Gaïdz Minassian, et Bardig Kouyoumdjian. Dimanche 17 Mai à 15 heures : Dédicace exclusive de Jean-Christophe Grangé, auteur du roman à succès Miserere. Signature de Laureen Topallian de son conte illustré pour enfantsLe Prince tisserand. Le Salon du livre est organisé lors de la brocante annuelle de la rue de Courcelles, à Paris 17e . Présence dun stand devant les portes du Centre culturel Alex Manoogian avec vente de produits artisanaux. Bar avec dégustation de spécialités arméniennes. Centre Culturel Alex Manoogian delUGAB 118, rue de Courcelles 75017 Paris M° Courcelles Bus ligne 84 Contact : Méliné Kebabdjian Mobile : 06 09 33 91 44 e-mail : melinekapa@yahoo.fr
Agenda - Dernier numéro du Bulletin de l'ACAM
L'ACAM nous envoie le dernier numéro de son bulletin. Bulletin de l'ACAM 21e Année N 72 Mai - Septembre 2009 Pour plus d'informations télécharger le pdf ci-dessous:
TÉLÉCHARGER : HYPERLINK "http://collectifvan.org/pdf/10-31-45-7-04-09.pdf" \n _blank Bulletin de l'ACAM HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=5&id=29580" http://collectifvan.org/article.php?r=5&id=29580
Agenda - Voyages Byblos: tarifs négociés pour l'Arménie
Voyages Byblos, spécialiste de l'Arménie vous propose ses tarifs négociés au départ de Paris et Province. - VOLS à partir de 388 ¬ * TTC au départ de Paris, franchise bagages 30kg - VOLS à partir de 513 ¬ * TTC au départ de Province (Marseille, Nice, Lyon...), franchise bagages 30kg De nombreuses promotions vous sont proposées tout au long de l'année. Découvrez l'Arménie à travers notre brochure ORIENTISSIMES : -Voyages à la carte -Séjours -Circuits - Ecotourisme - Voyages de groupe, d'affaires. De plus, vous pouvez bénéficier de nos facilités de paiement en 3 ou 4 fois* à l'agence et vous pouvez également payer à distance*. Pour plus de renseignements notre équipe est à votre entière disposition. *Voir les modalités à l'agence. VOYAGES BYBLOS 101 rue Sainte 13 007 Marseille TEL : 04 91 54 00 53 / FAX : 04 91 54 00 56 EMAIL : voyagesbyblos@wanadoo.fr WEB : www.voyagesbyblos.com VOYAGES BYBLOS 101 RUE SAINTE 13007 MARSEILLE TEL 04 91 54 00 53 / FAX 04 91 54 00 56 EMAIL VOYAGESBYBLOS@WANADOO.FR
Agenda - Nouvelle session de cours d'arménien donnés par l'Association MACHTOTZ
L'ACAM nous envoie cette annonce sur le démarrage d'une session de cours d'arménien donnés par l'Association MACHTOTZ pour la défense de la langue arménienne. Association MACHTOTZ Pour la Défense de la Langue Arménienne organise 1. Cours intensif darménien 1er niveau pour non-arménophones NOUVELLE SESSION : 14 Février 27 Juin 2009 Stage de 50 heures, le samedi matin de 9h à 12h à Paris (Absentéisme exclu) Ces cours sadresseront aux débutants de 8 à 70 ans Les élèves francophones seront capables de parler, ainsi que lire et écrire larménien. Lenseignement est assuré par Mme. Hilda Kalfayan-Panossian avec sa METHODE AUDIOVISUELLE 2. Les cours de 2e, de 3e et de 4e niveaux continuent, le samedi entre 12h et 15 h à Paris. Les nouveaux élèves sont acceptés après un test de niveau. 3. Vous pouvez aussi vous procurer votre MANUEL DARMENIEN OCCIDENTAL POUR LES NON ARMENOPHONES Une méthode audiovisuelle utilisable chez soi 3 volumes en couleurs + 1 coffret de 2 CD audio : 99 Euros (frais dexpédition inclus). Pour tous ces cours et le manuel : RENSEIGNEMENTS ET INSCRIPTIONS : 01 47 50 97 51
Télécharger le pdf
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Agenda - 3eme Festival international de la Poésie à Paris avec la participation de Levon Minassian
Un grand événement se prépare Le mardi 29 septembre 2009 à 19 h30 Auditorium st Gérmain 9 rue Felibien Paris 6eme Avec Levon Minassian Mâitre arménien du doudouk et ses musiciens Dans le cadre du 3eme festival International de la poésie à Paris Avant tout le monde vous devez être tenu au courant les places peuvent déjà se prendre en adressant un chèque de 10 E par personne à l'intention de POÈTES A PARIS YVAN TETELBOM RESDENCE POTIERS A CHEMIN DES¨POTIERS 06220 VALLAURIS FRANCE tout le programme se trouve dans HYPERLINK "http://www.poetesaparis.fr/" \n _blankhttp://www.poetesaparis.fr/ voir dans PROGRAMME a la page MARDI 29 SEPT 2009 EVENEMENT 19 h 30 4, Rue Félibien 75006. Paris LEVON MINASSIAN & ses musiciens Serge Arribas, Jean Pierre Nergararian, et la voix de Roselyne Minassian http://www.levonminassian.com En 2002, à Gumri, Lévon Minassian reçoit le Trophée des Maîtres en matière de doudouk. Rappeler cet événement n'est pas anodin si l'on songe au parcours de l'enfant de Saint Jérôme, un quartier de Marseille, où son grand-père, Souren, jadis, trouva refuge. Lequel, par ses propres moyens, après avoir ramené, à 16 ans, un instrument d'Arménie, dût maîtriser un art dont les secrets ne se transmettent entre initiés qu'avec parcimonie. Une famille vivant dans le culte de la musique, une communauté arménienne friante de sons, beaucoup d'abnégation, l'aideront à sa solitude. Au point que son talent le fait repérer par des professionnels. En 1985, le compositeur Georges Garvarentz, le sollicite pour la musique du film Les mémoires tatouées. Une première collaboration pour le cinéma qui va être suivie de beaucoup d'autres dont les bandes originales de Mayrig, L'Odyssée de l'espèce, La terre vue du ciel, Va, vis et devient, La passion du Christ, Amen... www.youtube.com/watch?v=L7B7PuUC3MM 1ère partie Sibel Chulliat : Née à Izmir (Turquie) en 1966, Sibel Chulliat a dabord obtenu une licence de philosophie à luniversité Haceteppe dAnkara avant de se tourner vers le théâtre. En 1990, elle obtient le premier prix dart dramatique du Conservatoire National dAnkara et devient un an plus tard sociétaire du Théâtre National de Turquie Nazand Beghigani Nazand Begikhani (born 1964) is a contemporary Kurdish writer, poet and researcher.was born in Koya in Iraqi Kurdistan and has been living in exile since 1987 when she sought refugee status in Denmark. She received her PhD in comparative literature from Sorbonne, and published her first collection of poems in 1995. She has also translated works of Baudelaire and T. S. Eliot into Kurdish. Her translations into English have been published by the Poetry Magazine in the United Kingdom. She is also an active advocate for women's rights and is the founding member of Kurdish Women Action against Honour Killing (KWAHK). She has worked with Kurdish Institute of Paris and Kurdish Cultural Centre in London.
Agenda - 06 mai: projection du film de Serge Avedikian "Nous avons bu la même eau"
Dans le cadre de lOpération départementale "Les Côtes d'Armor fêtent le cinéma" du 06 au 12 mai 2009 film de Serge Avedikian "Nous avons bu la même eau", sera projeté le mercredi 06 mai 2009 au centre culturel "Le Cap" de Plérin ( commune limitrophe de Saint Brieuc). Cette projection se fera en présence de Serge Avedikian et Anne Sarkissian (jeune réalisatrice et productrice Finistérienne). Un partenariat avec le NPAK, centre d'art contemporain de Yerevan, est réalisé pour la présentation de premiers films de courts-métrages d'une minute de la nouvelle génération arménienne (films projetés en vidéo) dans le cadre de leur festival "one minute, one shot".
Agenda - Contes Arméniens au Théâtre Ainsi de Suite
La Compagnie Olinda est heureuse de vous présenter son spectacle les Contes Arméniens au Théâtre Ainsi de Suite le 16 Mai 2009. °°°°°°°°°°°°°°°°°° Contes Arméniens Avec Agnès Manas Tovmassian. Mise en Scène Raphaël Manas. Avec la complicité de Christel Rossel Retrouvez sept Contes de la tradition orale Arménienne, pour tous dès 7 ans. Samedi 16 Mai 2009, à 15h et 18h Au Théâtre Ainsi de Suite 23 Rue Gaston de Sapporta, 13100 Aix-en-Provence. Réservations au 04 42 21 60 08 Tarifs: 5¬ et 8¬ Durée 50 Minutes "La tribu fit bâtir une Nation, où chacun avait le droit de vivre en Homme Libre. C'était au pied du Mont Ararat qui devait devenir le symbole de ce peuple. Le pays prit le nom de Hayastan, qui se traduit en Français par Arménie. (...) Et les histoires se sont transmises, de générations en générations, pour parvenir jusqu'à nous à travers ces hommes et femmes qui ont pris la route de l'exode..." Plus d'infos sur les Contes et Dossier Artistique: HYPERLINK "http://www.fonderie-aix.com/article.php3?id_article=209" \n _blankhttp://www.fonderie-aix.com/article.php3?id_article=209
Agenda - Exposition: La « Nuit de Cristal »
"La Nuit de Cristal" : 9-10 novembre 1938 Marquant une rupture avec la politique nazie de 1933 à 1937, cet événement est autant révélateur de lindifférence des nations au sort des Juifs dAllemagne et dAutriche que de lincapacité des états démocratiques à contrecarrer les coups de force menés par lAllemagne de Hitler. L'exposition présente des objets originaux provenant des synagogues incendiées lors de la "Nuit de Cristal", ainsi que de nombreuses pièces et images issues d'archives internationales. En Partenariat avec le Figaroscope et la chaîne Toute l'Histoire. Prolongation exceptionnelle jusqu'au 30 août 2009 À loccasion du 70e anniversaire de la « Nuit de Cristal », le Mémorial de la Shoah a choisi de revenir sur cette date centrale, la nuit du 9 au 10 novembre 1938, qui marque une étape dans la politique nazie en matière de violence et de persécutions antisémites. Après léchec de la Conférence dÉvian (juillet 1938) et la signature des accords de Munich (septembre 1938), les nazis se sentent libres dagir. Aussi, du 9 au 10 novembre 1938 en Allemagne mais aussi en Autriche se déroule un pogrom durant lequel 267 synagogues sont pillées et incendiées, 7 500 magasins sont pillés, leurs vitres brisées, doù le nom donné par les nazis de « Nuit de Cristal ». Près dune centaine de Juifs sont assassinés, et des centaines dautres blessés. Environ 30 000 Juifs sont arrêtés dont 11 000 sont internés à Dachau, et près de 10 000 à Buchenwald. Cette terreur, organisée par le pouvoir, est présentée comme une explosion spontanée de violence populaire en réaction à lassassinat à Paris, le 7 novembre 1938, du conseiller dAmbassade allemand E. vom Rath, par un Juif polonais réfugié dAllemagne, H. Grynszpan. En provoquant cette manifestation de violence antisémite, les nazis veulent accélérer lémigration des Juifs, jugée trop lente en dépit de la politique de persécution mise en oeuvre depuis février 1933. Lorsque les Juifs décident de quitter lAutriche et lAllemagne, nombre dentre eux ne trouvent pas de pays daccueil, et ce, malgré lémotion et les condamnations de lopinion publique provoquées par la « Nuit de Cristal » dans le monde entier. Bientôt, avec le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, tous les Juifs dEurope connaîtront le même sort. Légende:Magasin de Léo Schlesinger saccagé lors de la « Nuit de Cristal ». Vienne, Autriche, 10 novembre 1938. Coll. Mémorial de la Shoah / CDJC. Cette exposition a été conçue par les services du Mémorial de la Shoah. Commissaire de lexposition : Jacques Fredj Coordination de lexposition : Sophie Nagiscarde, Lior Smadja et Caroline François. Sous la supervision de Rita Thalmannn, historienne, professeur émérite à luniversité de Paris VII-Denis Diderot. En Partenariat avec : Le Figaroscope Et la chaîne toute l'Histoire Exposition : niveau 1 Entrée libre Tous les jours sauf le samedi de 10 h à 18 h, le jeudi jusquà 22 h Le Catalogue de l'exposition Ce catalogue a été publié à l'occasion de l'exposition La « Nuit de Cristal » présentée au Mémorial de la Shoah du 9 novembre 2008 au 30 août 2009. Cette édition exceptionnelle rassemble sur cette date centrale de la « Nuit de Cristal », plus de 150 images, documents darchives, reproductions dobjets, et témoignages, dont certains navaient jamais été publiés. Prix de vente: 39 euros disponible en français et en anglais. EXPOSITION TEMPORAIRE Individuelles : les jeudis 12 mars, 23 avril, 7 mai, 14 mai, 4 juin, 25 juin, 2 juillet, 30 juillet, 27 août 2009 sans réservation et dans la limite des places disponibles. Rendez-vous fixé à 19h30 à laccueil. Durée 1 h. Visite gratuite. Informations et réservations pour les visites individuelles: 01 42 77 44 72 Groupes : possibilité de visites guidées de groupes sur demande Tarif : 45 ¬ pour le groupe Informations et réservations pour les visites de groupes uniquement: au 01 53 01 17 86
HYPERLINK "http://www.memorialdelashoah.org/b_content/getContentFromNumLinkAction.do;jsessionid=5FE7560775C88B4CCE78921D45BA785D?type=1&itemId=920"http://www.memorialdelashoah.org/b_content/getContentFromNumLinkAction.do;jsessionid=5FE7560775C88B4CCE78921D45BA785D?type=1&itemId=920
Agenda - Arménie, terre de culture et d'émotions
Le voile se lève enfin sur le premier pays christianisé du monde. Est-ce encore l'Occident ou bien déjà l'Orient ? Au carrefour des grandes routes commerciales, l'Arménie est une étape sur la route de la soie, elle en subit toutes les influences. Théâtre des luttes entre ses puissants voisins, elle est souvent envahie, vassalisée, amputée d'une partie de son territoire et de sa population. Comment ce peuple, aussi malmené par l'histoire est-il resté debout ? Comment a-t-il conservé son identité intacte ? Sans doute parce que l'Arménie est soudée à ses deux piliers que sont sa religion et son alphabet. Après génocide, séisme, éclatement de l'URSS, conflit du Karabagh, l'Arménie d'aujourd'hui se reconstruit, dans les soubresaults de la post-indépendance, grâce à sa principale richesse : la matière grise. Connus pour leurs compétences commerciales, les Arméniens sont avant tout des bâtisseurs. L'architecture unique des églises, monastères, forteresses, khatchkars, témoignent depuis des millénaires, du génie artistique de ce peuple. Marie-Dominique Massol s'est immergée avec délices dans ce pays difficile, blotti dans les contreforts du Caucase. Dans ces montagnes, d'une beauté âpre et sauvage, elle a cueilli les sourires, guetté les regards, écouté les histoires, ri des "anekdots". Elle s'est délectée de cette culture multi-millénaire qui nous ramène aux sources de la civilisation. Elle rapporte un témoignage réaliste de l'Arménie d'hier et d'aujourd'hui, un voyage à travers une terre de grande culture, un regard sensible et respectueux. Format 16/22 - 192 pages sur papier couché brillant - Reliure cousue brochée - 117 photos couleur. ZANZIBAR PARFUMS D'EPICES PARFUMS D'HISTOIRE Subtil mélange de culture africaine et arabe, baigné dans la moiteur des tropiques, l'archipel de Zanzibar attire chaque année davantage de visiteurs. Marie-Dominique Massol nous ouvre les portes de la civilisation swahili, d'un islam commerçant et accueillant, un voyage à travers les siècles dans les pas des princesses et des sultans. Un livre riche en informations pour vous transporter dans ces îles parfumées d'épices et d'histoire. ARMENIE, TERRE DE CULTURE ET D'EMOTIONS Marie-Dominique MASSOL Parution : 09/08 Format : 16/22 cm. 192 pages sur papier couché brillant 117 photos couleur, cartes Reliure cousue brochée Prix Public : 25 ¬ ISBN : 978-2-81110-043-8 Editions KARTHALA 22-24, bd. Arago - 75013 Paris tél : 01 43 31 15 59 HYPERLINK "http://www.karthala.com/"http://www.karthala.com/ Nota : L'auteur a également tourné un film en 2006 sur le même sujet : ARMENIE Récit, débat et grand film de Marie-Dominique MASSOL Entre les puissants massifs du Caucase, de l'Iran et de l'Asie Mineure, l'Arménie résonne encore des échos des mythes fondateurs. Est-ce encore l'Europe ? Est-ce déjà l'Asie ? Marie Dominique Massol nous entraîne dans un pays mystérieux, à la beauté âpre et sauvage qui sied si bien à cette terre pétrie d'émotions. Nous vivrons une aventure étonnante à travers les forêts profondes, les vallées encaissées, les canyons vertigineux, les sommets déchiquetés, le lac Sevan, la douceur des cônes volcaniques, sous l'ombre protectrice du Mont Ararat qui pourtant se trouve aujourd'hui en Turquie. Sur ce territoire, jalonné de katchkars, ces pierres croix brodées, surgissent des forteresses accrochées aux pitons rocheux, des monastères taillés dans la roche qui défient les hommes et s'offrent à Dieu. Ici, la vie et la mort s'entremêlent lors de rituels ancestraux. Malgré son histoire douloureuse, ce peuple de grande culture, possède une langue, un alphabet, une religion uniques et sa principale richesse réside dans sa matière grise. Nous partagerons le quotidien de ces Arméniens qui se sont racontés avec pudeur et sincérité. Nous dégusterons des lavatch et porterons tant de toasts au « Grand Charles » et à l'amitié avec la France que vous n'oublierez pas la légendaire générosité. Marie-Dominique a voulu comprendre la « douleur Karabagh » et s'est rendue dans cette enclave chrétienne en terre musulmane. Les larmes de la guerre entachent encore les paysages et les âmes, mais le Karabagh fait preuve d'un dynamisme surprenant. La diaspora n'est pas étrangère aux changements qui s'opèrent en Arménie, surtout dans les villes. Gumri, efface peu à peu les traces du terrible séisme. Erevan, la « ville rose » toute de tuf vêtue est un grand chantier. En un an et demi, la réalisatrice a vu les buildings pour hommes d'affaires pressés, les cafés pour jeunesse branchée, se multiplier. Drapée d'un charme oriental, la capitale fait preuve d'un dynamisme à l'occidental. Venez découvrir un document unique, car derrière l'il de cette caméra se dissimule la sensibilité d'une femme dont la première ambition est de partager la découverte de « son » Arménie, celle qu 'elle a ressentie, « à fleur de vie ». Un grand film débat CAP MONDE, présenté par son auteur. HYPERLINK "http://www.cap-monde.com/ARMENIE,_TERRE_DE_CULTURE_ET_D'EMOTIONS-film-24.htm"http://www.cap-monde.com/ARMENIE,_TERRE_DE_CULTURE_ET_D'EMOTIONS-film-24.htm
HYPERLINK "http://www.cap-monde.com/Les_livres-prestation-4.htm"http://www.cap-monde.com/Les_livres-prestation-4.htm
Agenda - Devenez bénévole, rejoignez la DA-connexion
Devenez bénévole Rejoignez les équipes de la DA-connexion dans le cadre dune mission humanitaire en Arménie Vous voulez faire de lanimation ? Participer à un projet médical ? Aider à la rénovation décoles ? Réaliser un reportage photo-vidéo ? Rejoignez-nous ! La campagne humanitaire de la DA-connexion se déroulera du 10 au 31 août 2009 Week-end dintégration le 6-7 juin, région parisienne Information : contact@da-connexion.org Véra 06 64 43 30 25 www.da-connexion.org =============== A loccasion de ses 10 ans, la DA-connexion publie un livre événement : découvrez les villages dArménie à travers les yeux des bénévoles et les objectifs des photographes de la DA-connexion. contact@da-connexion.org Eva : +33 (0)6 6462 34 37 Pour commander votre album photo en ligne, c'est très simple ! Etape 1 : Rendez-vous sur le site de l'association www.da-connexion.com et cliquez sur « Faites un don » via PayPal Etape 2 : Faites votre règlement en ligne via PayPal. Le livre est vendu à partir de 30¬ . Etape 3 : Envoyer un email à contact@da-connexion.org en nous spécifiant votre nom, adresse postale et montant de votre don. Vous recevrez par la poste votre livre ainsi qu'un cerfa qui vous permettra de déduire 66% du montant de votre don de vos impôts. Pour tout renseignement, vous pouvez contacter Eva au +33 6 64 62 34 37 ou par email à contact@da-connexion.org. Cliquez ici pour vous désabonner de notre liste de diffusion
Agenda - "EREVAN-PARIS IXe", Roman témoignage de André Labidoire
EREVAN-PARIS IXe est un roman témoignage d'André Ratch Labidoire, paru chez Editinter Editions, inspiré par cette première moitié du vingtième siècle au cours duquel des millions d'hommes sont morts en raison de leur religion, de leur race ou de leurs idées. Pour l'Arménie, les auteurs du génocide sont désignés par l'histoire. Le monde attend désormais leur repentance. "L'histoire que vous allez lire est vraie. Aussi vraie que peut l'être une longue aventure née d'un exode et racontée par épisodes à un enfant de dix ans. Ratch Fetvadjian, mon parrain arménien, m'a raconté l'histoire de ce siècle telle qu'il l'avait intimement vécue et qui commença pour lui par le génocide arménien de 1915 à Trébizonde. Ratch Fetvadjian m'a confié son histoire en unique héritage. Je me devais de le transmettre. Qu'il soit remercié ici, au pied du mont Ararat et devant le Mémorial du génocide arménien." (André Ratch Labidoire). =================== André Labidoire EREVAN-PARIS IXe Roman témoignage ISBN 978-2-35328-033-9 ; 2009 17,90 EUR Pierre Danzac a six ans à la fin de la seconde guerre mondiale. Il vit chez sa grand-mère paternelle Marie-Jeanne qui occupe un petit logement rue Condorcet à Paris. Elle vit avec Ratch Fetvadjian, un Arménien rescapé du génocide de 1915. Aventurier talentueux, conteur passionnant, joueur incorrigible, issu dune famille arménienne de grands propriétaires, il est désormais ruiné. Devant un atlas toujours ouvert, le vieil homme raconte à lenfant le génocide, puis sa fuite dArménie qui le mènera en pleine Révolution russe jusquà Vladivostok par le fameux Transsibérien, puis au Japon, à San Francisco, New York et enfin, à Paris. Aux éclairages intimes de la vie quotidienne de laprès-guerre se succèdent des personnages qui nourrissent limaginaire de lenfant et introduisent une réalité historique et politique qui aujourdhui encore résonne avec force dans notre actualité. EREVAN-PARIS IXe est un roman témoignage inspiré par cette première moitié du vingtième siècle au cours duquel des millions dhommes sont morts en raison de leur religion, de leur race ou de leurs idées. Pour lArménie, les auteurs du génocide sont désignés par lhistoire. Le monde attend désormais leur repentance. André Ratch LABIDOIRE a conduit une carrière de consultant dans les domaines de la communication sociale et politique. Il a effectué de nombreuses missions détudes à létranger et a été le témoin aux plus hauts niveaux dévènements historiques qui ont marqué la fin du vingtième siècle. Erevan-Paris IXe associe à ses souvenirs denfance, lhistoire et le témoignage de son parrain, rescapé du génocide arménien de 1915. Ratch Fetvadjian, mon parrain arménien Pierre Lazareff, le grand journaliste, demanda un jour à Blaise Cendrars, le grand poète, sil avait réellement voyagé dans le Transsibérien. Cendras lui répondit que limportant était quil nous lavait fait prendre à tous. Lhistoire que vous allez lire est vraie. Aussi vraie que peut lêtre une longue aventure née dun exode et racontée par épisodes à un enfant de dix ans. Ratch Fetvadjian, mon parrain arménien appartenait à la famille du grand peintre Arshag Fetvadjian mort à Boston en 1947. Mais ils ne se sont jamais rencontrés. Mon parrain ma raconté lhistoire de ce siècle telle quil lavait intimement vécue et qui commença pour lui par le génocide arménien de 1915 à Trébizonde. Hélas, ce nétait pas le premier massacre perpétré contre son peuple. Après avoir échappé miraculeusement au massacre, il fut contraint par la Révolution russe de fuir vers lest, ce quil a pu faire grâce à un Transsibérien bénéficiant de lex-territorialité convoyant des diplomates étrangers et quelques personnalités qui fuyaient Moscou et la révolution. Son obsession était de gagner la France, ce pays de la liberté et des droits de lhomme. Dans ce périple, il était accompagné par son frère aîné, Tigrane. Cest en lécoutant et en regardant latlas souvent ouvert que jappris la géographie et lhistoire politique de cette région. Jétais dautant plus captivé par le récit de mon parrain que javais été bercé, si lon peut dire, par la guerre, les bombardements, labsence de mon père qui pendant cinq ans avait été prisonnier des nazis. Mon enfance fut aussi éclairée par le courage de ma mère, la tendresse de mon parrain et le dévouement de mes instituteurs. Ratch Fetvadjian ma confié son histoire en unique héritage. Je me devais de le transmettre. Quil soit remercié ici, au pied du mont Ararat et devant le Mémorial du génocide arménien. Erevan mai 2007
HYPERLINK "http://editinter.free.fr/labidoireandre.html"http://editinter.free.fr/labidoireandre.html
Agenda - Lucineh Hovanissian won Toronto Exclusive Magazine Awards 2008
LUCINEH HOVANISSIAN WON TORONTO EXCLUSIVE MAGAZINE AWARDS 2008 INTERNATIONAL ARTIST OF THE YEAR & BEST INTERNATIONAL JAZZ SONG Lucineh Hovanissian My childhood (©Made in Armenia , 2008) NOMINATION FOR: BEST INTERNATIONAL WEB SITE HYPERLINK "http://www.torontoexclusive.com/magazineawardsonline/"http://www.torontoexclusive.com/magazineawardsonline/ HYPERLINK "http://www.lucinehovanissian.am/"http://www.lucinehovanissian.am/ mp3s from her latest album Made in Armenia are on: HYPERLINK "http://www.sonicbids.com/epk/epk.aspx?epk_id=147806"http://www.sonicbids.com/epk/epk.aspx?epk_id=147806
Agenda - Dernier numéro du Bulletin de l'ACAM
l'ACAM nous envoie le dernier numéro de son bulletin. Bulletin de l'ACAM 21e Année N 71 Janvier - Avril 2009 Pour plus d'informations télécharger le pdf ci-dessous: HYPERLINK "http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=26988"http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=26988
Agenda - Un chemin de promesses Paris-Jérusalem
A loccasion de la sortie du récit de voyage, on vous invite à découvrir les huit mois de marche. HYPERLINK "http://my.wobook.com/00000006633ed4f6693fd25a5d2deb21a471cb77c3fc61844e"LIRE UN EXTRAIT: HYPERLINK "http://my.wobook.com/00000006633ed4f6693fd25a5d2deb21a471cb77c3fc61844e"http://my.wobook.com/00000006633ed4f6693fd25a5d2deb21a471cb77c3fc61844e
HYPERLINK "http://www.enchemin.org/"VOIR UNE VIDEO:
HYPERLINK "http://www.enchemin.org/"http://www.enchemin.org/
Un chemin de promesses. 6 000 km à pied et sans argent, de Paris à Jérusalem. Une aventure à la rencontre des autres et deux-mêmes. En marchant et demandant le gîte et le couvert, Mathilde et Édouard Cortès se sont donné la main pendant 6 000 km. Jeunes mariés, ils ont fait le pari que lamour et la confiance leur feraient vaincre tous les obstacles. Paris, 17 juin 2007, Mathilde et Édouard partent en voyage de noces
à pied. Ils ont en tête le rêve fou de rallier Jérusalem, sans un sou en poche, dans une volonté de dépouillement, à la manière des pèlerins du Moyen Âge. Leurs besaces sont légères pour permettre à leurs pensées de senvoler. Des Alpes aux forêts des Balkans, des steppes dAsie Mineure aux eaux du Jourdain, Édouard et Mathilde cheminent à travers quatorze pays, gravissant des montagnes, traversant des régions en guerre, franchissant des zones désertiques, dormant à la belle étoile
Dans ce grand trek, des étapes aux noms mythiques : Vézelay, Vérone, Mostar, Istanbul, Alep, Damas. Découvrir les autres, ils y sont forcés pour survivre, puisquil faut, chaque jour, trouver celui qui leur offrira de quoi se nourrir. Du forestier jurassien au berger croate, de la fillette serbe du Kosovo au diamantaire turc, du derviche de Cappadoce à lespion syrien, les rencontres sont belles, enrichissantes, souvent étonnantes
même si certaines leur réservent de bien mauvaises surprises. Dans ladversité, Mathilde et Édouard apprennent à mieux se connaître et à saimer malgré leurs faiblesses. Les deux jeunes gens forcent leurs limites pour atteindre leur but. Le récit de leurs huit mois de rencontres, de solitude, de faim souvent, de peur parfois, constitue une extraordinaire et authentique aventure humaine et intérieure. Parution : 3 novembre 2008 320 pages Un cahier photos de 16 pages couleur ACHETER CE LIVRE: HYPERLINK "http://www.xoeditions.com/spip.php?page=article_commande&id_article=248"http://www.xoeditions.com/spip.php?page=article_commande&id_article=248 FILMS produits par Gédéon programmes : Une série de 7X26 minutes sera diffusée sur la chaîne Voyage les 8, 15 et 22 décembre 2008 à 20h50 dans Authentik Aventures. Diffusion sur France 5 en 2009. POUR INFORMATION : - Avec Michel Drucker, vous pourrez nous entendre le 24 novembre entre 9h30 et 11h sur Europe 1. - Avec Sophie Davant et Didier Régnier, vous pourrez nous voir sur France 2 dans Cest au programme le 14 novembre à 9h45. - Nous dédicacerons notre livre à la Fête du Livre du Figaro Magazine le dimanche 30 novembre de 14h à 18h30 au Palais Brongniart à Paris. - Nous présenterons notre voyage au Café de lAventure au Zango (15 rue du Cygne 75001 métro Etienne Marcel) le 2 décembre à partir de 20h.
Agenda - Bibliographie de l'ACAM s'enrichit de nouveaux ouvrages
Nouveaux livres La bibliographie de l'ACAM s'enrichit de nouveaux ouvrages, voyez sur le site de l'ACAM : "La résistance au génocide, Pluralité des actes de sauvetage", sous la direction de Jacques Semelin La résistance au génocide, Pluralité des actes de sauvetage Titre : La résistance au génocide, Pluralité des actes de sauvetage / auteur(s) : Editeur : Les Presses de Sciences Po Année : 2008 Imprimeur/Fabricant : Description : 550 pages Collection : Académique Notes : Autres auteurs : Jacques SEMELIN [directeur] - Yves TERNON [contribution] - Raymond Haroutiun KEVORKIAN [contribution] - Sujets : Génocides ISBN : 9782724610895 Bibliothèque : Prix : 28,00 euros Boutique : Alapage --------- Commentaire : Les actions menées pour tenter de sauver des juifs pendant la seconde guerre mondiale connaissent une certaine notoriété en France depuis que le titre de « Justes » a été introduit dans la législation française en 2000, mais les ouvrages scientifiques sur le sujet sont rares. Les actions de sauvetage des Arméniens (1915-1916) et des Tutsis (1994) restent quant à elles largement inconnues. HYPERLINK "http://www.acam-france.org/bibliographie/auteur.php?cle=semelin-jacques" \n _blankhttp://www.acam-france.org/bibliographie/auteur.php?cle=semelin-jacques ======= "Un acte honteux. Le génocide arménien et la question de la responsabilité turque", du sociologue turc Taner Akçam Titre : Un acte honteux. Le génocide arménien et la question de la responsabilité turque / auteur(s) : Taner AKÇAM - Traduit du turc par Odile Demange Editeur : denoel Année : 2008 Imprimeur/Fabricant : Description : 490 pages, 15 x 23 cm, couverture illustrée Collection : Médiations Notes : Autres auteurs : Sujets : Génocide arménien -- Négationnisme ISBN : 9782207259634 Bibliothèque : Prix : 25,00 euros Boutique : Alapage ----------- Commentaire : A ceux qui s'interrogent encore sur la réalité du génocide des Arméniens, perpétré en 1915 par les Jeunes-Turcs au pouvoir à Constantinople, le livre de Taner Akçam devrait ôter leurs derniers doutes. Paru aux Etats-Unis en 2006, l'ouvrage de ce sociologue turc prend à contre-pied la thèse officielle turque sur ce crime commis pendant la Grande Guerre. Pour la première fois, un chercheur turc a le courage d'ouvrir les archives ottomanes sur cette période sensible et d'assumer pleinement ce qui s'est passé : ici, la catastrophe est disséquée non du point de vue des victimes mais à travers le regard des assassins. La représentation du drame s'en trouve transformée. Avec Taner Akçam, ce qui compte, ce n'est plus le témoignage des rescapés, mais d'abord l'analyse d'un empire paranoïaque capable de transformer ses dirigeants en bourreaux. A 55 ans, cet enseignant au Center for Holocaust and Genocide de l'université du Minnesota concentre ses travaux sur une question : "Avons-nous des preuves d'une planification centrale et déterminée des autorités ottomanes visant la destruction totale ou partielle du peuple arménien ?" En Turquie, la tragédie de 1915 est encore aujourd'hui présentée comme une cruelle conséquence de la guerre, et non comme un acte volontaire et formalisé : selon cette thèse, les sources officielles ne comporteraient aucune preuve de l'élimination délibérée et systématique des Arméniens. L'auteur démontre ici que ce discours est sans fondement. De façon irréfutable, il souligne la responsabilité du régime au pouvoir, de l'Etat, de son administration, et d'abord de l'armée. La bureaucratisation du meurtre collectif apparaît évidente, dit-il, dès lors que l'on se fonde sur "les minutes des débats parlementaires, la correspondance privée des organisateurs du crime et les procès-verbaux de soixante-trois tribunaux militaires jugeant en 1919 les dirigeants du CUP (le Comité union et progrès, le parti au pouvoir)", qui accablent ce dernier ainsi que l'armée turque. Outre la responsabilité de l'Etat, Taner Akçam insiste sur la continuité entre les Jeunes-Turcs et les kémalistes qui fondent la République en 1923 : en effet, la majorité des dirigeants de la Turquie moderne sont issus des rangs jeunes-turcs, y compris Mustapha Kemal, et nombre d'entre eux sont compromis dans l'entreprise génocidaire. Cette idée de continuité est rarement examinée par les historiens ; elle rompt avec la thèse selon laquelle la République kémaliste n'aurait rien à voir avec les événements de 1915. En réalité, les lois adoptées dans les années 1920 parachèvent le processus d'éradication de la présence arménienne dans le pays. C'est le nationalisme qui fait le lien entre les deux régimes. Taner Akçam en décortique l'ambition : créer une Turquie homogène. Un dessein interrompu par les échecs militaires (1912-1915) attribués à "l'élément arménien". Enfin, il aborde l'aspect économique de ce crime contre l'humanité, considérant que c'est dans la spoliation des Arméniens de l'empire, souvent aisés, que sont jetées les bases d'une bourgeoisie turque, pilier de la proto-modernité kémaliste. Telles seraient donc les origines du négationnisme d'Etat toujours en vigueur en Turquie, mais désormais bousculé par une société turque désireuse de s'approprier son histoire. En ce sens, ce livre salué par Orhan Pamuk, Prix Nobel de littérature 2006, invite la Turquie à revisiter sa mémoire. L'exercice est courageux : à Ankara, tout auteur qui soulève le tabou arménien voit sa liberté menacée par les tribunaux. Ancien militant d'extrême gauche, qui a connu la prison dans les années 1980, Akçam n'en prend pas moins, désormais, ses précautions : "Un acte honteux" n'est-elle pas l'expression utilisée par Kemal lui-même pour qualifier l'extermination des Arméniens ? Hier comme aujourd'hui, l'identité arménienne, prolongement de la culture occidentale, demeure une pierre d'achoppement entre Turcs et Européens. Tant que la Turquie ne s'interrogera pas "sur sa perception des droits de l'homme et de la démocratie", prévient-il, le dissensus sur les normes éthiques perdurera. Selon Taner Akçam, il revient donc à la Turquie de s'affranchir de cet "acte honteux" par un acte courageux : la reconnaissance du génocide. HYPERLINK "http://www.acam-france.org/bibliographie/auteur.php?cle=akcam-taner" \n _blankhttp://www.acam-france.org/bibliographie/auteur.php?cle=akcam-taner ========== "La flotte française au secours des Arméniens, 1909-1915", de Georges Kevorkian Titre : La flotte française au secours des Arméniens, 1909-1915 / auteur(s) : Georges KEVORKIAN - Editeur : marines Année : 2008 Imprimeur/Fabricant : Description : 127 pages, 19 x 26 cm Collection : Notes : Autres auteurs : Sujets : Génocide arménien -- Histoire contemporaine -- Flotte française ISBN : 9782357430099 Bibliothèque : Prix : 29,00 euros Boutique : Alapage ---------- Commentaire : Avril/mai 1909 LEmpire ottoman, depuis juillet 1908, est aux mains des « Jeunes-Turcs » qui ont renversé le régime du sultan Abdul Hamid (le « Grand Saigneur »), promettant la mise en uvre de la constitution libérale de 1876, jamais appliquée. Des troubles éclatent en Cilicie où les nationalistes turcs, de crainte que cette constitution leur fasse perdre leur prééminence vis-à-vis des autres communautés non musulmanes, notamment des Arméniens fortement implantés dans cette province, sen prennent à ces derniers qui sont ainsi lobjet dune terrible oppression. Les missions chrétiennes de la région ne sont pas épargnées. Alertées, les pays occidentaux dépêchent leurs navires de guerre pour aider, secourir leurs ressortissants et les communautés arméniennes. La France, nest pas en reste : lescadre légère de Méditerranée, sous les ordres du contre-amiral Pivet, rallie le golfe dAlexandrette. On assistera alors à une opération dingérence humanitaire en territoire turc
Septembre 1915 La « Grande Guerre » a éclaté en août 1914 : lEmpire ottoman sest allié aux Empires allemand et austro-hongrois pour combattre les pays de « lEntente », Grande-Bretagne, Russie et France. La 3ème escadre de la flotte de combat française en Méditerranée, sous les ordres du contre-amiral Darrieus, qui vient dassurer lintérim du vice-amiral Dartige du Fournet appelé à remplacer le vice-amiral Boué de la Peyrère à la tête de larmée navale, surveille les côtes syriennes. Le gouvernement turc a décrété lextermination de sa population arménienne. Des villageois arméniens de la région du Mont Moïse, en bordure du golfe dAlexandrette, sont acculés sur la plage : leur héroïsme face aux soldats turcs ne peut tenir encore plus longtemps. Les marins français vont sauver ces Arméniens en les recueillant sur leurs navires et en les transportant dans des camps de réfugiés à Port-Saïd avec laide des autorités anglaises. On assistera alors à une opération de sauvetage, de plus de 4000 Arméniens, remarquablement organisée par la Marine française.... Cet ouvrage est un récit historique construit à partir darchives exceptionnelles émanant pour partie des descendants des amiraux français impliqués dans ces opérations de sauvetage. Il prend place dans le contexte du conflit mondial et des soubresauts de lEmpire ottoman. Il rappelle, sil en est besoin, les malheurs de ce peuple de tradition chrétienne et rend hommage au courage des marins français. HYPERLINK "http://www.acam-france.org/bibliographie/auteur.php?cle=kevorkian-georges" \n _blankhttp://www.acam-france.org/bibliographie/auteur.php?cle=kevorkian-georges ----------------------
Agenda - Annonce d'un dictionnaire électronique arménien
E-Lexique Machtotz Un dictionnaire électronique arménien occidental-français et linverse - 32 000 mots ou expressions en arménien et 35 000 en français - pour PC uniquement, WINDOWS 98SE, 2000, XP, Vista - Voyez les modalités en pièce jointe ======= dictionnaire électronique* arménien occidental-français et linverse 32 000 mots ou expressions en arménien et 35 000 en français Recherche dun mot en arménien ou en français avec lorthographe exacte ou approchante. Possibilité de rechercher un mot arménien en lécrivant phonétiquement en caractères français. Correction dun mot français ou arménien mal orthographié. Et autres fonctionnalités. Données issues des dictionnaires de Krikor CHAHINIAN et de Haroutioun KURKDJIAN publiées à Beyrouth par la Maison CHIRAK Le e--Lexiique Machttottz est développé en commun par les associations : Collège du Dictionnaire Machtotz CDM, Genève (Suisse) Collège Dictionnaires Machtotz France CDMFrance, Paris (France) Le CD-Rom e--Lexiique Machttottz est adressé aux adhérents. Utiliser le Bulletin dadhésion ci-dessous et lenvoyer à CDMFrance - 34 avenue des Champs-Élysées, 75008 Paris On peut également télécharger le logiciel à partir du site Internet : HYPERLINK "http://machtotz.av-d.ch/m/index.php" \n _blankhttp://machtotz.av-d.ch/m/index.php * pour PC uniquement, WINDOWS ® 98SE, 2000, XP, Vista
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Agenda - Shoah par balles - L'histoire oubliée
Année 2008 | Durée 85 minutes Pays : France | Genre : Europe Réalisé par : Romain Icard Produit par : MK2 Intervenant : Père Patrick Desbois HYPERLINK "http://www.imineo.com/shoah-par-balles-histoire-oubliee-pere-patrick-desbois/142/extrait-gratuit-8077.htm" \n _blankVoir un extrait vidéo HYPERLINK "http://www.imineo.com/shoah-par-balles-histoire-oubliee-pere-patrick-desbois/142/extrait-gratuit-8077.htm"http://www.imineo.com/shoah-par-balles-histoire-oubliee-pere-patrick-desbois/142/extrait-gratuit-8077.htm
Le Père Patrick Desbois révèle un pan du génocide trop longtemps ignoré. La shoah par balle qui apparaît pour les historiens comme le début de la "solution finale" est largement méconnue. Le grand public, pour qui l'extermination des Juifs a débuté avec les camps de concentration et les chambres à gaz n'en a pour ainsi dire jamais entendu parler. C'est le travail du Père Patrick Desbois que de revenir aujourd'hui sur cette terrible page de l'histoire, sur un pan de génocide trop longtemps oublié qui a débuté en juin 1941 sur le front de l'est. "Pour que le meurtre d'un million et demi de Juifs ukrainiens ne tombe pas dans l'oubli" Simone Veil
HYPERLINK "http://www.imineo.com/documentaires/histoire/europe/shoah-par-balles-histoire-oubliee-video-8077.htm"http://www.imineo.com/documentaires/histoire/europe/shoah-par-balles-histoire-oubliee-video-8077.htm
Agenda - Un conte arménien au Marché de Noël d'Issy-les-Moulineaux
Vous pourrez retrouver lors de l'édition 2008 du Marché de Noël qui se déroulera sur l'Esplanade de l'Hôtel de Ville d'Issy-les-Moulineaux du samedi 13 au mardi 16 décembre de 9h00 à 19h00, la Croix Bleue des Arméniens de France, association à vocation humanitaire et sociale, qui encourage le rayonnement de la culture arménienne et qui vendra entre autres sur son stand, « La Reine Anahide », conte d'Arménie pour enfants paru aux Editions du Bonhomme Vert, adapté par Hugues Beaujard et illustré par Séta Papazian. Le Marché de Noël de la Ville accueille les associations Trouvez des cadeaux originaux pour les fêtes de fin d'année tout en uvrant pour la bonne cause ! Vous pourrez retrouver lors de l'édition 2008 qui se déroulera sur l'Esplanade de l'Hôtel de Ville du samedi 13 au mardi 16 décembre de 9h00 à 19h00 les associations suivantes : - Les Papillons blancs de Clamart, Issy-les-Moulineaux et communes voisines gère un Centre d'Initiation au Travail et aux Loisirs (CITL) proposant aux personnes inaptes au travail une activité variée afin de développer ou de maintenir leur potentialité d'insertion sociale. - Artisans du Monde défend l'idée d'un commerce équitable à trois dimensions : économique, éducative et politique et construit avec ses partenaires du Sud une économie solidaire au service du développement durable. L'un de ses moyens d'action est la vente de produits issus du commerce équitable. - Le Secours Catholique lutte contre toutes les formes de pauvreté et d'exclusion et cherche à promouvoir la justice sociale. Les nouveautés 2008: - La Croix Bleue des Arméniens de France, association à vocation humanitaire et sociale, encourage le rayonnement de la culture arménienne. Bon à savoir : « La Reine Anahide », conte d'Arménie pour enfants paru aux Editions du Bonhomme Vert, adapté par Hugues Beaujard et illustré par Séta Papazian, sera en vente sur le stand de la CBAF. - Les P'tits bouts de papier, association de loisirs créatifs, développe la connaissance et la mise en valeur du scrapbooking, du mixed media et de la calligraphie. - L'association des paralysés de France (APF) poursuit toujours son combat pour une participation pleine et entière des personnes en situation de handicap et leur famille dans la société.
HYPERLINK "http://www.issy.com/index.php/fr/associations/actualites/le_marche_de_noel_de_la_ville_accueille_les_associations"http://www.issy.com/index.php/fr/associations/actualites/le_marche_de_noel_de_la_ville_accueille_les_associations
Agenda - Les monuments de la région de Mouch-Sassoun-Van
Située au cur de l'Arménie historique, la région de Mouch-Sassoun-Van (réputée Eden Paradis terrestre selon les notions sacrées anciennes du roche-Orient antique et la Bible) abonde en églises, couvents et forteresses historiques. Après un travail de fourmi, qui a duré près de trois ans, Jean V. Guréghian a réussi à répertorier, sur une carte, environ 250 monuments d'architecture dans la région de Mouch-Sassoun-Van, au cur de l'Arménie historique. Après, quelques descriptions et généralités, il y a aussi, en fin du livre, une liste de plus de 300 localités, avec les noms arméniens d'origine et la correspondance en turc (les noms ayant été changés après le Génocide de 1915). CE LIVRE DEVIENDRA, A NE PAS EN DOUTER, UNE REFERENCE POUR LES CHERCHEURS, LES ETUDIANTS ET MEME LES JURISTES. Grâce à leurs soutiens, la Fondation Gulbenkian et l'Institut Tchobanian ont permis la publication de ce livre indispensable. Attention tirage limité : commandez votre exemplaires dès maintenant. Les souscriptions sont ouvertes sur le site de l'éditeur HYPERLINK "http://editions.sigest.net/page000100fc.html"http://editions.sigest.net/page000100fc.html ou alors par un chèque de 14 euro libellé à SIGEST 29 rue Etienne Dolet 94140 Alfortville Vous recevrez l'ouvrage chez-vous par la poste dès la publication. HYPERLINK "http://editions.sigest.net/"http://editions.sigest.net
Agenda - Christianisation de l'Arménie - Volume II
Souscription : parution prochaine aux Editions Sources d'Arménie : Christianisation de l'Arménie - Volume II : L'uvre de Saint Grégoire l'Illuminateur Ce volume traitera de la vie et de l'action de saint Grégoire l'Illuminateur, l'apôtre de l'Arménie et paraîtra en 2008. Il réunira les sources sur le règne du roi d'Arménie Tiridate III le Grand et le pontificat de saint Grégoire l'Illuminateur. Sur la base de ses textes, une analyse nouvelle du règne de Tiridate III le Grand sera proposé. Mais surtout c'est l'uvre de saint Grégoire l'Illuminateur qui constituera le cur du volume. La date de la conversion de Tiridate sera longuement abordée. Mais aussi les liens de l'Église arménienne avec la Grande Église et la mise en place d'une structure ecclésiale en Arménie seront analysés. contact@sourcesdarmenie.com Par Courrier : Sources d'Arménie BP 2566 69217 Lyon cedex 02 HYPERLINK "http://sourcesdarmenie.com/joomla/index.php?option=com_content&task=view&id=30&Itemid=1"Volume II sur l'Histoire du Christianisme Arménien : Luvre de saint Grégoire lIlluminateur HYPERLINK "http://sourcesdarmenie.com/joomla/index.php?option=com_content&task=view&id=30&Itemid=1"http://sourcesdarmenie.com/joomla/index.php?option=com_content&task=view&id=30&Itemid=1
HYPERLINK "http://sourcesdarmenie.com/joomla/index.php?option=com_content&task=view&id=20&Itemid=33"Pour acheter le livre
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Agenda - Opération "Houys" [Espoir] pour les enfants d'Arménie
Mise en place depuis le début de l'année 2008, l'opération « Houys » a permis de réaliser cet été plus de 17 000 ¬ de travaux au niveau des sanitaires, cuisine et chambres de l'orphelinat Houys à Gumri. Une seconde phase avec le soutien de nombreux artistes peintres, sculpteurs, dessinateurs et photographes a été mise en place. Vous aussi, participez à cette seconde opération en achetant un Bon de Soutien à 10 ¬ . Lors de la soirée de clôture du samedi 31 janvier 2009 au Yan's un tirage au sort des numéros de Bon de Soutien permettra de gagner de nombreuses Suvres offertes par ces artistes participants. Ces Bons de Soutien sont imprimés sur des cartes représentant des uvres de Jansem. Commandez dès maintenant ces Bons en téléphonant au 06 19 99 28 37 Consulter le site Internet : HYPERLINK "http://www.houys.fr/"http://www.houys.fr/ et le blog : HYPERLINK "http://blog.houys.eu/"http://blog.houys.eu
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Agenda -Présentation de Le voyage des ombres
La présentation d'un livre destiné à faciliter une meilleure transmission de notre mémoire collective dans les écoles. Le voyage des ombres aux éditions du Cygne Cest au travers dune chronique poétique des événements les plus douloureux du vingtième siècle que lauteur nous invite à revisiter la planète.Sa prose concise impose à chaque mot le poids de lhistoire. La parole sexclame : « Cric crac ! » conte la tradition haïtienne. « Me voilà ! » engage la foi. Elle évoque la légende malgache dun « oiseau cendreux » qui « feint les pleurs du bébé » et « miaule les chiens » ; à « petits pas », elle enterre la chair, expire « les cris de la terre », torture, « tord tue », crie « les silences de la nuit », devient muette « paroles dyeux ». Elle rappelle les sacrifices mayas des « épouses aux langues hérissées », interroge la raison africaine : « Qui est le maître de la mort ? » Son écriture métaphorique nest présente que pour mieux « penser » une plaie encore béante dans notre mémoire collective. Par ce voyage mémoriel dans lantre des barbaries humaines, lauteur rend un vibrant hommage aux innombrables disparus. HYPERLINK "http://www.editionsducygne.com/editions-du-cygne-voyage-des-ombres.html"Le voyage des ombres de Anick ROSCHI HYPERLINK "http://www.editionsducygne.com/editions-du-cygne-voyage-des-ombres.html"http://www.editionsducygne.com/editions-du-cygne-voyage-des-ombres.html
ISBN : 978-2-84924-063-2 13 x 20 cm 62 pages 12,00 ¬ ----------- Pays visités dans le livre : Namibie, Arménie, France, Haïti, Pologne, Algérie, Japon, Madagascar, Corée du Nord, Chine, Cameroun, Mozambique, Angola, Nigeria, Israël, Vietnam, Chili, Afrique du Sud, Cambodge, Argentine, Guatemala, Iran, Salvador, Liban, Timor, Oriental Irak, Inde, Érythrée, Bosnie-Herzégovine, Rwanda, Sri Lanka, Sierra, Léone, Russie. Dans la presse pédagogique : HYPERLINK "http://www.afef.org/blog/index.php?2008/02/11/228-le-voyage-des-ombres"Le voyage des ombres HYPERLINK "http://www.afef.org/blog/index.php?2008/02/11/228-le-voyage-des-ombres"http://www.afef.org/blog/index.php?2008/02/11/228-le-voyage-des-ombres
Extrait du livre : Boucles Les boucles du jour Tombées à vos pieds Caressent les nuits De nos mémoires brûlées. Auschwitz, 3 Septembre 1941, Pologne © 2007 Anick Roschi HYPERLINK "http://www.culturactif.ch/ecrivains/roschi.htm"http://www.culturactif.ch/ecrivains/roschi.htm
SITES GENOCIDE ARMENIEN
Visitez nos liens
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Noubliez pas quen tant que téléspectateurs vous pouvez témoigner de votre satisfaction (et de votre mécontentement lorsque cest le cas) auprès des media qui traitent linformation.
Quelques adresses et tél.:
TF1 - 1, quai du point-du-jour 92656 Boulogne cedex
Tel : 01 41 41 12 34 / 0803 809 810 Fax : 01 41 41 28 40
Internet : www.tf1.fr
France 2 - 7, esplanade Henri-de-France 75907 Paris cedex 15
Tel : 0825 033 333 Fax : 01 56 22 98 74
Internet : www.france2.fr
Email : mediateurinfo@france2.fr
France 3 - 7, esplanade Henri-de-France 75907 Paris cedex 15
Tel : 0825 033 333 Fax : 01 56 22 75 02
Internet : www.france3.fr
Email : com@france3.fr
mediateurinfo@france3.fr
Canal + - 85-89 quai André Citroën 75711 Paris cedex 15
Tel : 01 44 25 10 00 Fax : 01 44 25 12 34
Internet : www.cplus.fr
France 5 - 8, rue Marceau 92785 Issy-les-Moulineaux cedex 9
Tel : 01 55 00 74 74 Fax : 01 55 00 77 00
Internet : HYPERLINK "http://www.france5.fr/"http://www.france5.fr/
Email : HYPERLINK "http://www.france5.fr/contact/"http://www.france5.fr/contact/
Ecrivez à Alain Le Garrec, médiateur des programmes sur :
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Arte - 2a rue de la Fonderie 67080 Strasbourg cedex
Tel : 03 88 14 22 55 Fax : 03 88 14 22 00
Internet : www.arte-tv.com
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M6 - 89, av. Charles de Gaulle 92575 Neuilly/Seine cedex
Tel : 0825 06 66 66 - Fax : 01 41 92 66 10
Internet : HYPERLINK "http://www.m6.fr/"www.m6.fr
I-Télévision - 6 allée de la Deuxième DB 75015 Paris
Tel : 01 53 91 50 00 Fax : 01 53 91 50 01
Internet : www.itelevision.fr
LCI - 54 av. de la Voie Lactée 92656 Boulogne cedex
Tel : 01 41 41 23 45 Fax : 01 41 41 38 50
Internet : HYPERLINK "http://www.lci.fr/"www.lci.fr
Quelques émissions radios
où les auditeurs peuvent intervenir
Europe 1 www.europe1.fr
Semaine de 18h55 à 20h00
Michel Field
Chaque jour, du lundi au vendredi, de 18h55 à 20h00, Michel Field accouche en direct les auditeurs, sur un thème dactualité. Sans se contenter du pour et du contre, il les fait dialoguer à plusieurs sur un même sujet. Ils se forgent ainsi eux-mêmes leur opinion comme lors dun travail journalistique : croiser des sources puis se rendre compte que la vérité est souvent de lordre du compromis entre des idées tranchées. Cest aussi une façon de prendre chaque jour le pouls de lopinion publique sur des sujets lourds et graves mais aussi légers et futiles comme en distille, chaque jour, lactualité. Pour discuter avec Michel Field, il suffit dappeler le 01 42 32 14 14 ou denvoyer un courrier électronique sur www.Europe1.fr.
Semaine de 10h30 à 12h00
Jean-Marc Morandini
Coup de pied dans le PAF chaque matin : Jean-Marc Morandini nous dit tout sur le monde du petit écran au travers de reportages et denquêtes dans les coulisses de la télé. Egalement en studio chaque matin, une star du petit écran ou un patron de chaîne répondra aux questions de Jean-Marc Morandini et des auditeurs. A découvrir aussi, le zapping de la Télé de la veille et les commentaires des auditeurs qui donnent leurs coups de cur et leurs coups de gueule sur le répondeur de lémission au 01 42 32 42 32 ou en direct au 01 42 32 15 15.
RTL www.rtl.fr
Semaine de 13h00 à 14h00
Pierre-Marie Christin Les auditeurs ont la parole
Rendez-vous phare de linformation, le 12h30 accueille un nouveau présentateur. Cest en effet Pierre-Marie Christin qui succède à Christophe Hondelatte et Jérôme Godefroy aux commandes du journal de la mi-journée. Pierre-Marie Christin présente ensuite, de 13h00 à 14h00, Les Auditeurs ont la Parole. Réagissez à l'actualité par téléphone (32 10) ou sur internet. Entre 10H et 14H, une standardiste prend votre témoignage. Avant 10H et après14H, vous pouvez laisser vos message sur le répondeur, sans oublier de laisser vos coordonnées téléphoniques si vous voulez participer à l'émission. Chaque vendredi, cette heure dexpression prend une coloration week-end. Les loisirs sont à lhonneur avec la participation des journalistes spécialisés de la rédaction, ou dintervenants extérieurs. Et, à la veille du week-end, Louis Bodin dialogue avec les auditeurs sur les phénomènes météo de la semaine écoulée ou des deux jours de repos à venir.
France Inter www.radiofrance.fr
Semaine de 19h20 à 20h00
Le téléphone sonne
Si vous voulez poser une question, témoigner et/ou intervenir à l'antenne...
- le téléphone 01.45.24.70.00 dès 17h
- Internet, en utilisant le formulaire de la page "Pour intervenir".
- le SMS+ pour réagir pendant l'émission, de 19h20 à 20h : sur votre téléphone mobile, saisir le code " TEL " suivi d'un espace, votre question puis valider et envoyer au 6 20 30. (0.35¬ par message plus le prix du sms)
Le lundi, mardi, jeudi et vendredi à 19h20, nous vous invitons à réagir sur un thème de l'actualité, à poser vos questions aux invités du téléphone sonne. Vous pouvez également, après la diffusion, réécouter l'émission dans son intégralité
Le répondeur « Là-bas si jy suis » : 01 56 40 37 37 soit sur notre mail : labassijysuis@radiofrance.com et nous donnerons suite !
RMC www.rmcinfo.fr
BOURDIN & Co Le 1er show radio d'info
Du lundi au vendredi de 6h à 10h.
Découvrez une nouvelle façon de traiter l'info du matin avec "Bourdin & Co" ! Finis les journaux austères et redondants. Voilà enfin un espace de liberté où auditeurs, politiques et journalistes sont logés à la même enseigne. Jean-Jacques Bourdin agite, provoque, polémique, et vos réactions ne se font jamais attendre! Un ton débridé et sincère pour des échanges parfois musclés mais toujours respectueux. Pour intervenir : Appelez le 3216 (0,34¬ /min).
============================================= L'association des auditeurs de France Culture L'association des Auditeurs de France Culture (aafc), créée en 1984, rassemble les personnes qui veulent manifester leur intérêt pour cette chaîne de radio dont les émissions sont écoutées et appréciées au delà de nos frontières. L'objet de l'association est de regrouper les auditeurs de France Culture pour favoriser des rencontres et coordonner les actions visant à : - l'évolution de la chaîne dans le maintien de sa qualité ; - la préservation de son identité et de sa spécificité ; - l'amélioration de sa technique et de son confort d'écoute ; - son ouverture aux différents aspects de la culture ; - son rayonnement et développement de son influence ; - sa pérennité. L'Association se déclare attachée au caractère de service public de France Culture et ne saurait en aucun cas se substituer à lui. Elle se veut pluraliste et indépendante de tout engagement politique, confessionnel, syndical et philosophique. Association des auditeurs de France Culture 83 boulevard Beaumarchais 75003 Paris Téléphone : 01 42 09 03 67 Courriel : aafc@free.fr
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Collectif VAN
Vigilance Arménienne contre le Négationnisme
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Collectif VAN - BP 20083
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