Td corrigé chapitre 5 - modeles et gammes operatoires conceptuels - Free.fr pdf

chapitre 5 - modeles et gammes operatoires conceptuels - Free.fr

MERISE est une méthode de conception des systèmes d'information de gestion développée en France, où elle s'est imposée ..... ELEMENTS DE CORRIGE.




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MERISE
LA CONCEPTION DE LA BASE DE DONNEES





 TOC \t "me1;2;me2;3;me3;4;me4;5;me0;1" INTRODUCTION  PAGEREF _Toc248649420 \h 5
DEFINITION  PAGEREF _Toc248649421 \h 6
LA DISTINCTION STATIQUE-DYNAMIQUE  PAGEREF _Toc248649422 \h 7
L'AXE D'ABSTRACTION  PAGEREF _Toc248649423 \h 8
LES DIFFERENTS MODELES  PAGEREF _Toc248649424 \h 9
LA COURBE DU SOLEIL  PAGEREF _Toc248649425 \h 10
LES MODELES CONCEPTUELS  PAGEREF _Toc248649426 \h 11
CHAPITRE 1 - LE MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES (MCD)  PAGEREF _Toc248649427 \h 12
1 - DEFINITION  PAGEREF _Toc248649428 \h 12
2 - CONCEPTS  PAGEREF _Toc248649429 \h 12
21 - INDIVIDU  PAGEREF _Toc248649430 \h 12
22 - RELATION  PAGEREF _Toc248649431 \h 13
3 - TECHNIQUES DE MODELISATION  PAGEREF _Toc248649432 \h 19
31 – SYNTHESE DES DEMARCHES PRESENTEES  PAGEREF _Toc248649433 \h 19
32 – TECHNIQUE DE CHEN (Modélisation directe).  PAGEREF _Toc248649434 \h 20
33 – MODELISATION ASCENDANTE.  PAGEREF _Toc248649435 \h 21
331 - Le Dictionnaire de Données  PAGEREF _Toc248649436 \h 21
332 - Les dépendances fonctionnelles(DF)  PAGEREF _Toc248649437 \h 21
333 - Graphe des dépendances fonctionnelles (GDF)  PAGEREF _Toc248649438 \h 21
334 - Modèle conceptuel des données brut  PAGEREF _Toc248649439 \h 22
34 - NORMALISATION  PAGEREF _Toc248649440 \h 23
Première forme normale (1ère FN)  PAGEREF _Toc248649441 \h 23
Deuxième forme normale (2ème FN)  PAGEREF _Toc248649442 \h 24
Troisième forme normale (3FN)  PAGEREF _Toc248649443 \h 25
CHAPITRE 2 – LE MODELE CONCEPTUEL DES TRAITEMENTS ANALYTIQUE (MCTA)  PAGEREF _Toc248649444 \h 28
1 - DEFINITION  PAGEREF _Toc248649445 \h 28
2 - CONCEPTS  PAGEREF _Toc248649446 \h 29
21 – OPERATION CONCEPTUELLE  PAGEREF _Toc248649447 \h 29
22 – ETAT D'OBJET  PAGEREF _Toc248649448 \h 29
23 - ACTION  PAGEREF _Toc248649449 \h 29
24 – EVENEMENT  PAGEREF _Toc248649450 \h 30
25 – REGLE CONCEPTUELLE  PAGEREF _Toc248649451 \h 30
26 – REGLE DE SYNCHRONISATION  PAGEREF _Toc248649452 \h 30
27 – CONDITIONS D'EMISSION DES RESULTATS  PAGEREF _Toc248649453 \h 30
3 – FORMALISME D’UNE OPERATION  PAGEREF _Toc248649454 \h 31
4 – GAMME OPERATOIRE  PAGEREF _Toc248649455 \h 32
LES MODELES ORGANISATIONNELS  PAGEREF _Toc248649456 \h 35
CHAPITRE 3 - LE MODELE ORGANISATIONNEL DES DONNEES (MOD)  PAGEREF _Toc248649457 \h 37
1 - DEFINITION DU MOD  PAGEREF _Toc248649458 \h 37
2 - FORMALISME GRAPHIQUE DU MOD  PAGEREF _Toc248649459 \h 38
3 - REPRESENTATION FORMULAIRE  PAGEREF _Toc248649460 \h 39
4 - GROUPES DE DONNEES  PAGEREF _Toc248649461 \h 39
CHAPITRE 4 - LE MODELE ORGANISATIONNEL DES TRAITEMENTS ANALYTIQUE (MOTA)  PAGEREF _Toc248649462 \h 40
1 - DEFINITION  PAGEREF _Toc248649463 \h 40
2 - CONCEPTS  PAGEREF _Toc248649464 \h 40
21 - Type de Site  PAGEREF _Toc248649465 \h 40
22 - Type d'acteur  PAGEREF _Toc248649466 \h 40
23 - Type de poste  PAGEREF _Toc248649467 \h 40
24 - Opération organisationnelle  PAGEREF _Toc248649468 \h 41
25 - Evénement / Composant d'événement  PAGEREF _Toc248649469 \h 41
26 - Fonction  PAGEREF _Toc248649470 \h 41
LES MODELES LOGIQUES  PAGEREF _Toc248649471 \h 43
CHAPITRE 5- LES MLD  PAGEREF _Toc248649472 \h 45
1 – DEFINITION  PAGEREF _Toc248649473 \h 45
2 – MLD GENERIQUE  PAGEREF _Toc248649474 \h 45
21 - Segment Logique  PAGEREF _Toc248649475 \h 46
22 - Lien Logique  PAGEREF _Toc248649476 \h 46
23 - Data-Item  PAGEREF _Toc248649477 \h 46
24 - Structure de données  PAGEREF _Toc248649478 \h 46
25 - Clé logique  PAGEREF _Toc248649479 \h 46
3 - LE MLD REPARTI  PAGEREF _Toc248649480 \h 47
31 - Définition  PAGEREF _Toc248649481 \h 47
32 - Segment Logique Réparti  PAGEREF _Toc248649482 \h 47
33 - Lien logique réparti  PAGEREF _Toc248649483 \h 47
35 – Exemples  PAGEREF _Toc248649484 \h 49
36 - Gamme opératoire : du MLD au MLD réparti  PAGEREF _Toc248649485 \h 51
ANNEXE : LE MLD RELATIONNEL  PAGEREF _Toc248649486 \h 52
1- CONCEPTS  PAGEREF _Toc248649487 \h 52
2 - FORMALISME  PAGEREF _Toc248649488 \h 52
3 - REGLES DE CONSTRUCTION  PAGEREF _Toc248649489 \h 54
Cas 1 : Les individus  PAGEREF _Toc248649490 \h 54
Cas 2 : Les relations  PAGEREF _Toc248649491 \h 54
Cas 3 : Les relations de type Père-Fils  PAGEREF _Toc248649492 \h 54
CHAPITRE 6 - LE MODELE LOGIQUE DES TRAITEMENTS  PAGEREF _Toc248649493 \h 55
1 - DEFINITION  PAGEREF _Toc248649494 \h 55
2 – LA COUCHE PRESENTATION  PAGEREF _Toc248649495 \h 57
21 – Définition  PAGEREF _Toc248649496 \h 57
22 - Formalisme  PAGEREF _Toc248649497 \h 57
3 – LA COUCHE DIALOGUE  PAGEREF _Toc248649498 \h 58
31 - Définition  PAGEREF _Toc248649499 \h 58
32 – Représentation du dialogue  PAGEREF _Toc248649500 \h 58
4 – LE NOYAU NON INTERACTIF (NNI)  PAGEREF _Toc248649501 \h 59
41 - Définition  PAGEREF _Toc248649502 \h 59
5 – SCHEMAS DE REPARTITION  PAGEREF _Toc248649503 \h 60
EXERCICES  PAGEREF _Toc248649504 \h 61


Les figures ont été réalisées avec

La version d'évaluation 6.1.1 de l'AGL PowerAMC de la société SYBASE
La version Démo de l'AGL Win'Design 4.2 de la société CECIMA.



Un exercice est tiré de l'ouvrage de monsieur Mathelot édité aux Editions d'Organisation.









INTRODUCTION





DEFINITION

MERISE est une
Méthode
d'Analyse,
de Conception
et de Réalisation
des Systèmes d'Information.

Méthode : Ensemble de modèles et une démarche.

Système D'Information : Sous-système d'un système d'organisation.

Analyse : Etude et évaluation du système actuel.

Conception : Etude, proposition, évaluation du système futur.

Réalisation : Conception détaillée et réalisation logicielle du système futur.


LA DISTINCTION STATIQUE-DYNAMIQUE

Les différents sous-systèmes et la distinction Statique – Dynamique dans le Système d'Information.
La statique correspond aux Données et la dynamique aux Traitements.

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L'AXE D'ABSTRACTION

Les niveaux d'abstraction pour l'ISO et pour Merise.

ISOMERISESystèmeConceptuelOrganisationnelLogicielLogiquePhysique

LES DIFFERENTS MODELES

Données
(Statique)Traitements
(Dynamique)ConceptuelMCDMCTA
CVOOrganisationnelMODMOTALogiqueMLD,
MLD RépartiMLT,
MLT RépartiPhysiqueMPDMPT

LA COURBE DU SOLEIL

 EMBED Visio.Drawing.5 

Présent (Analyse)Futur (Conception , Réalisation)








LES MODELES CONCEPTUELS





CHAPITRE 1 - LE MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES (MCD)

1 - DEFINITION

Le MCD décrit les données du Système d’Information.

2 - CONCEPTS

Il y a deux concepts clés : l'individu et la relation.

21 - INDIVIDU

Un individu est un objet abstrait ou concret ayant une existence propre.
Un individu est porteur de propriétés.
La propriété est le plus petit élément d'information manipulé par l'entreprise par exemple le nom du stagiaire
La propriété qui permet de repérer un individu est un identifiant. La valeur de la propriété doit être unique par exemple le matricule du stagiaire

 

22 - RELATION

Une relation représente une association entre un certain nombre d'individus (de 1 à n) qui forment sa collection. Elle peut être porteuse de propriétés.
Une relation n'a d'existence que par rapport à celle des individus.
Elle possède un nom.
L'identifiant d'une relation est la concaténation des identifiants des individus participant à la relation.

Exemple de relation :

 EMBED Word.Picture.6 




La cardinalité d'une relation exprime le nombre de fois où une occurrence d'individu participe à la relation.
Cardinalité minimum : c'est le nombre minimum de fois où chaque occurrence d'un individu participe à la relation
- une cardinalité minimum est 0 correspond à une relation partielle.
- une cardinalité minimum de 1 signifie qu'une occurrence d'individu participe nécessairement à la relation (relation totale).
Cardinalité maximum : c'est le nombre maximum de fois où chaque occurrence d'un individu participe à la relation
- une cardinalité maximum de 1 signifie qu'une occurrence d'individu participe au plus à 1 occurrence de la relation.
- une cardinalité maximum de n signifie que tout occurrence d'individu participe éventuellement à n occurrences de la relation.


Les relations peuvent être :

unaires : collection d’ un individu
binaires : collection de deux individus
ternaires : collection de trois individus, etc.

Exemple de relation unaire

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Les relations binaires peuvent être :

Non hiérarchiques

Hiérarchiques (cardinalité maxi de 1)
- DF : si elles sont temporaires
- CIF : si elles sont stables

Exemple d’une relation binaire de type non père-fils (Cette relation est la même que la précédente mais avec des cardinalités différentes, elle a donc une signification différente).

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Exemple de CIF et de DF

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Exemple de relation ternaire

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3 - TECHNIQUES DE MODELISATION

31 – SYNTHESE DES DEMARCHES PRESENTEES

















32 – TECHNIQUE DE CHEN (Modélisation directe).

Les individus et les relations sont repérés directement à partir du discours; un nom devient un individu et un verbe une relation.

Exemple :

Règle 1 : un stagiaire s’inscrit à un stage
Règle 2 : les stages sont composés de plusieurs modules
Règle 3 : un formateur enseigne plusieurs modules

Individus : stagiaires, stage, modules, formateurs
Relations : s’inscrire, composer, enseigner

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33 – MODELISATION ASCENDANTE.

331 - Le Dictionnaire de Données
A partir des documents disponibles ( Ecrans, Etats,. Structures des fichiers et des Bases de données existant,…) on établit le dictionnaire des données (DD : nom-donnée, signification, type, longueur, nature - élémentaire, calculée, concaténée - règle de calcul ou contrainte d'intégrité : règle de forme...).
Ensuite on épure le dictionnaire (synonymes - noms différents recouvrant la même propriété : salarié et employé -, polysèmes - même nom pour deux informations différentes : date pour date-facture et date-commande,...).
332 - Les dépendances fonctionnelles(DF)
Dépendance fonctionnelle : il y a dépendance fonctionnelle entre deux propriétés lorsque la connaissance d'une valeur d'une propriété permet de déterminer une et une seule valeur d'une autre propriété;
la dépendance fonctionnelle est notée P1 --> P2;
exemple : codeclient ---> nomclient ;
en revanche nomclient ne détermine pas le code client.
On établit la liste des DF.
333 - Graphe des dépendances fonctionnelles (GDF)
Il s'agit d'ordonner, pour avoir une vision synthétique, le résultats de l'analyse des DF faite précédemment
334 - Modèle conceptuel des données brut

A partir du GDF on établit le MCD brut ou les VED brutes
Les principes de base sont :

Les ‘arbres’ donnent les individus
Les sommets des 'arbres' donnent les identifiants
Les feuilles donnent les propriétés
Les ‘concaténations’ donnent les relations de type non Père-Fils
Les Df inter-sommets donnent les DF ou CIF inter-individus
Une propriété ayant plusieurs sommets devient un individu

34 - NORMALISATION
La normalisation a pour objectif d'éliminer les redondances dans la base ainsi que les anomalies de mise à jour.

Les entités doivent vérifier les règles suivantes :

Première forme normale (1ère FN)

Toutes les propriétés sont élémentaires et il existe un identifiant. Sinon on décompose une propriété en plusieurs propriétés et/ou on crée une propriété identifiante.

Exemple de 1ère FN

Cet individu n'est pas en 1ère FN



Cet individu est en 1ère FN


Deuxième forme normale (2ème FN)

Toute propriété dépend de l'identifiant par une dépendance fonctionnelle (DF) élémentaire.
Donc chaque propriété dépend de tout l'identifiant et non pas d'une partie.
Sinon on décompose en plusieurs entités.

Exemple de 2ème FN

Modélisation qui n'est pas en 2ème FN
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Modélisation en 2ème FN

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Troisième forme normale (3FN)

Toute propriété doit dépendre de l'identifiant par une DF directe.
Donc tous les attributs non identifiants sont indépendants entre eux.
Sinon on décompose en deux entités.

Exemple de 3 FN

Modélisation qui n'est pas en 3FN



Modélisation en 3FN

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Exemple : construction du MCD (VED) à partir d'un bon de commande

N°Bon______ Date______
Code client ____________
Nom__________________
Adresse________________________________
Nom Vendeur __________

Réf Libellé Quantité Prix Montant
___ ________ _______ ___ _______
___ ________ _______ ___ _______
___ ________ _______ ___ _______

Total______



Après avoir établi le DD et la liste des DF on obtient le GDF suivant

 Code Cde Code Produit

Qté Montant

Total Date Cde Code Client Libellé produit Prix


Nom client Adresse Nom Vendeur

Le MCD correspondant est le suivant

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CHAPITRE 2 – LE MODELE CONCEPTUEL DES TRAITEMENTS ANALYTIQUE (MCTA)

1 - DEFINITION

Le MCTA est une représentation conceptuelle de la dynamique du Système.
Il met en évidence les états cohérents de la structure des données du système (Cycle de Vie du Système).
Il permet d'identifier et de formaliser les règles conceptuelles.


Le MCTA
- est orienté interaction données-traitements.
- distingue nettement les déclencheurs des opérations et des ressources.
- permet de représenter les traitements parallèles.


2 - CONCEPTS

Les concepts clés sont les suivants : Opération conceptuelle, Etat d'objet, Action, Evénement, Règle conceptuelle.
Il faut ajouter à cela les règles de synchronisation et les conditions d'émission des résultats.

21 – OPERATION CONCEPTUELLE

Une opération conceptuelle
- est déclenchée par un ou plusieurs événements
- fournit un ou plusieurs résultats
- est composée d'une ou plusieurs actions qui consultent ou mettent à jour les données
- met en oeuvre des règles conceptuelles
- laisse les données dans un état cohérent

22 – ETAT D'OBJET

Un état d'objet est un stade transitoire par lequel passe un objet au cours de son cycle de vie.

23 - ACTION

C'est une manipulation d'un objet ou d'une relation. Il peut s'agir d'une création, d'une consultation, d'une suppression ou d'une modification d'une ou de plusieurs occurrences de l'objet ou de la relation.

24 – EVENEMENT

Un événement est le prise en compte par le système d'information que quelque chose s'est produit. Il déclenche une opération.

25 – REGLE CONCEPTUELLE

Une règle conceptuelle formalisée est un algorithme (expressions arithmétiques et logiques) faisant partie d'une règle de gestion. Elle met en oeuvre des événements, des propriétés et/ou des entités. Elle laisse la structure de données dans un état cohérent.
Elles formalisent les conditions de déclenchement, d'itération, les contraintes d'intégrité dynamiques, les transformations.

26 – REGLE DE SYNCHRONISATION

Ce sont les règles de déclenchement de l'opération.

27 – CONDITIONS D'EMISSION DES RESULTATS

Ce sont les règles qui définissent les issues des opérations.

3 – FORMALISME D’UNE OPERATION




4 – GAMME OPERATOIRE

On part du MFC (Modèle de Flux Conceptuel) pour obtenir le MCTA

Selon le niveau de détail du MFC les activités correspondent soit aux processus, soit aux opérations.

Des flux de données on passe à la logique événementielle. Les flux sont soit transformés en événements soit en ressources de la mémoire permanente.
On introduit les règles de synchronisation et d'émission des résultats.


Exemple de passage d'un modèle de Flux à un MCTA.

Le MFC



Le MCTA

Les commandes



La Livraison



La Facturation











LES MODELES ORGANISATIONNELS





OBJECTIFS DU NIVEAU ORGANISATIONNEL

Le niveau organisationnel concerne le fonctionnement du SI dans le cadre d'une organisation précise.
L'étude permet de définir :
- la répartition des données dans l'organisation, les accès aux données
- la répartition des traitements, les modes d'exécution des traitements.

On tient compte :
- des circuits de flux d'informations, des rôles des acteurs, des niveaux de décision, des habilitations.

L'étude organisationnelle ne détermine pas l'architecture des moyens utilisés (les moyens et leur répartition) mais les vues du système par chaque acteur.

C’est une répartition de la visibilité.
On fournit les réponses aux questions suivantes :
- D'OU sont accessibles les données et les traitements?
- QUI fait quoi en matière de traitements et de données ? Analyse du poste de travail, partage des traitements entre l'homme et l'ordinateur, informations échangées.
- QUAND réalise-t-on les traitements et manipule-t-on les données ? A quel moment ? Pour quelle durée ?

CHAPITRE 3 - LE MODELE ORGANISATIONNEL DES DONNEES (MOD)

1 - DEFINITION DU MOD

le MOD permet
- de distinguer les données manuelles des données informatisées
- de préciser des règles d'historisation
- de définir des systèmes d'autorisations.
- de créer des données d'origine organisationnelle

On établira éventuellement un MOD général, un MOD par type de site, un MOD par type de poste


2 - FORMALISME GRAPHIQUE DU MOD

Il utilise le même formalisme de base que le MCD.

 EMBED Word.Picture.6 
Un type de site (TS) a accès à tous les objets ou à un sous-ensemble d'objets ou à un sous-ensemble de propriétés ou à un sous-ensemble d'occurrences d'objets ou à certains accès (Création, Interrogation, Mis à Jour, Suppression).


3 - REPRESENTATION FORMULAIRE

TS : Gestion clients de l'agence

ObjetsPropriétésCIMSOccurrencesClientsDe l' agenceClientCIMSNomCIMSAdresseCIMS
TS : Gestion clients autres agences

ObjetsPropriétésCIMSOccurrencesClientsautres agencesClientINomIAdresseI
4 - GROUPES DE DONNEES

- Données Privées
- Données Protégées/consultables
- Données Partagées

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CHAPITRE 4 - LE MODELE ORGANISATIONNEL DES TRAITEMENTS ANALYTIQUE (MOTA)

1 - DEFINITION

Le MOTA est une décomposition du MCTA qui tient compte de la répartition des traitements entre acteurs, de leur nature (manuelle, interactif,...), du temps et qui doit conduire à déterminer les composants de base réutilisables (les fonctions).

2 - CONCEPTS

- Type de Site/Type d'acteur/Type de Poste
- Opération Organisationnelle
- Evénement/Composant d'événement
- Fonction

21 - Type de Site
Un Type de Site est un regroupement géographique et/ou fonctionnel de type d'acteurs (Siège, agence,...)

22 - Type d'acteur
Un Type d'acteur est un regroupement d'occurrences d'acteurs exerçant des activités identiques (guichetier,...)

23 - Type de poste
Un type de poste est le rapprochement entre un type d'acteur et un type de site (secrétaire de siège, secrétaire d'agence,....)
24 - Opération organisationnelle
Une opération organisationnelle est un traitement exécuté entièrement à partir d'un type de poste et d'une seule nature (conversationnelle, automatique, manuelle) et laisse la structure des données dans un état cohérent.
Elle est déclenchée par un événement ou par un composant d'événement.
Elle est composée de règles de gestion et/ou de règles d'organisation formalisées
Elle fournit un ou plusieurs résultats
Elle consulte et/ou met à jour des entités organisationnelles par l'intermédiaire d'actions.
Par rapport au niveau conceptuel on ajoute les règles organisationnelles (contrôles d'habilitations par exemple) et les traitements d'acquisition des données et de restitution des résultats.
Les principales opérations organisationnelles sont :
- opérations d'identification et de sélection d'événements
- opérations de saisie et de restitution

25 - Evénement / Composant d'événement
Un composant d'événement est un élément de l'événement (propriété ou agrégat de propriétés)

26 - Fonction
Une fonction est un traitement réutilisable laissant le SI dans un état cohérent. C’est la décomposition d’une opération.

Une fonction est caractérisée par :

- une structure de données qu'elle manipule et laisse dans un état cohérent.
- un ensemble de règles à exécuter
Les fonctions peuvent être obtenues à partir du MOD et du CVOO.
Chaque entité doit trouver une fonction pour la création, la modification, la sélection, la suppression de ses occurrences ainsi que chaque transition du CVOO.
- Les saisies, éditions, consultations et mises à jour complexes correspondent à une fonction.









LES MODELES LOGIQUES





OBJECTIFS DU NIVEAU LOGIQUE

Le niveau logique est le point de passage entre les aspects fonctionnels et les aspects organiques du SI.

La description des données se fait selon les familles de SGD (SGF, SGBD) ou grâce à un modèle générique.

Pour les traitements on définit la présentation, le dialogue, le noyau applicatif ou Noyau Non Interactif, le guidage fonctionnel.

Dans les deux cas on précisera la localisation sur les matériels informatiques, alors qu’ au niveau organisationnel la localisation concernait l'utilisation des données et des traitements.

Le niveau logique accroît la portabilité du système. La description n'est pas faite en fonction de tel ou tel environnement matériel ou logiciel mais en fonction de l'état de l'art en ce qui concerne les IHM, les SGD, la sécurité, l'intégrité des données, la qualité...

A ce stade il est possible d'obtenir une validation des utilisateurs en ce qui concerne les aspects externes (interface).

CHAPITRE 5- LES MLD

1 – DEFINITION

Le MLD global permet de représenter les données mémorisées du système et les liens existants entre elles.
Il traduit les objets, les relations , les propriétés, les cardinalités et les états des niveaux conceptuels et organisationnels .
Le MLD global représente les données d'un système non réparti ou avant répartition.

2 – MLD GENERIQUE

Dans le cas d'un système homogène : Formalisme propre au système (relationnel, hiérarchique ou réseau).

Dans le cas d'un système hétérogène : formalisme générique.
Ce formalisme utilise les concepts de :
- Segment logique
- Lien Logique
- Data Item
- Structure de données
- Clé Logique


21 - Segment Logique
Un SL est un ensemble de données élémentaires.
Il est caractérisé par
- un nom
- son mode d'identification et d'accès ( clé, lien logique)
- les données qu'il porte

22 - Lien Logique
Un lien logique permet relie les segments logiques
Il est caractérisé par :
- un nom
- des cardinalités
Il correspond aux relations binaires hiérarchiques

23 - Data-Item
C'est le plus petit élément d'information. Un data-item est un attribut, une clé logique ou une partie de clé.

24 - Structure de données
Structure complexe de data-items

25 - Clé logique
Une clé logique est un data-item permettant de retrouver une occurrence de segment logique.

3 - LE MLD REPARTI

31 - Définition

Un MLD réparti précise l'implantation des données permanentes sur chacune des ML (Machine Logique) types du système.
Formalisme : celui du MLD générique d'abord ; ensuite les MLD locaux spécifiques.

32 - Segment Logique Réparti

Un SLR est un segment logique pour lequel on précise :
- la ML sur lequel il est connu
- la ML sur lequel il est stocké
Règles de répartition :
- un SL référence est mis à jour sur sa ML
- un SL cliché est mis à jour par publipostage ou à la demande de la ML utilisatrice
- un SL dossier est alternativement référence et cliché. La ML cliché peut verrouiller les données.

33 - Lien logique réparti

C'est un lien logique qui relie 2 SL répartis réels et / ou virtuels.
34 - Formalisme

Rectangle : Segment logique stocké sur la ML considérée (segment réel)
Rectangle pointillé : segment logique utilisé sur la ML considérée mais stocké sur une autre ML (segment virtuel)
--------------------------------------------------
Rectangle : SL tenu à jour sur ML considérée (Référence)
Rectangle barrée : SL rafraîchi périodiquement sur ML considérée à partir d'une ML différente (Cliché)
Rectangle avec cercle : SL alternativement cliché ou référence sur un ensemble de ML (Dossier)
Rectangle pointillé : SL connu mais non stocké sur ML considérée
Rectangle pointillé barré : SL connu seulement en consultation.




35 – Exemples
MLD Global



Vues Siège et Agence



MLD Local ML Agence

 EMBED Word.Picture.6 



MLD Local ML Siège

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36 - Gamme opératoire : du MLD au MLD réparti

Les critères de répartition sont fonctions des :
Volumes
Modes d'utilisation

- Volumes :
- les gros volumes sur les serveurs
- les petits volumes sur les serveurs ou sur les postes

- Utilisation :
- type d'utilisation : partagée, protégée, privée, consultable.
- mode d'utilisation : C, I, S ,M
- fréquence d'utilisation
- dossiers

Recommandations :
- Sur le poste :
- données privées
- copies de données partagées avec faible taux de MAJ et données consultables

- Sur le serveur :
- données partagées avec fort taux de MAJ


ANNEXE : LE MLD RELATIONNEL

1- CONCEPTS

Relation ou tableau : c'est l'unique concept clé.
Une relation est un tableau composé de lignes et de colonnes.
Une colonne regroupe les informations de même nature.
Une colonne matérialise les attributs
Les attributs prennent des valeurs dans un domaine.
Une ligne de la relation définit une occurrence de la relation appelé aussi tuple.
Une relation possède une clé primaire simple ou composée qui permet de repérer chaque tuple.
Une relation peut posséder une clé étrangère : c’est un attribut clé primaire dans une autre relation


2 - FORMALISME

Schéma de relation
SALARIES (#salarié, nom, prénom, #cp)

La clé principale est précédée de # et est soulignée
La clé étrangère est précédée de #

MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES COMMANDES-CLIENTS


 EMBED Word.Picture.8 

MLD Relationnel

 EMBED Word.Picture.8 

3 - REGLES DE CONSTRUCTION

Cas 1 : Les individus

- Un individu devient une relation.
- L'identifiant devient la clé principale.
- Une propriété devient un attribut.

Cas 2 : Les relations

- Une relation conceptuelle devient une relation relationnelle (sauf si c'est une DF ou une CIF)
- L'identifiant de la relation devient la clé de la relation.
- Les propriétés de la relation deviennent des attributs.

Cas 3 : Les relations de type Père-Fils

- Une DF ou une CIF disparaît.
- L'identifiant de l'individu-père devient clé étrangère dans la relation issue de l'individu-fils.

Exemple

En se référant au MCD commandes-clients

Clients(#client,nom,adresse rue,#cp)
Villes(#cp,ville)
Commandes(#cde, date,#client)
Lig_Cdes(#cde,#produit, qté)
Produits (#produit, libellé, prix)

CHAPITRE 6 - LE MODELE LOGIQUE DES TRAITEMENTS


1 - DEFINITION

Les MLT sont un ensemble de modèles et de schémas décrivant les traitements d'une application selon l'état de l'art (Multifenêtrage, IG, Client-Serveur,...)
Il s'agit des traitements des MCT, MCTA, MOT, MOTA auxquels on "ajoute" les traitements d'acquisition et de restitution des données et la répartition éventuelle des traitements et des données.

Les modèles descriptifs correspondent aux composants de l'application :

- présentation
- dialogue
- noyau non interactif
- guidage fonctionnel

La description est indépendante des choix techniques:
- arborescence (décompositions statiques )
- diagramme d'enchaînement ou matrice d'enchaînement
- formulaire



2 – LA COUCHE PRESENTATION

21 – Définition

C'est partie visible, audible,.. de l'interface utilisateur. La présentation fait apparaître dans une fenêtre ou un écran des objets graphiques et/ou alphanumériques pour permettre à l'utilisateur d'effectuer des actions.

22 - Formalisme

- hiérarchie statique de fenêtres et de boites de dialogue par une arborescence
- copies d'écrans, de fenêtres, de boites de dialogue, d'états,...
- un formulaire descriptif détaillé pour chaque copie.


3 – LA COUCHE DIALOGUE

31 - Définition

C'est le composant de l'application assurant les échanges d'informations avec l'utilisateur par l'intermédiaire de la présentation, le dialogue active le noyau applicatif suite aux actions de l'utilisateur et modifie la présentation pour refléter l'avancement de la tâche

32 – Représentation du dialogue

Le dialogue est représenté :
- sous forme de graphique (arbre ou diagramme)
- et/ou de matrices d’enchaînement
- et/ou de formulaire (fiche)


4 – LE NOYAU NON INTERACTIF (NNI)

41 - Définition

C'est le composant de l'application indépendant du fait que l'application soit conversationnel, batch, et du type d'interface (graphique, caractère)

Le noyau :
1) prend en compte les requêtes, données du dialogue
2) effectue les calculs, les contrôles (autres que de surface)
3) effectue les accès à la BD (C, I, M, S)
4) assure la cohérence, la sécurité, l'intégrité
5) restitue les résultats et les codes retour


5 – SCHEMAS DE REPARTITION

 EMBED Word.Picture.6 

Scénario 1 : Configuration terminal passif/mainframe
Scénario 2 : Dialogue réparti
Scénario 3 : Présentation et Dialogue sur le poste, NNI sur le serveur
Scénario 4 : NNI réparti, éventuellement données locales non synchronisées
Scénario 5 : Client/serveur de données : Présentation, Dialogue, NNI sur le poste, SGBD et Données sur le serveur
Scénario 6 : Client/Serveur de traitements : Présentation, Dialogue, NNI sur le poste et sur le serveur (Procédures stockées par exemple) , SGBD et Données sur le serveur

EXERCICES

Premier exercice : LES COURSES DE CHEVAUX
(Emprunté à l'ouvrage de monsieur Mathelot)

Vous établirez le MCD à partir des DF et du GDF.

1 - Type de course (Tiercé, Quarté,…)
2 – Numéro de la course
3 – Désignation de la course
4 – Nom du champ de course
5 – Date de la course
6 – Catégorie de la course(Trot attelé, Trot monté, Obstacle,…)
7 – Dotation de la course
8 – Nom du cheval
9 – N° du dossard du jockey et du cheval pour la course
10 – Nom du propriétaire du cheval
11 – Gains du cheval depuis le début de la saison
12 – Sexe du cheval
13 – Nom du jockey
14 – Date de naissance du cheval.

Règles complémentaires

Un champ de courses est équipé pour une ou des catégories de courses.
Un cheval a une parenté ascendante et éventuellement descendante.
Une course est d'une catégorie et d'une seule.

Corrigé du premier exercice

Le MCD




Le MLD




Deuxième exercice : LA LOCATION DE BATEAUX

GRECEAthènes, Rhodes, Kos, Corfou, Porto CarrasNbre de HiverMi-SaisonHaute-SaisonAutomnePersonnes1/1/2002 - 25/4/200226/4/2002 - 26/6/200227/6/2002 - 27/8/200228/8/2002 - 31/12/20021 sem.2 sem.1 sem.2 sem.1 sem.2 sem.1 sem.2 sem.Gamme "EXCLUSIVE" - MonocoquesMoorings 444 & S.Od.458 à 1050009000600011000700012000600011000Moorings S.Od.428 à 1045008000500010000600011000500010000Moorings 4056 à 8427576004750950057001045047509500Gamme "CLUB" - MonocoquesMoorings 50010 à 1250009000600011000700012000600011000Moorings 444 & S.Od.448 à 1045008000500010000600011000500010000Moorings 458 à 10427576004750950057001045047509500Moorings 4056 à 840617220451390255415992845139025Moorings Sun Od.376 à 838586859428785745144943142878574Moorings 353 & S.Od.366 à 836656516407381454887896040738145Moorings Sun Od.336 à 834826190386977384643851238697738Moorings Sun Od.316 à 833085881367573514411808636757351Gamme "VALUE" - MonocoquesMoorings 50010 à 12450080005000900060001100050009000Moorings S. Mag 448 à 10436577604850873058201067048508730Moorings 4308 à 10423475274705846856451035047058468Moorings 3906 à 9410773014563821454761003945638214Sun Light 304 à 639847082442679685312973844267968TURQUIEMarmaris, Finike (Transit Log 50 ¬ non compris)MEMES DATES ET SAISONS QUE LA GRECEGamme "EXCLUSIVE" - MonocoquesMoorings 448 à 1030005000400070005000900040007000Gamme "CLUB" - MonocoquesMoorings Sun Od.5110 à 12400070005000900060001000050009000Moorings Sun Od.448 à 1038006650475085505700950047508550Moorings 4056 à 836106318451381235415902545138123Moorings 353 & S.Od.366 à 834306002428777165144857442877716Gamme "CLUB" - CatamaransMoorings 41008 à 1036656516407381454887896040738145Gamme "VALUE" - MonocoquesMoorings 50010 à 1230005000400070005000900040007000Moorings 4308 à 1028504750380066504750855038006650Moorings 3906 à 927084513361063184513812336106318.245]^kl†‡ˆ‰Š‹–—±²³´µ¶ØÙóôõö÷ø
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Corrigé du deuxième exercice

Le MCD




Le MLD




Troisième exercice : LA RUBRIQUE CINEMAS DE PARISCOPE

Cf La publication Pariscope




Corrigé du troisième exercice

Le MCD et le MLD











Merise

Chapitre 3 - Page  PAGE 10

( Pascal Buguet Imprimé le  TIME \@ "d MMMM yyyy" 15 décembre 2009 Page  PAGE 2






Documents

Discours

DD

DF

GDF

MCD BRUT

MCD Normalisé