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Complémentarité des enseignements de STI et de physique appliquée ..... Electrotechnique 2ème année: Bilan du redressement commandé triphasé - Asservissement et rôle de la correction proportionnelle. ...... T.D : liaisons optiques p.26.




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REPESSE Joël

PLP électrotechnique

































Session 2007 Année scolaire 2006-2007
REMERCIEMENTS

Cette année de stage m’a permis d’obtenir des réponses aux questions que je me posais quant à la place des élèves handicapés moteurs quant à leur cursus scolaire et plus précisément dans les lycées professionnels.

Apprécier les difficultés qui sont les leurs.
Adapter leur environnement.
Adapter mon enseignement.

A cet égard, je tiens à remercier :

M Seweryn, IPR ASH
M Haziza, IEN Génie Electrotechnique
M Landric, proviseur du Lycée professionnel Charles Blanc
Mme Llense, principale du collège de la Côte Radieuse à Canet-en-Roussillon
M Campos, principal adjoint du collège de la Côte Radieuse à Canet-en-Roussillon
Mme Jedryka, responsable et enseignante de l’UPI
M Garcia, professeur de technologie de l’UPI
Mon directeur de mémoire
INS HEA et l’ensemble des formateurs
L’ensemble des intervenants
Le service de prêt vidéo de l’institut

Un remerciement particulier aux élèves de l’UPI du collège de la Côte Radieuse pour leur accueil et leur participation




SOMMAIRE

REMERCIEMENTS
SOMMAIRE

INTRODUCTION
I. EVALUATION CLINIQUE ET FONCTIONNELLE D’UN HANDICAP MOTEUR

 Quelques définitions pour fixer le cadre général
 Déficience
 Incapacité
 Handicap
 Quelques caractéristiques.
 Eléments objectifs observables
 Degrés d’autonomie
 Retentissement socioprofessionnel
 Retentissement psychique
 La prise en charge
 La rééducation fonctionnelle
 Les autres mesures
 Organigramme des solutions adaptées

II. COMMENT ADAPTER MA DISCIPLINE

1. Aménagements possibles en salle d’expérimentations
1.1. Situation actuelle
1.2. Aménagements de la salle
1.3. Aménagements pédagogiques
2. Séquence professionnelle : mesures de grandeurs électriques
2.1. Compétences professionnelles
2.2. Adaptation des compétences
2.2.1 Fiche de guidance
2.2.2 Tableau des adaptations proposées pour la séquence
2.3. Didacticiels utilisés pour adapter le travail de l’élève
2. 4. Validation en fin de séquences










III. MISE EN PLACE D’UNE UPI AU LYCEE CHARLES BLANC

1. Etat des lieux
2. Section Métiers de l’Electrotechnique

2.1. Le hall d’entrée, les casiers, les WC,
2.2. La salle d’expérimentations, salle Henry
2.3. L’atelier des 2nd BEP, salle Boole
2.4. L’atelier des T BEP, salle Ohm
2.5. Les cellules, espace Ampère
2.6. La salle informatique, salle Faraday
2.7. Utilisation du patio 

IV. ADAPTATION DES EPREUVES DE CCF

1. BEP Métiers de l’électrotechnique
1.1. Epreuves professionnelles théoriques
1.2. Epreuves professionnelles pratiques

V. CONCLUSION

RESSOURCES BIBLIOGRAPHIQUES

ANNEXES

 Référentiel BEP Métiers de l’électrotechnique. Domaine S0 :
Expérimentations. Mesures professionnelles
 Fiche d’évaluation EP 2.3
 Exemple de fiche de guidance
 Arrêté du 25 juin 1980, sécurité incendie
 Diagramme de poursuite d’études
- Tableau d’adaptations possibles dans les domaines du BEP Métiers de l’électrotechnique
- Bac Pro Pilotage des Systèmes de Production Automatisé PSPA


INTRODUCTION

La loi du 11 février 2005 définit le handicap dans toutes ses composantes : handicap physique, sensoriel, mental, cognitif, psychique non comme une déficience qui sépare mais comme des obstacles rencontrés dans la vie quotidienne.
Elle indique aussi : «  Tout enfant, tout adolescent présentant un handicap ou un trouble invalidant de la santé est inscrit dans l’école ou dans l’un des établissements le plus proche de son domicile qui constitue son établissement de référence. » 

Si le lycée dans lequel j’enseigne envisage la création d’une UPI, cela nous amènera à accueillir des élèves de tous les handicaps dont bien sûr des élèves ayant un handicap moteur.

Le lycée possède les équipements nécessaires afin de permettre le déplacement de ceux-ci dans toutes les classes (rampe d’accès, ascenseurs).

Souffrant moi-même d’une maladie invalidante entraînant un déficit moteur, je me suis posé, depuis quelques années, les questions relatives à l’accueil des élèves handicapés au sein de mon établissement scolaire, au sein de ma discipline, BEP métiers de l’électrotechnique. Afin d’obtenir des bases de réflexion sur ce problème de la scolarisation des élèves handicapés, ayant ma propre expérience d’adaptation, matérielle, physique et pédagogique, aide de mes collègues quant à la répartition des matières dispensées dans ma section, j’ai donc décidé de préparer le 2CA-SH option C. Cette formation me permettra de préparer l’ouverture de notre établissement aux élèves ayant un handicap, de mettre en place les moyens nécessaires au sein de mon atelier d’électrotechnique en respect des capacités de travail demandé pour tout élève handicapé ou non pour la formation Métiers de l’électrotechnique.

J’envisage un investissement en tant que professeur ressource au sein du lycée, tout en continuant mon enseignement professionnel.

Plus généralement, dans mon lycée, il me semble nécessaire de réfléchir à l’accessibilité architecturale, à l’accès aux soins, aux savoirs et plus globalement à la vie sociale et professionnelle des élèves ayant un handicap.



I EVALUATION CLINIQUE ET FONCTIONNELLE
D’UN HANDICAP MOTEUR


Quelques définitions pour fixer le cadre général

Avec le handicap mental, le handicap moteur, congénital ou acquis, représente un véritable problème de société, qui déborde largement le strict cadre médical.
De nombreuses maladies neurologiques (AVC, Parkinson, sclérose en plaques...) représentent des causes majeures de handicap moteur, nécessitant souvent une prise en charge au long cours (kinésithérapie, moyen de transport adapté...).

La déficience se définit par la perte de substances ou altérations d’une structure ou d’une fonction psychologique, physiologique ou anatomiques. La déficience correspond donc la notion d’ordre lésionnel.

L’incapacité correspond à la réduction (résultant d’une déficience), partielle ou totale, de la capacité d’accomplir une activité dans les limites considérées comme normale pour un être humain. La capacité correspond donc à une notion d’ordre fonctionnel.

Le handicap résulte pour un individu donné d’une déficience ou d’une incapacité qui limite ou interdit l’accomplissement d’un rôle normal (en rapport avec l’âge, le sexe, les facteurs sociaux et culturels). On parle parfois de « désavantage social ».

Quelques caractéristiques.

De nombreuses affections neurologiques représentent des causes majeures de handicap moteur, qui doit être distingué des notions de déficience et d’incapacité.
Toute évaluation clinique d’un handicap moteur doit comporter un examen neurologique, complété d’un testing musculaire et par l’appréciation du périmètre de marche.
L’évaluation fonctionnelle du handicap moteur repose sur l’interrogatoire et l’appréciation de l’environnement social d’un patient.
Les évaluations clinique et fonctionnelle utilisent des échelles. Les plus utilisées au plan fonctionnel combinent les aspects d’incapacité et de handicap.
Le médecin joue un rôle important pour obtenir les aides.

Eléments objectifs observables

Le degré d’autonomie s’évalue en fonction des aides nécessaires (famille, ami, personnel paramédical). Dans les affections neurologiques chroniques responsables de handicap moteur, le degré d’autonomie se réévalue régulièrement.
Le médecin joue un rôle important pour aider le patient à prendre les décisions utiles concernant son cadre de vie (adaptation de l’habitat au handicap en vue du maintien au domicile).

Le retentissement socioprofessionnel s’apprécie à la fois sur des critères objectifs (inaptitude à l’emploi, absentéisme…) et subjectifs (fatigue, modification de ses habitudes). Ces derniers critères nécessitent des entretiens avec les proches en accord avec le patient. Entre autres, il est de la responsabilité du médecin de proposer au patient et à sa famille des aides adaptées.

Suivant l’annonce du handicap, tout patient porteur d’un handicap moteur présent un risque d’état dépressif, notamment pendant les premiers mois. Dans ce retentissement psychique, le médecin joue un rôle de soutien psychologique auprès de la famille. Il doit se souvenir que la qualité de vie de son patient dépend largement des motivations de l’environnement familial.


La prise en charge

Elle doit être adaptée à chaque situation individuelle.

La rééducation fonctionnelle
Il faut détailler les gestes qui ne peuvent être travaillé seul, justifiant le recours au kinésithérapeute.
Il faut faire travailler la marche, l’équilibre, ne pas oublier que les antalgiques peuvent être nécessaires.

Les autres mesures
L’ergothérapie avec son adaptation des objets d’environnement domestique au handicap.
Les antalgiques et les traitements antidépresseurs selon les besoins.
Les aides sociales pour la mise en place de la compensation de frais.


Remarque

Il est important de prendre en considération la notion de douleur physique continuelle. Or j’ai pu déceler la prise en compte de celle-ci dans peu d’études. On considère que les médicaments font leur office, ce n’est pas toujours le cas, voire jamais. Peut-être que l’absence de quantification fait que l’on oublie de la prendre en compte seconde par seconde. Il est donc aussi important de considérer que l’élève dont nous avons la responsabilité en cours subit des douleurs physiques qui influent sur son comportement.
Cette notion est-elle gênante pour ceux qui ne subissent pas de handicap moteur ? Chacun peut pourtant se souvenir de traumas classiques (fracture, foulure, claquage…) rencontrés au cours de sa vie et des douleurs qui en ont découlé. A la différence majeure qu’il ne s’agit là que de douleurs ponctuelles et non invalidantes pour le restant de la vie.

Organigramme des solutions adaptées
 SHAPE \* MERGEFORMAT 

Dans le cadre d’une formation aux métiers de l’électrotechnique, en fonction des différents handicaps que l’élève handicapé moteur peut subir, un ensemble de solutions et d’adaptations sont envisageables.



II. COMMENT ADAPTER MA DISCIPLINE

1. Aménagements possibles en salle d’expérimentations

1.1. Situation actuelle

La salle actuelle est accessible par l’extérieur sans aucune difficulté pour un enfant en fauteuil roulant. L’intérieur, par contre, demande une réorganisation complète de son agencement afin d’accueillir cet élève.

Cette salle dédiée aux expérimentations, mesures et essais, contient des tables de cours d’une hauteur classique (trop basse pour un élève en fauteuil roulant) ainsi que des tables de travaux pratiques (trop haute pour un élève en fauteuil roulant).

Il est nécessaire de prendre en compte les handicaps associés de l’élève (troubles du langage, douleur physique, ralentissement de la compréhension et de la prise de note) qui nécessitent du matériel supplémentaire (informatique par exemple).

1.2. Aménagements de la salle

Il convient donc de déplacer un certain nombre de tables de travaux pratiques le long du mur et d’avancer les autres afin de permettre l’accès d’un fauteuil roulant.

La suppression de la moitié des tables normales devient nécessaire. Un poste de travail adapté au niveau de la hauteur ainsi que des sources de tension nécessaire aux mesures permettra à l’élève de faire son travail dans les meilleures conditions.

1.3. Aménagements pédagogiques

Nous avons à notre disposition un certain nombre de moyens, informatiques ou non, qui sont susceptibles d’apporter une aide à la compréhension du cours :
documents papier avec une police de caractère plus lisible
ordinateur portable avec souris ou TrackBall,
logiciel « prompteur » permettant un défilement continu des consignes de travail,
vidéoprojecteur,
didacticiels d’aide à la représentation des schémas, aux réglages des appareils de mesure.

2. Séquence professionnelle : mesures de grandeurs électriques

Le travail consiste à mesurer des grandeurs électriques à l’aide d’appareils de mesure : voltmètre, ampèremètre, wattmètre d’une installation électrique comportant une génératrice à courant continu.

Cette séquence nécessite un poste de travail sur lequel seront disposés les appareils de mesure, un banc d’essai comportant une génératrice à courant continu (câblée par l’élève) entraînée en rotation par un moteur à courant alternatif (câblé par le professeur).


2.1. Compétences professionnelles (extrait du référentiel professionnel)



EP23 : Essais et mesures sur des éléments de l’équipement industriel
C 1
S’INFORMERC 1.1Décoder les schémas, plans et descriptifs concernant l’opération.C 1.2Exploiter les consignes verbales ou écrites des tâches proposées.C 2
EXECUTERC 2.1Organiser son poste de travail.C 2.5 Raccorder électriquement les différents matériels. (Courants faibles, Courants forts).C 2.6Repérer les éléments, les conducteurs.C 2.8 Configurer les matériels.C 2.9Contrôler les grandeurs caractéristiques de l’installation ou du système (Tension, Courant, Puissances, Vitesse......) et Effectuer les essais.C 2.10Vérifier la conformité des résultats de la mise en service par rapport aux spécifications fonctionnelles du dossier technique.C 4.4Démontrer la conformité fonctionnelle de la réalisation avec les exigences du dossier de réalisation.

2.2. Adaptation des compétences en fonction des problèmes rencontrés par l’élève ayant un handicap


2.2.1 Fiche de guidance 



2.2.2. Tableau des adaptations proposées pour la séquence 
Légende :  Participation orale Participation écrite Lecture de documents  Utilisation d’outils techniques


Repérer les éléments, les conducteurs.Noter la nature et la référence de chaque appareilNoter de façon distinctive le type de mesure de chaque appareil.Troubles de la mémoire de travail Fixation des feuilles et stylo attaché ou prise de note orale avec dictaphone numérique.Configurer les matérielsCorrespondance grandeurs physiques, calibres des appareils caractéristiques des appareils à mesurer.Régler les calibres des appareils de réglages
Choisir les bonnes échelles de lectureTroubles de la mémoire de travail Fixation des feuilles et stylo attaché ou prise de note orale avec dictaphone numériqueContrôler les grandeurs caractéristiques du système (Tension, Courant, Puissances, Vitesse......)
Effectuer les essais. Tension sécurité 24v
Régler les calibres des appareils de mesure.

Utiliser les EPI

Lire sur les appareils les différentes valeurs mesurées.
Noter les résultats.


Reconnaissances des signes (lettres, symboles)
Mobilisation de la mémoire

Gants aux mains, lunettes, tapis isolant au sol.
Connaissance correspondance grandeurs physiques /unités
Ecriture Mémorisation visuelle
Troubles visuels
Troubles mnésiques (mémoire)

Gants non adaptés, utilisation des deux mains impossible

Difficulté d’écriture sur papier sans support
Loupe sur appareils de mesure.


Tension 24V, essais fait par tiers dirigé par l’élève Fixation des feuilles et stylo attaché ou prise de note orale avec écriture deuxième élève.Vérifier la conformité des résultats de la mise en service par rapport aux spécifications fonctionnelles du dossier technique.
Comparer les mesures effectuées avec les résultats trouvés par le calcul ou donnés dans le dossier technique.

Mobilisation de la mémoire
Recherche de caractéristiques dans un dossier technique
Calcul des valeurs mathématiques mises en comparaison
Evaluation des différencesTroubles mnésiques
Troubles visuels

Difficultés de compréhension mathématiquesDocuments DT agrandis


Fiche formulaire maths
Proposer la démarche d’exécution de la tâche.Expliquer de façon orale le déroulement de l’expérimentation en indiquant tous les détails précis. 
Mobilisation de la mémoire
Vérifier de façon critique son travailTroubles mnésiques
Troubles du langageTravail par écrit
Démontrer la conformité fonctionnelle de la réalisation avec les exigences du dossier de réalisation.Expliquer la corrélation entre les résultats et les exigences.
Expliquer les différences.
Mobilisation de la mémoire
Vérifier de façon critique son travailTroubles mnésiques
Troubles du langageTravail par écrit
TâchesCompétences mobiliséesProblèmes rencontrésAdaptations proposéesDécoder les schémas, plans et descriptifs concernant l’opération.
La symbolisation


Schémas électriques



Reconnaissances des signes (lettres, symboles), lisibilité et du type de document
Reconnaissance des appareils de mesure
Mobilisation de la mémoire
Connaissance correspondance symboles/objet techniqueMémorisation visuelle

Troubles visuels

Troubles mnésiques (mémoire)Taille adaptéeNoter sur les appareils le symbole de la grandeur physique à mesurerFeuille de symboles des appareils de mesureExploiter les consignes écrites des tâches proposées sur le document de travail.

Le poste de travail a fait l’objet
d’une adaptation préalable


Travail en binôme obligatoire pour raison de sécurité, adapté à tous les élèvesEtablir son schéma de câblagePrise de notes
Reconnaissances des symboles
Lisibilité et du type de document
Mémorisation visuelle
Troubles visuels
Troubles mnésiques (mémoire)Utilisation de logiciel de schéma (croco)
Impression du schémaEtablir sa liste du matérielPrise de notes
Reconnaissances des symboles
Lisibilité et du type de document
Mémorisation visuelle
Troubles visuels
Troubles mnésiques (mémoire)Cocher sur une liste les appareils à utiliserChoisir ses appareils de mesureReconnaissance des symboles
Reconnaissance des appareils de mesures (rôle, choix)
Choix du type de lecture des appareilsMémorisation visuelle
Troubles visuels
Troubles mnésiques (mémoire)
Choix du type d’appareil, analogique ou numériqueUtiliser les appareils numériques (chiffres au lieu d’aiguille)Organiser son poste de travail.Disposer de façon ergonomique ses appareils de mesures, son matériel en laissant une place à ses feuilles de notes
Prise de notes
Utilisation d’appareils de mesure,
Choix de la disposition des élémentsMémorisation visuelle
Troubles visuels
Troubles mnésiques (mémoire)Par oral,
Prise de notes faite par le deuxième élève.
 Raccorder électriquement les différents matériels. Respecter les normes de sécurité.
Respecter son schéma de câblage. 
Connaissance du raccordement des appareils de mesure.
Connaissance du rôle de chaque appareil de mesure Préhension difficile
Troubles mémoire de travail
Troubles des mouvements (spasticité, ataxie, athétose)Fait par deuxième élève sur les conseils de l’élève handicapé 2.3. Didacticiels utilisés pour adapter le travail de l’élève

Pendant l’expérimentation, un certain nombre de tâches doivent être réalisées : dessin, câblage, mesures, compte rendu. Nous avons déterminé pour chacune d’entre elles une adaptation possible notamment grâce à l’aide de logiciels didactiques.

Dessin : logiciel Croco



Ce logiciel permet de réaliser des câblages à l’aide le la souris. Tous les appareils peuvent être mis et il est possible de vérifier le fonctionnement du montage.

Câblage

L’aide est apportée par le deuxième élève du binôme ou le professeur. L’élève handicapé dessine et indique en même temps à son aide l’endroit où les fils doivent être connectés et sur quel appareil.

Mesures : logiciel Mesuric

Ce logiciel permet de régler, choisir les calibres et caractéristiques des appareils de mesure. Il peut venir en soutien de l’élève pour le choix et la justification des appareils. Il permet aussi d’apprendre le maniement des puissances de dix (10x).




Compte rendu : calculs de résistances




Ce didacticiel permet de faire des calculs à partir des données mesurées. Il affiche aussitôt le résultat, ce qui permet de vérifier son travail instantanément. Plusieurs types existent en fonction des formules désirées.

Logiciel prompteur : TeleScreen



La lecture de documents est rendue possible en augmentant la taille de la police de caractères mais elle peut être mieux adaptée à l’aide d’un prompteur. Ce logiciel permet de faire défiler un texte qui, projeté à l’aide d’un vidéo projecteur, permettra aux élèves de prendre note plus facilement des consignes de travail. Cinq textes peuvent être mis en mémoire en même temps.

Rédaction du compte rendu : Dragon Naturally Speaking



Ce logiciel permet la prise de n’importe quelle note à partir de la parole. Il est capable de reconnaître n’importe quelle voix. La version 9 permet aussi de commander l’ordinateur et tous ses logiciels. Un élève ayant des difficultés d’écriture peut utiliser cette fonction d’adaptation.

2. 4. Validation en fin de séquence

La validation de la séquence se fait en plusieurs parties à l’aide d’un document type. Celui-ci intègre la notion de savoir être correspondant au comportement de l’élève lors de l’exécution de la tâche. Cette notion est valable pour tous.

 en cours de travail : le schéma, le câblage et l’habilitation électrique pendant le travail sont évalués tout au long de la séquence. Soit la note est posée aussitôt, soit les infos sont notées afin d’être reportées lors de la correction.

 à la fin de la séquence : le reste du travail est noté après le cours en rassemblant les notes et les informations prises. Le savoir être de l’élève est pris en compte en négatif lors du calcul de la note finale.

Adaptations des éléments pris en compte lors de la validation de la séquence 

 les différents éléments oraux enregistrés sur dictaphone sont ajoutés à la somme d’informations nécessaire à la correction.
 l’appel à une tierce personne doit être pris en compte en tant que « bras dirigé » sans pour autant oublier la prise en compte intellectuelle du travail fourni. Par contre, l’évaluation sera faite tout au long de la tâche si bien que la note finale peut-être posée aussitôt le travail fourni. Dans cette situation, donner une correction verbale du travail peut entretenir à la fois la motivation de l’élève et lui permettre de comprendre « à chaud » les erreurs qu’il a faites. Ceci est particulièrement utile aux élèves présentant des troubles attentionnels ou des difficultés mnésiques.
III. MISE EN PLACE D’UNE UPI AU LYCEE CHARLES BLANC

La loi du 11 février 2005 impose la scolarisation des élèves handicapés dans les établissements scolaires de leur choix. Dans la mesure où ceux-ci ont les capacités intellectuelles et physiques pour suivre une formation présente dans le lycée professionnel Charles Blanc, il n’y a aucune raison que cela leur soit refusé. Somme toute, leur handicap nécessite une adaptation matérielle, pédagogique et médicale qui doit être prise en compte dans les emplois du temps de l’établissement.

L’accès se situe à plusieurs niveaux, matériellement et physiquement:

 l’établissement scolaire,
 les salles et ateliers, CDI
 les services administratifs, à la vie scolaire,
 les services de restauration,
 les soins infirmiers, infirmerie du lycée ou extérieur.

Intellectuellement
- les savoirs,
- la vie sociale,
- la vie professionnelle à travers les ateliers du lycée.

Mon mémoire tient compte de l’option C que j’ai choisie. Il est évident que la création d’une UPI au sein du lycée Charles Blanc doit tenir compte de l’ensemble des handicaps subi par les élèves. Pour rester dans mon option je vais étudier seulement l’adaptation de la scolarisation des enfants handicapés moteurs et dans le cadre de ma section Métiers de l’électrotechnique. Auparavant je dresse un état des lieux du lycée Charles Blanc afin de noter les différents points importants pour la sécurité et l’accès de des élèves handicapés.


1. Etat des lieux

Actuellement le lycée professionnel Charles Blanc est en restructuration. Deux parties peuvent être dissociées:

 locaux neufs : l’ensemble des locaux sont accessibles pour les élèves ayant un handicap moteur. Les classes d’enseignement général et d’électronique sont desservies par un ascenseur et deux passerelles. L’accès est assuré dans la mesure où une tierce personne est avec eux dans l’ascenseur et pour les ouvertures des portes desservant les passerelles. Il est néanmoins nécessaire de réfléchir aux conditions de sortie en cas d’incendie et en cas d’impossibilité d’accès à l’ascenseur.

 locaux anciens : la démolition programmée et la reconstruction de nouveaux ateliers seront l’occasion de permettre l’accès aux enfants ayant un handicap moteur dans toutes les nouvelles structures. Pour l’instant, aucun problème majeur n’est rencontré même dans les situations d’urgence.
Le lycée est accessible, entrée principale avec stationnement possible sans gêne, accès de plain-pied sans aucune marche. Les portes peuvent être évitées en passant par l’accueil où un surveillant est présent pour lui faciliter le passage.

Comme l’établissement est en restructuration avec la construction d’ateliers neufs, il sera nécessaire de prévoir une salle particulière dédiée à l’UPI dans laquelle des cours adaptés (soutien, perfectionnement..) pourront être assurés. Il serait souhaitable que cette salle se trouve au rez-de-chaussée. Dans les ateliers et les salles de cours, l’espace doit être analysé, voire revu, afin que l’accès aux élèves en fauteuil puisse se faire sans difficultés.

2. Section Métiers de l’électrotechnique

Dans le cadre de mon mémoire, je réfléchis à la scolarité des élèves handicapés moteurs. A ce titre, l’accessibilité est prise en compte pour l’accès avec un fauteuil roulant, dans l’ensemble je prends en considération le handicap le plus contraignant.

Le BEP est divisé en deux années scolaires, la première dédiée aux installations tertiaires (schémas électriques de base, domotique….) la deuxième aux installations industrielles (moteurs, transformateurs, variateurs, automatisme programmé…). En tant que diplôme préparant à une poursuite d’étude, Bac professionnel par exemple, il ne faut pas perdre de vue qu’un élève de notre section ne travaillera peut-être plus dans le domaine du tertiaire après son BEP. Sans pour autant brader notre formation, si je prends le cas d’un élève handicapé moteur ne pouvant utiliser ses mains pour travailler mais capable pour autant d’utiliser un ordinateur, je me dis que dans l’absolu il sera tout à fait capable de comprendre et de réaliser des schémas avec un logiciel, sans pour autant avoir à en réaliser un seul câblage électrique. Alors, laissons-lui la chance d’apprendre le nécessaire à sa poursuite d’étude en adaptant les tâches du référentiel sans les déformer. Par exemple, utiliser un logiciel pour dessiner un schéma au lieu de le faire à la main.

La section BEP Métiers de l’électrotechnique accueille deux classes de seconde (dix-huit élèves chacune) ainsi que deux classes de terminale du même effectif. Les cours d’enseignement professionnel pratique sont dispensés en groupe de douze élèves, soit six binômes. Trois enseignants travaillent en même temps et occupent trois ateliers.

La section Métiers de l’électrotechnique est divisée en six parties :

 le hall d’entrée, les casiers, les toilettes,
 la salle d’expérimentations, salle Henry
 l’atelier des 2des BEP, salle Boole
 l’atelier des T BEP, salle Ohm
 les cellules, espace Ampère
 la salle informatique, salle Faraday

2.1. Le hall d’entrée, les casiers, les toilettes

L’accès à la section électrotechnique ne pose aucune difficulté pour un enfant en fauteuil, toutefois, les toilettes se révéleront trop petites. Transformer les deux WC en un avec tous les éléments nécessaires peut être une solution car le seul endroit accessible se situe de l’autre côté de l’établissement à l’administration.
Les casiers sont accessibles, il suffira de le choisir à bonne hauteur.


2.2. La salle d’expérimentations, salle Henry

C’est une salle particulière (voir chapitre1, page 8) où la présence de sources de tension nécessite une sécurité électrique particulière. Toutes les mesures seront donc effectuées en 24 V (tension de sécurité) par l’élève handicapé. Un investissement en moteurs électriques Basse Tension s’avère nécessaire ce qui permettra de réaliser de vraies mesures en toute sécurité
Les tables sont à la fois un peu trop hautes (TP) mais trop basses pour celles de cours. Pour les tables de TP une petite estrade sera nécessaire ; pour celles de cours, l’achat ou la fabrication d’une table spécifique adaptée au fauteuil roulant semble nécessaire. La profondeur est aussi à étudier.

Salle en deux parties : TP et cours théoriques. Pour ces derniers, l’élève sera installé le plus en face possible du tableau et du vidéoprojecteur et il faudra prévoir une double place en cas d’aide d’une AVS.

Les séquences de travail sont de quatre heures en majorité, les élèves ne seront pas gênés par le temps nécessaire à leur installation sur le poste de travail. Le travail se fait toujours par binôme ce qui devrait permettre une aide efficace pour l’élève à besoins particuliers par exemple lors de la mise en place des matériels sur la table (je pense ici aux moteurs ou autres éléments encombrants).
Par contre, l’emploi du temps doit être aménagé pour les soins médicaux, la kinésithérapie et diverses interventions médicales, la section électrotechnique est d’ailleurs accessible aux véhicules jusqu’aux portes d’entrée.


2.3. Les ateliers

Les ateliers pour les élèves de seconde et de terminale sont divisés en trois parties, deux salles mixtes (Boole et Ohm) avec châssis de câblage et tables de cours, un atelier (espace Ampère) où le travail se fait en simulation comme dans une maison avec cloisons de plâtre, gaines et boîtes de raccordement. L’espace est réduit mais il est néanmoins possible de les adapter afin que les élèves ayant un handicap puissent travailler en toute sécurité.
L’impossibilité d’avoir actuellement deux salles de câblage pour chaque niveau et une salle d’enseignement théorique avec 18 places oblige la multiplication des adaptations. La salle Faraday, actuellement salle informatique pourrait avoir cette fonction. Une restructuration complète de la section serait la seule solution acceptable pour un travail plus cohérent dans notre section. Avec l’ouverture en septembre 2008 de la section bac pro électrotechnique option industrielle, le manque de place à de nouveau se faire sentir. Le déménagement de notre section vers de plus grands locaux sera donc envisageable et de ce fait il faudra penser scolarisation des enfants handicapés lors de l’implantation des postes de travail.
Pour l’instant, l’obligation est donc faite de penser en plusieurs exemplaires.

Dans les chapitres suivants je vais mettre l’accent sur les adaptations qu’il faudra effectuer, adaptations du poste de travail et de l’environnement de celui-ci.

Les cours sont dispensés en atelier par groupe de douze élèves, certains cours théoriques en classe entière, soit dix-huit élèves, sont dispensés dans une classe extérieure à notre section à moins que le patio dont je parlerai ci-après soit utilisé.

Pour la table de cours des salles Boole et Ohm, l’adaptation est à prévoir comme précédemment dans la salle dédiée aux expérimentations.


L’atelier des 2des BEP, salle Boole

Deux espaces différents où sont installées des tables de cours pour la technologie, le schéma, six châssis pour la partie réalisation.

Le câblage se réalise sur des planches en bois sur lesquelles seront disposés des tubes, des interrupteurs, des lampes ainsi qu’un tableau d’alimentation. Un support doit être fabriqué en fonction des caractéristiques de l’élève (le lycée abrite une section BEP « Ouvrages Chaudronnés » à même de réaliser celui-ci). La hauteur doit être réglable, la planche doit pouvoir s’incliner vers l’élève, le rangement de la planche doit se faire sur le côté. Son poste de travail est à placer au plus près de la porte d’entrée, car l’encombrement de la salle est réduit. Les outils de travail d’un élève électricien sont les tournevis, le mètre, une paire de pince coupante, un multimètre. Une fois le châssis de câblage réalisé, l’utilisation d’un tournevis électrique (réf : SK9240 Langlois SA, par exemple) s’avère nécessaire en fonction du handicap de l’élève. Ce type de matériel est d’ailleurs utilisé dans l’industrie. Par sécurité, 24 V sera la tension d’alimentation de tous les systèmes.

La sécurité électrique nécessite une habilitation dont les cours sont dispensés dans les lycées en accord avec les organismes de certification. L’habilitation électrique comporte des cours théoriques mais aussi des tâches pratiques (remplacement d’un fusible, mesure de grandeur électrique …) faites par l’élève et validées dans un carnet. Celui-ci suit l’élève dans sa formation et sera présenté à l’organisme de certification lors de l’épreuve finale faite dans l’entreprise qui embauchera l’élève. Dans le cas d’un élève handicapé ne pouvant pas, par exemple, mettre ses gants isolants, l’habilitation ne pourra pas être passée mais les cours théoriques seront néanmoins dispensés afin qu’il puisse travailler en toute sécurité. La connaissance des gestes de secours, de première urgence peut lui être utile car le handicap n’empêche pas le cas échéant de sauver la vie à autrui ou de faire en sorte de protéger la sienne.

2.4. L’atelier des T BEP, salle Ohm

Lieu de réalisation de câblages industriels cet atelier est plus accessible pour les élèves à besoins particuliers. Seuls changent les éléments commandés : moteurs à la place de lampes, fabrication de pièces mécaniques, électronique à la place de la mise en forme de canalisations. Le poste de travail doit être adapté de la même façon que dans la salle précédente. Il est tout à fait possible d’utiliser en terminale celui fabriqué l’année précédente dans la mesure où celui-ci est prévu pour accueillir les grilles de câblage et dans la mesure où il n’y a pas d’autres élèves handicapés. L’utilisation du tournevis électrique est ici plus adaptée, plus évidente. La terminale étant la suite du programme de seconde, il est bien évident que les problèmes se retrouvent pendant cette année. Malgré tout, l’utilisation de didacticiels, de logiciels de programmation apparaît au programme, d’où la présence de postes informatiques. Cette salle est donc divisée en trois parties : cours, câblage, automatisme. Toute la difficulté réside dans cette triple utilisation. Actuellement la partie câblage se trouve au milieu. Il faudrait donc laisser la partie cours à l’entrée de la salle, diviser l’espace restant en deux, à droite côté fenêtre y disposer la partie automatisme, à gauche les châssis de câblage. Ces dispositions permettront un meilleur passage pour un élève en fauteuil. Dans la mesure où une aide doit être apportée à l’élève handicapé, celle-ci serait plus à même d’être donnée par un élève de sa classe plutôt que par une AVS à moins que celle-ci ait les connaissances nécessaires.

2.5. Les cellules, espace Ampère

Dans les cellules, le travail à réaliser correspond au tirage des conducteurs dans les gaines situées dans les murs, la fixation et le raccordement des prises de courant situées à vingt centimètres du sol, des interrupteurs à un mètre vingt et des lampes au plafond. Une fois tous les conducteurs passés dans les gaines ceux-ci sont accordés au tableau de protection sur des disjoncteurs ou autres appareils. Deux tableaux d’alimentation existent dont un plus accessible au milieu de l’atelier.
Si l’accès à l’intérieur de la cellule ne pose pas problème à une personne en fauteuil, la cellule est le seul endroit de la section où les adaptations sont impossibles. Le travail se fait ici comme dans une maison. Nous ne pouvons donc pas modifier l’implantation des prises et points lumineux simplement pour que l’élève à besoins particuliers puisse faire des raccordements en réel. D’ailleurs ce travail est déjà réalisé dans la salle Boole. Par contre, si celui-ci lui est possible, il pourra travailler en binôme et réaliser une partie de l’installation y compris le câblage du tableau d’abonnés.

2.6. La salle informatique, salle Faraday

Cette salle peu utilisée par les élèves actuellement devrait être au contraire un lieu où l’élève à besoins particuliers pourra en toute autonomie utiliser les didacticiels de formation ou de compensation du handicap. La section électrotechnique possède pour l’apprentissage des élèves nombre de logiciels : schéma, technologie, programmation, habilitation électrique. Il est envisageable de mettre à disposition des élèves des logiciels de traitement de texte, les tableurs ainsi que ceux qui compensent leur déficience. Par exemple, cahiecran pour remplir des questionnaires, TGT trousse d’outils mathématiques, Dragon Naturally Speaking pour la reconnaissance vocale et d’utilisation de son ordinateur. Il existe aussi un certain nombre de logiciels mais aussi les présentations et cours que les enseignants ont réalisés pour la formation des élèves et qui sont mis à leur disposition tout au cours de leurs deux années de formation.

Si l’élève possède son ordinateur chez lui, il pourra remplacer ses classeurs d’enseignement professionnel par une clé USB. En effet, nos cours sont tous fait sous Office ou OpenOffice et donc disponibles pour les élèves. Un ordinateur peut être mis à la disposition de l’élève qui complètera ses cours, fera ses exercices, ses schémas avec. Les devoirs pourront imprimés pour que le professeur les corrige. Le travail fait sur livre peut-être aussi réalisé de la même manière, nos livres possédant des feuilles détachables qui, scannées, peuvent être remplis à l’aide du logiciel « cahiercran ». Il suffira donc de placer l’original dans l’imprimante afin que les réponses puissent être imprimées dessus. Le suivi des cours peut se faire par mél lorsque l’élève est absent à cause de sa maladie. Pourquoi pas envisager une séquence en vidéoconférence par le biais de Messenger ou tout autre équivalent (webcam et haut-parleurs obligatoires).

L’utilisation de clavier, souris spécifiques est envisageable grâce à la compatibilité de l’ensemble, un clavier virtuel (disponible sur xp, accessoires) est aussi très utile.

Une autre partie de la formation consiste à travailler sur des maquettes :
régime des neutres
sélectivité des disjoncteurs
habilitation électrique
domotique et commande radio
transfert de palettes.

Ces maquettes permettent un apprentissage particulier sur des systèmes réels à taille réduite. Les défauts des celles-ci sont :
taille trop petite des touches
encombrante, accès difficile pour les parties hautes
Les avantages sont :
maquettes mobiles
tension de sécurité
pas de câblage à effectuer
L’adaptation de ces systèmes consiste à travailler en binôme, l’élève handicapé dirige le travail et son camarade effectue les réglages, commandes, etc. Si l’élève à besoins particuliers est capable de travailler sur la maquette seul, il lui sera donné une tige pour appuyer plus facilement sur les petites touches ainsi que le détail grossis des indications de celles-ci car elles ne sont guère lisibles.
Plan de la section Métiers de l’électrotechnique


2.7. Utilisation du patio :

Dans la mesure où l’espace est réduit, il a été demandé de transformer le patio en une salle de classe. Ouverture d’une porte vers l’espace Ampère, sol à refaire, bulle transparente pour la luminosité sont les travaux à faire afin de récupérer une salle de cours. Dès la création de celle-ci, il sera important de prendre en compte le passage et l’installation d’un élève à mobilité réduite : porte suffisamment grande, table de travail adaptée, tableau facilement visible, prise de courant à portée pour le branchement d’un ordinateur.

Comme dans toutes les salles, le vidéoprojecteur sera utilisé et sa position doit-être suffisamment précise pour que notre élève puisse voir correctement.
IV. ADAPTATION DES EPREUVES DE CCF

A la lueur des indications relatives aux ateliers, il s’avère important de vérifier la corrélation entre l’aptitude physique de l’élève et les tâches professionnelles qu’il devra réaliser. Certaines seront adaptées, d’autres éliminées, mais la majorité sera effectuée comme tout à chacun. Autant l’on adapte les cours, autant il me parait nécessaire d’adapter aussi les épreuves de CCF.

1. BEP Métiers de l’électrotechnique

Les textes d’examen prennent en compte un tiers temps pédagogique en plus afin que les élèves aient le temps de faire tous les exercices. Les différentes déficiences à l’origine du handicap de l’élève sont la plupart du temps accompagnées d’un facteur qui est pris en compte : la fatigabilité, mais moins souvent de la douleur. Celle-ci est malheureusement présente tout au long de la journée. Elle est bien souvent la cause de la plupart des mouvements, volontaires ou non des enfants handicapés. La fatigabilité, elle, est mieux reconnue et nécessite des pauses pendant le travail ou bien des tâches moins fatigantes à entreprendre. Or l’obtention du tiers temps est en contradiction avec ces deux critères et donc augmenter la durée des épreuves n’est pas forcément une solution équitable pour ces élèves à besoins particuliers.
Le fait que les épreuves d’enseignement général soient réunies sur une ou deux journées rend très difficile voir pénalisant les examens pour les enfants ayant un handicap.

1.1. Epreuves professionnelles théoriques

Pourrait-on réfléchir maintenant à une solution tout aussi simple qui consisterait à diminuer la quantité du travail en vérifiant l’essentiel des compétences tout en restant dans le quota horaire demandé. Effectivement, dans les épreuves théoriques et pratiques un certain nombre d’exercices ayant les mêmes compétences sont exigés, il est donc possible, en toute équité, de diminuer ceux-ci afin de prendre en compte la lenteur du travail des enfants handicapés.

Il faudra donc prévoir un barème de notation différent mais tout aussi exigeant. Il est bien évident, à mon sens, que ces adaptations ne sont possibles que ponctuellement et ne peuvent être mis en place qu’à l’échelle de l’établissement scolaire.


Toutes ces adaptations sont à mettre en place en relation avec l’inspecteur de chaque spécialité.

1.2. Epreuves professionnelles pratiques

En enseignement professionnel, il existe :
 EP1 – théorie : 4 h
 EP 2.1 câblage bâtiment : 6 h
 EP 2.2 câblage industriel : 9 h
 EP 2.3 expérimentations : 3 h
 EP 2.4 dessin de construction : 2 h
 EP 2.5 VSP : 1 h

Pour les épreuves dont la durée est d’une heure ou deux, l’ajout d’un tiers temps n’est pas trop contraignant si on considère que ces épreuves sont faites en cours d’année. C’est autre chose pour l’EP 2.2 où l’élève aurait 9 h + 3 h, soit 12h de travail.

Il serait possible de précâbler une partie du sujet afin que celui-ci puisse fonctionner à la fin comme pour chaque élève. Le barème de notation doit prévoir cette modification et rester équitable pour tous les élèves.

La solution équitable pour qu’un élève ayant un handicap puisse présenter ses examens au mieux de ses capacités semble être un mélange de tiers temps pour les épreuves courtes, de questions essentielles pour un temps moyen et de partiel pour une épreuve de plus de six heures.

Au niveau national, concernant les épreuves générales, il serait envisageables de prévoir au moins deux jours avec un rythme d’épreuves espacées.
V. CONCLUSION

L’accès aux formations professionnelles doit être étudié de la même manière que pour un élève valide. Il est nécessaire de vérifier que l’élève à besoins particuliers possède les connaissances nécessaires pour suivre une formation professionnelle. Il serait dommageable pour celui-ci de commencer une formation tout en sachant que l’issue ne pourrait être favorable.

Scolariser pour scolariser un enfant ayant un handicap n’est pas une solution, mais le scolariser en fonction de ses capacités est une chance pour son devenir et sa santé psychique.

Pour la spécialité que j’enseigne, BEP Métiers de l’électrotechnique, deux voies sont accessibles, l’enseignement professionnel : BEP >> BAC PRO >> BTS et l’enseignement technologique : BAC STI >> BTS

Dans le cas de la formation Métiers de l’électrotechnique un élève à besoins particuliers peut envisager :
 une formation professionnelle si physiquement sa santé ne s’oppose pas aux contraintes de travail, si l’adaptation de sa scolarisation est possible,
 une formation technologique dans le cas où les capacités intellectuelles sont nécessaires et suffisantes et lorsque malgré sa motivation une barrière physique reste infranchissable.

La formation BEP n’est pas, à l’origine une formation diplômante professionnelle de fin d’étude, c’est une préparation au Bac professionnel. Un élève qui choisi donc un BEP doit prendre en compte sa poursuite d’études. Pour les BEP Métiers de l’électrotechnique, il existe au moins une vingtaine de formations Bac Pro différentes, ce qui constitue une chance pour les enfants ayant un handicap. Leur orientation doit tenir compte plus qu’ailleurs de cette réflexion.

En enseignement professionnel, l’orientation des élèves à besoins particuliers est différente de celle des élèves valides : dossier PPS > accord médical > disponibilité dans les lycées> accord médecin scolaire > engagement des enseignants> adaptation du poste de travail. Toutes ces étapes sont nécessaires afin de permettre à l’élève à besoins particuliers de commencer sa formation.

Je remarque que l’avis de l’enseignant de la spécialité choisie n’est pas demandé. Alors qu’à mon sens, lorsque l’élève envisage une formation professionnelle, il serait souhaitable qu’il puisse :

 effectuer un stage en lycée professionnel pour vérifier sa motivation, ses adaptations nécessaires à la formation,
 mettre en place le PP. avec l’appui de l’enseignant de la spécialité qui donnera un avis professionnel quant à la possibilité d’adaptation (évaluation des besoins, choix des adaptations, achats, mise en place).

Il faut absolument l’avis de l’enseignant chargé d’assurer la formation de l’élève en lycée professionnel. Même si tout demande un investissement en temps, je pense que l’adaptation et la scolarisation d’un élève ayant un handicap commence lors du choix d’un métier, le premier acte de l’enseignant étant d’aider à mettre en place le PPS de son futur élève.




RESSOURCES BIBLIOGRAPHIE

Textes fondamentaux – Edition 2006 – pages 64, 68,
Référentiel National - Collège des Enseignants de Neurologie
La nouvelle revue de l’AIS : Edition 2003 : n° 21 - Les UPI. Les élèves en situation de handicap dans le second degré.
La nouvelle revue de l’adaptation et de la scolarisation: Edition 2006 : n° 33 : Adaptations didactiques 1
La nouvelle revue de l’adaptation et de la scolarisation: Edition 2006 : n° 34 : Parents et professionnels face au handicap.
Catalogue Langlois – Equipement de Laboratoires Electriques
Revue réadaptation – Onisep, janvier 2007
Documents PAI, PPS, PPRE Rectorat de Montpellier
Scolarisation des élèves handicapés- rentrée 2006 – Ministère de l’Education Nationale (fichier pdf)



Sites WEB


 HYPERLINK "http://lyc-vauquelin.scola.ac-paris.fr/1F8C61D5-805B-4A86-9456-88732A38C1FD/bacpropspa.html" http://lyc-vauquelin.scola.ac-paris.fr/1F8C61D5-805B-4A86-9456-88732A38C1FD/bacpropspa.html - ………… Bac Pro PSPA
 HYPERLINK "http://www.inshea.fr/RessourcesHome.htm" http://www.inshea.fr/RessourcesHome.htm ………………………………………………..……resources de l’INSHEA, Suresnes
 HYPERLINK "http://www.integrascol.fr/" http://www.integrascol.fr/ …………………………………………………………………………….……………... site Integrascol
 HYPERLINK "http://www.cvk.fr/index.php?page=liens" http://www.cvk.fr/index.php?page=liens ……………………………………….……………………………………. Clavier virtuel
 HYPERLINK "http://www.ac-amiens.fr/inspections/80/amiens_ais/ash/spip.php?article705" http://www.ac-amiens.fr/inspections/80/amiens_ais/ash/spip.php?article705 …………….…………………….. Enseignant référent
 HYPERLINK "http://www.crdp-toulouse.fr/docenligne/article.php3?id_article=156" http://www.crdp-toulouse.fr/docenligne/article.php3?id_article=156 ……………………………….…………….. CRDP Toulouse
 HYPERLINK "http://www.legifrance.gouv.fr" http://www.legifrance.gouv.fr …………………………………….. textes de lois et références scolarisation des élèves handicapés
 HYPERLINK "http://ons.education.gouv.fr" http://ons.education.gouv.fr …………………………….…………… Observatoire de la Sécurité dans les établissements scolaires
 HYPERLINK "http://www.axorrm.org" http://www.axorrm.org ……………………………………………………………….… Matériel et logiciel d’adaptation pour élèves
 HYPERLINK "http://www.preventionniste.com" www.preventionniste.com  …………………………………………………………..………………………… arrêté du 25 juin 1980


 Savoir S0 Electrotechnique. Expérimentation.
Mesures sur des applications professionnellesCONNAISSANCESNIVEAUX D’EXIGENCEFormulesS0.1 : CIRCUITS PARCOURUS PAR UN COURANT CONTINU :Loi d’Ohm et loi d’ohm généralisée.A partir d’une problématique :

Modéliser un circuit,
Indiquer les grandeurs caractéristiques,

Établir la ou les équations du circuit,

U=RI U=E-rI
U=E+rI
R=(l/s
R( = Ro (1+a()Énergie et puissance électrique.
P=UI W=PtLoi des nœuds.
Loi des mailles.
( I =0
( U =0Association de résistances.
Association de condensateurs.
Groupements RC, RL série.Req
Ceq

S0.2 : CIRCUITS PARCOURUS PAR UN COURANT ALTERNATIF SINUSOÏDAL :Monophasé :
Grandeurs fondamentales : u, i, f,(, wð T.
Équation de u et i.
Valeurs maximales, efficaces, moyenne.
Impédance et relation u = f (i) des trois dipôles élémentaires.
Puissance apparente active réactive.
Association RC parallèle, RL série.A partir d une problématique :

Modéliser un circuit, le représenter graphiquement (diagrammes de Fresnel),

Indiquer les grandeurs caractéristiques,

Établir la ou les équations du circuit,

Établir le triangle des puissances.
u= Umax sin(t
ZL=L(
ZR=R
ZC=1/C(
P=UIcos(
Q=Ptg(
S=UI
Triphasé :
Tension et courant : U.I.V.J.
Montage équilibré. 
Montage déséquilibré. (hors étoile sans neutre).
Puissance apparente, active et réactive.

P=UI(3cos(
Q=Ptg(
Relation P, Q, SRéférentiel Professionnel BEP Métiers de l’électrotechnique
Savoir S0 Électrotechnique. Expérimentation.
Mesures sur des applications professionnellesCONNAISSANCESNIVEAUX D’EXIGENCEFormulesS0.3 : APPAREILS ÉLECTROMAGNÉTIQUES :Principe général :
Champ magnétique :
Loi de Lenz,
Loi de Laplace,
Courants de Foucault.

Rendement, Puissance et réversibilité.

Indiquer sur un schéma modélisé d’un appareil, appareillage ou application industrielle, les grandeurs caractéristiques : champ, flux, force, intensité, f.e.m. induite.

Identifier sur un moteur à courant continu, les effets de la réversibilité électrique, accouplé à une charge entraînante (inertie ou levage).


e = - Ldi/dt
F = BIlsin(



(=Pu/Pa
Pu=Tu(Moteurs à courant continu :
Principe général du moteur à excitation séparée.
Bilan des puissances.
Rendement.

Énoncer le principe de fonctionnement.
A partir d’une application industrielle didactisée, relever et interpréter les caractéristiques électromécaniques :
- incidence de la tension d’induit sur la vitesse.
- relation entre le couple et le courant induit
Le bilan des puissances.

T=k(I

n=f(U).

E = k n (Machines à courant alternatif :

Moteur asynchrone monophasé et triphasé :
Principe
Grandeurs caractéristiques : (fréquence de rotation, glissement, intensité, cos (, rendement…)

Alternateurs :

Principe et grandeurs caractéristiques.

Énoncer le principe de fonctionnement.
A partir d’une application industrielle didactisée, relever et interpréter les caractéristiques électromécaniques au démarrage et en régime établi.
Le bilan des puissances.


Décrire le principe.

T = f (n)
I = f (n)
n= f (P)
Cos ( = f (P)
g = (n-n’)/n



f = p.nS0.4 : TRANSFORMATEURS :
Principe général :

Transformateur de tension et autotransformateur.
Transformateur de courant
Transformateur triphasé
Transformateur monophasé :


Transformateur monophasé :
grandeurs caractéristiques, etc.…





Us = f (Is)


Sur un poste d’expérimentation, mettre en évidence à l’aide des appareils de mesures adaptés le bilan des puissances.


 Savoir S0 Électrotechnique . Expérimentation.
Mesures sur des applications professionnellesCONNAISSANCESNIVEAUX D’EXIGENCES0.5 :  APPAREILS DE MESURES :
Multimètre :
Adaptation de l’appareil à la grandeur et à la nature du signal à mesurer.

Oscilloscope :
Adaptation de l’appareil à la grandeur et à la nature du signal à mesurer.
Notion d’entrée différentielle.

Pince multifonctions :
Adaptation de l’appareil à la grandeur et à la nature du signal à mesurer.

Acquisition de données :
Interpréter et décoder l’écran d’affichage.




Justifier le choix d’un mesureur adapté en fonction de la valeur à mesurer (moyenne, efficace, efficace vraie…)

Justifier la nécessité et le choix d’un appareil :
TRMS (valeur efficace vraie).
à entrée différentielle.
Numérique.

Mettre en œuvre les mesureurs et leurs accessoires.
S0.6 : FONCTIONS :
Commutation.
Temporisation.
Amplification.
Conversion d’énergie.
Modulation d’énergie.
Redressement (pour une charge et une source donnée).
Acquisition de données.




On se limite à vérifier et interpréter la relation entre les entrées et les sorties. Les fonctions sont traitées en blocs fonctionnels.


S0.7 :  MESURES SUR DES APPLICATIONS PROFESSIONNELLES

Mesurer une valeur ohmique :
Sur une résistance de terre.
Sur un isolement.

Tester sur un départ terminal en régime TT :

La valeur de déclenchement du différentiel.
La continuité électrique.
La boucle de terre.
L’ordre des phases.

Mesurer sur une installation partielle ou totale :

La tension d’alimentation.
Le courant absorbé à l’aide d’une pince ou d’une sonde.
La puissance.
Les harmoniques engendrées.



Choisir à partir du matériel à disposition, le mesureur adapté et le mettre en œuvre.

Mettre en œuvre les mesureurs et leurs accessoires.








Les équipements de mesurage utilisés seront conformes aux normes d’utilisation en vigueur.

Les situations professionnelles proposées respecteront les conditions d’habilitation B1V.
Fiche d’évaluation EP 2.3

Ministère de l’Éducation Nationale Académie de Montpellier
Nom et prénom du candidat :BEPMétiers de l’ »lectrotechniqueÉPREUVE PROFESSIONNELLE EP 2-3e partie
Fiche d’évaluation Date :Durée : 3 heures Contexte :
(type d’équipement)
Sujet n° :Coefficient 1 Support de l’évaluation :
Pratiquer des essais et mesures sur un équipement
Rédiger un compte-renduTâches
à réaliser par le candidatCritères
de qualité, d’évaluationExplications
de qualité, d’évaluation..ÉvaluationTrès satisfaisantSatisfaisantInsuffisantTrès insuffisant(Respecter toutes les règles de sécurité en vigueur(EPI
(Gants, lunettes, casque…) 3210(PRÉPARER son travail (les schémas de branchement sont corrects3210( MESURer des grandeurs électriques
( Mesures correctes  4320(RÉALISER des essais
(Essais conformes
(tableau complété4310(JUSTIFIER le dimensionnement ou le réglage d’un appareil(Dimensionnement ou réglage justifié3210(RÉDIGER un compte-rendu( Compte-rendu complet de l’intervention310.50(Savoir être :5310
NOTE /20 :20136.50Observations :




FICHE DE GUIDANCE

Avec indication de l’avancement de la tâche.


Arrêté du 25 juin 1980
(Extraits)

Portant approbation des dispositions générales du règlement de sécurité contre les risques d’incendie et de panique dans les établissements recevant du public

LIVRE 1
Dispositions applicables à tous les établissements recevant du public

CHAPITRE 1

SECTION I
Classement des établissements

Art. GN 1 - Classement des établissements
1 - (Arr. du 7 juill. 1983, art. 2, arr. du 23 janv. 1985, arr. du 10 juill. 1987, arr. du 11 sept. 1989 et arr. du 10 nov. 1994, art. 1er; Arr. 19 nov. 2001, art. 1er) Les établissements sont classés en type, selon la nature de leur exploitation :
a) Établissements installés dans un bâtiment :
J (1) - Structures d’accueil pour personnes âgées et personnes handicapées;
L - Salles d’auditions, de conférences, de réunions, de spectacles ou à usage multiple ;
M - Magasins de vente, centres commerciaux ;
N - Restaurants et débits de boissons ;
O - Hôtels et pensions de famille ;
P - Salles de danse et salles de jeux ;
R - Établissements d’enseignement, colonies de vacances ;
S - Bibliothèques, centres de documentation ;
T - Salles d’expositions ;
U - Établissements sanitaires ;
V - Établissements de culte ;
W - Administrations, banques, bureaux ;
X - Établissements sportifs couverts ;
Y - Musées.
b) Établissements spéciaux :
PA Établissements de plein air ;
CTS Chapiteaux, tentes et structures ;
SG Structures gonflables ;
PS Parcs de stationnement couverts ;
GA Gares ;
OA Hôtels, restaurants d’altitude ;
EF Établissements flottants ;
REF Refuges de montagne.
2 -
a) En outre, pour l’application du règlement de sécurité, les établissements recevant du public sont classés en deux groupes :
- le premier groupe comprend les établissements de 1re, 2e, 3 e et 4 e catégories ;
- le deuxième groupe comprend les établissements de la 5 e catégorie.
b) L’effectif des personnes admises est déterminé suivant les dispositions particulières à chaque type d’établissement. Il comprend : D’une part, l’effectif des personnes constituant le public, d’autre part, l’effectif des autres personnes se trouvant à un titre quelconque dans les locaux accessibles ou non au public et ne disposant pas de dégagements indépendants de ceux mis à la disposition du public.
Toutefois, pour les établissements de 5 e catégorie, ce dernier effectif n’intervient pas pour le classement.


SECTION II
Adaptation des règles de sécurité et cas particuliers d’application du règlement


Art. GN 8 - Admission des handicapés
1 - En application des dispositions de l’article R. 123-3 du Code de la construction et de l’habitation, les effectifs, déterminés en pourcentage par rapport à l’effectif total du public admissible ou en chiffre absolu, au-delà desquels la présence de personnes handicapées circulant en fauteuil roulant nécessite l’adoption de mesures spéciales de sécurité, sont définis comme suit :

(Arr. 19 nov. 2001, art. 1er) (1)
Structures d’accueil pour personnes âgées et personnes handicapées



Type d’établissement Rez de chaussée Autre niveau    Établissements de spectacle, salles de conférence et de réunion, bals et dancings.
5 p. 100 de handicapés accompagnés ou non avec un minimum de deux.
1 p. 100 de handicapés accompagnés avec un minimum de deux.
   Restaurants, cafés, bibliothèques, musées.
10 p. 100 de handicapés accompagnés ou non avec un minimum de quatre.
1 p. 100 de handicapés accompagnés avec un minimum de deux.
Structures d’accueil pour personnes âgées et personnes handicapées
Sans objet
Sans objet
Magasins de vente, supermarchés ou hypermarchés, halls d’exposition.
2 p. 100 de handicapés accompagnés ou non avec un minimum de quatre.
0,5 p. 100 de handicapés accompagnés avec un minimum de deux.
Centres commerciaux.
5 p. 100 de handicapés accompagnés ou non avec un minimum de quatre.
2 p. 100 de handicapés accompagnés avec un minimum de deux.
Établissements d’enseignement primaire et secondaire publics ou privés.
1,5 p. 100 de handicapés accompagnés ou non avec un minimum de deux.
Même effectif qu’en rez-de-chaussée.
Établissements de l’enseignement supérieur publics ou privés.
5 p. 100 de handicapés accompagnés ou non avec un minimum de deux.
Même effectif qu’en rez-de-chaussée.
Établissements sanitaires publics ou privés.
Sans objet.
Sans objet.
Établissements du culte.
Sans limitation.
10 p. 100 de handicapés accompagnés avec un minimum de cinq.
Piscines et établissements sportifs couverts.
Sans limitation.
10 p. 100 de handicapés accompagnés avec un minimum de cinq.



2 - Lorsque le nombre de personnes handicapées dépasse les effectifs fixés ci-dessus, les mesures spéciales prévues au paragraphe 1 comportent notamment les dispositions générales indiquées ci-après et, pour certains types d’établissements, les dispositions particulières fixées dans la suite du présent règlement :
a) L’évacuation des personnes handicapées circulant en fauteuil roulant doit être réalisée :
Soit au moyen d’ascenseurs dans les conditions précisées à la section II, chapitre IX, titre Ier, du livre II ;
Soit au moyen de tous autres dispositifs équivalents acceptés après avis de la commission consultative départementale de la protection civile, tels que rampes, manches d’évacuation, etc.
b) (Arr. du 2 févr. 1993, art. 1er) (2) Les bâtiments recevant des handicapés physiques circulant en fauteuil roulant doivent être équipés :
- pour les établissements des 1re, 2 e et 3 e catégories et ceux de la 4 e catégorie comprenant des locaux à sommeil, d’un système de sécurité incendie de catégorie A ;
- pour les autres établissements, d’un équipement d’alarme du type 2 b ;
- d’un téléphone relié au réseau public, accessible en permanence, permettant d’alerter les services de secours et de lutte contre l’incendie.

Art. GN 9 - Aménagement d’un établissement nouveau dans des locaux ou bâtiments existants –
Lorsqu’il est procédé à un nouvel aménagement de l’ensemble des locaux recevant du public d’un établissement ou à la création d’un établissement recevant du public dans un bâtiment existant, les dispositions du présent règlement sont applicables.
Art. GN 10 - Application du règlement aux établissements existants
1 - A l’exception des dispositions à caractère administratif, de celles relatives aux contrôles et aux vérifications techniques, ainsi qu’à l’entretien, le présent règlement ne s’applique pas aux établissements existants.
2 - Lorsque des travaux de remplacement d’installation, d’aménagement ou d’agrandissement sont entrepris dans ces établissements, les dispositions du présent règlement sont applicables aux seules parties de la construction ou des installations modifiées.

Toutefois, si ces modifications ont pour effet d’accroître le risque de l’ensemble de l’établissement, des mesures de sécurité complémentaires peuvent être imposées après avis de la commission de sécurité.
Diagramme de poursuite d’étude




Sont présentées ci-dessus les différentes possibilités d’orientation pour les élèves désirant faire une formation dans les métiers de l’électrotechnique.

En bleu, les passerelles entre les différentes formations, envisageables en fonction du niveau scolaire de l’élève ainsi que sa volonté de travail. En vert, les possibilités vers l’université où les formations ne sont pas ici en rapport avec leur formation d’origine mais qui restent une possibilité pour tout à chacun.

Actuellement, les élèves de BEP privilégient le passage vers le BTS en passant par le Bac Pro.

En sortie de BEP, il y a plus d’une vingtaine de formation Bac. Pro. différentes pour l’élève.















BEP Métiers de l’électrotechnique : enseignement professionnel.

Pré requis:

La formation BEP Métiers de l’électrotechnique requiert un niveau de connaissances de bases qui est lié au contenu « mathématiques » des lois générales du courant électrique. Pour cela, que l’élève soit handicapé ou valide il doit nécessairement maîtriser celle-ci. L’adaptation ne peut pas se faire sur ces connaissances de base et donc l’orientation de l’élève doit en tenir compte. Dans les pré-requis nous trouvons la maîtrise et la compréhension de la langue française (son oralité et sa lecture peut être adaptée) ainsi qu’une connaissance des bases élémentaires des mathématiques (sa manipulation et sa rédaction peut être adaptée). C’est pourquoi n’apparaissent que les tâches professionnelles pratiques et une partie des tâches professionnelles théoriques (essais et mesures).

EP21 : Réalisation, mise en service et maintenance liée au domaine d’application tertiaire

Exemple : installation d’un chauffage et d’un éclairage dans une pièce d’une maison. Temps de réalisation de l’ensemble : 9 heures
Légende :  Participation orale Participation écrite Lecture de documents  Utilisation d’outils techniques


TachesCompétences mobiliséesProblèmes rencontrésAdaptations proposéesDécoder les plans. La symbolisation Reconnaissances des signes (lettres, symboles), lisibilité et du type de document
Mobilisation de la mémoire
Connaissance correspondance symboles/objet techniqueMémorisation visuelle
Troubles visuels
Troubles mnésiques (mémoire)Taille adaptéeSchémas électriquesTraits suffisamment épaisD’implantation du matériel Couleurs séparéesOrganiser son poste de travail.Sécurité de l’élèveEquipement Protection IndividuelleUtilisation des EPI pas toujours possible Tension de sécurité 24 V Supprimer le danger électriqueTenue de travailBlouse de protectionImpossibilité de passer une blouse Utilisation d’une blouse avec attaches au dos, tablier possible.Le poste de travail a fait l’objet d’une adaptation préalable.Outils de travailCaisse à outils à dispositionPoids et encombrement de celle-ci.Caisse gérée par un camarade de classe ou le professeurDisposition des élémentsOrganisation rationnelle gaucher, droitierManque de place, mobilité réduite, Table avec tiroirs mise à coté de l’élève.Repérer les éléments, les conducteurs.Préparation de la mise en œuvre du travail, prise de dimensions en vue de la mise en forme
Prise de notes
Utilisation d’outils de mesure, choix de l’outil adéquatDistance entre deux points de mesure trop importante, mobilité réduite, support papier non disponible Travail en binôme, planchette avec fixation des feuilles et stylo attaché ou prise de note orale avec dictaphone numérique.Mettre en forme les supports, les conduits et les canalisations de l’ouvrage.Utilisation d’outils : scie, lime Maintien de l outil d’une main, du conduit de l’autre. Utilisation de ses deux mains, voire des pieds. Préhension difficile
Troubles mémoire de travail
Troubles des mouvements (spasticité, ataxie, athétose)Troisième main (étau), travail en binôme.Placer les supports, les conduits et les canalisations de l’ouvrage.Utilisation d’outils: tournevis, pince, marteau…Maintien de la pièce d’une main, de l’outil de l’autre.Préhension difficile
idemVisseuse, dévisseuse électrique sans filPositionner et Fixer les éléments constitutifs de l’équipement.Fixation de lampe, radiateur, .. Utilisation d’outils : tournevis, …Maintien de la pièce d’une main, de l’outil de l’autre pour fixer les éléments.Préhension difficile
idemVisseuse, dévisseuse électrique sans filRaccorder électriquement les différents matériels. (Courants faibles, Courants forts ).Utilisation d’outils : pince coupante, couteau, tournevis. Maintien de la pièce d’une main, de l’outil de l’autre.Préhension difficile
idemVisseuse, dévisseuse électrique sans filUtilisation des schémasLecture des schémas ou des notes tout au long du travail.Difficulté d’écriture sur papier sans support
Perdre le « fil » de son travailPlanchette avec fixation des feuilles et stylo attaché ou prise de note orale avec dictaphone numérique.Effectuer les essais.Sécurité de l’élève : E.P.I.Gants aux mains, lunettes, tapis isolant au sol. Gants non adaptés, utilisation des deux mains impossibleTension 24 V, essais faits par tiers dirigé par l’élèveExplications fonctionnellesExpression orale, compréhension du montage.Expression orale altérée, difficileAvoir un organigramme de travail, , prendre son tempsSélectionner les informations liées à l’installation.Régler, Paramétrer, Configurer, et tester tout ou partie de l’installation
Utilisation d’outils de petites tailles, intervention sur matériels
Vérifier de façon critique son travailTaille trop petite des touches et outils de réglage dont la taille est fixe.Réglages fait par tiers dirigé par l’élève
Vérifier la conformité des résultats de la mise en service par rapport aux spécifications fonctionnelles du dossier technique.Comparer les indications données par le dossier technique avec celles trouvées 
Rapport écrit, utilisation de manuels anglais ou français Ecriture difficile. Lecture difficile à cause de la taille des caractères de la doc., anglais non maîtriséRapport oral, dicté, ou prise de notes par tiers. Agrandissement et traduction de la doc.Diagnostiquer une défaillance, un dysfonctionnement..Définir les causes de disfonctionnement, le matériel en cause, la méthode d’intervention et de dépannage

Utilisation de manuels anglais ou français.
Repérer l’origine de la panne (correspondance schéma/câblage)Lecture difficile à cause de la taille des caractères de la doc., anglais non maîtrisé
Difficulté à prendre de la distance par rapport à son travailAgrandissement et traduction de la doc.
Travailler avec un tiers, chacun étudie le travail de l’autre binômeEtablir par écrit la proposition d’intervention et la faire valider.Proposer une méthode de dépannageRédaction d’un rapport technique sur un document typeEcriture difficile
Troubles mnésiquesRapport oral, dicté, ou prise de notes par tiers.Repérer et Remplacer l’élément à changer.Changer l’élément par un autre identique dans toutes ses caractéristiques
Changement d’éléments à l’identique en fonction de ses caractéristiques notées dans la documentation.Taille trop petite ou poids et préhension difficile du matériel déjà en place avant travail.Aide tiers, travail en binôme ou aide professeurRendre compte des difficultés rencontrées.Etablir un compte rendu de son travailEcriture
Savoir réaliser une synthèse, un bilan, présenter des remarquesEcriture difficileUtilisation de l’ordinateur avec si besoin est la reconnaissance vocale

EP23 : Essais et mesures sur des éléments de l’équipement industriel

Exemple : Mesure de Puissance d’une lampe 100w / 230 V
Légende :  Participation orale Participation écrite Lecture de documents  Utilisation d’outils techniques

TachesCompétences mobiliséesProblèmes rencontrésAdaptations proposéesDécoder les schémas, plans et descriptifs concernant l’opération.
La symbolisation


Schémas électriques



Reconnaissances des signes (lettres, symboles), lisibilité et du type de document
Reconnaissance des appareils de mesure
Mobilisation de la mémoire
Connaissance correspondance symboles/objet techniqueMémorisation visuelle

Troubles visuels

Troubles mnésiques (mémoire)Taille adaptéeNoter sur les appareils le symbole de la grandeur physique à mesurerFeuille de symboles des appareils de mesureExploiter les consignes écrites des tâches proposées sur le document de travail.

Le poste de travail a fait l’objet d’une adaptation préalable.

Travail en binôme obligatoire pour raison de sécurité, adapté à tous les élèves.Etablir son schéma de câblagePrise de notes
Reconnaissances des symboles
Lisibilité et du type de document
Mémorisation visuelle
Troubles visuels
Troubles mnésiques (mémoire)Utilisation de logiciel de schéma (Croco)
Impression du schémaEtablir sa liste du matérielPrise de notes
Reconnaissances des symboles
Lisibilité et du type de document
Mémorisation visuelle
Troubles visuels
Troubles mnésiques (mémoire)Cocher sur une liste les appareils à utiliserChoisir ses appareils de mesureReconnaissance des symboles
Reconnaissance des appareils de mesures (rôle, choix)
Choix du type de lecture des appareilsMémorisation visuelle
Troubles visuels
Troubles mnésiques (mémoire)
Choix du type d’appareil, analogique ou numériqueUtiliser les appareils numériques (chiffres au lieu d’aiguille)Organiser son poste de travail.Disposer de façon ergonomique ses appareils de mesures, son matériel en laissant une place à ses feuilles de notes
Prise de notes
Utilisation d’appareils de mesure,
Choix de la disposition des élémentsMémorisation visuelle
Troubles visuels
Troubles mnésiques (mémoire)Par oral
Prise de notes faite par le deuxième élève
 Raccorder électriquement les différents matériels. Respecter les normes de sécurité.
Respecter son schéma de câblage. 
Connaissance du raccordement des appareils de mesure.
Connaissance du rôle de chaque appareil de mesure Préhension difficile
Troubles mémoire de travail
Troubles des mouvements (spasticité, ataxie, athétose)Fait par deuxième élève sur les conseils de l’EH
Repérer les éléments, les conducteurs.Noter la nature et la référence des chaque appareilNoter de façon distinctive le type de mesure de chaque appareil.Troubles de la mémoire de travail Fixation des feuilles et stylo attaché ou prise de note orale avec dictaphone numérique.Configurer les matérielsCorrespondance grandeurs physiques, calibres des appareils caractéristiques des appareils à mesurer.Régler les calibres des appareils de réglages
Choisir les bonnes échelles de lectureTroubles de la mémoire de travail Fixation des feuilles et stylo attaché ou prise de note orale avec dictaphone numériqueContrôler les grandeurs caractéristiques du système (Tension, Courant, Puissances, Vitesse......)
Effectuer les essais. Tension sécurité 24v
Régler les calibres des appareils de mesure.

Utiliser les EPI

Lire sur les appareils les différentes valeurs mesurées.
Noter les résultats.


Reconnaissances des signes (lettres, symboles)
Mobilisation de la mémoire

Gants aux mains, lunettes, tapis isolant au sol.
Connaissance correspondance grandeurs physiques /unités
Ecriture Mémorisation visuelle
Troubles visuels
Troubles mnésiques (mémoire)

Gants non adaptés, utilisation des deux mains impossible

Difficulté d’écriture sur papier sans support
Loupe sur appareils de mesure.


Tension 24V, essais fait par tiers dirigé par l’élève Fixation des feuilles et stylo attaché ou prise de note orale avec écriture deuxième élève.Vérifier la conformité des résultats de la mise en service par rapport aux spécifications fonctionnelles du dossier technique.
Comparer les mesures effectuées avec les résultats trouvés par le calcul ou donnés dans le dossier technique.

Mobilisation de la mémoire
Recherche de caractéristiques dans un dossier technique
Calcul des valeurs mathématiques mises en comparaison
Evaluation des différencesTrouble mnésiques
Troubles visuels

Difficultés de compréhension mathématiquesDocuments DT agrandis


Fiche formulaire maths
Proposer la démarche d’exécution de la tâche.Expliquer de façon orale le déroulement de l’expérimentation en indiquant tous les détails précis. 
Mobilisation de la mémoire
Vérifier de façon critique son travailTroubles mnésiques
Troubles du langageTravail par écrit
Démontrer la conformité fonctionnelle de la réalisation avec les exigences du dossier de réalisation.Expliquer la corrélation entre les résultats et les exigences.
Expliquer les différences.
Mobilisation de la mémoire
Vérifier de façon critique son travailTroubles mnésiques
Troubles du langageTravail par écrit

BAC PRO Pilotage des systèmes de production automatisé
 INCLUDEPICTURE "http://lyc-vauquelin.scola.ac-paris.fr/1F8C61D5-805B-4A86-9456-88732A38C1FD/bacpropspa_files/transparent.gif" \* MERGEFORMATINET 
Le technicien de production automatisée est chargé, sur un système automatisé ou une ligne de production comportant plusieurs postes liés entre eux par un même produit fabriqué, d’assurer :

* la conduite, le réglage et le contrôle du système et de la production
* le conseil technique des opérateurs affectés sur la ligne de production
* la maintenance des premiers niveaux, l’alerte des services compétents
* la liaison avec le service qualité
* la communication avec les autres secteurs de l’entreprise.

SCOLARITÉ ET ENSEIGNEMENT
 
La scolarité normale est de 2 ans, en établissement scolaire et en entreprise.
46 semaines en établissement scolaire et 18 semaines en entreprise.
L’évaluation des connaissances est réalisée au moyen d’un examen à la fin de la deuxième année.
 
Enseignement professionnel : 
* Pilotage des systèmes unitaires
* Pilotage de chaîne de production
* Essais, réglages et diagnostics
* Maintenance des systèmes 
 
Enseignement général :
* Français, histoire, géographie
* Mathématiques et sciences physiques
* Anglais
* Hygiène, prévention et secourisme
 
DÉBOUCHÉS
Les débouchés sont très diversifiés :
* Industries possédant des chaînes automatisées (industries automobiles par exemple)
 
 POURSUITE D’ÉTUDES
 
Le Bac Pro PSPA offre une formation professionnelle qui permet une intégration immédiate dans la vie active, mais il représente également un moyen d’accès aux études post-baccalauréat.
Le nombre de promotions Baccalauréat Professionnel PSPA est trop peu élevé pour donner des exemples, mais l’on peut dire que cette filière offre de nombreux débouchés. C’est une formation recherchée par beaucoup d’entreprises.
 

 Textes fondamentaux, loi du 11 février 2005, page 64
 Textes fondamentaux, loi du 11 février 2005, page 68
 Référentiel BEP Métiers de l’électrotechnique, extrait concernant les expérimentations, annexe page 1
 Document Adaptorgan.doc en annexe, page 5
 Document Adapt Didact Electro en annexe, page 11
 Equipement de Protection Individuelle nécessaire pour la sécurité électrique
 Dossier Technique
 Fiche EP23.doc en annexe, page 4
 L’accès aux élèves ayant d’autres handicaps n’est pas aussi contraignant.
 Si l’élève est majeur il peut y aller seul, sinon il doit être accompagné d’un surveillant ou d’un professeur
 Extrait de l’Arrêté du 25 juin 1980 sur les règlements d’incendie – Livre 1 chapitre 1 en annexe, page 6
 Bac. Pro. Pilotage des Systèmes de Production Automatisés, annexe, page 14
 Fabrication sur mesure de mobilier réf SPEBAT – Langlois SA
 Aide de Vie Scolaire
 Handiacces.org regroupe tout ce matériel, voir ressources bibliographiques

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