Corrigés Partie 1 - La revanche des SES
TD n°7 : Emprunts Obligataires - Correction Page 1 sur 11 ... Remarque : La
différence entre le taux d'intérêt actuariel de 5,1415% et le taux ... prix de
remboursement : 1 010 euros ; taux nominal de 4% ; remboursement : in fine,
dans 5 ans.
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Corrigés Partie 1
Testez vos connaissances
Sources et limites de la croissance
Faux. Le Produit Intérieur Brut, mesure lensemble des richesses produites sur (« à lintérieur ») du territoire national. Ce sont donc tous les agents résidants sur ce territoire (quils soient nationaux ou étrangers) qui participent à la création de ces richesses.
Vrai
Faux. Les richesses produites hors du territoire national par les agents économiques nationaux ne sont pas comptabilisées dans le PIB, mais dans le PNB.
Ne pas confondre : PIB et PNB. Le Produit National brut mesure les richesses créées par les agents économiques nationaux, quils résident sur le territoire national ou à létranger. Pour le PNB, le critère est donc la nationalité des agents économiques (à la différence du PIB, pour lequel le critère est la résidence sur le territoire).
Faux. La valeur ajoutée (VA) se définissant comme « la richesse réellement créée par un agent économique », il faut déduire du chiffre daffaires, la valeur des consommations intermédiaires (CI).
Vrai.
Faux. Seules les dépenses de CI sont déduites du CA.
Définition : Les consommations intermédiaires représentent la valeur des biens et services, qui disparaissent ou qui sont transformés lors du processus de production. (Exemple des achats de matières premières, de produits semi-finis, des dépenses en électricité
)
A connaître : Le PIB peut se calculer de la manière suivante :
PIB = somme des VA réalisées par les unités résidantes + impôts sur les produits (TVA et droits de douane) subventions sur les produits.
Faux. La notion de rentabilité fait référence aux bénéfices réalisés, or une organisation productive peut très bien être productive et non rentable, ou linverse.
Vrai. La productivité dune organisation productive
Vrai. On peut mesurer Faux. La compétitivité dune entreprise souligne sa capacité à gagner ou conserver des parts de marché. Ce ne sont donc pas des notions synonymes, et le lien entre les deux nest pas systématique.
Remarques : La productivité peut être mesurée en volume : lorsque au numérateur, la production est mesurée en quantités produites (tonnes, litres, nombre
). Elle est mesurée en valeur : lorsque la production est évaluée en unités monétaires (généralement grâce à la valeur ajoutée).
Vrai. Dans cet égalité, PIB et importations constituent les « ressources », et les autres composantes les « emplois », cest-à-dire les utilisations possibles de ces ressources.
Faux. On peut écrire cette égalité en mettant en évidence limpact du solde extérieur, mais dans ce cas, on aura : PIB = consommation finale + FBCF + variation de stocks + (exportations importations)
Solde commercial
Faux. Il sagit ici de léquilibre emplois / ressources en économie fermée (cest-à-dire sans échanges avec le reste du monde).
A noter : Cet équilibre permet alors de déterminer les composantes qui peuvent faire varier le PIB (donc être source de croissance) : les facteurs liés à la demande intérieure (consommation, investissement et variation des stocks) dune part, et ceux liés à la situation extérieure (solde commercial : exportations - exportations) dautre part.
Vrai. On ne peut pas comptabiliser dans le PIB les activités non déclarées, non officielles (travail clandestin, illicite ou non).
Vrai. Le calcul du PIB prend en compte toute la production découlant dun travail rémunéré. Par conséquent, le travail domestique, cest-à-dire le travail réalisé de manière bénévole au sein de la sphère familiale, nest pas inclus dans le PIB.
Faux. La production non marchande des APU, même si elle est fournie gratuitement ou quasi-gratuitement, fait lobjet dune comptabilisation particulière dans le PIB: elle est évaluée à ses coûts de production. Elle forme alors le PIB non marchand.
Vrai. Le développement durable est une approche qui met en avant la dimension écologique de lactivité économique, arguant du fait quune croissance qui saccompagnerait dun épuisement des ressources naturelles ne serait pas souhaitable ni soutenable . Cette approche ne renie donc pas lidée de croissance économique ; elle estime simplement quil faut encadrer la croissance par des règles, afin quelle ne devienne pas une fin en soi, mais simplement un moyen au service dautres critères (lutte contre la pauvreté, respect de lécologie environnement ).
Faux. Cette réponse met en avant lidée des partisans de la décroissance. Il sagit dune approche plus « radicale » prônant lidée selon laquelle il faut totalement changer de logique économique si lon veut éviter une catastrophe écologique mondiale. Il faut donc réduire nos besoins et notre consommation, afin de produire moins.
Faux. Cette réponse correspond à lapproche plutôt libérale et keynésienne, qui considère que le mode de croissance des pays occidentaux développés depuis deux siècles a permis une augmentation sans précédent des niveaux de vie. Certes, les dégâts sur lenvironnement nont pas été nuls, mais le progrès technique et les innovations technologiques permettront dans le futur de produire plus tout en consommant moins de produits naturels : il ny a donc aucune raison de changer de système.
Définition : Le développement durable est une approche née en 1987, suite à la publication du rapport Brundtland, Notre Avenir à tous. Il se définit comme « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ».
Investissement et croissance
Vrai. La FBCF est linstrument retenu par lINSEE pour mesurer linvestissement matériel et certains invt immatériels logiciels
Faux. Cette proposition sous-entend quon inclut les dépenses de consommations intermédiaires. Or celles-ci ne sont pas considérées comme de linvestissement puisquil sagit de biens ou services utilisés certes dans le processus de production, mais pour une durée inférieure à un an.
Faux. Toute la FBCF na pas pour finalité la hausse de la productivité : ainsi, les investissements de capacité servent à augmenter le niveau des capacités de production, sans que cela naugmente pour autant nécessairement la productivité de la combinaison productive.
A savoir : Les investissements peuvent avoir trois finalités : remplacer le capital usé (investissements de remplacement ou amortissement), accroître le stock de capital disponible pour augmenter les capacités de production potentielle (investissement de capacité), et se procurer du capital plus performant (investissement de productivité). Dans la réalité, il est extrêmement difficile de distinguer ces trois types. Par exemple, lorsque lon remplace un matériel usé, il est peu rationnel de prendre exactement le même, car entre temps un nouveau matériel plus performant a sûrement été mis en vente ; dans ce cas, linvestissement réalisé est à la fois un investissement de remplacement et de productivité.
Indicateur : On mesure leffort dinvestissement dune entreprise grâce à son taux dinvestissement : FBCF / VA ( 100
Vrai. Le financement interne est celui réalisé à partir des ressources propres de lentreprise, cest-à-dire, pour lessentiel, ses profits (antérieurs mis en réserve)préalables. Cest ce que lon nomme lautofinancement.
Mode de calcul : le taux dautofinancement mesure la capacité qua un agent économique à financer ses investissements grâce à ses propres ressources. Taux dautofinancement = Epargne brute / FBCF ( 100
Faux. Le financement externe direct correspond au financement sur le marché des capitaux, en particulier par émissions dactions et dobligations.
Faux. Le financement externe indirect correspond aux emprunts bancaires.
Faux. Ce principe ne montre pas le lien entre les « niveaux » dinvestissement et de demande, mais entre leurs « variations » respectives.
Faux. Laccélérateur met en évidence la relation inverse.
Vrai. Autrement dit, le modèle de laccélérateur cherche à montrer que la demande est un préalable nécessaire à linvestissement, et plus précisément que, sous certaines conditions, une variation de la demande engendre une variation amplifiée de linvestissement. Ainsi, il suffit que laccroissement de la demande soit moins important dune période à lautre pour que le niveau de linvestissement diminue.
Invt induit
A savoir : Le mécanisme de laccélérateur repose sur 3 hypothèses : (1) Le plein emploi des capacités de production (lentreprise utilise déjà au maximum ses capacités de production). Pour produire plus elle devra augmenter ses capacités de production, donc investir. (2) Le coefficient de capital (rapport entre le volume de capital nécessaire et les quantités produites) est constant au cours du temps, sous-entendu, on ne peut pas produire plus en augmentant pas de PT la productivité. (3) Les entreprises réagissent à une augmentation de la demande par une augmentation des quantités produites, et non par une augmentation des prix de vente.
Faux. Ce ratio mesure le taux dinvestissement, cest-à-dire leffort dinvestissement dun agent économique.
Faux. Ce ratio mesure le taux de rentabilité économique dune entreprise, à savoir le rapport entre les revenus engendrés par un investissement et le capital engagé pour lobtenir.
Vrai. Le taux de marge mesure ainsi la part des richesses créées par lentreprise qui servent à rémunérer le facteur capital au sens large.
Mode de calcul : EBE (Excédent Brut dExploitation) = VA brute amortissements salaires et cotisations sociales impôts liés à la production
Faux.
Vrai. Dans le cas où une entreprise dispose de ressources financières suffisantes pour pouvoir investir, elle ne réalisera cet investissement que si la rentabilité attendue du capital (rentabilité économique) est supérieure à ce que lentrepreneur aurait gagné en plaçant ces fonds propres sur les marchés financiers (mesuré par le taux dintérêt réel). On nomme profitabilité la différence entre taux de rentabilité économique et taux dintérêts réels. Par conséquent, les profits préalables ne sont pas nécessairement investis : selon cette approche, il faut donc baisser les taux dintérêt pour que la profitabilité soit positive et donc inciter les entreprises à investir
Faux.
Progrès technique et croissance
Vrai. UNE INNOVATION
Faux. La recherche fondamentale a pour objectif de dégager des lois scientifiques, sans souci direct dapplication concrète. Donc toutes les découvertes scientifiques ne mènent pas à une innovation.
Faux. La recherche appliquée, qui sappuie sur les résultats de la recherche fondamentale, peut permettre la mise au point dinventions, susceptibles dêtre mises en application. Mais toutes ne deviendront pas une innovation dans le sens leur faisabilité industrielle et économique ne sera pas toujours avérée.
Faux. Il ny a pas de lien direct et systématique entre progrès technique et prélèvements obligatoires.
Vrai. Le progrès technique permet daugmenter la performance des facteurs de production. Il apparaît le plus souvent par lintermédiaire de lintroduction dans le processus de production de machines plus performantes, mais cela rejaillit aussi sur la productivité des travailleurs.
Faux. Il ny a pas de lien direct et systématique entre progrès technique et les bénéfices distribués aux actionnaires (dividendes).
Appliquez vos connaissances
Sources et limites de la croissance
Faux. Ce nest pas le TCAM du PIB qui a augmenté de 3 % sur cette période, mais le PIB qui a augmenté chaque année en moyenne de 3 %.
Faux. Le PIB de la France a augmenté de 3 %, non pas globalement entre 1997 et 2000, mais chaque année en moyenne sur cette période.
Faux. « le TCAM de la croissance du PIB » na aucun sens ! Par contre on peut dire que le TCAM (taux de croissance annule moyen) du PIB a été de 3,6 % aux Etats-Unis sur cette période.
Vrai.
Faux. Cest le TCAM de la productivité qui a augmenté de 0.1 point. (voir affirmation f)
Vrai.
Faux. Ce nest pas la productivité qui a diminué, mais le TCAM de la productivité qui a été moins fort. Ainsi, on peut dire que la productivité a augmenté moins vite en moyenne entre 1990 et 1997 que sur la période précédente.
.
Valeur
Volume
Déflaté
Taux dinflation.
Diminué
Linflation
Positif
Augmenté
Faible
Moins
1993.
0,5 % environ
Faux. Attention, ce graphique fournit des données en indices, base 100 en 1995. Il ne nous permet donc pas de faire des comparaisons concernant le « niveau » du PIB de ces pays, mais seulement concernant lévolution de leur PIB. On peut « simplement » dire que le taux de croissance en volume au Royaume-Uni a été supérieur à celui de la France et inférieur a celui qua connu lEspagne.
Vrai. Entre 1995 et 2005, le PIB en volume de lAllemagne a augmenté denviron 13 %, ce qui correspond au taux de croissance en volume le plus faible présenté sur ce graphique.
Faux. En 1995, toutes les courbes convergent à « 100 », ce qui signifie que cest la base des indices du PIB en volume. On fait « comme si » tous ces pays avaient eu le même PIB en volume en 1995, pour pouvoir comparer plus aisément leur croissance par rapport à 1995.
Vrai. Lindice du PIB en volume de la France sélève en 2005 à environ 123 (base 100 en 1995) ce qui équivaut à un taux de croissance en volume denviron 23 % entre 1995 et 2005.
En 2004, le PIB de la France a augmenté de 2,3 %. La consommation finale des ménages a expliqué 1,3 point de ces 2,3 % de croissance, soit environ 56 %. La consommation des APU et les dépenses dinvestissement ont aussi joué un rôle positif sur la croissance, en expliquant respectivement 0,5 point et 0,6 point. Par contre, le solde extérieur a eu un impact négatif sur la croissance, puisquil a fait chuter le taux de croissance de 0,6 points de % cette année là.
(1) Vrai - Pour toutes les années, la contribution de la CF des ménages est positive, ce qui signifie que la consommation des ménages participe à laugmentation du PIB pour chaque année.
(2) Vrai - Depuis 2003, on note une contribution négative du « solde extérieur des biens et services », ce qui signifie que la différence entre les exportations et importations françaises font chuter la croissance du PIB.
(3) Faux - Les périodes de croissance relativement faible, à savoir de 1995 à 1997 et de 2002 à 2003, sont des périodes où, au contraire, la contribution de la FBCF est soit négative (cf 2002-2003), soit « au mieux » soit quasi-nulle (cf 95-97)
1998, 1999, et 2000 sont des années de croissance relativement forte (taux de croissance supérieur à 3 %). Ces années là, la vigueur de lactivité économique a reposé essentiellement sur la demande intérieure (FBCF et consommation des ménages en particulier avec des contributions supérieures à 1 point de %). Par contre la demande extérieure a contribué négativement à la croissance française ces années là, ce qui laisse sous-entendre que les importations ont augmenté plus vite que les exportations.
En France, le PIB a augmenté chaque année en moyenne de 2,4 % entre 1973 et 1990.
Aux Etats-Unis, entre 1973 et 1990, le facteur capital a expliqué 1.1 point des 2,5 % de la croissance annuelle moyenne (soit environ 44 %)
En France, entre 1973 et 1990, le facteur travail a eu un impact négatif sur la croissance : il a fait diminuer le taux de croissance du PIB de 0.4 point.
Une partie (parfois importante) de la croissance ne sexplique pas par les apports du capital et du travail. Cest ce que lon appelle traditionnellement le « résidu ». Les économistes lattribuent en général au progrès technique : lamélioration des techniques permet à la combinaison du travail et du capital dêtre de plus en plus efficace. En améliorant les machines ou les procédés de fabrication, en élevant la qualification des travailleurs, le progrès technique contribue à augmenter la productivité de lorganisation productive.
Sur cette période le résidu a contribué à la croissance économique française à hauteur de 4 points (sur un TCAM du PIB de 5,9 %). Le résidu explique donc près de 68 % (4 / 5,9 ( 100) de la croissance.
Il sagit dune croissance intensive, cest-à-dire liée à une utilisation plus efficace des facteurs de production : les gains de productivité expliquant donc une large partie de la croissance.
Sur cette période le résidu na contribué à la croissance américaine quà hauteur de 0,4 points (sur un TCAM du PIB de 2,5 %). Il nexplique donc quenviron 16 % (0,4 / 2,5 ( 100) de la croissance, alors que les facteurs de production travail et capital en expliquent respectivement 40 % et 44 %, soit la plus grande partie.
Il sagit donc dune croissance extensive, provenant pour lessentiel dune utilisation dune plus grande quantité des facteurs de production travail et capital.
A noter : Les économistes Carré, Dubois et Malinvaud, dans leur ouvrage intitulé « Abrégé de la croissance française », ont montré que laccroissement des facteurs de production travail et capital nexpliquait quenviron la moitié du niveau de la croissance économique française, le reste étant imputé au « résidu », à savoir le progrès technique.
Compétitivité
Investissements
consommation
Les gains de productivité réalisés permettent de baisser les coûts unitaires de production, qui peuvent être utilisés (entre autres) pour diminuer les prix de vente des produits fabriqués.
Cette baisse des prix permise par les gains de productivité va profiter aux consommateurs qui vont voir leur pouvoir dachat augmenter (et ce par 2 mécanismes simultanés : dune part leurs salaires progressent, et dautre part les prix de certains produits diminuent) ce qui leur permet dacquérir globalement une quantité plus importante de biens et services avec leur revenu.
La rémunération des salariés ayant augmenté, les travailleurs vont voir leurs revenus progresser, ce qui va entraîner (à taux de prélèvements obligatoires inchangés) des impôts (impôts sur le revenu par exemple) et cotisations sociales plus importantes pour les pouvoirs publics. De même, la consommation progressant, les impôts sur la consommation (comme la TVA ou la TIPP) vont être plus conséquents.
Les entreprises nationales étant plus compétitives par rapport à létranger, elles vont davantage exporter, ce qui va alimenter dautant la demande extérieure, à laquelle les entreprises française vont devoir répondre en produisant davantage.
Seuls les indicateurs les quatre indicateurs, non rayés dans le tableau suivant sont des indicateurs utilisés par le PNUD pour le calcul de lIDH.
IndicateurcoefficientLespérance de vie à la naissance 2/9Taux de croissance réelle 1/3Taux brut de scolarisation 2/9PIB réel par habitant ajusté (exprimé en PPA) 1/9Taux danalphabétisation des adultes (15 ans et +) 1/3% de la population en deçà du seuil de pauvreté 1/9% des enfants de moins de 5 ans en insuffisance pondérale 2/3Taux dalphabétisation des adultes (15 ans et +) 2/9Taux de chômage de longue durée 1/3
Les pays à développement humain élevé ont un IDH supérieur à 0,8 ; ceux à développement humain moyen, un IDH compris entre 0,5 et 0,8 ; ceux à développement humain faible, un IDH inférieur à 0,5.
En 2003, lIslande gagne 4 places dans le classement selon lIDH, par rapport au classement selon le PIB / hab en PPA. Autrement dit, alors que lIslande est classée 2ème en termes dIDH, elle se trouve en 6ème place dans le classement selon le PIB / hab en PPA.
En 2003, les Etats-Unis perdent 6 places dans le classement selon lIDH, par rapport à celui réalisé selon le PIB / hab. Ce qui signifie que les Etats-Unis se classent en 4ème place en fonction de leur PIB / hab en 2003.
Investissement et croissance
La FBCF des ménages correspond uniquement, selon lINSE, à quelques dépenses : lacquisition de logements (neufs ou anciens), lacquisition de terrains, et les travaux de « grosses réparations » sur leur logement.
FBCF (Total des secteurs résidents) dont :100Sociétés non financières (y compris entrepreneurs individuels)52,4Sociétés financières3Administrations publiques16,5Ménages hors entrepreneurs individuels27,7Institutions sans but lucratif au service des ménages0,4Ces résultats montrent quune large majorité des investissements matériels (FBCF) sont réalisés par les entreprises (SNF, SF, et entreprises individuelles) : 55,4 % (52,4 + 3). Toutefois, il ne faut pas négliger la FBCF des ménages qui représente plus dun quart de la FBCF en 2005, ni les investissements publics (FBCF des APU) avec environ 16,5 % du total.
Les propositions c ; e ; j ; l ; correspondent à des investissements matériels (comptabilisés en FBCF).
Les propositions a ; d ; f ; et i correspondent à des investissements immatériels.
Les autres dépenses ne sont pas des investissements (ce sont des consommations intermédiaires, sauf la proposition « g » qui représente des salaires)
Externe
Autofinancement
Profits préalables
Externe indirect
Emprunt bancaire
Obligations
Actions
monétaire
Fin 2000, 88 % des capacités de production des entreprises françaises étaient utilisées. Fin 2000, le taux dinvestissement des SNF et entreprises individuelles françaises sélevait à environ 19%, autrement dit, la FBCF de ces entreprises représentait environ 19 % de leur valeur ajoutée.
Le taux dinvestissement passe denviron 16,2 % à 19,5 % entre fin 97 et fin 2000, soit une hausse de 3,3 points. Puis il baisse denviron 2,5 points, en atteignant environ 17 % fin 2003.
Le TUCP passe de 81,5 % à 88 % sur la première période, soit une augmentation de 6,5 points de %. Puis entre fin 2000 et fin 2003, le TUCP baisse denviron 5 points.
Les évolutions du taux dinvestissement des entreprises et du TUCP sont fortement corrélées. En effet, lorsque le dernier augmente, le premier suit la même évolution (cf fin 96-fin 2000 par exemple), et inversement à la baisse (cf fin 2000 fin 2003 par exemple)
La corrélation assez forte entre ces deux variables peut expliquer de la manière suivante :
Quand les entreprises disposent de capacités encore inutilisées (TUCP faible), elles vont donc, lorsque la demande anticipée augmente, dabord accroître le degré d'utilisation de leurs capacités de production. Elles pourront donc répondre à cette demande supplémentaire, sans augmenter leur taux dinvestissement. Donc, logiquement, lorsque le TUCP augmente, cela va avoir pour effet daugmenter le taux dinvestissement (plus le TUCP est élevé, plus les entreprises vont devoir acquérir de nouveaux équipements pour répondre à une demande supplémentaire).
Entre 1992 et 1993, le taux de croissance du PIB réel a diminué denviron 2,5 points (remarque : en 1993, on atteint même un taux de croissance réelle négatif : le PIB en volume a diminué denviron 0,5 %)
Entre 1992 et 1993, le taux de variation de la FBCF a diminué denviron 11,5 points (remarque : en 1993, linvestissement a même reculé de plus de 8 %)
Entre 1996 et 1998, le taux de croissance du PIB réel a progressé denviron 2,5 points.
Entre 1996 et 1998, le taux de variation de la FBCF a augmenté denviron 9 points
On peut dire que, de manière générale, les périodes où on note une augmentation de la croissance correspondent à une augmentation amplifiée de la variation de la FBCF. Et inversement, lorsque la croissance ralentit (ou même devient négative), on note un ralentissement amplifié de la hausse de la FBCF (respectivement une baisse de la FBCF°. Cette analyse met donc en évidence le principe de laccélérateur selon lequel une variation de la demande (évaluée ici grâce au PIB) induit une variation plus que proportionnelle de linvestissement. Autrement dit, linvestissement réagit très fortement (de manière amplifiée) aux variations de la demande. La récession économique accélère la crise de linvestissement et la croissance économique « accélère » la reprise de linvestissement.
Consommations intermédiaires
Amortissements
EBE (excédent brut dexploitation)
Dividendes
Investissements productifs
décourage linvestissement des entreprises
encourage linvestissement des entreprises
encourage linvestissement des entreprises
encourage linvestissement des entreprises
décourage linvestissement des entreprises
décourage linvestissement des entreprises
encourage linvestissement des entreprises
Progrès technique et croissance
INVENTIONINNOVATIONINNOVATION DE PRODUITINNOVATION DE PROCEDEINNOVATION ORGANISATIONNELLELes cercles de qualité+La production en flux tendus+L'automobile+Le laser+Le lecteur de MP3+La vente sur Internet+Le nylon+Le téléphone+Le disque compact+La machine à vapeur à piston+Le fordisme+La TNT+
Procédés
Expérimentaux
Pure
Orientée
Applications
Recherche fondamentale
Brevetées
Recherche appliquée
Prototypes
En 2003, les dépenses intérieures de R&D (DIRD) sélevaient en France à 34 122 millions deuros. 37,7 % de ces dépenses étaient financées par des administrations (financement public). Et, en 1996, les dépenses intérieures de R&D représentaient en France 2,3 %du PIB.
Définition : La DIRD représente lensemble des dépenses relatives aux travaux de R&D exécutés sur le territoire national, quelle que soit lorigine des fonds, et la nationalité des chercheurs. Elle comprend les dépenses « courantes » : masse salariale R&D, dépenses de fonctionnement et les dépenses dinvestissement (acquisition déquipements, lancement de nouveaux produits
)
Les dépenses de R&D sont soient financées par les entreprises (financement privé), soit par les administrations (financement public).
La part de la DIRD financée en France par les administrations a légèrement diminué, (- 2,6 points en 25 ans). On pourra donc noter que la majorité de la DIRD est exécutée par le secteur privé, et que cette part est en augmentation régulière.
Leffort en R&D, mesuré par le ratio DIRD / PIB, est certes plus important en 2003 (+ 0,51 points par rapport à 1978). Toutefois, la progression est particulièrement faible, et on note même un léger recul ces dernières années.
Comparaisons internationales : Si la France occupe le 5ème rang dans le monde pour le montant de sa DIRD, lobjectif de lagenda de Lisbonne, qui est datteindre dici 2010 un ratio égal à 3 %, reste encore très éloigné. Ce ratio situe la France au-dessus de la moyenne de lUE-15 (1,95%). Mais plusieurs pays précèdent la France : lAllemagne (2,55%), le Japon (3,15 %), la Corée du Sud (2,64 %) et des États-Unis (2,60 %).
En France en 2002, Sur les 95 294 chercheurs en entreprise, 34 % travaillent dans de entreprises de 5000 salariés ou plus (qui ne représentent que 1 % des entreprises !). 59 % du financement public de la DIRD des entreprises se fait à destination des plus grandes entreprises (5000 salariés et plus)
Dans le secteur du commerce, 3 103 personnes travaillent dans la R&D. Les dépenses de R&D représentent 1,6 % du chiffre daffaires des entreprises de ce secteur.
Si toutes les entreprises innovent, le potentiel dinnovation est cependant concentré sur un petit nombre de grandes entreprises qui, par leur dimension, peuvent en assumer plus facilement les coûts initiaux. Par exemple, les entreprises de 2 000 salariés ou plus concentrent la moitié des chercheurs, et 58 % de la DIRD des entreprises, alors quelles ne représentent que 3 des entreprises.
De plus, certains secteurs sont plus « innovants » que dautres : cest le cas en particulier de lindustrie automobile, et de manière plus générale des industries manufacturières (hors IAA).
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QUESTION DE SYNTHESE ETAYEE PAR UN TRAVAIL PREPARATOIRE
A. Travail préparatoire
La consommation finale (CF) des ménages, la FBCF (investissement) ainsi que les exportations (X), sont les principales composantes de la demande. En effet, ces trois éléments constituent (avec les variations de stocks - "St) la partie « emplois » de l équilibre emplois-ressources en économie ouverte (PIB + importations = CF + FBCF + " St + X). La CF des ménages ainsi que la FBCF représentent l essentiel de la demande intérieure, c est-à-dire la quantité de biens et services que les agents économiques résidents désirent acquérir. Quant aux exportations, elles constituent la demande extérieure, à savoir la quantité de biens et services que les agents économiques non résidents souhaitent acheter.
La CF des ménages a globalement augmenté entre 1997 et 2001. Elle a progressé tout dabord de manière assez importante : elle a augmenté en volume de 4 % entre 1997 et 1998. Puis cette progression sest ralentie puisque la CF na augmenté par la suite « que » de 2 à 3 % par an en volume.
Les variations de la FBCF sont un peu plus amples : la FBCF des entreprises a augmenté de près de 7 % et 8 % entre 97 et 98, puis entre 98 et 99. Par la suite cette progression, comme celle de la CF des ménages, sest ralentie : augmentation de 7 % en 2000 et de 2 % en 2001.
Il semble donc que lévolution de la CF et celle de la FBCF soient liées : une progression de la CF des ménages correspond à une forte progression de la FBCF ; un ralentissement de la CF va ensuite de pair avec un net repli de la croissance de la FBCF. (cf principe de laccélérateur)
En France, en 1981, 61 % de la valeur ajoutée créée par les SNF et les entreprises individuelles servait à financer la rémunération des salariés (à savoir salaires et cotisations sociales afférentes).
On note globalement une corrélation entre taux de marge et taux dinvestissement en France, laissant penser que le taux de marge (donc les profits des entreprises) est un déterminant non négligeable de linvestissement).
En effet, les périodes marquées par une restauration du taux de marge des entreprises correspondent avec une hausse du taux dinvestissement. Cest le cas en particulier entre 1984 et 1990 : le taux de marge augmente sur cette période de 3,2 points, et le taux dinvestissement progresse de 2,8 points. Inversement, lorsque le taux de marge se détériore (par exemple entre 90 et 96 : - 1,1 point), on note parallèlement une dégradation du taux dinvestissement (- 2,7 points sur cette période). Toutefois, cette relation nest pas systématique puisque lon peut aussi remarquer certaines périodes de dégradation du taux de marge correspondant à une amélioration du taux dinvestissement (cf 78-81 ou 99-2001).
Lannée 1993 a été marquée par une récession, cest-à-dire un net recul de la croissance économique (et même en France une baisse en volume du PIB). Pour remédier à cette « crise » les politiques monétaires européennes se sont « assouplies » (en opposition aux politiques de « rigueur » en vigueur jusque là afin de réguler linflation), en permettant une baisse des taux dintérêt nominaux. Comme les taux dintérêts réels correspondent aux taux dintérêts nominaux déflatés, on assiste dès lors à un recul des taux dintérêts réels (puisquà la même époque, les taux dinflation ne sont pas « repartis » à la hausse).
Les taux dintérêt ont en effet un impact sur la décision dinvestir des entreprises, et cela par plusieurs canaux. Tout dabord, des taux dintérêt (réels) élevés vont désinciter linvestissement, parce quils vont diminuer la profitabilité des entreprises. Ainsi, si ils sont à un niveau tels quils deviennent supérieurs au taux de rentabilité économique, la profitabilité (taux de rentabilité taux dintérêts réels) va devenir négative, ce qui signifie que les entreprises disposant de ressources financières vont considérer quil est plus rentable de placer ces capitaux (sur les marchés financiers en particulier) que dinvestir.
De plus, si les taux dintérêt réels sont élevés, ils vont accroître le coût de financement des investissements des entreprises si celles-ci doivent emprunter des capitaux pour investir. Leffet de levier de lendettement ne joue alors pas, ce qui pousse même les entreprises à se désendetter.
B. Question de synthèse
g. Voici une proposition de plan détaillé des 2 parties :
1ère Partie :
LACCROISSEMENT de la demande semble être un préalable nécessaire à la reprise de linvestissement.
Le rôle primordial de la demande dans lanalyse keynésienne
La demande anticipée (et ses composantes CF, FBCF et X cf Q a) est essentielle dans la décision dinvestir :
Les entreprises anticipent ce que va être la demande future ; et en fonction des ces anticipations des débouchés (demande effective / anticipée), les entreprises vont chercher à ajuster leurs capacité de production. La demande exerce donc un effet dentraînement sur la formation du capital (linvestissement) : les entreprises ne mettent en oeuvre leurs projets dinvestissement que si les débouchés leurs paraissent suffisants. Cest pourquoi on peut donc confirmer, que dun point de vue keynésien, laccroissement de la demande est une condition nécessaire à la reprise de linvestissement.
Un cercle vertueux peut senclencher qui accroît dautant plus linvestissement : le mécanisme de laccélérateur. (cf Q b)
Le principe de laccélérateur met en évidence le fait quune variation de la demande induit une variation plus que proportionnelle de linvestissement.
Les hypothèses du mécanisme : en particulier le plein emploi des capacités de production (le taux dutilisation des capacités de production de lentreprise est déjà élevé) sinon, lentreprise pourrait répondre à la demande supplémentaire en utilisant ses capacités de production encore inemployées.
Vérification empirique de limportance de la demande comme déterminant de linvestissement.
En période de croissance
(cf Q b)
Lors de telles périodes, laugmentation de la demande engendre une hausse amplifiée de linvestissement.
Exemples tirés du document 1 : période 1997-1998 (reprise assez forte de la consommation des ménages qui participe amplement à la reprise de linvestissement, et ce malgré le ralentissement de la progression des exportations).
Et aussi en période de « crise »
Inversement, lorsque que des éléments de la demande (intérieure ou extérieure) connaissent une faible progression, cela participe à latonie de linvestissement. Cf document 1 : période 1995-1997 par exemple.
Transition : Il apparaît donc clairement que la demande joue un rôle important sur le niveau et lévolution de linvestissement, en particulier grâce au mécanisme de laccélérateur. Cependant, il semble nécessaire dévoquer les limites de cette influence.
2ème partie :
TOUTEFOIS, cette condition ne suffit pas puisque dautres éléments interviennent dans la décision dinvestir
Le rôle des profits dans la décision dinvestir
Importance de lautofinancement : lentreprise doit avoir les moyens de financer ses investissements
A relier avec le taux de marge (cf Q n° d) et le partage de la valeur ajoutée, qui étant plus favorable aux entreprises (cf 2ème moitié des années 80) facilitent lautofinancement des investissements.
Logique « libérale » : cf théorème de Schmidt : « les profits daujourdhui font les investissements de demain qui font les emplois daprès-demain »
Limportance de la rentabilité financière et économique de linvestissement
Les entreprises décident dinvestir aussi (et surtout) en fonction du rendement quelles attendent de leur nouveaux équipements => quels sont les « profits » escomptés grâce à un éventuel investissement ? Ainsi, si la demande anticipée est forte, mais que la rentabilité des investissements à mettre en uvre est jugée insuffisante, lentrepreneur ne prendra sûrement pas la décision dinvestir.
Limpact du niveau des taux dintérêt (réels) sur la décision dinvestir
Le niveau des taux dintérêt pèse sur le coût du crédit
Distinguer taux dintérêt nominal et taux dintérêt réel (cf Q n° e) => impact aussi du taux dinflation
Présentation du principe de leffet de levier / effet de massue.
Des taux dintérêt élevés (ou inversement faibles) vont renchérir (respectivement diminuer) le coût du financement des investissements (lorsque lentreprise nest pas en mesure de sautofinancer).
Le niveau des taux dintérêt joue un rôle sur lopportunité des placements et sur la profitabilité (cf Q f)
Des taux dintérêt élevés peuvent nuire à linvestissement puisquils peuvent pousser les entreprises qui ont des capitaux disponibles, à les placer plutôt quà autofinancer un projet dinvestissement. Cest le cas en particulier lorsque le taux dintérêt réel devient supérieur au taux de rentabilité économique (au rendement attendu de linvestissement)
Bilan du II : La demande ne serait pas une condition suffisante à la reprise de linvestissement : il faut aussi que les profits préalables soient suffisants, de même que la rentabilité attendue de cet investissement. Et le niveau des taux dintérêt (et celui de linflation) peut agir sur ces déterminants.
Dissertation appuyée sur un dossier documentaire.
Proposition de plan détaillé :
1ère partie : LA CROISSANCE ECONOMIQUE SEMBLE CONNAITRE DE REELLES LIMITES
Phrase dannonce du I à rédiger au brouillon
A) Le PIB nest pas forcément synonyme de satisfaction accrue
Le constat :
A niveau de PIB équivalent, les niveaux de satisfaction peuvent varier, et vice et versa.
Exemples tirés du document 5 : comparaison du Nigeria et de lEspagne, de la France et de la Colombie ou encore de la Roumanie et de la Yougoslavie.
Le PIB est un mauvais indicateur de bien être Le PIB compte positivement des phénomènes qui réduisent le bien-être : externalités négatives, pollutionsExemples à prendre dans le document 1 + connaissances personnelles.
La croissance peut accroître des phénomènes qui réduisent le bien-être des individusExemples tirés du document 1 (ou connaissances personnelles : Accroissement des dépenses de sécurité quand la criminalité augmente
La croissance nest pas nécessairement synonyme de développementConnaissances personnelles : par exemple, le taux de pauvreté peut augmenter alors que la croissance explose (situation de certains pays comme lInde ou le Mexique).
B) La croissance pose des problèmes environnementaux
Le constat :
La terre connaît par exemple une déforestation grave qui menace les équilibres écologiques. (cf document 2)
Autres exemples tirés des connaissances personnelles: désertification, épuisement des ressources naturelles
Une solution : le développement durable
Un développement qui préserve les équilibres à venir et les générations futures (cf notions de cours)
Une solution plus radicale : la décroissance Pour certains, prendre de mesures dans le sens du développement durable ne suffit pas (cf Serge Latouche). Il faut alors modifier en profondeur nos modes de vie (connaissances personnelles)
TRANSITION (Bilan du I + annonce du II) à rédiger au brouillon
2ème partie :
MAIS ELLE RESTE UN OBJECTIF FONDAMENTAL DE POLITIQUE ECONOMIQUE
Phrase dannonce du II à rédiger au brouillon
A) Les aspects positifs de la croissance économique
Il semble exister un lien empirique entre croissance et bien-être Aucun pays riche ne connaît de niveau de satisfaction faible. (cf exemples du document 5)
La croissance est nécessaire à la création demploisLes taux de croissance faibles que nous connaissons ne permettent pas de réduire notre chômage de masse. (connaissances personnelles)
La croissance permet globalement de réduire la pauvretéCf document 3 : dans les pays qui connaissent un taux de croissance rapide (ou très rapide), la part des pauvres (ayant un revenu inférieur à 1 $ par jour) dans la population recule fortement (dau moins 3 points de % et jusquà 11,8 points de % en fonction du niveau de revenu initial des pays). A noter que ces baisses sont encore plus fortes lorsquon sintéresse à la pauvreté mesurée avec des revenus inférieurs à 2 $ par jour.
La croissance est source de développement
Rappel de cours sur lIDH, comme mesure de développement
On constate nettement une corrélation positive entre les deux phénomènes (cf document 4)
B) Des problèmes environnementaux à relativiser ?
Limportance du progrès technique dans la lutte contre la pollutionCest la technologie, induite par la croissance, qui permet de mieux lutter contre la pollution (cf document 6)
La croissance génère des revenus nécessaires à la recherche, source de progrès technique :
Recherche des sources dénergie alternatives au pétrole. (cf document 6)
Conclusion partielle du II à rédiger
Voici deux propositions dintroduction, avec les détail des différents éléments qui doivent traditionnellement composer une introduction de dissertation.
La récente flambée des prix du pétrole a permis de rappeler la rareté de cette source dénergie, et ses risques dépuisements futurs. Cette augmentation du prix du pétrole est la conséquence dune demande accrue, liée entre autre à la croissance économique exceptionnelle (qui est laccroissement de la quantité de biens et de services disponibles) de certains pays, tels que la Chine. Face à une demande accrue et des ressources limitées, linquiétude est réelle.
Pourtant, la recherche dune croissance économique forte reste la priorité affichée de lensemble des gouvernements. Ainsi, lors de la présentation de sa réforme fiscale en Septembre 2005, le gouvernement de Monsieur Villepin a mis en avant limpact positif sur la demande, et donc sur la croissance, quauraient les allègements fiscaux consécutifs à cette réforme. Pourtant, dans le même temps, la réalité du réchauffement climatique commence à mettre en avant la nécessité de recourir à des modes de production moins polluants, tels que les biocarburants, et sur celle de consommer autrement. Cette approche conduit-elle à remettre en question la recherche de la croissance économique comme objectif principal des politiques économiques ? Face au chômage de masse existant dans la plupart des pays développés à économie de marché depuis le milieu des années 70, est-il pertinent de chercher à limiter laccroissement de la production ? Faut-il donc limiter la croissance économique, et est-on prêt à en assumer toutes les conséquences ?
Après avoir montré que limiter la croissance doit devenir une priorité des politiques économique, nous nuancerons cette approche en présentant les bienfaits liés à la croissance économique.Amorce
Définition de « croissance économique »
Lien entre lamorce et la problématique
Centrage
Présentation de la problématique
Annonce du plan
Lannée 2005 aura presque vu autant de catastrophes naturelles ravager la surface de la terre, que tout le siècle dernier. En effet, si lon étudie par exemple la fréquence de formation des ouragans depuis le début du 20ème siècle, on constate que de lannée 1900 à lannée 1950, un seul fort ouragan est venu balayer la surface terrestre. Ensuite, cette fréquence sest accélérée pour donner naissance à environ une tempête tous les dix ans ; et enfin en 2005, on a comptabilisé pas moins de quatre ouragans en lespace de quelques mois, dont les derniers en date portaient les noms de Denis, Katrina, Rita, Stan et Wilma, dévastant Cuba, Hawaï et la Floride.
On peut rapprocher lévolution de ces phénomènes climatiques avec laugmentation de la croissance économique mondiale. En effet, depuis les Révolutions Industrielles, la croissance économique étant devenue le but ultime de toute société développée, celle-ci sest fait au mépris du respect de lenvironnement : couche dozone trouée, réchauffement climatique et autre dérèglements sont aujourdhui responsables de catastrophes planétaires. La recherche de la prospérité pourrait caractériser, dans les sociétés actuelles, une grande partie des pays du monde. Lorsque François Perroux définit la croissance, il indique que cest « laugmentation soutenue, pendant une ou plusieurs périodes longues, dun indicateur de dimension : pour une nation, le produit global brut ou net en termes réels » ; elle est mesurée par les PIB (Produit Intérieur Brut). Seulement, quand on observe les conséquences de cette croissance sur le monde qui nous entoure et donc directement sur nous, humains, on peut sinterroger sur la nécessité de poursuivre ainsi cette « dictature de la croissance ». Ne faudrait-il pas limiter celle-ci afin de réduire ses effets néfastes sur les hommes et leur environnement ? Serait-ce réaliste ?
Cest à ces questions que nous allons tenter de répondre en nous penchant dans un premier temps sur la nécessité de limiter la croissance (pourquoi limiter la croissance doit devenir une priorité), puis nous montrerons les limites de telles mesures (la croissance na-t-elle pas malgré tout des bienfaits ?).Amorce
Lien entre lamorce et la problématique
Définition de « croissance économique »
Présentation de la problématique
Annonce du plan
Voici une proposition de conclusion, avec le détail des éléments devant composer normalement une conclusion de dissertation.
Pour la plupart des économies contemporaines, la recherche dune croissance économique toujours plus soutenue est devenue un objectif primordial. Pourtant, faire croître toujours plus les richesses produites comporte des limites. En effet, un niveau de croissance élevé nest tout dabord pas un garant du bien-être des populations concernées, voire même peut parfois nuire à la satisfaction des individus. De plus, et ce de manière accélérée ces dernières années, la croissance économique pose de réels problèmes environnementaux, que certains considèrent comme irréversibles. Malgré tout, il semble particulièrement difficile de mettre en place des mesures visant à réduire cette croissance, et encore plus à réduire notre niveau de richesses. Effectivement, il savère que cette croissance, tant décriée, paraît indispensable pour améliorer le sort de nombreuses populations : réduction de la pauvreté, du chômage, amélioration du niveau de développement
De plus, certains considèrent que les problèmes environnementaux mis en évidence peuvent justement être résorbés grâce aux innovations technologiques, qui nécessitent justement des richesses supplémentaires.
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ance est donc encore loin dêtre terminé. Pourtant, le fait que, par exemple, Monsieur Nicolas Hulot, « simmisce » dans la campagne présidentielle de 2007, et réussisse à faire signer son Pacte écologique par de nombreux « présidentiables » , nest-il pas un signe quaujourdhui les enjeux écologiques sont inséparables des enjeux économiques ?Bilan du développement :
Bilan de la 1ère partie
Bilan de la 2ème partie
Ouverture