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lative : la propriété sectnum est un numéro dordre 1,2
Plusieurs notations sont proposées :
REGION SECTEUR
regnum sectnum
regnom
Ici lentité faible (ou dépendante) est représentée en pointillé. Son lien de dépendance est indiqué par la flèche vers lentité région. On notera que les cardinalités 1,1 représentée ne signifie pas une dépendance fonctionnelle, car le numéro dordre du secteur défini en fait plusieurs régions.
Une autre représentation (cest le formalisme adopté par AMC*DESIGNOR):
COLIS LOT
colnum lotnum
colqtepr
Dans ce cas lentité faible est lentité COLIS, son identifiant est relatif au lot qui le contient. Les parenthèses autour des cardinalités 1,1 mettent en évidence le lien de dépendance dune part, et quil ne sagit pas dune dépendance fonctionnelle dautre part.
Enfin on trouve aussi le ® de Relatif (formalisme WinDESIGN) :
III GENERALISATION./SPECIALISATION
Prenons létude de cas KIMASSUR (juin 2000), et intéressons nous à la partie contrat.
Schéma conceptuel de données (proposé et faux !)
3.1 - Spécialisation, sans généralisation,
deux entités avec répartition de propriétés :
3.2 - Généralisation sans spécialisation :
une seule entité avec toutes les propriétés
CONTRAT
N°Contrat
DateEffet
PatrimoineMobilier
Immatriculation
DateMiseCirculation
N°Série
3.3 - Solution : Concept de généralisation/spécialisation
Ce concept est fondé sur le fait de regrouper toutes les propriétés communes aux deux populations d'individus dans un entité dite générique ou type et de créer deux entités spécialisées ou sous-types ne contenant que les propriétés spécifiques à chaque population d'individus.
Ces deux sous-types d'entités étant liés par un lien de généralisation/spécialisation à lentité générique.
Cette représentation est plus proche de la réalité.
Définition de la généralisation/spécialisation
La généralisation/spécialisation est un processus de modélisation permettant de lier une entité générique (ou sur-type) et une ou plusieurs entités spécialisées (ou sous-types). Lentité générique contient les propriétés communes à tous les sous-types. Les entités spécialisées héritent des propriétés du sur-type et de plus, définissent des propriétés qui leurs sont spécifiques.
Ainsi dans lexemple ci-dessus, pour chaque occurrence dun contrat automobile on détermine le numéro du contrat, date deffet, immatriculation du véhicule, Date mise en circulation et numéro de série.
( La généralisation/spécialisation simple est caractérisée par l'unicité du lien de généralisation spécialisation pour une même entité
Entité générique propriétés
ou type dentité génériques
lien "est_un"
Propriétés entités spécialisés
Spécifiques ou sous-types
Le lien "est-un" qui indique que toutes les occurrences de l'entité spécialisée sont aussi occurrences de l'entité générique et certaines occurrences de l'entité générique sont aussi occurrences de l'entité spécialisée.
Prenons notre exemple : L'entité générique CONTRAT et les deux entités spécialisées CONTRAT AUTO et CONTRAT HABITATION.
Les n°contrat, date deffet des contrats auto sont tous dans l'entité générique contrat.
Les n°contrat, date deffet des contrats habitation sont tous dans l'entité générique contrat.
Les n°contrat et date deffet des contrats de l'entité générique sont relatifs soit à des contrats auto, soit à des contrats habitation, d'où le terme "certaines occurrences".
EXEMPLE de spécialisation avec trois sous-type :
( Complément : Il peut y avoir transfert dune occurrence dune entité spécialisée vers une autre entité spécialisée autrement dit, dun sous-type vers un autre. On parle dans ce cas de transmutation.
Par exemple, si on considère lentité générique PERSONNEL et les entités spécialisées VACATAIRES dune part et MENSUEL dautre part les employés VACATAIRES peuvent devenir MENSUEL. Ils passent dun sous-type à lautre, on parle dans ce cas de transmutation.
Dans lexemple ci-dessus cela nest pas possible pour un sous-type de passer dune spécialisation à une autre.
Les règles dhéritages diffèrent suivant les traitements, en règle générale dans le cas dune spécialisation simple : les entités spécialisées héritent de toutes les propriétés de lentité générique. On peut aussi lexprimer autrement : les sous-types « reçoivent » toutes les propriétés de lentité générique.
Dans lexemple ci-dessus la relation déduite de lentité spécialisée VOITURE comprend les propriétés vehnum, vehmarque, vehannée, vehpuiss, nbplaces.
La relation déduite de lentité spécialisée CAMION comprend les propriétés vehnum, vehmarque, vehannée, vehpuiss, poidsbrut, poidsnet.
La relation déduite de lentité spécialisée MOTO comprend les propriétés vehnum, vehmarque, vehannée, vehpuiss, cylindrée.
Il nexiste pas forcément de relation véhicule.(cest le choix du concepteur de garder ou non cette relation).
( La généralisation/spécialisation multiple
Dans la plupart des cas, les entités spécialisées sont situées dans une hiérarchie de classe simple. Toutefois il existe des cas ou les entités spécialisées sont situées dans plusieurs classes dhéritage : on parle alors de généralisations multiples.
Regardons l exemple suivant
IV - CONTRAINTES SUR SPECIALISATION
4.1 - Les contraintes de base
Les deux contraintes de base qui sont utilisées pour introduire les contraintes dintégrité dans les modèles de données avec MERISE/2 sont la couverture et la disjonction.
4.1.1 - La couverture :
cette contrainte définit si toutes les occurrences dune entité générique sont représentées par les entités spécialisées liées à cette entité générique. On parle de non couverture dans le cas contraire.
EXEMPLE :
employe x x x x x
x x x x x xx x
mensuel vacataire
x x x x x
Autre exemple de couverture : Personne à l'hôpital
x x x x
Une personne à l'hôpital fait partie du personnel hospitalier ou Personnel x x Patient
est un patient et parfois fait partie des deux spécialisations. Hospitalier x x x x x
x x x x x x x
Contre exemple : Non-couverture
Personne
Etudiant Enseignant
x.x.x x x.x.x
x
x.x
4.1.2 - La disjonction :
cette contrainte permet de savoir si les ensembles représentés par les entités spécialisées sont des ensembles qui nont pas déléments communs. Dans le cas contraire on parle de non disjonction.
EXEMPLE :
Personne
x x x x x x
x x x x x x x x x x
Etudiant Enseignant
x x x x
x x x x x
Une personne dans un établissement scolaire est soit un étudiant, soit un enseignant, mais une personne ne peut être à la fois étudiant et enseignant.
Contre exemple : non disjonction
Véhicule
x x x x x x
x x x x x x x x x
A moteur x x Terrestre
x x x x
Cette spécialisation ne respecte pas la contrainte de disjonction car une occurrence de véhicule peut être à la fois terrestre et à moteur.
4.2 - Les contraintes sur spécialisation
4.2.1 - La contrainte de totalité (T)
Rappel table de vérité: A B + inclusif
Couverture et non Disjonction 0 0 0
0 1 1
1 0 1
1 1 1
Personne à l'hôpital
x x x x
Personnel x x Patient
Hospitalier x x x x x
x x x x x x x
4.2.2 - La contrainte dexclusion (X )
Table de vérité du non ET (NAND)
Non Couverture et Disjonction 1,1 exclu A B NAND
0 0 1
0 1 1
1 0 1
1 1 imp
Personne
x x x x x x
x x x x x x x x x x
Etudiant Enseignant
x x x x
x x x x
x x x
Une personne dans un établissement scolaire est soit un étudiant, soit un enseignant, il peut exister d'autres types de personnes.
4.2.3 - La contrainte de partition (XT) ou (+)
Couverture et Disjonction
Un mensuel est un employé. Un vacataire est un employé. Lintersection est impossible . La table de vérité que lon peut dresser correspond au ou exclusif.
AB(00001110111imp
employé
x x x x x
x x x x x x x x
mensuel vacataire
x x x x x
4.2.4 - Tableau récapitulatif
4.2.5 Exercices de synthèse
Dans les exercices suivants dessinez l'entité générique et les entités spécialisées. Dessiner les ensembles afin de préciser s'il y a couverture et disjonction. En déduire la contrainte d'intégrité entre les entités spécialisées;
DéfinitionLe M.E.A.Les ensemblesLes contraintesUn contrat ne peut être à la fois un contrat de crédit et un contrat d'épargne, et il existe d'autres types de contrat
Une personne physique peut être à la fois Particulier et Entrepreneur individuel et elle est au moins l'un ou l'autre.
Un auteur est soit invité, soit accepté, soit refusé.
V EXERCICE DAPPLICATION
Contexte de travail
On s'intéresse à la gestion de projets informatiques au sein d'une société de services et d'ingénierie informatique (SSII).
Le personnel informaticien
Une SSII emploie des informaticiens quelle délègue auprès de ses clients pour travailler sur des projets.
Les informaticiens sont classés en trois branches métier :
chef de projets
techniciens des réseaux
développeurs dapplications.
Pour chaque employé, outre son matricule et ses coordonnées, sont mémorisées les informations suivantes :
qualification (technicien, ingénieur, consultant... La grille des qualifications est propre à lentreprise)
date dembauche
diplôme le plus élevé et date dobtention (il s'agit de simples informations)
historique des missions effectuées au sein de lentreprise (période de la mission, identification du projet, descriptif de la mission).
Pour les chefs de projet, on souhaite connaître les méthodes de conduite de projets utilisées.
Pour les employés en techniques réseaux, on souhaite connaître les environnements dexploitation maîtrisés.
Pour les développeurs dapplications, on souhaite connaître les méthodes de conception et les langages de développement connus (on conservera pour chacun d'eux la version la plus récente connue par linformaticien).
Les projets
Chaque projet est identifié de manière unique par le numéro du contrat correspondant. Pour tout projet, la SSII conserve les informations suivantes :
un descriptif général du projet et sa date de début.
Les missions constitutives du projet. Les missions sont propres à chaque projet et comporte un descriptif. Pour chaque mission du projet, on conserve également la durée estimée. Il est aussi nécessaire de connaître l'ordre de réalisation d'une mission au sein du projet.
Lidentification du client : nom de la société, adresse, téléphone, télécopie, nom du contact.
Affectation des informaticiens sur les projets
Pour chaque projet, la SSII désigne un chef de projet chargé de suivre le déroulement du projet, de définir les missions, leur ordre de réalisation et de constituer une équipe pour réaliser le projet.
Un informaticien est affecté sur un projet pour réaliser une mission. Une mission peut concerner plusieurs informaticiens. Il se peut qu'un informaticien soit affecté sur plusieurs missions d'un projet mais à des dates différentes.
Travail à Réaliser : Présenter le Modèle Entité Association du système d'information.
VI - CONTRAINTES DINTEGRITE ENTRE ASSOCIATIONS
De même que lon a pu mettre en évidence des contraintes entre entités de façon à préciser notre modèle de données, nous allons maintenant établir les différentes contraintes possibles entre associations à laide dexemples.
6.1 - contrainte de partition (
Exemple : Une société gère des centres de vacances en France et à l'étranger.
Une famille choisit son lieu de vacances dès son inscription.
6.2 contrainte de totalité (T)
Exemple : Chaque centre de vacances propose l'hébergement et la restauration. Dans le cas de lhébergement la famille choisit son bungalow, dans le cas de la restauration la famille choisit la table et le nombre de couverts. Une famille peut réserver les deux et ne peut en aucun cas s'inscrire au centre sans l'une de ces 2 options.
6.3 contrainte dexclusion (X)
Exemple : Le centre propose deux activités sportives :Equitation et Tennis sous forme de stage.
Une famille peut s'inscrire au plus à l'une des deux. Mais elle peut ne participer à aucun stage.
6.4 contrainte dinclusion (I)
Exemple : la pratique de l'équitation permet de faire des concours qui sont organisés par un comité dont seul un cavalier peut devenir président .
6.5 contrainte dégalité (= ou S)
Exemple : toute personne qui suit un stage doit participer au tournoi de clôture du sport qu'il pratique et vice versa.
Les personnes qui participent aux 2 associations sont les mêmes.
6.6 contrainte dunicité (1)
Exemple : Une personne, pendant un séjour donné, ne peut participer qu'à un stage
INCORPORER Word.Picture.8
6.7 - exercices
Compléter, s'il y a lieu, les MCD suivants par une Contrainte dintégrité. sur associations
(Une personne à une date donnée ne peut occuper qu'une et une seule fonction
( Un représentant ne peut pas pour une
même commande être responsable et
associé.
Il existe d'autre représentants qui ne sont
ni responsable, ni associé dans une commande.
( Tous les occupants sont soit locataires,
soit propriétaires
( Tous les occupants qui occupent
un appartement, occupent une cave.
( Une séparation implique forcément qu'il y a eu mariage
6.8 Corrigé
(
(
(
(
(
(
VII Prise en compte du temps.
Une cardinalité minimale égale à 1 traduit la participation obligatoire de toute occurrence de l'entité à l'association. La création dune nouvelle occurrence de lentité implique la création de sa participation dans lassociation.
Une cardinalité minimale égale à 0 permet d'exprimer historiquement la non-existence du lien matérialisé par l'association. Dans ce dernier cas, l'ajout d'une nouvelle occurrence de l'entité n'implique pas nécessairement la participation correspondante à l'association.
Au niveau des traitements, cette cardinalité minimale égale à zéro met alors en évidence la possibilité d'interruption des traitements entre ces deux opérations tout en laissant le système d'information dans un état cohérent (confer le modèle organisationnel des traitements analytiques).
Exemple :
Une agence commerciale implantée à l'étranger enregistre les commandes des clients indirects (ajout d'une occurrence à l'entité Commande). La mise en expédition est réalisée par un correspondant clients (ajout d'une occurrence de l'association ComExpe).
La dissociation de l'enregistrement d'une commande et de sa mise en expédition permet une interruption entre ces deux phases de traitements, en laissant le système d'information dans un état cohérent. La cardinalité minimale côté commande est égale à zéro.
7.1 - Évolution du lien entre entités
L'étude des dépendances fonctionnelles met parfois en évidence des DF transitives à éliminer afin d'obtenir un modèle normalisé en 3ème forme normale.
Or, certains liens entre entités peuvent faire l'objet de mises à jour au cours de la vie du système. Ces liens ne sont pas immuables. Il peut-être décidé de conserver certaines DF transitives afin de préserver l'intégrité du système d'information dans le temps.
Exemple :
Le contact chez un client est la personne responsable de la passation des commandes.
L'association "Responsable" est une DF transitive et devrait être supprimée du modèle.
Cependant, le contact chez le client peut être remplacé.
La modification d'une occurrence de l'entité "Contact" pose des problèmes de cohérence sémantique notamment pour les commandes en cours.
Le contact qui suit les commandes actuellement n'est pas obligatoirement celui qui les a passées.
La relation implicite de responsabilité qui existe entre une commande et un contact ne peut être déduite, de manière sûre et intemporelle, des associations "Passer" et "SuivreCommande".
S'il est pertinent de connaître le contact à l'origine d'une commande, une solution possible consiste à créer l'association "Responsable" (lien immuable).
Lors d'un changement de contact pour un client, le précédent contact est conservé dans la base.
Seule l'association "SuivreCommande" peut être mise à jour.
Remarque :
Une autre manière de résoudre ce problème consiste à créer une entité "Date" liée à l'association "SuivreCommande" (confer l'historisation des données ci-dessous).
Ces techniques avancées permettent de traduire bien plus finement les données. Elles sont utilisées uniquement pour traduire fidèlement le réel perçu au sein d'une organisation donnée, lorsque le sujet de gestion l'impose.
7.2 - Historisation des Données
L'historisation d'une donnée correspond à la conservation de ses valeurs dans le temps.
Il faut la distinguer de l'archivage qui correspond à la sauvegarde d'occurrences de données intervenant à la fin de la durée d'historisation de ces occurrences au sein du modèle de données.
La représentation des données du point de vue organisationnel implique, pour chaque propriété d'entité et d'association, de déterminer s'il est pertinent d'historiser.
Pour chaque donnée à historiser, il est nécessaire de répondre aux questions suivantes :
qui historise ?
quelle est la durée d'historisation ?
quel est le support d'historisation ?
L'historisation d'une donnée intervient à la fin d'une phase (confer les traitements), c'est-à-dire après sa mise à jour et le retour du système à un état cohérent.
Plusieurs solutions sont possibles afin d'organiser l'historisation d'une donnée avec toutes les informations convenablement datées :
une donnée (parfois à priori redondante) est ajoutée au modèle,
une entité Date est créée,
une propriété mémorisant la donnée est ajoutée au modèle afin d'exprimer l'état des occurrences d'un objet.
Exemple 1:
La valeur de la propriété TarifCde de l'association Comprendre correspond à la valeur de la propriété TarifProd de l'entité Produit à la date de la commande.
Cette propriété qui paraît a priori redondante permet de conserver le prix du produit (aux fins de facturation, par ex.) à la date de la commande, malgré l'évolution du prix du produit dans le temps.
Exemple 2 :
Le prix unitaire de base de chaque produit est affecté d'un coefficient en fonction du pays de destination pour déterminer le prix pratiqué localement. Ce coefficient peut évoluer dans le temps
La création d'une pseudo entité "Date" permet d'historiser le "CoefTarifProd" d'un produit appliqué à un pays à une date donnée.
Exemple 3 :
7.3 Nature des données.
La représentation graphique du schéma des données autorise les descriptions simples de la nature des données. Au-delà des données informatisées, il peut être également pertinent de faire apparaître les données historisées sur support manuel, dans le but dappréhender précisément le fonctionnement de lorganisation.
Quand cela est possible, la représentation graphique utilise le formalisme suivant :
CodeLibelléInformatiséMManuelHHistorisé sur support informatiqueHMHistorisé sur support manuel
La plupart des données sont informatisées. Pour ne pas surcharger le modèle, on nindique aucun code pour les représenter.
Exemple : Les commandes des clients reçues par fax, sont conservées pendant trois mois.
VIII RETOUR A LA CASE DEPART.
Que peut-on faire pour notre exercice à la fin de la partie 2 Rappels concepts Merise ?
Sait-on maintenant répondre à toutes les questions posées ?
Un numéro de secteur est relatif à une région.
Identification relative
Le contact chez le client est le commercial, cependant ce contact peut être remplacé,. Ainsi le commercial qui suit le client actuellement nest pas celui qui a passé tous les contrats de ce client. Comment retrouver le commercial à lorigine du contrat ?
Ajout de lassociation responsable entre commercial et contrat.
OU
Transformation de lassociation suivre en une association ternaire incluant une entité DATE.
3. Un intervenant intervient au titre dun contrat dans lune de ses qualifications.
Contrainte dunicité
La PME peut en cas de surcharge de travail faire appel à des intérimaires, nous devons mémoriser uniquement pour ces employés leur date dembauche et leur salaire journalier ainsi que lagence intérimaire doù ils viennent.
Spécialisation demployé.
La PME enregistre un contrat, mais il y a un décalage dans les traitements entre lenregistrement du contrat et la mise à la disposition dintervenants pour ce contrat, comment prendre ne compte ce temps dinterruption ?
Cardinalité 0,n au lieu de 1,n entre contrat et lassociation passer vers client
La valeur de la propriété Tarifjour dans lentité qualification permet de calculer le montant du contrat. Mais ce tarif évolue. Comment garder trace des tarifs appliqués pour un contrat afin de pouvoir rééditer un contrat ?
Ajout de TarifJourCont dans lassociation « AVOIR BESOIN »
Cette propriété permet de conserver le tarif de la qualification à la date du contrat, malgré lévolution du tarif dans le temps.
TM \o "1-4" \h \z
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320453" ENRICHISSEMENTS APPORTES AU MODELE DE DONNEES RENVOIPAGE _Toc507320453 \h 2
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320454" I - INTRODUCTION RENVOIPAGE _Toc507320454 \h 2
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320455" II - ENTITE FORTE/ ENTITE FAIBLE RENVOIPAGE _Toc507320455 \h 2
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320456" III GENERALISATION./SPECIALISATION RENVOIPAGE _Toc507320456 \h 3
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320457" 3.1 - Spécialisation, sans généralisation, RENVOIPAGE _Toc507320457 \h 3
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320458" 3.2 - Généralisation sans spécialisation : RENVOIPAGE _Toc507320458 \h 4
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320459" 3.3 - Solution : Concept de généralisation/spécialisation RENVOIPAGE _Toc507320459 \h 4
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320460" IV - CONTRAINTES SUR SPECIALISATION RENVOIPAGE _Toc507320460 \h 7
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320461" 4.1 - Les contraintes de base RENVOIPAGE _Toc507320461 \h 7
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320462" 4.1.1 - La couverture : RENVOIPAGE _Toc507320462 \h 7
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320463" 4.1.2 - La disjonction : RENVOIPAGE _Toc507320463 \h 8
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320464" 4.2 - Les contraintes sur spécialisation RENVOIPAGE _Toc507320464 \h 9
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320465" 4.2.1 - La contrainte de totalité (T) RENVOIPAGE _Toc507320465 \h 9
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320466" 4.2.2 - La contrainte dexclusion (X ) RENVOIPAGE _Toc507320466 \h 10
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320467" 4.2.3 - La contrainte de partition (XT) ou (+) RENVOIPAGE _Toc507320467 \h 10
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320468" 4.2.4 - Tableau récapitulatif RENVOIPAGE _Toc507320468 \h 11
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320469" 4.2.5 Exercices de synthèse RENVOIPAGE _Toc507320469 \h 12
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320470" V EXERCICE DAPPLICATION RENVOIPAGE _Toc507320470 \h 13
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320471" VI - CONTRAINTES DINTEGRITE ENTRE ASSOCIATIONS RENVOIPAGE _Toc507320471 \h 15
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320472" 6.1 - contrainte de partition ( RENVOIPAGE _Toc507320472 \h 15
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320473" 6.2 contrainte de totalité (T) RENVOIPAGE _Toc507320473 \h 15
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320474" 6.3 contrainte dexclusion (X) RENVOIPAGE _Toc507320474 \h 16
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320475" 6.4 contrainte dinclusion (I) RENVOIPAGE _Toc507320475 \h 16
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320476" 6.5 contrainte dégalité (= ou S) RENVOIPAGE _Toc507320476 \h 17
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320477" 6.6 contrainte dunicité (1) RENVOIPAGE _Toc507320477 \h 17
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320478" 6.7 - exercices RENVOIPAGE _Toc507320478 \h 18
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320479" 6.8 Corrigé RENVOIPAGE _Toc507320479 \h 19
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320480" VII Prise en compte du temps. RENVOIPAGE _Toc507320480 \h 21
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320481" 7.1 - Évolution du lien entre entités RENVOIPAGE _Toc507320481 \h 22
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320482" 7.2 - Historisation des Données RENVOIPAGE _Toc507320482 \h 23
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320483" 7.3 Nature des données. RENVOIPAGE _Toc507320483 \h 25
LIENHYPERTEXTE \l "_Toc507320484" VIII RETOUR A LA CASE DEPART. RENVOIPAGE _Toc507320484 \h 26
Dossier N°4 Fascicule a : Merise2 Certa Dijon
Merise vers une modélisation orientée objet J. Mrejon Editions dorganisation
Exonet 42 de Christine Gaubert-Macon
P10 Référentiel Certa Grenoble E. Bertrand, S. Vial
P10 Référentiel Certa Grenoble E. Bertrand, S. Vial
P10 Référentiel Certa Grenoble E. Bertrand, S. Vial
P10 Référentiel Certa Grenoble E. Bertrand, S. Vial
P10 Référentiel Certa Grenoble E. Bertrand, S. Vial
FORMATION ACADEMIE DE NANTES
« ECO-GEST : Application référentiel rénové BTS comptabilité et gestion »
PAGE
Partie 4 - Enrichissements apportés au modèle de données Page PAGE 28
1,n
1,1
(
1,n
(1,1)
appartenir
Pour chaque occurrence, toutes les propriétés n'ont pas toutes un sens. Ainsi pour un contrat auto les propriétés relatives aux contrat habitation n'ont pas de sens.
Problème ?
.
Rien ne permet de distinguer facilement les contrats autos des contrats habitations.
CONTRAT HABITATION
N°ContratHabitation
DateEffetHabitation
PatrimoineMobilier
Les contrats habitations et les contrats auto sont décrits par un certain nombre de propriétés identiques communes à tous les contrats.
Problème ?
.
CONTRAT AUTO
N°ContratAuto
DateEffetAuto
Immatriculation
DateMiseCirculation
N°Série
ENTA
ENTB
Dans notre exemple, lentité C est dans la hiérarchie de classe de lentité A ET dans la hiérarchie de classe de lentité B
ENTC
Pas d'autre résident à l'hôpital
Le personnel hospitalier réside à l'hôpital.
Un patient réside à l'hôpital
Intersection possible
Un étudiant est une pers dans un etab scolaire
Un enseignant est une pers dans un etab scolaire
Si ce n'est ni un étudiant, ni un enseignant il peut tout de même être une pers dans un etab scolaire
Intersection impossible
INCORPORER Word.Picture.8
INCORPORER Word.Picture.8
INCORPORER Word.Picture.8
La donnée Commercialise permet d'exprimer le fait que toute référence de produit a une durée de vie : une occurrence de CodeProd naît avec la saisie d'une occurrence de CodeProd dans le système dinformation et de la valeur "oui" donnée à Commercialise(o_n). Une valeur de la donnée Commercialise égale à "non" permet de rejeter les commandes comportant cette référence qui n'est plus distribuée (anomalie). Le maintien de la référence dans le système dinformation permet en même temps de recalculer une facture antérieure ou une facture en cours. Il est possible de remplacer cette donnée "Commercialise(o_n)" par une donnée "DateFinCommercialise".
Association
Entité
1,n
1,1
Commande
NumCde
ComFax
Conserver
HM
3 mois
ASSURÉ
N°Assuré
Nom
Prénom
DateNaissance
Adresse
Téléphone
CONTRAT HABITATION
N°Contrat
DateEffet
Patrimoine Mobilier
1,1
0,n
Souscrire1
0,n
Souscrire2
CONTRAT AUTO
N°Contrat
DateEffet
Immatriculation
DateMiseCirculation
N°Série
1,1
Les employés sont soit mensuels, soit vacataires