Td corrigé TP 2BTS CIM - Christian Ekstein pdf

TP 2BTS CIM - Christian Ekstein

(5.2 - 5.3) TP 6 : Montage avec hacheur sur charge inductive ... (5.3) TP 7 : Onduleur et hacheur 4 quadrants .... (6.1) TP/TD 10 : Système linéaire du 2nd ordre.




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e de temps.

EMBED MSDraw \* MERGEFORMAT R = 4,7 kSYMBOL 87 \f "Symbol" ; C = 0,1 µF

b) Rappeler la relation entre i(t), uc(t) et C

c) Ecrire la loi des mailles dans le circuit

d) En déduire l'équation différentielle liant uc(t) à ue(t)

e) Déterminer l'équation de uc(t) pour chaque demi période. On admettra que uc est de la forme : EMBED Equation 
avec SYMBOL 116 \f "Symbol" constante de temps du circuit RC
Ui : valeur initiale de uc
Uf : valeur finale que cherche à atteindre uc (valeur asymptotique)



3. Montage astable: le montage est autonome, sans signal d’entrée extérieur et entre spontanément en oscillation dès la mise sous tension

Expérimentation : réaliser le montage suivant et relever us et uc.

EMBED MSDraw \* MERGEFORMAT

Un oscilloscope permet de visualiser la tension uc aux bornes du condensateur et la tension de sortie du montage us

Vérifier que la période du signal obtenu vérifie la relation  EMBED Equation.3 































(4.3.) TP 2 : Fonction conversion numérique-analogique (CNA à résistances pondérées)

On branche une alimentation continue 12 volts
Appui sur RAZ après tout changement de réglage. (cf. descriptif carte autonome CAN CNA Electrome)

a) Tracé de la caractéristique de transfert us = f(N) en fonctionnement 4 bits
Entrée : (N)2 = a3 a2 a1 a0 avec le commutateur de mode sur « BP » (boutons poussoirs)
(N)10 = (23a3 + 22a2 + 21a1 + 20a0)

Sortie analogique : us mesuré au voltmètre

0123456789101112131415(N)16(N)2vs (V)
Remarque : seul le quartet de poids fort est utilisé, le quartet de poids faible étant à 0000


b) En déduire les grandeurs caractéristiques du CNA : quantum , valeur pleine échelle, le nombre de combinaisons possibles, la résolution numérique.


c) En fonctionnement 8 bits, déterminer quantum , valeur pleine échelle, le nombre de combinaisons possibles, la résolution numérique.


d) Visualisation de la caractéristique us = f(N) à l’aide d’un signal en dents de scie de 16 créneaux.

Le commutateur de mode est réglé sur « / » (rampe) et le commutateur d’horloge sur « Per. » (permanent)

Comparer la courbe de sortie visualisée à l’oscilloscope à celle tracée à la question 1)

e) Visualisation de la caractéristique us = f(N) à l’aide d’un signal en dents de scie de 256 créneaux

A quel cas cela correspond-il ? La conversion est-elle meilleure que précédemment ? Pourquoi ?

4.4. TP3 Fonction conversion analogique-numérique (CAN simple rampe)

Schéma fonctionnel (n = 4 bits)

a0
 ve a1 N
 a2
 a3


a) Tracé de la caractéristique de transfert N = f(ve) en fonctionnement 4 bits

Entrée analogique : ve continue mesurée au voltmètre, obtenue avec le GBF
(amplitude nulle, réglage par l’offset)

Sortie : (N)2 = a3 a2 a1 a0
(N)10 = (23a3 + 22a2 + 21a1 + 20a0)

Voir le schéma de branchement au verso ; le commutateur de mode sur « / » (rampe) et le commutateur d’horloge sur « 1 conv » (conversion unique)
La conversion démarre après appui sur la touche « départ »

On relèvera les valeurs de ve à partir desquelles la sortie est incrémentée de 1

0123456789101112131415ve (V) minimum(N)2
quartet de poids fort
En déduire, pour le CAN, la résolution et la valeur pleine échelle.

b) Visualisation de l’entrée – du comparateur (simple rampe) en fonctionnement 4 et 8 bits pour une tension d’entrée analogique issue du GBF continue (offset 3 V ; valeur crête à crête 0 V) ou sinusoïdale (offset 3 V ; valeur crête à crête 2 V)

(5.2.) TP 4 : Moteur à courant continu


Rappeler la relation qui lie la tension U aux bornes du moteur à l’intensité I du courant qui le traverse et à la fém E.

Mesurer par la méthode voltampèremétrique la résistance R de l’induit du moteur et la résistance R’ de la génératrice (moteur arrêté, U de l’ordre de 3 V ; vérifier avec plusieurs mesures)

Remplir le tableau ci-après pour différentes valeurs de U
U (V)3691215I (mA)N (tr.min-1)Wð (rad.s-1)E
Tracer les courbes représentatives des fonctions U = f(N): et E = f(N). En déduire la valeur de la tension de décollage, ainsi que la constante de vitesse K (avec son unité). Comparer cette valeur de K avec celle trouvée dans la documentation constructeur.

(5.2.) TP 5 : Rendement d’un moteur à courant continu
Réversibilité : fonctionnement en génératrice


Mesurer par la méthode voltampèremétrique la résistance R de l’induit du moteur et la résistance R’ de la génératrice (moteur arrêté, U ou U’ de l’ordre de 3 V ; vérifier avec plusieurs mesures)

Réaliser le montage suivant, et brancher 4 multimètres destinés à mesurer U, I, U’, I’.

I I’

 Wð

 U M G U R0 (boite à décades)





Pour un moteur à courant continu, on a (convention récepteur) : U = E + R.I

Chaîne des pertes :

Pa = UI  induit puissance électro-
 magnétique Pu = WðTu
Pem = EI = WðT
pm pf
pJ = RI² (pertes Joule)
pertes « collectives » pc

Pour une génératrice (même modèle, mais en convention générateur) : U = E - R .I

Chaîne des pertes :

Pu = U I  induit puissance électro-
 magnétique Pa = WðTm
 Pem = E I = WðT
pm pf
pJ = RI ²
pertes « collectives »




Les pertes collectives étant supposées identiques pour le moteur et pour la génératrice (même constitution et même vitesse de rotation), on a : Pemgen = Pagen – pc et Pemmot = Pumot + pc
la valeur de Pumot = Pagen est peu différente de la moyenne arithmétique entre les puissances électromagnétiques Pemmot = E.I et Pemgen = E’.I’

Remplir les tableaux ci-après pour différentes valeurs de U et de R0
R0 infini (b à d non branchée)U (V)I N (tr.min-1)U’I’ EE’ E.IE’.I’PumotWð (rad.s-1)Tumothð

R0 = 100 Wð ð ð(ð1ð0ð ðx ð1ð0ð)ðU (V)I N (tr.min-1)U I EE E.IE .I PumotWð (rad.s-1)Tumothð

R0 = 50 WðU (V)I N (tr.min-1)U I EE E.IE .I PumotWð (rad.s-1)Tumothð


Tracer les courbes représentatives des fonctions Tu = f(N) à U constant, puis Tu = f(I). Vérifier que cette dernière courbe est indépendante de U. En déduire la constante de couple.


(5.2 - 5.3) TP 6 : Montage avec hacheur sur charge inductive
Il s'agit d'observer et d'étudier une charge inductive alimentée par une tension rectangulaire 0/10V de rapport cyclique variable  EMBED Equation.3  avec t1 : durée du niveau haut et T : période

Observer les variations de la fréquence et du rapport cyclique de u (voie 1 de l'oscilloscope)
Relever puis tracer la courbe des valeurs de en fonction du rapport cyclique að.
Observer la forme du courant i quand la fréquence ou að ou L varient
Relever sur la grille ci-dessous u et Ri lorsque f = 400 Hz et að = 0,2
Observer les variation, quand að ðvarie, de la vitesse de rotation d'un moteur à courant continu en série à la place de la résistance dans la charge.

















(5.3) TP 7 : Onduleur et hacheur 4 quadrants

On simulera sous Proteus (ISIS) le schéma ci-dessous :


Onduleur à commande symétrique

Les 4 sources de commande (signaux carrés 0/5V à 50 Hz) sont, dans un premier temps, synchronisées 2 par 2, T2 et T4 ayant un retard d’une demi-période par rapport à T1 et T3.
Les 2 sondes (V : tension aux bornes de la charge ; I : courant dans la charge) permettent de visualiser deux graphiques :
analyse analogique : V (échelle à gauche) et I (échelle à droite) en concordance de temps
analyse de Fourier (spectre) de I en fonction de la fréquence f.

Onduleur à commande décalée de 60°

Même travail mais avec les sources au départ décalé : T1 (début à 0), T3 (début à 3.3ms), T4 (début à 10 ms), T2 (début à 13.3 ms). Comparer les résultats des deux commandes.

Hacheur 4 quadrants
Les sources de commande sont synchronisées 2 par 2, T2 et T4 ayant un retard qð ðpar rapport à T1 et T3.
Mais ce retard est ajustable de manière à obtenir un rapport cyclique différent de 50 % (sinon la valeur moyenne de I est nulle).
Régler les sources de manière à obtenir les 2 cas où qð = 14 ms et qð = 4 ms. Que vaut að ?
A partir des courbes de I(t) en déduire les valeurs moyennes de I dans les 2 cas.

(5.2) TP 8 : Moteur pas à pas et sa commande

Ouvrir sous Proteus (ISIS) le fichier : « pas à pas »
Le moteur pas à pas (bipolaire 4 fils) est relié aux 4 sorties du circuit de puissance L298, commandé par le contrôleur L297.


Régler l’horloge à f = 1 Hz et observer en animation la rotation du moteur puis déterminer le nombre de pas par tour, suivant l’état de la commande HALF/FULL , ainsi que le sens de rotation suivant l’état de la commande CW/CCW 
Quel est l’effet de la commande RESET ?
Quelles sont les bornes de chacune des 2 bobines ?
Quelle est la tension d’alimentation des bobines ?
Lorsque HALF/FULL = 1, tracer les chronogrammes (digital analysis) de l’horloge et des 4 sorties du L298
En déduire le tableau permettant de relier chaque position angulaire du moteur à l’état logique des 4 sorties OUT1 à OUT4

Angle (°)0OUT1OUT2OUT3OUT4
Par quel courant les résistances R1 et R2 sont-elles parcourues (RSA et RSB sur le schéma interne ci-dessus) ?
Pour une simulation correcte vis à vis des courants, il convient de brancher 8 diodes (rapides : BYT30) de roue libre aux bornes collecteur-émetteur de chaque transistor. Compléter le tableau suivant (régler l’horloge à f = 1,5 Hz pour l’animation) :

Angle (°)0IOUT1 (mA)IOUT3 (mA)Comparer IR1 et IOUT1

Plus la fréquence de l’horloge augmente, plus la vitesse de rotation augmente. Le moteur est donné pour une vitesse maximale de « 360 RPM ».Quelle est la fréquence d’horloge maximale ?

(5.3) TP 9 : Redressement commandé


alimentation continue
 K1
 +15V
 G1
 sync K2
G2
 0

KT1 KT2 i
 GT1 GT2
 Th1 Th2 L

 AT1=KD1

Réseau 50 Hz v u
 AT2=KD2

D1 D2 R uR = Ri


AD1 AD2

Charge inductive et résistive : R = 100 Wð ;ð 0,15 H ( L ( 1,4 H




indiquer sur le schéma le branchement de l oscilloscope pour visualiser u (voie 1) et uR (voie 2)

câbler le montage et le mettre sous tension (après vérification)

relever les oscillogrammes, en concordance de temps, de u (t) et uR (t) dans les 3 cas suivants :
(0 = pð/4 et L = 1,4H
(0 = pð/4 et L = 0,8H
(0 = pð/2 et L = 0,8H

En fonction de (0  et de la constante de temps tð = L/R du circuit R-L, relever :
la valeur moyenne de u dans les 3 cas (expliquer la méthode utilisée)
la valeur moyenne de i dans les 3 cas, ainsi que sa valeur crête à crête ICàC

Observer que, si tð est trop petite (L