Nutrition
Apport en alcool : comme chez le sujet sain : max 25g chez la femme et 30g chez
l'homme. ... excès de boissons alcalines. .... Prescrit lors de la préparation du TD
à une opération chirurgicale au niveau de ..... Autonomie de 24H sur batterie.
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Nutrition
I. Rappel.
Pyramide alimentaire :
SHAPE \* MERGEFORMAT
Oméga 3 = rôles dantioxydants.
( Consommer des fruits pour éviter la formation de radicaux libres.
Il y a une compétition avec les Oméga 6.
1g protéine = 4Kg/Kcal 12-15% BE
1g glucide = 9Kg/Kcal 50-58% BE
1g lipide = 4Kg/Kcal 30-35% BE
1g alcool = 7Kg/Kcal
Chap. 1. Diététique, équilibre alimentaire et gastronomie.
Déf. : lart du bien vivre donc du bien manger, de façon savoureuse et modérée, voire raisonnée pour conserver la santé et assurer son équilibre.
Buts :
Fournir à lorganisme : lénergie dont il a besoin, les nutriments plastiques (homéostasie interne) ; les nutriments énergétiques en proportion adéquate, le plaisir et la convivialité (homéostasie externe).
Prévenir les maladies en relation avec la nutrition :
-obésité : RGO + lithiase biliaire + sténose hépatique + DS de type 2,
-HTA,
-HPL IIb IV
-Gastrite chronique
-Diarrhée aigue
-Constipation atonique
-Diverticulose
-Pancréatite chronique
-Malnutrition
-Nombreux cancers
-Maladie cardiovasculaire
-Vieillissement plus rapide
En résumé :
Beaucoup deau, de fruits et légumes ; assez bien de céréales peu raffinées, de poissons ; assez bien de produits laitiers peu gras ; pas trop de viandes, surtout rouges, leur préférer les volailles ; un peu de matière grasses végétales, variées, peu travaillées ; peu de graisses animales ; le moins possible de denrées alimentaires travaillées par lindustrie + fractionner les repas, bouger, dormir et ne pas fumer et VIVRE.
Chap. 2. Lobésité.
Maladie à part entière de notre société, lobésité doit être traitée pour les risques de mortalité et de morbidité quelle engendre soir directement, soit pas les complications médicales qui en résultent.
Traitement nest pas égal à faire un régime mais changer les habitudes alimentaires et de vie.
BMI : Indice de masse Corporelle : poids en kg / taille 2 en m
Maigre 35
SHAPE \* MERGEFORMAT
Alimentation équilibrée de ladulte
Au lever : boire de leau (+ jus de citron) : permet de nettoyer la tuyauterie er remet lestomac en marche ce qui donne lenvie de manger.
Petit déjeuner : pain gris, biscotte, minarine ou beurre allégé, fromage frais à tartiner lait et uf, banane écrasée sirop ou choco, eau café léger thé fruits ou jus de fruit,
1 uf par semaine. Attention à la concentration en sucre dans les céréales. Dans la minarine, il y a des graisses polyinsaturées.
La matinée : fruits, jus de fruit, et/ou yaourt, lait, et/ou barre de céréales, eau
En collation min 1X/j : produits laitiers
La collation santé = collation de 10h : objectif : compléter le petit déjeuner, apporter ce quon na pas pris au petit déjeuner. Pour un enfant, la collation est utile ainsi que pour les personnes qui travaillent. Cependant, si prise du petit déjeuner tard, pas besoin de collation. Il faut bien dhydrater.
Plat chaud : potage, viande (100-150g), poissons min 1x semaine idéal 2x semaine, ufs, moule
, pas de graisse de cuisson, min 200g de légumes + assaisonnement en fonction si cuit ou cru, PDT ou pâtes ou riz ou semoule ou millet ou frites ou croquettes 1x semaine (pas de viande panée le jour des frites), eau ( 1 bière ou 1 verre de vin), jus de fruit, dessert : fruit frais, yaourt crème,
Après midi : crème pudding, riz au lait, semoule de riz, yaourt + fruits
Ou céréales + lait ½ yaourt (+ fruits)
Ou biscottes + cacao
Ou barre de céréales + lait aromatisé
Ou crème glace + fruits frais (pas tous les jours)
Ou une fois semaine une pâtisserie
Eau
Repas du soir (froid) ou inverse 12h : pain (ou pâtes, riz, PDT,
), matière grasse (allégée) (minarine, beurre allégé, dressing = mayo allégée), complément protéique : jambon, jambon fumé, filet de volaille max 3x semaines
Et/ou fromage (max 50%)
Et/ou hareng, thon, saumon, maatjes min 1x semaine
Et/ou uf(s) coque, dur, omelette
Compléments protecteurs : légumes crus ou cuits
Et/ou potage ou jus de légumes
Et/ou fruits, jus de fruits
Eau
Soirée : non indispensable
mais
fruits pauvres en vitamine C
Et/ou entremets lactés, yaourts, fromages frais fruités
Et/ou biscuits peu gras, barre de céréales, céréales + lait ½
Et/ou potage (avec biscotte ou pains)
Et/ou une mignonette, 1 choco (attention pas de Magnum 480Kcal)
Eau, tisane,
+ promenade, musique, lecture,
Différentes opérations :
Gastroplastie par bandage:
Gastroplastie par agrafes :
By-pass gastrique :
Ballon gastrique :
Chap. 3. Diabètes sucrés.
Diabète sucré de type 1.
Buts : Normaliser la glycémie en évitant hypo et hyper.
Permettre une vie sociale, professionnelle, familiale aussi normale que possible
Retarder ou éviter le développement des complications (MCV, rénales, oculaires,
)
Assurer une croissance et une maturation pubertaire correcte chez lenfant et ladolescent.
Caractéristiques : Une alimentation parfaitement équilibrée (permet de ne pas jouer au yoyo)
Alimentation fractionnée et répartition des glucides en fonction du schéma dinsulinothérapie. Schématiquement : systèmes à 2 injections (matin et fin daprès midi)
( 3repas et 3 collations avec environ 10% des glucides au petit déjeuner, 15% à 10h, 30% au repas de midi, 12% après midi, 25% au repas du soir et 13% en soirée, (donc un petit déjeuner très léger !!!). Modulation des choix des sources de glucides en fonction des index glycémiques.
Système basal prandial 3 injections de rapide + 1 de lente
( 3 repas avec environ 25% de glucides au petit déjeuner
40% au repas de midi
35% au repas du soir
Collations entre les repas parfois nécessaire pour éviter les hypoglycémies. Un risque de ce système est la prise de poids.
Régime préventif au point de vue cardio-vasculaire et ce dès lâge de 7/8 ans.
Lalcool : peut causer des maladies hépatique et chez les diabétiques, favoriser et aggraver les hypoglycémies ( en faible quantité (2 verres) et au cours des repas, pas à jeun.
Les boissons sucrées : sont très fortement déconseillées car amènent rapidement une quantité importante de saccharose (sucre) au niveau de lintestin et sont souvent la cause dhyperglycémie.
Les produits pour diabétiques (à éviter) = fructose et sorbitol : font peu varier la glycémie mais ils sont laxatifs et favorisent laugmentation des triglycérides : facteur de risque des maladies cardio-vasculaires.
Donc chez les personnes âgées diabétiques comme petit extra sans risque dhyper, PAS chez les sujets jeunes puisque favorise les complications.
Les édulcorants non caloriques et les produits lights associés : à loccasion si le patient désire boire un soft drink (mais ne pas oublier, jamais pour le resucrer car pas de glucides). Les édulcorants sont des faux messagers qui trompent le cerveau : ils ont le gout sucré mais il ny a pas de sucre.
RESUCRAGE en cas dhypoglycémie : 1 sucre (5g) par 20 kg de poids
( 5g pour 20 kg
En cas de maladie : ne jamais interrompre linsuline, ne jamais arrêter les apports en glucides : ingérer au minimum 35 à 50g de glucides toutes les 4h (entre 5 et 10 morceaux de sucres) et recourir alors le plus souvent à de linsuline rapide.
Repas inopiné : que faire pour éviter lhyper en cas de repas non prévu ?? Recours aux nouvelles insulines ultra rapide (délai très court, durée daction très courte).
Diabète de type 2.
Ce diabète est très fortement associé non seulement à des facteurs génétiques prédisposant mais aussi à un excès de poids. Jeune personne à partir de 15 ans sont déjà diab. de type 2 à cause du problème de lobésité. La seule correction de lexcès de poids suffit dans 70% des cas à faire disparaître tous les symptômes de la maladie. Le premier traitement est donc un régime amaigrissant avec un maintient du poids perdu.
Le traitement diététique est semblable à celui des régimes maigrissant si ce nest quon insiste plus ici sur une répartition plus ou moins équitable des glucides au cours des repas et collations de la journée lorsque le patient si traité par un régime seul ou avec le GLUCOBAY ou/et GLUCOPHAGE. Lorsque le patient reçoit des antidiabétiques oraux autres (sulfamides hypoglycémiants : DAONIL, EUGLUCON, DIAMICRON,
) dans ces cas, il faut tenir compte du profil daction du médicament afin dy ajuster les apports en glucides. Dans ce cas, les risques d'hypo existe, donc le patient doit toujours avoir sur lui 3à 4 morceaux de sucre.
Diabète gestationnel.
2 types : -Personne qui prend énormément de poids pendant la grossesse.
-Quelquun qui est diabétique avant la grossesse.
Le régime alimentaire doit être établi par un diététicien averti car il doit tenir compte non seulement du contrôle de la glycémie mais également de tous les besoins nutritionnels de la femme enceinte et donc du ftus. La base des besoins nutritionnels restent les besoins nutritionnels de la femme enceinte.
Alimentation hypoénergétique de ladulte.
Pauvre en calories vides donc riche en nutriments plastiques.
Au lever : boire de leau (+ jus de citron) : permet de nettoyer la tuyauterie er remet lestomac en marche ce qui donne lenvie de manger.
Petit déjeuner : petit pain gris, cracotte, minarine Bridelight 25% + fromage blanc ½ gras =20% ou fromage maigre (= à tartiner) ou en tranche maigre max 30% ou 1 uf.
Eau, café, thé, tisane, lait + aspartam.
Céréales (fitness, spécial K) + lait ½ écrémé + aspartam (+ 1 petit fruit).
Collation: vitamine C fruits frais de saisons, eau.
Plat chaud : potage préparé sans graisse, viande (125-150g) sans gras apparent ou 200 g de poissons 2x semaine si possibles ou crustacés ou 2 ufs + ½ tranches de jambon, cuisson avec un cuillère à café rase de mat. grasse, 250g de légumes cuits ou crus + minarine, un peu de PDT ou pâtes ou riz ou frites max. 150g 1x semaine, eau, boisson light, pas de dessert.
Après midi : calcium : crème pudding, riz au lait ½ écrémé, sucre à laspartam après cuisson
Ou fromage blanc ½ gras + fruit + aspartam, crème alpro.
Ou ¼ yaourt maigre ou light aux fruits
Ou max 1x semaines < 125 g de pâtisseries ou équivalent
Eau, thé, café, tisane.
Repas du soir (froid) ou inverse 12h : pain gris, carottes, pains grillé, PDT froides, riz froid, minarine, charcuteries maigres : jambon, roti, poulet froid, jambon de dinde, viande fumée, sans le gras.
Et/ou fromage maigre (1/2) comme au déjeuner
Et/ou thon, saumon, crevettes sardines, au naturel
Et/ou uf(s) préparé sans graisse
Légumes 150g max chauds ou froids
Et/ou potage
Boissons
Soirée : non indispensable
mais
Vitabis, Bambix,
Ou Kinder tranche au lait
Ou Balisto, barre de céréales
Ou une glace light + fruits
Ou une mignonette + 1 fruit
Eau, tisane,
Les index glycémiques (IG2)
Définition.
IG2 = aire sous la courbe glycémique de 2 heures après ingestion de laliment
Aire sous la courbe de la glycémie de 2 heures après digestion dune quantité égale de glucose.
Explication.
100g de glucose = 100g de glucose
100g damidon = 100g de glucose après digestion
100g de saccharose = 50g de glucose + 50g de fructose après digestion
100g de lactose = 50g de glucose + 50g de galactose après digestion
Variabilité de lindex glycémique.
Réponse biologique fort reproductible dans des conditions standards,
Facteurs de variabilité :
Aliment : température, forme, granulométrie, concentration ( vitesse de vidange gastrique variable, quantité de glucides totaux, proportion des différents mono saccharides.
Traitements technologiques et culinaires des aliments : cuisson : cuisson-extrusion : phénomène de rétrogradation de lamidon :
Les amidons résistants : = crus, rétrogradés, emprisonnés.
Composition du repas :
Densité énergétique, fibres, poids
Etat nutritionnel antérieur
Horaire dabsorption
Etat de santé du patient
Tableau classement des aliments selon lindex de glycémie en fonction du % glucidique.
Faible
10-45%Moyen
55-85%Elevé
+ 85%SoyaSaccharoseMaltoseFructoseBananeGlucoseLentillesPDTMielHaricots secsFlocon davoinePurée de PDTLaitRaisinsCorn flakesCrème glacéeRizPoire pêchePain completPommePain blancOrange MuesliAll BranSpaghetti
Chap.4. Facteurs de risque des maladies cardiovasculaires.
Sans action possible :
-sexe
-âge
-hérédité coronarienne, surveillance précoce dès 35 ans.
Avec action possible :
-HTA
-HPL
-Tabagisme : arrêt
-Hyperhomocystéinémie : vérifier les apports en B9, B12, B6
-Diabète sucré : équilibré+régime de prévention des MCV dès le diagnostic de diabète
-Obésité : faire maigrir raisonnablement
-Stress « pathogène » : activités physiques modérées, yoga, sophrologie, thérapie du comportement (angoisse, névrose ( consultation spécialisée).
-Sédentarité : organisation de son temps pour y réserver un minimum de 50 à 60 min dactivité physique dendurance 3 à 4 fois par semaine.
-IRC : faire ce quon peut
-Trouble de la coagulation et de lagrégation plaquettaire : régime de prévention cardiovasculaire + veiller à des apports suffisants en acides gras oméga 3.
-Traitement hormonaux : contraceptifs ou traitements hormonal substitutif ( en discuter avec son médecin. Au point de vue des strogènes, favorise la production dadrénaline.
Diététique de linsuffisance cardiaque.
Traitement :
-Eliminer le facteur déclenchant
-Maitriser linsuffisance cardiaque par :
Le repos
Les tonicardiaques
Le régime désodé
+ Les diurétique / réduisent le travail cardiaque et maîtrise la rétention liquidienne.
En général : il faut obtenir : -le repos physique absolu au départ, puis on autorise la reprise dun travail léger sous la condition de ménager de nombreux moments de détente durant la journée et déviter les efforts violents.
-la mise au repos physique.
Traitement diététique :
Le traitement
-régime pauvre en sodium
-des conseils dhygiène
But : favoriser la réduction et la disparition des dèmes
Réduire le travail cardiaque en réduisant la masse sanguine.
Régime désodé
Strict = < 500 mg de sodium par 24 heures.
Moyen= 1000 mg de sodium par 24 heures.
Large= 1500 à 2000 mg de sodium par 24heures
La rétention dun litre ddèmes ou dascite saccompagne de la rétention de 140/-5 mmoles de sodium.
( Na X xmmoles = mg de sel.
Coordonnées du régime
Apport énergétique : légèrement diminué en vue de réduire le travail cardiaque.
Apport protéine : normal, sauf si le patient présente concomitamment une IR
Apport lipidique : normal = préventif des HLP, en fonction de lespérance de vie du sujet
Apport glucidique : normal, sans excès, en choisissant de préférence des glucides à faible index glycémique mais en évitant le fructose, sauf les fruits.
Apport en alcool : comme chez le sujet sain : max 25g chez la femme et 30g chez lhomme.
Apport en eau : très souvent lorsque le patient présente une rétention liquidienne, nous limitons les apports à 1L deau de boissons par jour.
3. Conseils dhygiène.
Manger lentement et bien mâcher les aliments
Manger des petites quantités à la fois ( régime fractionné.
Eviter de boire en mangeant
Eviter les excès de table
Eviter les aliments donnant lieu à des fermentations intestinales et à une importante aérocolie.
Veiller à un fonctionnement intestinal correct.
Faire chaque jour un peu dexercice physique régulier, modéré
Eviter les sorties de grands vents, froids par temps de brouillard et par grandes chaleurs.
Traitements diététiques de lHTA.
Définition et intérêt du traitement.
Problème majeur dans la morbidité et ma mortalité cardiovasculaire.
( Importance dun dépistage et dun traitement précoce.
Etiologie.
Affection rénale, endocriniennes
Affection du système nerveux central
Affection génétique
Cause iatogène
( Traitement causal (pallier au problème de lHTA).
Traitement diététique de lHTA essentiel :
= action sur les facteurs denvironnement + traitement médical
Eliminer une erreur manifeste= utilisation de corticoïdes, de gouttes ou spray nasales avec vasoconstricteurs
= consommation importante de réglisse
= excès de boissons alcalines.
Réduire la surcharge pondérale
Supprimer toute prise de boissons alcoolisées
Réduire les apports sodés.
Augmenter les apports en potassium, calcium, magnésium et acide folique.
Alimentation fractionnée en au moins 3 repas er si possible + 2 à 3 collations
Réduire la consommation de caféine
Hygiène de vie
+ Médicaments : diurétique, Bêta-bloquant, inhibiteur de lenzyme de conversion,
+ Thérapies comportementales.
Traitement des hypertriglyceridemies.
HLP de type 1
Se définit par un déficit congénital du système de la PHLA (lipoprotéine lipase) responsable de laccumulation de chylomicrons dans le plasma ; très rare ; irréversible ; diagnostiqué dans lenfance.
Régime alimentaire : régime très pauvre en graisse
HPL de type 5
Se caractérise par un déficit réversible du système de la PHLA chez ladulte présentant un diabète relativement sévère parfois une hypothyroïdie, prenant des contraceptifs oraux, atteint de dysglobulinémie ou encore de lupus érythémateux.
( Augmentation des chylomicrons et des pré-B lipoprotéines.
Traitement : si la maladie est secondaire, le traitement sera étiologique ( traitement adéquat du diabète, de lhypothyroïdie et arrêt des contraceptifs.
Si déficit congénital ou si le traitement étiologique est insuffisant :
-diminution des apports totaux en lipides
-apport supplétif en TCM sous forme dhuile, de margarine, de lait,
-limitation des aliments à haut index glycémique.
Type IV
Augmentation des pré-B par suite d »une synthèse hépatique accrue de TG le plus souvent.
-forme génétique
-forme secondaire associée à lobésité, au diabète sucré, à un régime alimentaire riche en glucides et ou en alcool, à linsuffisance rénale chronique, à la prise de médicaments tels que les contraceptifs oraux, les strogènes, certains diurétiques, les corticoïdes.
Traitement : dans les formes secondaires : traitement étiologique sauf si génétique
Obésité ( alimentation équilibrée, sans alcool, limité plus ou moins fort en glucides
Diabète sucré ( régime adapté de façon à obtenir un contrôle glycémique correct.
Médicaments ( régime équilibré avec si possible remplacement du médicament.
IRC( régime alimentaire adapté à létat du malade mais ici il est très difficile de corriger lHTG
Dans les formes génétiques :
Corriger lexcès de poids
Rééquilibrer et fractionner lalimentation
Suppression de la consommation de boissons alcoolisées
Limitations très importantes des aliments à index glycémique élevé
Suppression de lusage du saccharose.
Traitement diététique des hypercholestérolémies
HPL de type 2a selon la classification de Frédérickson.
Augmentation du LDL cholestérol, (B lipoprotéines), de lapo B 100.
Rappel : étiologie : -génétique
-acquis : hypothyroïdie, syndrome néphrotique
Traitement :
Après vérification quil ne sagit pas dune forme acquise
énergie : pour maintenir ou revenir à un poids acceptable (BMI < 25)
protéines : normal
lipides : peu dacides gras saturés, 1/3 dacides gras polyinsaturés, ½ dacide gras mono-insaturés, des acides gras omégas 3, très très peu dacides gras trans.
riche en antioxydants naturels : >100 mg de vit C, bcp de vit E, du béta-carotène, de lacide folique, du sélénium, du magnésium, des polyphénols.
alimentation fractionnée
alimentation riche en fibres
limiter les apports en sucres libres
limiter les apports en alcool
limiter les consommations daliments riches en cholestérol.
augmenter lactivité physique
suppression du tabac
Reflux gastro-sophagien sophagite peptique hernie hiatale symptomatique.
Pour améliorer la pression du SOI :
diminuer les facteurs qui diminuent la pression
Les aliments gras
Les aliments riches en méthylxanthines
Les boissons alcoolisées
La menthe, le thé à la menthe,
Le tabac.
augmenter la consommation daliments qui renforcent la pression du SOI.
Les protéines maigres
Pour éviter lirritation de la muqueuse sophagienne :
Eviter : tomates et jus de tomates, de légumes, les agrumes et jus dagrumes, les boissons gazeuses, les boissons alcoolisées, le café, la décaféine, les épices type : poivre, paprika, pili-pili, gingembre,
.
Conseil dhygiène limitant les risques de reflux :
-fractionner les repas
-manger et boire lentement, de préférence ½ heure avant le repas ou 2h après
-éviter de parler en mangeant
-prendre le derniers repas au minimum 3h avant le coucher
-éviter les aliments sujets à fermentations
-éviter de se pencher en avant après le repas
-éviter la constipation
-éviter de porter des vêtements qui serrent
-veiller à surélever la tête du lit denviron 15 cm et dormir si possible en position déclive.
-attention aux médicaments
Ulcère gastrique et gastro-duodénal
Alimentations :
-prendre 3 repas et 1 à 3 collations
-éviter les boissons alcoolisées
-limiter la consommation daliments contenant des méthylxanthines
-éviter les aliments irritants comme les épices, les tomates, les oranges,
-essayer davoir une alimentation propre !!!!
-régime digeste et léger
-éviter le tabac
Gastrite chronique
Rechercher un facteur favorisant et le corriger.
Eviter les graisses cuites, les viandes fibreuses, les légumes riches en fibres irritantes, le café, le thé fort, les épices, la moutarde, les aliments très salés mais surtout très sucrés. Essayer dobtenir larrêt du tabagisme.
Les diarrhées aigues.
1er jour : réhydrater oralement : eau, potassium, sodium et sucre.
Diverses boissons :
-thé
-tisanes
-bouillons filtrés et dégraissés, soupe carotte
-gelée de fruits sans pulpe
-eau de riz, crème de riz
-jus de fruits filtrés et dilués
-boissons à base de céréales, eau
-pectines de coing, de pomme, de la caroube
Régime pauvre en résidu, pauvre ou sans lactose, sans irritant ni accélérateurs de transit.
Régime BRCT= banane, riz, compote de pomme, thé.
Solution durgence pour une diarrhée de voyageur qui persiste plus de 24h : 6 cuillères à café de sucre + 1 cuillère à café de sel + 1L deau potable.
Diarrhée chroniques sans malabsorption.
Diarrhées osmotiques.
-prise de laxatifs osmotiques (lactulose, sorbitol,
)
-antiacides
-déficit en disaccharides
-réduction de la surface dabsorption
Diarrhées sécrétoires.
-prise de laxatifs irritants (phénophtaléine,
)
-prise de médicaments
-lésions organiques coliques avec en particulier une malabsorption des acides biliaires comme la maladie de Crohn.
-cryptosporidies chez limmunodéprimé.
-désordre hormonal
-déficit en niacine comme on peut le rencontrer dans les malnutritions
Diarrhées motrices.
Par accélération du transit
-alcoolisme
-causes endocrines
-causes neurologiques
-lésions organiques
Diarrhées exsudatives.
R.U.H, maladie de Crohn, infections intestinales, radiothérapie, maladie cliaque,
Les diarrhées secondaires à certaines antibiothérapies.
La Terramycine ou le Chloramphénicol perturbent fortement léquilibre normal de la flore intestinale.
Sont alors conseillés :
-les yaourts « vivants » : bio de Danone, bifidus,
-les prébiotiques : actimel, yakult,
-les probiotiques : levure de boulanger, pérentérol,
Mais aussi les fromages fermentés à base de lait pasteurisé, préemballés.
Maladies inflammatoires du tube digestif.
Maladie de Crohn
Buts : état nutritionnel optimal, rémission clinique aussi longue que possible, prévenir ou retarder la chirurgie.
Moyens :
-en phase aigue : mise au repos du tube digestif, alimentation adaptée soit par voir parentérale ou par sonde avec une diète semi-élémentaire.
-ensuite : renutrition progressive : régime sans résidus, puis pauvre en résidus et ensuite en élargissant progressivement vers un régime digeste puis une alimentation équilibrée.
-parfois : régime sans lactose, régime enrichi avec des TCM, apport en vit B12 en parentérale
-si traitement par corticoïde : limité en sodium car lapport en sel risque dème.
-si désinfectant intestinaux : 1mg dacide folique par jour.
-correction du déficit en minéraux et vitamines
Rectocolite ulcéro-hémorragique.
Atteinte localisée essentiellement au niveau de colon, de lanus, se caractérisant par lémission de selles sanglantes ( anémie, carence en fer,
Traitement diététique assez semblable se ce nest que dans ce cas ci, nous avons peu ou pas de problèmes de malabsorption.
La maladie cliaque.
Secondaire à une intolérance au gluten, plus particulièrement à une fraction protéique : la prolamine de la gliadine présente dans le blé, le seigle, lorge et à moindre degré dans lavoine= orge germé. Cette toxicité sexerce localement, progressant du duodénum vers liléon, provoquant une atrophie villositaire de lintestin responsable des symptômes (plus dabsorption).
Symptômes :
Fatigue, amaigrissement, flatulence, diarrhée, douleurs abdominales, borborygmes, selles normales, constipation, douleur osseuse, diarrhée,
Plus fréquent entre 40 et 50 ans, après 60 ans dans 80% des cas. Association fréquente avec des dermatites herpétiforme, DID, déficit sélectif en IgA. Il existe incontestablement un terrain génétique prédisposant.
Traitement :
Régime sans gluten strict régulièrement suivi et vérifié.
Risque de lymphome malin du grêle sur maladie cliaque de ladulte est élevé.
Etre très vigilant et conseiller au patient dadhérer à lassociation des malades cliaques.
Au début, vu létat de la muqueuse intestinale, joindre mesures diététiques :
-régime sans résidus larges, sans lait, pauvre en graisse et sans gluten
-disparition des douleurs ( régime digeste sans lait et sans gluten
-quand le transit est normalisé ( régime digeste sans gluten
-après 3 à 6 mois en général : régime sans gluten
-compensation des carences en oligo-éléments et en vitamines.
Les régimes sans résidus, pauvres en résidus, digestes.
Sans résidus : strict.
Alimentation qui a pour but dapporter le moins de résidus, de déchets possible au niveau du colon. Prescrit lors de la préparation du TD à une opération chirurgicale au niveau de lintestin ou lors de certaines explorations fonctionnelles du colon.
Ce régime ne peut-être équilibré et doit être prescrit pour une courte durée.
Viande mixée de première catégorie, poisson blanc cuit vapeur, uf cuit dur, coque, poché, jambon maigre, fromage à pate cuite, lait sans lactose, crème de soja, céréales raffinées, riz, biscotte, beurre , huile, minarine sans fibre. Eau + jus de citron filtré et dilué.
Sans résidus large : moins stricte.
Viande de première catégorie, poisson blanc, uf cuit dur, coque, poché, jambon maigre, fromage à pate cuite, crème de gruyère, lait de soja, lait sans lactose, crème de soja, yaourt nature introduit progressivement, céréales raffinées, riz, biscotte, pain grillé, cracottes, compote de pomme, gelée de fruits, chocolat noir, meringue. Beurre, huile, margarine, minarine. Eau, bouillon de légumes passés, jus de citron ou pamplemousse filtrés et dilués.
Digeste.
Régime équilibré, fractionné, adapté au patient.
A éviter : viande dures, grasses, marinées, faisandés, fumées, en conserve.
Attention à tout excès de féculents.
Régime alimentaire en cas de constipation.
Schématiquement : régime équilibré, riche en fibres alimentaires, hydratation adéquate, pratique régulière dexercice physique. Hygiène de la défécation.
Constipation spastique.
Régime digeste orienté vers les aliments plutôt laxatifs mais non irritants
Pas de crudités, épices, alcool,
Elargissement du régime quand les douleurs ont disparu
Exercices physiques + massages abdominaux.
Constipation atonique.
Augmentation progressive de la teneur en fibres alimentaires de lalimentation.
Fibres doivent provenir des céréales peu raffinées et des légumineuses que des fruits et légumes.
Consommation de 1,5 à 2L de liquide par 24h
Pratique régulière dexercices physiques + massages abdominaux
Quelques pruneaux peuvent aider.
Jamais de fibres sous forme sèche.
Diverticulite diverticulose.
Diverticulite
Sans résidus
Diverticulose
Riche en fibres.
Dépister la dénutrition.
La prévention des dénutritions ou de laggravation des dénutritions demande au préalable :
De connaître les populations à risque
De dépister les facteurs favorisant
De disposer de marqueurs fiables dévaluation de létat nutritionnel.
Population à risque
Personnes âgées
Personnes vivants dans un environnement social défavorisé
Patient atteint dune affection aigue ou chronique cachectisante ou devant subir une intervention ou traitement agressif.
Dépistage du risque de dénutrition
Ne pas seulement demander mais le faire et bien le noter au dossier
Préciser quant à la variance de ce poids : stable, diminution
Chiffrer en pourcentage la diminution de poids
Traduire en terme dIMC = BMI : Poids (en kg) / taille (en cm) au carré.
BMI < 18 : dénutrition modérée 5mm = 2
Résultat : >50% faible risque
Entre 40 er 50% moyen
< Ou = 40 % risque élevé.
Mini nutritional assessment (MNA)
Destiné au dépistage de la dénutrition chez la personne âgée.
Voir feuilles de cours
Examen clinique ou anamnèse.
Associé éventuellement à dautres examens biologiques, ils permettront de mieux cibler les nutriments à risque de carence et détablir les modalités de la prise en charge nutritionnelle.
Diététique chirurgicale.
Près dun malade sur deux hospitalisé en chirurgie est dénutri
But de la diététique : diminuer la morbidité et la mortalité postopératoire.
-améliorer létat de nutrition afin daider à mieux supporter le choc opératoire
-remédier au mieux à toute perturbation métabolique
-préparer éventuellement le TD du malade
-éviter les troubles post-anesthésistes
-faciliter la conva et permettre au malade de reprendre vite lactivité physique.
Diminution de limmunité, diminution de la cicatrisation et augmentation du risque infectieux.
Lire un peu dans le cours.
Diététique post-opératoire
Lire. Moi jai mis le chapitre entre parenthèse.
Maladies hépatiques.
Hépatite.
Régime digeste, suffisant, équilibré.
Si anorexie, nausées, vomissements : diminuer les apports en graisses, particulièrement chauffées.
Si accumulation anormale de cuivre : pas de cacao et dérivés, fruits oléagineux et légumineuses, fruits de mer, abats,
Cirrhose.
Supprimer les substances toxiques pour le foie tel que lalcool, certains médicaments,
Régime alimentaire parfaitement équilibré, + supplément en vit et sels minéraux
En cas de décompensation ascitique : réduire les apports en sodium et surveillance du potassium
Eventuellement limiter les apports en liquides au volume urinaire de la veille + 500 à 700 ml
En cas de décompensation encéphalopathie : régime limité en protéine
Régime digeste mais à visée laxative
Prescription habituelle de lactulose
Surveiller la kaliémie.
Hémochromatose.
Eviter les suppléments et les médicaments contenant du fer
Limiter les apports en aliments riches en fer à la quantité conseillée et ne pas ajouter au repas qui les contiennent des aliments riches en vit C ou en acides comme le vin et les boissons alcoolisées.
Maladie de Wilson.
Eviter la consommation daliments riches en cuivre
La prescription fréquente de D-pénicillamine nécessite un supplément de vitamine B6.
Alimentation enterale
Administration de solutions nutritives dans le TD.
Avantages : respect de lintégrité du TD
Plus physiologique
Moins de complications
Contre-indications : mise au repos du TD et court-circuit du TD
indications de lalimentation :
Plusieurs possibilités de malnutrition : -apport protéique insuffisant
apport énergétique insuffisant
apport oral négligeable
Mélanges à boire : - riche en protéines comme Fortimel,
riche en énergie comme Tonexis,
sondalis iso
Matériel nécessaire :
1 trousse dadministration
1 sonde : nasogastrique, jéjunal, gastrique, en polyvinyle Chloride (PVC) à changer tous les 7 à 10 jours, en polyuréthane (PUR) à changer tous les 2 mois.
1 pompe dadministration
Méthode dadministration :
par bolus + 4 à 6 fois 250 à 300 ml à injecter à la seringue
administration intermittente = 200 à 500 ml pendant 1à 2 heures, mieux toléré, à rincer avec 50 ml deau après chaque administration.
Administration en continu = durant 16 à 24 heures, la mieux tolérée au niveau digestif, la résorption est meilleure.
Administration :
position du patient : assis ou semi-assis
démarrer progressivement : débit max 200 ml par heure
minimum 2L/ 24h pour éviter la déshydratation
travailler de façon hygiénique si pas aseptique
veiller à la t° de ladministration
surveiller le résidu gastrique afin déviter de remplir un estomac qui ne sest pas assez vidé
surveiller les apports oraux
surveiller le débit : ±20 gouttes = 1ml
Produits disponibles
-équilibre hypoosmolaire
-équilibré 1ml = 1Kcal
-hyperénergétique
-équilibre pauvre en Na
-équilibre sans lactose ni PLV = soja
-équilibré riche en FA
-pauvre en protéines, minéraux, pour les rénaux
-alimentation alimentaire ou semi alimentaire
-±équilibré modifié au point de vue a.a. ramifiés pour les hépatiques.
Complications.
-obstruction de la sonde
-sonde déplacée
-irritation nasopharyngée si sonde de gros diamètre
-nausées, vomissements.
-diarrhée.
Information NUTRICIA.
Compléments : pour compenser une carence : Fortimel
Alimentation de remplacement : Nutridrink et Fortimel compact
Complément alimentaire spécifique : pour certaines pathologies : besoins spécifiques. Exemple : Nutilis : pour les dysphagies.
Compléments : 1 à 3 par jour pour combler une carence en énergie et protéines. Produits hyperénergétique et hyperprotéinés.
A placer entre les repas. 1 portion = 200 ml, 300 Kcal/portion et 20g de protéines par portion
Tous les produits sont sans gluten.
Fortimel :
Crème : 125g, 200 Kcal et 12,5g de protéines. 1 à 3/jour
Fruit : 150g, 200 Kcal et 10.5g de protéines. Présence de fruits et absence de lactose
Soupe : 200 ml, 300 Kcal et 15g de protéines
Jus de fruits : 200 ml, 300 Kcal et 5g de protéines.
Remplacement de repas : 2 bouteilles par repas ( 6 à 7 / jour. Garantir des apports nutritionnels équilibrés. Respect le transit intestinale sans effets secondaires.
Nutridrink :
Multifibre : 200ml, 300 Kcal et 12g de protéines. (6 fibres)
Yoghourt : 300ml, 300Kcal et 12g de protéines.
Sans fibre : 200ml, 300 Kcal et 12g de protéines : neutre, peut sajouter dans toutes compositions
Fortimel compact : 120ml, 300 Kcal et 12g de protéines
Complément alimentaire spécifique : à chaque pathologies son complément.
1 à 3/jour
-Cubitan : escarres : besoin protéine, accélère cicatrisation. Protéines : arginine : agit au point de vue vaisseaux sanguins + collagène. 200ml, 250 Kcal et 20g de protéines dont 3g darginine et 9g de zinc, 250mg de vit C. Erythème : 1/jour ; plaie superficielle : 2/jour ; plaie profonde : 3/jour.
-Rénilon : 4.0 IR sans dialyse 4g/100ml (protéines)
7.0 IR avec dialyse 7g/100ml (protéines)
250 Kcal pour 125 ml. Ne surcharge pas les reins
-Diaspi : diabétique : protéine de soja lutte contre les maladies cardiaques ; évite tous les effets négatifs sur les concentrations du sang en triglycérides, nagit pas sur la glycémie. 200ml.
- forticaire : cancer : 0.75g EPA. Protège et améliore la masse musculaire. 200Kcal et 125ml. Goût adapté, puissant antioxydants
- Respiflor : BPCO : 1.5 Kcal/ml. Naugmente pas la satiété. Riche en antioxydants et évite la fonte musculaire. 125ml
-Nutilis : résistant à lamylase. Maintient de la consistance avec la salive. Problème de déglutition. Peut-être utilisé dans tout. Mélanger avec un fouet. Ne pas le mélanger dans de leau ou des boissons gazeuses.
Le Nutrison pack :
Pas de risque de contamination du patient : surface de connexion réduite, percée seulement après la connexion, pack se met sous vide.
Pas de risque de contamination sanguine : percuteur protégé intègre dans le dispositif dadministration.
Sonde : < 4sem : nasogastrique, nasointestinale simple
> 4sem : GPE, gastrostomie, bouton, PEJ (rallonge GPE)
Lors de chirurgie abdo : jéjunostomie.
Nutrinidrink : pour enfant
Nutrini : 1 à 6 ans
Nutrinimax : 6 à 12 ans
La trousse.
a changé toutes les 24h
visser puis percer la trousse, bien percuté (percer) de façon verticale.
Pompe dalimentation entérale : pompe infinity
Administration : lente, pospylorique, nocturne
Patient diabétique, jeune, stressé
Avec pompe : système de purge automatique
Poids :