Td corrigé ANNEE UNIVERSITAIRE 2014/2015 Master 1 et 2 Les informations ... pdf

ANNEE UNIVERSITAIRE 2014/2015 Master 1 et 2 Les informations ...

Processus de désactivation monomoléculaire, relation structure-propriétés ... TD. TP. Synthèse organique. 60. 25. 20. 15. 1- Principes de Réactivité et Orbitales .... homonucléaire et hétéronucléaire, effet Overhauser, transfert d'aimantation, édition ...... (dimensions, forme, composition, structuration) à l'échelle nanométrique.




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ANNEE UNIVERSITAIRE 2014/2015











Master 1 et 2


 INCLUDEPICTURE "http://www.sciences.univ-nantes.fr/CEISAM/lumomat/pix/bandeau.png" \* MERGEFORMATINET 




Les informations contenues dans la brochure sont à titre indicatif.


Directeur de l’UFR Sciences 
D. SCHAUB

Assesseur à la Pédagogie 
P. LERICHE

Assesseur à la Recherche
F. SAUBION


Responsable Pédagogique ANGERS
P. LERICHE
02 41 73 50 10
philippe.leriche@univ-angers.fr


Responsable Administratif 
M. Véron

Responsable service master
B. BICHET
02 41 73 54 96

Secrétaire 
Florence BESNIER
02 41 73 53 57
Florence.besnier@univ-angers.fr

SCOLARITE – EXAMENS
ACCUEIL DES ETUDIANTS
Florence BESNIER – porte A004
Du Lundi au Vendredi
De 9h à 12h30 et de 13h30 à 17h00
Fermé le mercredi
Rez-de-Chaussée du bâtiment A

Directeur de l’UFR Sciences 
M. EVAIN

Directrice adjointe à la Pédagogie 
I. BEAUDET

Directeur adjoint à la Recherche
F. JAUBERTEAU


Responsable Pédagogique NANTES
M. BOUJTITA
02 51 12 57 23
hamada.boujtita@univ-nantes.fr


Responsable Administratif 
D. BOLO

Responsable service master
N. DE BROVES
02 51 12 52 50

Secrétaire 
02 51 12 52 44

SCOLARITE – EXAMENS
ACCUEIL DES ETUDIANTS
2, rue de la Houssinière
BP 92208
44322 Nantes Cedex 3
FRANCE
Accueil - Diplômes - Secrétariat
(Le matin uniquement)  CALENDRIER UNIVERSITAIRE 2014-2015












1er SEMESTRE

Rentrée Réunion d’accueilLundi 5 septembreDébut des coursLundi 8 septembreVacances de ToussaintVendredi 24 octobre au lundi 3 novembreVacances de NoëlVendredi 19 décembre au lundi 5 janvierFin du 1er semestreFin FévrierJury semestre 1 session 1Semaine 8Examen Semestre 1 session 2Semaine 25Jury semestre 1 session 2Semaine 27
2ème SEMESTRE

Début du 2ème semestreSemaine 10Fin du 2ème semestreSemaine 22StagesDébut Mars fin Mai (maxi fin Août) soutenance orale
Courant les semaines 25 et 26

Ce calendrier est susceptible d’être modifié. Master 1.

La plus grande part des enseignements du M1 est assurée sur le site de Nantes conjointement par des équipes pédagogiques mixtes des deux Universités. Quelques cours et TP spécifiques (environ 2 semaines) sont dispensés à la faculté des Sciences d’Angers.
200 des 513h dispensées en M1 sont mutualisées avec les parcours CFT (Chimie Fine et Thérapeutique) ou A3M (Analyses, Molécules, Matériaux, Médicaments) offerts par le master mention Chimie de Nantes.
Le stage de M1 dure au minimum 8 semaines et peut se poursuivre en entreprise jusqu’à 6 mois au maximum. Il donne lieu à un rapport de stage qui est évalué ainsi qu’à une soutenance qui donne également lieu à un échange avec le jury. La note de stage dépend des appréciations du jury sur le rapport écrit et la soutenance ainsi que de l’avis du maitre de stage (grille d’évaluation et discussion éventuelle lors de l’oral ou avec le tuteur).
Le M1 est subdivisé en deux semestres de 30 ECTs. Le semestre impair est consacré aux enseignements disciplinaires (30ECTs) et le pair valide le stage et les séminaires (30ECTs).

Au sein d’un semestre :
Un élément constitutif (EC) est acquis dès lors que sa moyenne est supérieure ou égale à 10 (hors séminaire non noté).
Une unité d’enseignement est acquise dès lors que sa moyenne est supérieure ou égale à 10. Un EC non acquis dans cette UE est obtenu par compensation et ne peut donner lieu à seconde session.

La première année de master est validée à partir d’une moyenne coefficientée des notes obtenues aux deux semestres S1 et S2 :

Note de M1 = [(S1=enseignements disciplinaires 30ECTs)*30 + (SS2=note de stage, 29 ECTs)*11]/41

Pour obtenir son diplôme, l’étudiant doit atteindre une note terminale avant stage d’au moins 10/20 (moyenne du S1) et une note de stage d’au moins 10/20. L’année est validée si les étudiants ont acquis chaque Unité d’Enseignement (UE) ou ont compensé entre UE (moyenne >=10).

Les étudiants n'ayant pas validé leur année peuvent redoubler et conserver les UE validées et lorsqu’une UE est constituée d’éléments constitutifs (EC) validant des ECTs, conserver les EC dans lesquels ils ont obtenu la moyenne.

Les examens réservés aux dispensés d’assiduité (DA) et examens de seconde session durent 1h30 par défaut. En seconde session des oraux pourront remplacer des épreuves écrites lorsque l’effectif, la pédagogie ou la matière enseignée le justifient.








Tableaux récapitulatifs
Semestre 1
UEElément constitutif (EC)HCC/TDTDTPAssidusDASession 2coefECTsECTs/UES1UE1Spectroscopie moléculaire fondamentale48 35 13CC EE337Synthèse organique 6025 20150,7CC+0,3TP0,7E+0,3TP0,7E+0,3TP44S1UE2Chimie organométallique3013 1340,7CC+0,3TP0,7E+0,3TP0,7E+0,3TP227Chimie de coordination5030 1280,7CC+0,3TP0,7E+0,3TP0,7E+0,3TP33Electrochimie309 11100,7CC+0,3TP0,7E+0,3TP0,7E+0,3TP22S1UE3Spectrométrie de masse2612 860,7CC+0,3TP0,7E+0,3TP0,7E+0,3TP115Spectroscopie RMN2012  80,7CC+0,3TP0,7E+0,3TP0,7E+0,3TP11Microscopies électroniques2514 470,7CC+0,3TP0,7E+0,3TP0,7E+0,3TP22Etude de la matière organisée3013 7100,7CC+0,3TP0,7E+0,3TP0,7E+0,3TP11S1UE4Polymères 4014 14120,7CC+0,3TP0,7E+0,3TP0,7E+0,3TP2267Matériaux stimulables, stockage de l'information40 30 100,7CC+0,3TP0,7E+0,3TP0,7E+0,3TP22Modélisation et spectroscopie théorique3015  150,5CC+0,5TP0,5E+0,5TP0,5E+0,5TP22S1UE5Anglais30   30CCEE115Techniques de communication scientifique126  60,5CC+0,5TP0,5E+0,5TP0,5E+0,5TP11Risques chimiques et réglementations10   10CCEE11Arts, science et société10   10CCEE11Management, entreprise, entreprenariat20   20CCEE1130
UEElément constitutif (EC)EvaluationcoefECTsECTs/UES2UE1Stage Rapport écrit, soutenance oral, avis de l'encadrant112930Séminaires de laboratoire  0130
Contenus des enseignements master 1

TotalC/TDTPSpectroscopie moléculaire fondamentale483513
La spectroscopie moléculaire est à l’origine de nombreux outils d’investigations dont l’omniprésence s’est imposée dans tous les laboratoires qu’ils soient industriels ou académiques. Il s’agit de définir les bases fondamentales de la spectroscopie moléculaire au travers d’un prisme structure-propriétés pour maîtriser les concepts de l’interaction lumière-rayonnement et la réactivité moléculaire soumise un rayonnement dans le domaine de l’infrarouge et de l’UV-visible. Un focus particulier sera porté sur la description quantique de systèmes moléculaires en adoptant un formalisme emprunté à la mécanique quantique, permettant de mieux décrypter l’intensité, l’énergie et la forme des transitions spectrales.
EC totalement mutualisable avec M1A3M
Modèle quantique de systèmes moléculaires (4h)
Approximations et partition
Niveaux d’énergie et fonctions d’onde
Interactions résonantes et non-résonantes
Modèle phénoménologique d’Einstein
Règles de sélection
Spectroscopie rotationnelle (5h)
Modèle du rotateur rigide, description quantique et classique
Fonctions d’onde rotationnelles et énergies de rotation
Spectres et règles de sélection
Ecart au modèle
Applications
Spectroscopie vibrationnelle (9h)
Modèle de l’oscillateur harmonique
Fonctions d’onde vibrationnelles et énergies de vibration
Spectres et règles de sélection
Ecart au modèle : anharmonicité, couplage rotation-vibration
Extension aux molécules polyatomiques
Applications
Spectroscopie électronique (2h)
Fonctions d’onde électroniques et OM
Processus d’absorption : règles de sélection
Loi de Beer-Lambert et relation microscopique-macroscopique
Applications
Emission résonante : fluorescence et phosphorescence (M1) – 15h
Processus de désactivation monomoléculaire, relation structure-propriétés
Dynamique et thermodynamique de l’état excité
Techniques et applications comme sondes pour l’environnement
Travaux pratiques (13h)
Apprentissage et description des divers appareillages
Spectroscopie en solution

TotalCTDTPSynthèse organique60252015
Principes de Réactivité et Orbitales Frontières : rappels de réactivité, contrôles thermodynamique et cinétique, postulat de Hammond, contrôle orbitalaire, théorie HSAB.
Réactions de cycloaddition (Diels-Alder, Huisgen, réactions péricycliques …)
Réactivité du groupement carbonyle : principes de réactivité, additions nucléophiles et chimiosélectivité (hydrures, organométalliques), addition de nucléophiles neutres ; réactivité associée à la labilité de l hydrogène en að (énols et énolates, aldolisation et cétolisation, condensations aldoliques croisées, crotonisation, réactions de Mannich, réactions de cyclisation (annulation de Robinson, condensations de Claisen et Dieckmann) ; réactivité des énones (structure orbitalaire, réaction de Michaël, additions d’organocuprates, additions 1,2 et 1,4)
Principe de création de liaison double et triple: réactions de Wittig, Horner-Wadsworth-Emmons, Corey-Fuchs, Bestmann-Ohira, Siegrist, Mac Murry, Knoevenagel
Bases de chimie hétérocyclique (hétérocycles azotés, oxygénés et soufrés)
Méthodes de fonctionnalisation : formylation en série aromatique, réaction de Mitsunobu, réaction d’estérifcation de Stieglich, réactifs chimiosélectifs de réduction et oxydation…
TotalCTDTPChimie organométallique3013134
Le programme de ce module se décompose comme suit :
- Les réactions de couplage croisé (catalysée Pd, Ni, Cu): Stille, Heck, Kumada, Sonogashira, Suzuki, Negishi, Buchwald-Hartwig : formation de liaisons C-N, C-O, C-S et C-P. Principe et exemples d’application.
Approfondissement du cycle catalytique avec compréhension fine des stratégies à adopter pour contourner une étape limitante.
-C-H activation
-Métathèse d’oléfines et d’alcynes
-Cycloaddition [2+2+2] catalysé par les métaux pour la construction de composés polycondensés aromatiques et hétéroaromatiques.

TotalCTDTPChimie de coordination5030128
L’objectif de ce module est d’aborder les aspects moléculaires de la chimie inorganique. Les fondements sont posés avec la présentation de la structure, des propriétés optiques et de la réactivité des complexes des métaux de transition. Cette approche est essentielle pour le développement des méthodes de synthèse et la compréhension des processus de transfert électronique.

EC1 Partie mutualisable M1ENR-CNANO : 8/3/0
1. Complexes de coordination :
Isomérie, stabilité et cinétique
2. Couleur et complexes de coordination :
Orbitales moléculaires et transferts de charge

EC2 Partie mutualisable M1 A3M : 13/7/8
1. Couleur et complexes de coordination : 8/4/0
Ion libre, termes spectroscopiques.
Théorie du champ cristallin avec corrélation électronique.
Transitions électroniques et règles de sélection.
2. Chimie organométallique des métaux de transition : 5/3/0
Les principaux ligands et leur classification en chimie organométallique, décompte électronique (modèles covalent, ionique, règle des 18 électrons). Les principales réactions en chimie organométallique (substitution, addition oxydante et élimination réductrice, insertion-migration, couplage oxydant). Application des complexes organométalliques en catalyse homogène (hygrogénation des oléfines, procédé alpha-butol, procédé Monsanto, Synthèse oxo).

TP1 : Synthèses et étude spectrale de complexes du vanadium (4h)
TP2 : Synthèse d’un complexe dinucléaire de chrome (II) à liaison métal-métal multiple (4h)

EC3 Partie non mutualisable : 8/3/0
Analogie isolobale :
Orbitales moléculaires et diagramme de Walsh
Fragments et orbitales frontières, règles de combinaisons, applications en chimie organique, inorganique et organométallique.

TotalCTDTPElectrochimie3091110
L’objectif de ce module est de fournir à l’étudiant des connaissances fondamentales et un ensemble d’outils nécessaires à la compréhension des processus électrochimiques. Trois points sont abordés dans ce module : le premier s’articule autour des notions générales de réactions électrochimiques, le deuxième présente les principales méthodes électrochimiques en régime stationnaire et dynamique. Le troisième point porte sur l’application de certaines techniques électrochimiques dans le domaine de la chimie analytique, de la photonique et électronique moléculaire et celui de l’énergétique.

EC1 Aspect énergétique et cinétique (mutualisable M1ENR-CNANO et M1A3M: 6/8/6)
Processus électrochimique, notions de potentiel et courant
Réactions de transfert d’électrons à l’interface électrode/solution électrolytique
Loi de Butler-Volmer, loi empirique de Tafel, détermination des paramètres cinétiques (± et k°) d une réaction électrochimique
Transport de matière : diffusion, convection et migration
Techniques ampérométriques à potentiel contrôlé, voltampérométrie cyclique en régime convectif (stationnaire) et régime de diffusion, chronoampérométrie et chronocoulométrie
Techniques ampérométriques à potentiel pulsé, voltampérométrie à impulsions constantes, voltampérométrie à vague carrée

TP1 : Analyse de la réponse électrochimique par la voltampérométrie cyclique : systèmes réversible, quasi-réversible et irréversible (3h)
TP2 : Ampérométrie stationnaire : limitation par la diffusion et la cinétique, estimation de la couche de diffusion (3h)

EC2 Introduction à la spectroscopie d’Impédance Electrochimique (mutualisable M1ENR-CNANO : 3/3/0)
Principes généraux de la spectroscopie d’impédance électrochimique 
Introduction à l’analyse des spectres d’impédance des systèmes électrochimiques

EC3 Non mutualisable spécifique à LUMOMAT : 0/0/6
Il s’agit ici de compléter la formation théorique par une approche expérimentale sous forme d’un mini-projet. Les étudiants travailleront sur une application du cours en relation directe avec des thématiques d’un laboratoire.
Exemple de sujet : Caractérisation par spectroscopie d’impédance électrochimique d’une photo-électrode pour une application photovoltaïque.

TotalCTDTPSpectrométrie de masse261286
Cet enseignement fournit les outils indispensables pour la caractérisation de molécules organiques à l’aide des différents spectromètres de masse utilisés à l’heure actuelle par les laboratoires.
Cours - TD
Introduction : place de la spectrométrie de masse dans le panel des techniques analytiques fondamentales
Principes généraux (masses exactes, nominales, principes physiques mis en jeu,...).
Présentation de l’instrumentation actuelle.
L’échantillonnage et les principales méthodes d’ionisation (EI, CI, MALDI, ESI,...) ainsi que les principaux couplages chromatographie-masse utilisés.
Règles de fragmentations essentielles pour l’étude des spectres (Coupure að, Mac Lafferty, Rétro Diels-Alder,...).

TD - TP
Présentation d un appareil de routine simple Quad.
Enregistrement de spectres sous impact électronique et ionisation chimique.
Etude de quelques molécules organiques.
Utilisation des bases de données et logiciels d’aide à l’élucidation de spectres.

Compétences acquises
Acquisition de connaissances théoriques et pratiques de base en spectrométrie de masse permettant l’analyse de petites molécules organiques.

TotalCTDTPSpectroscopie de résonnance magnétique nucléaire20128
Le but est d’apporter tous les outils nécessaires aux étudiants, afin qu’ils puissent déterminer la structure de molécules organiques par RMN à l’aide des techniques spectroscopiques RMN accessibles actuellement. Cet enseignement sera composé d’enseignement théorique et d’interprétations de spectres, depuis des exemples de RMN du 1H et du 13C complexes jusqu’à la RMN multi-impulsionnelle.

Approfondissement des notions d’interprétations de spectre : équivalence de déplacement chimique, équivalence magnétique, couplage au second ordre, influence des phénomènes dynamiques sur le spectre, RMN des noyaux peu abondants.

RMN multi-impulsionnelle : Echo de spin, découplage homonucléaire et hétéronucléaire, effet Overhauser, transfert d'aimantation, édition de spectres.

TotalCTDTPMicroscopies électroniques251447
L’objectif de ce module est de familiariser l’étudiant avec les techniques d’imagerie et analyse élémentaire à l’échelle submicrométrique jusqu’à l’échelle atomique, en partant de la préparation de l’échantillon jusqu’à l’interprétation des images et des spectres enregistrés. Ce module insistera sur la notion essentielle de contraste dans une image, son origine physique et sa manipulation de manière à éviter des artefacts expérimentaux conduisant à des erreurs d’interprétation. Les techniques classiques d’imagerie en microscopie électronique à balayage mais également plus complexes de microscopie électronique haute-résolution, ainsi que les avancées techniques récentes (tomographie électronique, cryo-microscopie, correcteurs d’aberrations) seront abordées.
A la fin du module, l’étudiant devra être capable de maîtriser le choix des techniques d’observation adaptées au matériau à analyser et à l’information recherchée, ainsi que celui de la méthode de préparation adaptée à la nature de cet échantillon, et d’interpréter les données acquises.

Préparation d’échantillon pour la microscopie électronique
Métallisation
Méthodes de polissage (mécanique, PIPS)
Ultramicrotomie
Découpes FIB
Cryo-préparation pour les bio-objets
Microscopie électronique à balayage (MEB)
Interaction électron-matière
Les divers modes d’imagerie. Microscope dual-beam.
L’analyse élémentaire par spectroscopie EDX ou WDX
Microscopie environnementale, couplage Raman
Microscopie électronique en transmission (MET)
Origine physique des contrastes dans une image
Imagerie en champ clair ou en champ sombre
Analyses élémentaires et cartographie chimique (EDX, STEM-EDX, EELS)
Imagerie à contraste chimique (EFTEM, HAADF)
Imagerie haute-résolution, caméras CCD, correcteurs d’aberrations
Tomographie électronique et cryo-microscopie
TotalCTDTPEtude de la matière organisée3013710
Les objectifs de cet enseignement visent à décrire et caractériser l’organisation de la matière. Cette organisation influe de manière considérable sur les performances électroniques, optiques ou magnétiques de matériaux fonctionnels, qu’ils soient organiques ou inorganiques. Elle est abordée au travers de modèles simples que sont les structures cristallines et étendues à quelques matériaux plus complexes. Après un rappel des notions de base de la symétrie cristalline, la théorie de la diffraction des rayons X est étudiée. Les techniques expérimentales d'étude structurale sur poudre et monocristaux sont abordées. Les notions de base de la diffraction électronique ainsi que de la diffusion aux petits angles sont aussi présentées.
Compte-tenu du contenu copieux de cette UE, un effort particulier est fait pour limiter le plus possible les développements mathématiques afin de dégager du temps pour donner un large panorama des applications de la diffraction des rayonnements à l'investigation structurale de la matière. Une part importante de cet enseignement est consacrée à des travaux pratiques qui consistent en l'utilisation des programmes de traitement des données de diffraction des rayons X sur poudre ainsi qu'une présentation des équipements de laboratoire.

EC1 Partie mutualisable M1ENR-CNANO : 10/3/0
Symétrie dans les cristaux : opérations de symétrie, groupes ponctuels, groupes d'espace
Diffraction des RX par un cristal : facteur de structure, facteur de forme, intensité des raies de diffraction,
construction d'Ewald
Diffraction par les poudres : loi de Bragg, paramètres de maille, exemples simples d'application
Utilisation des grands instruments : diffraction des neutrons et utilisation du rayonnement synchrotron en diffraction
Introduction à la diffraction électronique

EC2 Partie non mutualisable 3/4/10
Exemples d'utilisation des groupes d'espace appliqués aux composés moléculaires
Diffraction des rayons X par les poudres : applications à des composés organiques, cas des composés peu cristallisés
Détermination d'une structure cristalline par DRX : détermination du groupe d'espace, problème de la phase
Notions sur la technique de la diffusion aux petits angles et à ses applications
Travaux pratiques
Démonstration sur les équipements de laboratoire
Description d'une structure : groupe d'espace, positions des atomes dans la maille
Traitement de données de diffraction sur poudre.

TotalCTDTPPolymères40141412
Présenter les matériaux polymères organiques : définitions, spécificités et propriétés.
Présenter et illustrer les grandes voies d’accès aux polymères, les moyens d’atteindre le contrôle sur la structure et les dimensions des chaînes. Décrire les techniques de caractérisation spécifiques aux polymères.
Présenter et illustrer les principales relations structure / propriétés (thermiques & mécaniques) des matériaux polymères.
Introduction et Généralités :
Définitions - Notions de chaîne macromoléculaire et de polymère
Polymères synthétiques et polymères artificiels : polymérisation et modification chimique
Les processus de croissance de chaîne : polymérisation en chaîne et polycondensation
Structures et dimensions : enchaînements, tacticité, masses molaires moyennes, degré de polymérisation, dispersité.
Mesures des masses molaires et de la dispersité (introduction à la SEC et MS MALDI-TOF)
Quelques méthodes de synthèse des polymères
Polymérisation anionique vivante – Application à la synthèse des copolymères à blocs
Polycondensation
Polymérisation radicalaire conventionnelle
Introduction à la polymérisation radicalaire par désactivation réversible et à l’ingénierie macromoléculaire
Modification chimique.
Propriétés des solutions de polymère :
Conformation des macromolécules, influence des interactions à courte et longue portée
Thermodynamique des solutions de polymères : notion de qualité thermodynamique des solvants, régime de concentration.
Méthodes de caractérisation des polymères en solution : méthodes colligatives, viscosimétrie et SEC.
Propriétés physique et mécanique des polymères
Transitions thermiques des polymères (transition vitreuse, fusion, cristallisation)
Eléments d’élasticité caoutchoutique
Propriétés mécaniques
Eléments de mise en œuvre des polymèresTotalC/TDTPMatériaux stimulables, stockage de l’information403010
Certains matériaux organiques sont dits stimulables, c’est-à-dire, que sous excitation lumineuse, chimique ou redox par exemple, les molécules qu’ils contiennent subissent des modifications souvent géométriques qui changent alors leurs propriétés. Ce module décrit de nombreux matériaux stimulables et leurs propriétés et développe les applications correspondantes.

Stockage/codage de l’information par gravure optique (6h CM/TD, TP 3h)
Principes du codage/stockage de l’information – Etat de l’art
Techniques optiques de stockage de l’information par effets physicochimiques photoinduits
Photochimie et Photochromes (10h CM/TD, TP 3h)
Rappel sur les principes d’absorption et différence de réactivité état fondamental/ état excité.
Aspects pratiques de la photochimie (utilisation de photosensibilisateur, Appareillage, Lampes, les actinomètres…)
Photochimie des alcènes et des aromatiques (électro-cyclisation, cyclo-addition, photo-oxydation, substitution nucléophile,..)
Les groupements photolabiles (Norrish, photo- solvolyse, clivage par PET)
Les photochromes (définitions, classification, principales famille de photochromes)
Les Electrochromes (6h CM/TD)
Les Electrochromes organiques (couplage/dimérisation radicalaire, composé à valence mixte,..)
Les Electrochromes inorganiques
Applications des switchs (8h CM/TD, TP 4h)
Modulation de propriétés physioco-chimiques par stimulation externe
Mise en forme des matériaux (évaporation/ spincoating/ dispersion..)
Les grands principes de gravure (photolithographie, lithographie électronique, multi photonique ,.. 
TotalCTDTPModélisation et spectroscopie théorique301515
L’objectif de cet enseignement est de présenter les méthodes de calcul modernes, issues de la chimie quantique, permettant la modélisation de l’état fondamental et des états excités des molécules. L’aspect application sera particulièrement mis en avant, la moitié du temps du module étant organisée sous forme deTP. L’enseignement sera constitué de trois parties. La première reprendra les concepts de base à travers leur application à un système atomique de la mécanique quantique (équation de Schrödinger pour H) puis s’intéressera ensuite à la maîtrise de ces méthodes, basées sur la fonction d’onde, pour la modélisation d’un état fondamental dans un système polyélectronique (champ moyen). La seconde partie portera sur les méthodes basées sur la densité électronique pour la modélisation d’un état fondamental (théorie de la fonctionnelle de la densité). Finalement, la troisième partie traitera des différentes méthodes théoriques permettant de simuler les états excités.

EC1 Mutualisable avec M1 A3M
Le modèle quantique de l’atome : application à l’atome d’hydrogène (M1) – 6h
Axiomes de la mécanique quantique
L’hamiltonien
Niveaux d’énergies et fonction d’onde (OA)
Le cas des atomes polyélectroniques (M1) – 4h
La répulsion inter-électronique et approximation du champ moyen
Le système séculaire et le principe variationnel
Le spin de l’électron et le principe de Pauli, déterminant de Slater
Introduction à la méthode Hartree-Fock (M1) – 5h
Les intégrales biélectroniques, l’opérateur de Fock
L’énergie totale du système et le théorème de Koopman
La méthode SCF sur base des orbitales atomiques, Roothan
Considération pratiques : bases d’OA (STO, GTO, canoniques, non canoniques) analyses de population
Travaux pratiques (M1) – 15h
Utilisation de grands logiciels de calculs moléculaires
Réalisation et interprétation de calculs sur des systèmes moléculaires de complexité croissante
Calculer en autonomie, exploiter et interpréter ses résultats
TP projet sur le calcul des états excités par TD-DFT (en lien avec d'autres modules)

TotalCTDTPAnglais3030
Les 30h de travaux pratiques d’anglais ont pour but de permettre aux étudiants de continuer à approfondir les 4 compétences en langue (compréhension écrite et orale, expression écrite et orale) à travers des documents divers et variés (articles scientifiques, extraits de films, de documentaires, podcasts...). Des révisions lexicales et grammaticales sont effectuées le cas échéant. Il a également pour objectif de préparer les étudiants à différentes certifications en anglais existantes, avec en ligne de mire le niveau B2 du Cadre Européen Commun de Référence en Langues (CECRL). Pour ce faire, le travail s’articulera surtout autour de la communication professionnelle et scientifique.

TotalCTDTPTechniques de communication1266
Les deux modules de 10h (M1 puis M2) consacrés aux techniques de communication et à l’apprentissage de la conduite de projet ont pour objectif commun de présenter aux étudiants les enjeux, les théories et les méthodes de la communication que ce soit dans la perspective d’une intégration recherche et pour leur insertion professionnelle.
La première année est consacrée à l’introduction aux concepts et aux théories de la communication : la communication de groupe ; la conduite de réunion ; la préparation d'un débat, d'une présentation, d'une conférence ; la prise de parole ; entraînement et improvisation ; le verbal et le non-verbal ; la parole et le corps ; l'attitude ; la voix ; le regard ; les gestes. Elle se focalise aussi sur une approche « privé » : environnement et communication (problématique, notions, débats) ; approche de la communication institutionnelle des organisations (entreprises, collectivités territoriales, associations) ; la communication de crise (histoire, concepts, stratégies) ; études de cas ; jeux de rôles (pour mettre les étudiants en situation de choisir une stratégie de communication).
Aussi bien en M1 qu’en M2, une aide à la préparation des rapports et oraux d’immersion scientifique (semestres impairs) pourra être donnée grâce au contenu et à la forme de ces séances.

TotalCTDTPRisques chimiques et réglementations1010
Le découpage de ce moule permet aux étudiants qui le suivent d’acquérir des notions de gestion des risques dans l'entreprise et :
D’identifier les risques chimiques industriels et environnementaux.
De connaître la politique de gestion des risques de l'entreprise en fonction de son environnement.
De connaître et appliquer des notions réglementaires et normatives
D’étudier et évaluer les mesures de prévention et de protection et leurs coûts financiers
D’assurer la pérennité des dispositifs de prévention et de protection
d’étudier les normes

TotalCTDTPArt, sciences et société1010
La chimie a des ramifications dans tous les aspects de notre société et peut être réinvestie pour mieux réinterpréter notre vie quotidienne et son histoire. Des exemples liant chimie, art et société seront choisis et discutés.

TotalCTDTPManagement, entreprise, entreprenariat2020
Les enseignements de ce module permettront aux étudiants de mieux comprendre le fonctionnement d’une entreprise et la manière dont on la pilote. Pour ce faire, les enseignements seront répartis de la manière suivante :
L’entreprise et son organisation
Contexte économico-organisationnel de l’entreprise
Début de l’organisation industrielle (Taylor),
Nouveau découpage des responsabilités dans l’entreprise (Fayol),
Prise en compte des ressources humaines (Mayo).
L’évaluation dans l’entreprise
Positionnement d’un jeune diplômé (cadre débutant) dans l’organisation de l’entreprise
Communication
Quelques principes de communication
La communication dans l’entreprise
Communication orale,
Communication écrite,
Application : Utilisation des outils lors d’un stage en entreprise.
Principe de base de management en position hiérarchique, en position fonctionnel
Initiation au projet
Principes de base
Introduction à la planification
Notions d’enchainement des taches,
Notions de jalon,
Chemin critique,
Suivi d’un projet (Gantt suivi),
Replanification,
Gestion des délais

Stage
Les stages de M1 puis d’intégration professionnelle de M2 n’ont pas les mêmes attendus. Le premier se veut comme un stage de découverte du milieu professionnel alors que le second correspond à une spécialisation et à une préprofessionnalisation (vers la recherche ou l’industrie). Ils sont tous validés non seulement à partir d’un mémoire de stage assorti d’une soutenance orale en face d’un jury mais aussi par l’évaluation de l’encadrant.
En M1, le stage dure un minimum de 8 semaines et peut se prolonger jusqu’à 6 mois. Les stages de M1 se font préférentiellement dans le milieu industriel. Une insertion dans un des laboratoires partenaire du projet est également possible sur proposition d’un chercheur ou enseignant-chercheur.
La recherche de stage est préparée en amont via entre autre les modules transversaux de technique de communication. Chaque étudiant bénéficie d’un suivi individuel pendant son stage par un tuteur universitaire qui complète le travail du maitre de stage rattaché, lui, à la structure d’accueil.

Séminaires de laboratoire
Tout au long du temps de présence des étudiants sur le site, les laboratoires d’accueils organisent des séminaires internes et accueillent des conférenciers étrangers au d’autres laboratoires français. Certaines des conférences seront obligatoires pour les étudiants du master LUMOMAT. D’autres leur seront spécifiquement destinées. La présence à ces présentations (parfois assortie de préparations spécifiques, lectures de publications, préparations de questions en équipes…) sera obligatoire et validée (via un cahier de présence) par un ECTs.



LMD – Règles communes de contrôle des connaissances et des aptitudes

Texte voté par le Conseil d’Administration de l’université, dans sa séance du 30 janvier 2004, après avis favorable
du Conseil des Etudes et de la Vie Universitaire du 22 janvier 2004 et du Conseil Scientifique du 26 janvier 2004.
Texte modifié par le Conseil d’Administration de l’université, dans ses séances du 22 septembre 2006, du 6 juillet
2007, du 21 septembre 2007, du 4 juillet 2008 et du 5 juillet 2010.
Les présentes règles communes de contrôle des connaissances s’inscrivent dans le cadre réglementaire national
défini par les textes suivants :
Décret n° 2002-481 du 8 avril 2002 relatif aux grades et titres universitaires et aux diplômes nationaux ;
Arrêté du 25 avril 2002 relatif au diplôme national de Master ;
Arrêté du 7 août 2006 relatif à la formation doctorale.
* Pour le niveau M, les dispositions existantes avant la publication des arrêtés du 25 avril 2002 étant abrogées, les
nouvelles modalités s’y substituent.
Ces règles communes sont à compléter par les dispositions spécifiques mentionnées dans le règlement propre à
chaque formation. Toutes font partie intégrante du dossier d’habilitation.
Université de Nantes - LMD : règles communes de contrôle des connaissances et des aptitudes

CYCLE M
L’organisation du master est semestrielle, sa validation est annuelle.

Article 16 - Inscription
L’inscription administrative est annuelle, conformément aux dispositions nationales.
Pour une année de formation avec semestre d’orientation, l'inscription pédagogique est faite en début d'année
universitaire pour le premier semestre et avant la fin du premier semestre pour le second semestre, avec possibilité de
modifications au plus tard dans le mois qui suit le début du semestre d’enseignement concerné.
Dans les autres cas, l’inscription pédagogique est faite en début d’année universitaire pour les deux semestres, avec
possibilité de modifications, au plus tard dans le mois qui suit le début du semestre d’enseignement.
Le nombre d’inscriptions en M1 n’est pas limité.

Article 17 - Sessions
Les aptitudes et l’acquisition des connaissances sont appréciées par un contrôle continu et régulier et/ou par un
examen terminal. Le contrôle continu consiste en un minimum de deux évaluations.
En M1 les examens sont obligatoirement organisés à l’issue de chaque semestre d’enseignement.
Sauf réglementation spécifique des modalités de contrôle des connaissances propres à chaque master, deux sessions
de contrôle des connaissances sont organisées pour chaque semestre.

Article 18 - ECTS
Les crédits ECTS (European Credits Transfert System : système européen de transfert de crédits) sont affectés aux
UE (Unité d’Enseignement). Il n’y a pas d’affectation au niveau des EC (Elément constitutif).
Les crédits ECTS sont répartis par points entiers.
NB : ces règles concernent les formations conduisant à la délivrance d’un diplôme national français. Des crédits
ECTS, le cas échéant par demi-points, peuvent être attribués au niveau des EC dans le cadre des échanges
internationaux (Erasmus notamment).

Article 19 - Validation – capitalisation- compensation
Sous réserve de l’existence de « notes planchers » (cf. paragraphe concerné), les règles suivantes s’appliquent :
Une unité d’enseignement est acquise :
– dès lors que la moyenne des éléments constitutifs qui la composent, affectés de leurs coefficients, est égale ou
supérieure à 10/20. Elle est alors définitivement acquise et capitalisée, sans possibilité de s’y réinscrire. Elle est
transférable dans un autre parcours.
ou
– par compensation au sein du semestre ou au sein de l’année. Elle est alors définitivement acquise et capitalisée,
sans possibilité de s’y réinscrire. En revanche, elle n’est pas transférable dans un autre parcours, exception faite des
passerelles prévues et définies dans le dossier d’habilitation des formations concernées.
Université de Nantes - LMD : règles communes de contrôle des connaissances et des aptitudes

Un élément constitutif d’une UE n’est pas capitalisable d’une année universitaire sur l’autre. Les règles de
conservation, d’une session à l’autre d’une même année, des résultats d’un EC sont précisées dans le règlement
propre à chaque formation.
Une année d’études est validée :
– dès lors que l’étudiant valide chacune des UE qui la composent (moyenne d’UE égale ou supérieure à 10/20).
ou
– par compensation entre les différentes UE qui la composent (moyenne des moyennes d’UE, affectées de leurs
coefficients, égale ou supérieure à 10/20).

Article 20 - Notes planchers
Le règlement propre à chaque formation peut définir l’existence de notes planchers pour les enseignements
fondamentaux. Ces notes planchers peuvent concerner une UE, un groupe d’UE ou un semestre. Dans le cas où
l’étudiant obtient une note inférieure à la note plancher définie, les conséquences sont les suivantes :
– l'UE ou les UE concernées ne peuvent être validées, quelle que soit leur moyenne ;
– la compensation au sein de l’année ne peut être effectuée.
L’étudiant doit à nouveau se présenter à l’UE ou aux UE non validées.

Article 21 - Progression - redoublement
Le redoublement en M2 n’est pas de droit. Il est subordonné à la décision du jury.

Article 22 - Jury
Un jury est nommé par année d’études.
Le jury délibère et arrête les notes des étudiants au minimum à l’issue de chaque session de chaque année d’études. Il
se prononce sur l’acquisition des UE et la validation de l’année, en appliquant le cas échéant les règles de
compensation (cf. paragraphe concerné).
L’existence de la possibilité ou non de « points de jury » est précisée dans le règlement propre à chaque formation.
L’existence ou non de « points bonus » est précisée dans le règlement propre à chaque formation.

Article 23 - Obtention du diplôme intermédiaire de maîtrise
Sans demande expresse de l’étudiant, la validation du M1 entraîne de droit l’obtention de la maîtrise.
En cas d’obtention, le diplôme est systématiquement édité.

Article 24 - Obtention du diplôme final de master
La validation du M2 entraîne de droit l’obtention du master.

Article 25 - Mentions de réussite
La délivrance ou non de mentions est précisée dans le règlement propre à chaque formation.
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4
La moyenne prise en compte pour l’attribution d’une mention est celle de la dernière année du diplôme :
– moyenne générale du M1 dans le cadre de l’obtention de la maîtrise.
– moyenne générale du M2 dans le cadre de l’obtention du master.
Attribution de la mention Assez bien : moyenne générale égale ou supérieure à 12/20.
Attribution de la mention Bien : moyenne générale égale ou supérieure à 14/20.
Attribution de la mention Très bien : moyenne générale égale ou supérieure à 16/20.

Article 26 - Inscription par transfert (valable pour le M1 uniquement)
Les modalités de prise en compte du parcours réalisé par l’étudiant dans l’établissement d’origine sont définies par le
règlement propre à chaque formation.

Article 27 - Inscription par validation d’acquis (décret du 23 août 1985), validation des acquis de
l’expérience (décret du 24 avril 2002) ou validation d’études supérieures accomplies en France ou à l’étranger
(décret du 16 avril 2002)
La validation d’enseignement se fait par UE entières, sous la forme de dispenses, sans note. Les crédits ECTS
correspondants sont acquis. En revanche ces UE n’entrent pas dans le calcul de la compensation.

Article 28 - Absence
Le traitement de l’absence aux épreuves de contrôle des connaissances est défini dans le règlement propre à chaque
formation.
Une absence à un examen terminal ne peut donner lieu à une épreuve de remplacement.

Article 29 - Régime spécial (modifié par le CA du 5 juillet 2010)
Ce régime inclut :
– des modalités pédagogiques spécifiques : a minima l’étudiant concerné bénéficie d’une dispense d’assiduité aux
enseignements ; d’autres dispositions peuvent être prévues par le règlement propre à chaque formation (suivi
pédagogique particulier, soutien, etc.) ;
– des modalités spécifiques de contrôle des connaissances et des aptitudes : l’étudiant concerné bénéficie d’une
dispense des épreuves de contrôle continu. Par conséquent, toutes les épreuves de contrôle des connaissances sont
organisées sous forme d’examens terminaux. L’étudiant peut également demander à bénéficier de l’étalement de sa
formation en réalisant chaque année d’études en deux années universitaires. Dans ce cas, au titre de chaque année
universitaire il s’inscrit aux UE de son choix de l’année d’étude. Chaque année universitaire doit comprendre 2 UE
au minimum. Le jury ne statue sur la validation de l’année d’études, en appliquant le cas échéant les règles de
compensation, qu’à l’issue des deux années universitaires.




Master 2.

La plus grande part des enseignements du M2 est assurée sur le site d’Angers conjointement par des équipes pédagogiques mixtes des deux Universités. Quelques cours et TP spécifiques (environ 1 semaine) sont dispensés à la faculté des Sciences de Nantes.
Le stage de M2 dure 6 mois. Il est donne lieu à un rapport de stage qui est évalué ainsi qu’à une soutenance qui donne également lieu à un échange avec le jury. La note de stage dépend des appréciations du jury sur le rapport écrit et la soutenance ainsi que de l’avis du maitre de stage (grille d’évaluation et discussion éventuelle lors de l’oral ou avec le tuteur).
Au sein d’un semestre :
Un élément constitutif (EC) est acquis dès lors que sa moyenne est supérieure ou égale à 10 (hors séminaire non noté).
Une unité d’enseignement est acquise dès lors que sa moyenne est supérieure ou égale à 10. Un EC non acquis dans cette UE est obtenu par compensation et ne peut donner lieu à seconde session.

La seconde année de master est validée à partir d’une moyenne coefficientée des notes obtenues aux deux semestres S1 et S2 :

Note de M2 = [(S3=enseignements disciplinaires 30ECTs)*30 + (S4=note de stage, 29 ECTs)*15]/45

Pour obtenir son diplôme, l’étudiant doit atteindre une note terminale avant stage d’au moins 10/20 (moyenne du S1) et une note de stage d’au moins 10/20. Sont validés, les étudiants qui ont validé chaque Unité d’Enseignement (UE) ou qui compensent entre UE (moyenne >=10).

Sont diplômés du master LUMOMAT, les étudiants ayant validé 60 ECTs dans le master (M1+M2) ou admis sur dossier en M2 et ayant validé les 30 ECTs correspondants.

Les étudiants n'ayant pas validé leur année peuvent redoubler et conserver les UE validées et lorsqu’une UE est constituée d’éléments constitutifs (EC) validant des ECTs, conserver les EC dans lesquels ils ont obtenu la moyenne.

Les examens réservés aux dispensés d’assiduité (DA) et examens de seconde session durent 1h30 par défaut. En seconde session des oraux pourront remplacer des épreuves écrites lorsque l’effectif, la pédagogie ou la matière enseignée le justifient.










Tableaux récapitulatifs
Semestre 3
UEElement constitutif (EC)HCC/TDTDTPAssidusDASession 2coefECTsECTs/UES3UE1Anglais10   10CC EE114Technique de communication10   10CC EE11Arts, science et société10   10CCEE11Chimiométrie, plan d'expérience2012 8 CCEE11S3UE2Modélisation et spectroscopie théorique 3015  150,5CC+0,5TP0,5E+0,5TP0,5E+0,5TP225Spectroscopie moléculaire avancée, Photophysique42 26 160,7CC+0,3TP0,7E+0,3TP0,7E+0,3TP33S3UE3Projet tutoré30   30Rapport écrit et soutenance orale227Ingénierie moléculaire des systèmes pi-conjugués308 1480,7CC+0,3TP0,7E+0,3TP0,7E+0,3TP22Chimie supramoléculaire4025 780,7CC+0,3TP0,7E+0,3TP0,7E+0,3TP33S3UE4Spectroscopie de cœur, microscopie chp proche2512 670,7CC+0,3TP0,7E+0,3TP0,7E+0,3TP227Matériaux moléculaire/hybrides/nanomatériaux6030  300,5CC+0,5TP0,5E+0,5TP0,5E+0,5TP44Bioimagerie2016  40,7CC+0,3TP0,7E+0,3TP0,7E+0,3TP11S3UE5Formulation3010 10100,7CC+0,3TP0,7E+0,3TP0,7E+0,3TP227Surfaces modifiées, interfaces, couches minces20 16 40,7CC+0,3TP0,7E+0,3TP0,7E+0,3TP11Techniques électrochimiques dérivées20 16 40,7CC+0,3TP0,7E+0,3TP0,7E+0,3TP11Electronique organique4020 10100,7CC+0,3TP0,7E+0,3TP0,7E+0,3TP3330Semestre 4
UEElément constitutif (EC)EvaluationcoefECTsECTs/UES4UE1Stage Rapport écrit, soutenance oral, avis de l'encadrant112930Séminaires de laboratoire  01 Contenus des enseignements master 2

TotalCTDTPArt, sciences et société1010
La chimie a des ramifications dans tous les aspects de notre société et peut être réinvestie pour mieux réinterpréter notre vie quotidienne et son histoire. Parmi tant d’autre, on peut détailler deux exemples.
La synthèse des pigments bleus dans l’art pourra faire l’objet d’un TP projet en partant du bleu égyptien et en allant jusqu’au bleu de Klein.
Dans un autre exemple on se proposera de réécrire un classique de la cuisine non pas sous forme de recette mais sous par un protocole scientifique qui précisera réactions et évolutions physico-chimiques.

TotalCTDTPTechnique de communication1010
Les deux modules de 10h (M1 puis M2) consacrés aux techniques de communication et à l’apprentissage de la conduite de projet ont pour objectif commun de présenter aux étudiants les enjeux, les théories et les méthodes de la communication que ce soit dans la perspective d’une intégration recherche et pour leur insertion professionnelle.
En M2, l’enseignement, qui s’adresse autant aux étudiants issus du M1 qu’à d’autres français ou étrangers recrutés directement en seconde année se focalise sur la communication scientifique (pour le public ou le privé) : la rédaction d'un rapport de stage, d'un article scientifique, d'un document pédagogique ; les moyens de la communication didactique (poser une question, donner une réponse, présenter une explication) ; les outils de la communication pédagogique (concevoir un poster, rédiger une plaquette, utiliser un rétro-projecteur, un vidéo-projecteur, un tableau interactif).
Aussi bien en M1 qu’en M2, une aide à la préparation des rapports et oraux d’immersion scientifique (semestres impairs) pourra être donnée grâce au contenu et à la forme de ces séances.

TotalCTDTPAnglais1010
Les publics du M2, intégralement enseigné en anglais, sont divers. Certains étudiants auront obtenu la certification en fin de M1 et continueront à approfondir les 4 compétences en langue (compréhension écrite et orale, expression écrite et orale). Des remédiations seront organisées pour ceux qui en M1 ont échoué à ces certifications. Ces dernières feront appel aux 10h de présentiel mais aussi aux facilités numériques mises en place, entre autre, par l’équipe pédagogique d’anglais de la faculté des Sciences.
Enfin, une partie des étudiants de M2 pouvant être d’origine étrangère, une attention particulière sera apportée à leur suivi en langue afin d’assurer leur bonne intégration (personnelle et pédagogique).

TotalCTDTPChimiométrie, plan d’expérience20128
Que ce soit en recherche, en conception ou en production, des expériences pour rechercher l'influence de tel ou tel facteur sur les performances d'un produit ou l'obtention d'un résultat sont nécessaires. Les "plans d'expériences" apportent une solution permettant de réduire considérablement le nombre d'expériences à réaliser par rapport aux méthodes traditionnellement employées et, paradoxalement, la précision des résultats se trouve fortement accrue.
Cette technique très puissante est assez ancienne, mais son développement a été limité du fait d'une certaine complexité. Actuellement elle se développe beaucoup grâce aux améliorations récentes qui ont permis une utilisation beaucoup plus simple et efficace avec notamment l'apport de Taguchi
PRÉSENTATION DU SUJET
Définition du plan d’expériences, but, intérêt technique et économique
Aperçu sur la conduite d’un plan d’expériences
L'EFFET ET LES FACTEURS
les relations de cause à effet et leur représentation
LA VALIDITÉ DES RÉSULTATS
le tableau d'analyse de la variance
la variance résiduelle
LA PRÉCISION DES RÉSULTATS
LES PLANS D’EXPÉRIENCES
le plan factoriel
les plans 2p, les plans fractionnaires, les plans Taguchi et les graphes linéaires
la recherche de la robustesse (Taguchi) à partir du rapport signal sur bruit (notions)
les règles de construction d’un plan
la “randomisation”
LA CONDUITE D'UN PLAN D’EXPÉRIENCES
la préparation, le choix des facteurs
la recherche du plan avec utilisation des graphes de Taguchi
la conduite du plan
l’analyse des résultats, les conclusions et le suivi

TotalC/TDTP Spectroscopie moléculaire avancée et photophysique422616
Il s’agira d’étendre les connaissances abordées en M1 aux processus bimoléculaires d’échange d’énergie électronique ou d’électron et aux processus d’interaction lumière-matière non résonants (diffusion Raman, optique non linéaire) à l’origine de nombreux phénomènes naturels ou recherchés (photothérapie des cancers, afficheurs OLEDs, photosynthèse, dynamique des protéines, laser doublé…). Ces théories ont été à l’origine du développement de nombreux outils d’analyse et de caractérisation de la matière (spectrofluorimètre, spectromètre Raman, microscopie de génération de seconde harmonique) dont la sensibilité surpasse celle de la majorité des analyses couramment effectuées. L’enseignement sera constitué de trois parties, mêlant fondamentaux et domaines d’application.

Emission non résonante : spectroscopie Raman et processus non linéaires – 10h
Principe de la spectroscopie Raman
Raman de résonance
Ouverture sur la spectroscopie non-linéaire (génération de second harmonique, émission par absorption biphotonique)
Techniques et applications comme sondes pour la santé

Photophysique avancée de l’état excité en solution et à l’état solide – 10h
Processus de désactivation bimoléculaire (modèle de Stern-Volmer)
Transfert d’énergie électronique
Transfert d’électron
Techniques de suivi ultra-rapides
Applications à la photoréactivité

Relations spectroscopie microscopique et optique macroscopique - 4h
Relation structures moléculaires - phénomènes macroscopiques (réfraction, absorption, diffusion)
Application des spectroscopies en microscopie (confocal, Raman, épifluorescence)
Principales sources de lumière (source blanche, LED, diode laser, LED, laser) : matériaux et caractéristiques temporelles et spectrales

Travaux pratiques – 16h
Apprentissage et description des divers appareillages
Caractérisations et mesures des propriétés photophysiques en solution et film mince
TP projet sur l’utilisation de microscopes pour la caractérisation de composés/matériaux moléculaires photoactifsTotalCTDTPModélisation et spectroscopie théorique301515
L’objectif de cet enseignement est de présenter les méthodes de calcul modernes, issues de la chimie quantique, permettant la modélisation de l’état fondamental et des états excités des molécules. L’aspect application sera particulièrement mis en avant, la moitié du temps du module étant organisée sous forme de TP. L’enseignement sera constitué de trois parties. La première reprendra les concepts de base à travers leur application à un système atomique de la mécanique quantique (équation de Schrödinger pour H) puis s’intéressera ensuite à la maîtrise de ces méthodes, basées sur la fonction d’onde, pour la modélisation d’un état fondamental dans un système polyélectronique (champ moyen). La seconde partie portera sur les méthodes basées sur la densité électronique pour la modélisation d’un état fondamental (théorie de la fonctionnelle de la densité). Finalement, la troisième partie traitera des différentes méthodes théoriques permettant de simuler les états excités.

Introduction à l’étude de la corrélation électronique (M2) - 5h
Définition de la corrélation (statique et dynamique), trou de Fermi et trou de Coulomb
Au-delà de Hartree-Fock : méthodes des perturbations et interactions de configurations.

Introduction à la théorie de la fonctionnelle de la densité (DFT) (M2) – 5h
Densité électronique et Hamiltonien
Théorèmes de Hohenberg et Kohn
Méthode de Kohn et Sham
Fonctionnelles d'échange-corrélation

Introduction aux calculs des états excités (M2) – 5h
Transition électronique
L’approximation adiabatique
Théorie de la fonctionnelle de la densité dépendante du temps (TD-DFT)
Méthodes alternatives pour les états excités

Travaux pratiques (M2) – 30h
Utiliksation de grands logiciels de calculs moléculaires
Réalisation et interprétation de calculs sur des systèmes moléculaires de complexité croissante
Calculer en autonomie, exploiter et interpréter ses résultats
TP projet sur le calcul des états excités par TD-DFT (en lien avec d'autres modules)

TotalCTDTP Projet tutoré3030
Lors du projet tutoré les étudiants seront immergés par groupes de 2 ou 3 au sein du laboratoire de recherche d’accueil. Après travail de recherche bibliographique et validation par leur tuteur d’un projet incluant au moins des thématiques fortes et complémentaires de deux équipes de recherche différentes, ils monteront leur plan d’expérience et effectueront les manipulations/calculs/analyses correspondantes. Ce projet devra se déroulé de la manière la plus autonome possible. Les étudiants pourront faire appel aux personnels dans leur apprentissage du maniement technique des appareillages. L’encadrement sera assuré par le tuteur.
Au terme du projet, chaque groupe rendra un compte rendu commun décrivant ses investigations, analyses et conclusions. Chaque étudiant fera en sus un focus sur un point qui l’a particulièrement intéressé à travers une présentation vidéoprojetée (en anglais) individuelle qui donnera lieu à un échange avec les enseignants.



TotalCTDTPChimie supramoléculaire402578
Les interactions intermoléculaires sont à l’origine de nombreuses structures complexes qui expriment des fonctions élaborées, car la complexité d’une structure matérielle est la caractéristique qui lui permet de manifester des performances nouvelles. Ce module vise à aborder les bases conceptuelles de cet axe moderne de la chimie, centré sur l’utilisation des interactions non covalentes. L’objectif est de montrer aux étudiants l’implication de la chimie supramoléculaire dans la science des matériaux et notamment pour la fabrication explicite de structures organisées exprimant des fonctions complexes (récepteurs moléculaires, machines moléculaires, enzymes artificiels, système pour la conversion de l’énergie solaire etc…). Une première partie comporte la fabrication et la caractérisation de récepteurs moléculaires de façon à amener l’étudiant à appréhender les différentes interactions moléculaires faibles, identifier leur intervention dans la construction d’édifices récepteur/invité pour progressivement comprendre, contrôler et les mettre en œuvre dans les mécanismes de reconnaissance moléculaire. L’utilisation explicite de la reconnaissance moléculaire est aussi un moyen puissant de construction d’édifices covalents complexes (topologie moléculaire : nœuds, caténanes, rotaxanes, etc…) ou supramoléculaires à partir de composants moléculaires simples. L’auto-assemblage de briques moléculaires correctement informées est une stratégie de choix pour la conception et la fabrication spontanée de structures nanométriques (bottom-up). Différents exemples fondés sur des édifices constitués d’interactions par liaisons hydrogène ou de coordination illustreront le rôle clef de l’information moléculaire pour former des entités supramoléculaires discrètes ou polymoléculaires infinies 1D, 2D et tridimensionnelles (ingénierie moléculaires). Il s’agit de démontrer comment, par une approche transversale portée par différentes facettes de la chimie (synthèse organique, chimie de coordination, spectroscopies, chimie physique) et souvent inspirée de processus biologiques, il est possible de maîtriser le monde à l’échelle nanométrique, par exemple par la conception d’objets supramoléculaires hautement sophistiqués, dont le degré de complexité ne peut être atteint par des voies de synthèse covalente traditionnelle. Cet enseignement vise aussi stimuler la créativité des étudiants pour en intégrer les concepts dans différents domaines d’application. Une dernière partie sera consacrée à l’utilisation de la chimie supramoléculaire pour construire des systèmes fonctionnels complexes qui permettent la transformation de l’énergie lumineuse en énergie chimique (photosynthèse artificielle). Après l’étude de l’appareil photosynthétique biologique et en s’appuyant sur les bases de photophysique et d’électrochimie enseignées dans les modules précédents, ce cours explorera les différentes approches abiotiques de conception de systèmes multi-composants pour réaliser la photo décomposition de l’eau en oxygène et hydrogène avec la lumière solaire.

De la chimie moléculaire à la chimie supramoléculaire
Concepts, exemples illustratifs.

Reconnaissance moléculaire
Nature des interactions mises en jeu
Récepteurs moléculaires et leurs domaines d’application (Podands, éthers-couronnes, cryptands, sphérands, calixarènes, cyclophanes, cryptophanes, carcérands, cyclodextrines…)
Stratégies générales de synthèse de systèmes macrocycliques
Méthodes physico-chimiques d’évaluation des constantes d’association
Catalyse supramoléculaire
Reconnaissance moléculaire de l’état de transition
Exemples d’enzymes supramoélculaires artificiels

Auto-assemblages
Exemples de système pilotés par liaison hydrogène et et liaison de coordination (hélicates, grilles, macrocycles).
Nanoscience, approche bottom-up.
Polymères et gels supramoléculaires

Effet template ou de matrice
Exemples de synthèse d’objets topologiques complexes (nœuds, caténanes, rotaxanes, etc…)
Machines moléculaires rotatifs et en translation.

Effet template ou de matrice
Exemples de synthèse d’objets topologqiues complexes (nœuds, caténanes, rotaxanes, etc…)
Description de l’enzyme de l’ATP-synthase,
Moteurs moléculaires rotatifs et en translation.
:
Photosynthèse artificielle
La photosynthèse naturelle : centre réactionnel photosynthétique (CRP) et antenne collectrice d’énergie
Systèmes biomimétiques du CRP et des antennes
Systèmes photocatalytiques moléculaires avec agents sacrificiels
Photoélectrocatalyse avec semi-conducteurs petit gap ou photosensibilités
Systèmes photocatalytiques tandem

TotalCTDTPIngénierie moléculaire des systèmes pi-conjugués 308148
Les grandes familles de composés pi-conjugués électro- et photoactifs utilisés en électronique organique seront présentées. Ce module portera principalement sur la synthèse et la fonctionnalisation de systèmes moléculaire et macromoléculaire. L’influence de cette dernière sur les propriétés physico-chimiques de ces espèces sera aussi abordée.

Grandes classes de « building-blocks » et de systèmes pi-conjugués donneurs ou accepteurs d’électron :
Nanocarbones : fullerènes, nanotubes et graphène
Pérylène, naphtalène, porphyrines, phtalocyanines
Pigments (dicétopyrrolopyrrole, isoindigo, Bodipy etc …)
Thiophène, furane, pyrrole, dithiénopyrrole, fluorène, carbazole, phénylènevinylène, phénylèneéthynylène …

Conception, synthèse, réactivité et fonctionnalisation de ces monomères/hétérocycles
Conception et synthèse des systèmes conjugués étendus (oligomères et polymères à faible bande interdite)
Analyse des relations structure/propriétés et intérêts de ces composés
Matériaux électro- et photoactifs : approche « verte » (ressources de la biomasse, procédés plus propres, coût d’une synthèse sur l’environnement) et approche industrielle (industrialisation des procédés, contraintes, règles, coût …)

TotalCTDTP Spectroscopies de cœur et microscopie en champ proche251267
L’objectif de ce module est d’une part de compléter la formation de l’étudiant sur les techniques de microscopies déjà abordées en M1. Il se focalisera cette année sur les techniques de microscopies avancées telles que les microscopies X (STXM, tomographie), et les microscopies en champ proche (AFM, STM, SNOM) pour atteindre des informations (dimensions, forme, composition, structuration) à l’échelle nanométrique. D’autre part, les spectroscopies X ou électroniques, parfois en association à ces microscopies, seront étudiées. Le but sera alors de bien cerner les avantages de ces techniques comme compléments de caractérisations des matériaux.

Spectroscopies X et électroniques
Spectroscopies dans les microscopes électroniques : EELS et EDX
Spectroscopie d’absorption X au synchrotron : XANES et EXAFS
Spectroscopie de caractérisation de surfaces : XPS et Auger

Microscopies utilisant les rayons X
Imagerie et cartographie : STXM
Développement de la tomographie X

Microscopies en champ proche
AFM : mode contact (c-AFM), non-contact (nc-AFM), contact intermittent (t-AFM), forces latérales (lf-AFM), interactions spécifiques, courbes de force
SNOM : Le champ proche optique, principe de fonctionnement, type de montages, résultats expérimentaux
STM : mode topographique (I-V constant ou hauteur de pointe constante) et spectroscopique à effet tunnel (STS)

TotalCTDTPMatériaux moléculaires, hybrides, nanomatériaux 603030
Ce module vise à présenter les grandes familles architecturales de matériaux fonctionnels et de nanomatériaux, communément rencontrés dans des applications en photonique (protections optiques, électronique organique, détection par résonance plasmon de surface) ou en santé notamment au travers de la nanomédecine (diagnostic, thérapie). Un focus tout particulier sera porté sur la fabrication de systèmes hybrides dont la présence s’impose dans nombre de secteurs en raison de la complémentarité apportée par les briques organiques et inorganiques constitutives. Seront abordées les principales méthodes de couplage des entités complémentaires ainsi que les techniques et les démarches expérimentales à adopter pour caractériser la composition et la structure des édifices hybrides obtenus.

1. Matériaux hybrides (20h) :
Le concept hybride, définitions et stratégies de synthèse (sol-gels, greffage, auto-assemblage, intercalation, coordination)
Les grandes familles de matériaux hybrides (Polymères de Coordination (CPs ou MOFs), polyoxométallates hybrides, halométallates, phosphonates) et relations structure cristalline-propriétés (luminescence, photo- et électrochromisme, multiferroïques,….)

2. Matériaux moléculaires (20 h) : (introduction des lanthanides ?)
Molécules à Couche ouverte : - Radicaux neutres, stabilisation, délocalisation - Systèmes redox à 2 étapes (Würster, Weitz) - Complexes organométalliques à ligands non innocents - Interactions de recouvrement dans le solide - Dimère à valence mixte, matériaux 1D - structures de bande - Transition de Peierls
Initiation aux techniques expérimentales en magnétisme (RPE, magnétométrie, RMN) (4h) – Introduction à la RPE, Rappels de magnétisme, loi de Curie, ferro-, antiferro- magnétisme moléculaire
Approches top-down/bottom-up ; bistabilité moléculaire

3. Nanomatériaux (20 h) :
Définition, historique, classification
Nanoparticules inorganiques et organiques : les différents procédés de synthèse (réduction métallique, croissance sur germe, auto-assemblage, micro-émulsion)
Stabilisation colloïdale et fonctionnalisation (dopage, greffage, évaluation)
Nanoparticules pour le diagnostic (nanoparticules magnéto- et photo-actives) et multimodalité pour des applications en thérapie (bioconjugaison, devenir dans l’organisme)

TotalCTDTPBioimagerie 20164
La bioimagerie, de plus en plus développée pour appréhender des mécanismes biologiques et/ou suivre des agents thérapeutiques in vivo ou in vitro, fait appel à des systèmes moléculaires ou à des nanomatériaux spécialement conçus pour répondre aux stimuli employés. Elle offre l’avantage d’être non invasive en raison d’interactions à distance entre l’agent imageur et le stimulus (lumière, champ magnétique, radioactivité). Il s’agira de présenter trois grandes méthodes, parmi les plus répandues et communément utilisées, que sont la microscopie d’émission, l’imagerie par résonance magnétique (IRM) et la scintigraphie (notamment la tomographie d’émission de positons (TEP)) au travers de la structure et des propriétés physico-chimiques des agents utilisés. Une visite sera programmée pour chacune des instrumentations présentées.

Microscopie optique linéaire et non-linéaire
Domaine spectral et structure moléculaire
Principaux agents d’imagerie en fluorescence/phosphorescence
Techniques non-linéaires : une excitation dans le proche IR

Imagerie par résonance magnétique
Principes et contrastes
Agents de contraste (relaxation, susceptibilité, transfert de saturation par échange chimique, hétéro-noyaux)
Applications en IRM moléculaire

Scintigraphie
Rappel des processus radioactifs et notions de radioprotection
Critères des RN adaptés aux applications en médecine nucléaire
Sondes moléculaires : choix et propriétés
Imagerie TEP et applications

Table ronde : à la croisée des techniques d’imagerie : limites et complémentarités

TotalCTDTPFormulation 30101010
La formulation est une science pluridisciplinaire qui consiste à associer matières actives ou principes actif et auxiliaires de formulation (excipients, additifs…) pour conduire à un mélange répondant à un cahier des charges précis. Après un retour sur la physico-chimie des milieux dispersés (mousses, émulsions…) et sur les méthodes analytique connexes (spectroscopies, rhéologie…), un focus sera consacré aux mélanges pour l’électronique organique. Une partie des enseignements sera dispensée près de Nantes par les personnels et sur le site principal d’ARMOR©, spécialiste mondial de la chimie des encres et des procédés d’impression.

Entreprise/Groupe
Activités/Marchés
Technologies : focus sur nos activités de développement de modules photovoltaïques organiques
Savoir-Faire
Technique :
La formulation :
Généralités 
Les composants classiques des mélanges
Procédés de formulation (solubilisation, broyage, dispersion, …)
Grandeurs caractéristiques et méthodes de caractérisation (solubilité, interfaces, Comportement rhéologique, granulométrie…)
Procédés de mise en œuvre des mélanges :
Techniques d’enduction (Slot-die, héliographie, flexographie, sérigraphie …) et d’impression (jet d’encre…) utilisées en électronique imprimée (Slot-die, héliographie, flexographie …)
Séchage / Recuit (thermique/ photonique)
Méthodes de caractérisation des couches minces : spectroscopie, ellipsométrie, profilométrie, microscopie optique et électronique, …)
Méthodologique :
Organisation des métiers ARMOR
Travail en mode « projet »
Cahier des charges
Plans de mélange et plans d’expérience (aperçu car déjà abordé par ailleurs dans le master)

Stratégie & Projets (s’il reste du temps)
Stratégie d’Innovation
Exemples de projets innovants ARMOR

TotalC/TDTPSurfaces modifiées, capteurs électrochimiques 20164
L’objectif de ce module est d’étudier les surfaces modifiées sur le plan de leur élaboration, de leur caractérisation électrochimique et de leurs applications dans le domaine de l’électronique et de la photonique organiques.

Procédés de modification d’électrodes
Electropolymérisation
Couches de Langmuir-Blodgett
Monocouches autoassemblées
Caractérisation des surfaces modifiées par électrochimie et par impédance.
Etude du comportement des surfaces modifiées suite à une activation par un stimulus électrique, chimique ou optique
Exemples d’applications
Capteurs - Biocapteurs
surfaces photostimulables : interrupteurs moléculaires
photovoltaïque
Diodes électroluminescentes OLED
Electrocatalyse

TP : Préparation d’un capteur électrochimique. Caractérisation du capteur par électrochimie et impédance. Etude de son comportement en réponse à un stimulus chimique et/ou optique.

TotalC/TDTPTechniques électrochimiques dérivées20164
Bases de l’électrochimie en solution, électrodes modifiées :

microscopie électrochimique SECM
Principes de fonctionnement
Propriétés des microélectrodes
Modes d’utilisation
Principales applications (imagerie de surface, étude de cinétiques réactionnelles, modification localisée de surface, étude de systèmes biologiques)
Spectroélectrochimie
Principe
photocourant, modulation, photovoltage
détermination : temps de vie électrons-trous, coefficient de diffusion
Application à l’étude de matériaux organiques
Microbalance à cristal de quartz :
principes de fonctionnement et modes d'utilisation : suivi de prise de masse in-situ
couplage électrochimie/QCM : électro-dépôts, électro-greffage, électro-sorption
caractérisation des surfaces électro-actives

Ellipsométrie
Principe : propagation des ondes électromagnétiques dans un milieu, biréfringeance
Application : étude de matériaux actifs en électronique et photonique organique

TP : Les travaux pratiques pourront être menés sous forme de projets qui consisteraient en la caractérisation de matériaux différents en utilisant l’ensemble des techniques vues dans ce module.

TotalCTDTPElectronique organique 40201010
Les matériaux organiques semi-conducteurs sont devenus des constituants incontournables dans le domaine de l’électronique souple et bas coût. Ils interviennent dans trois domaines technologiques clefs à très fort potentiel de développement industriel. Il s’agit des systèmes électroluminescents pour l’éclairage et l’affichage (OLED), les cellules photovoltaïques et les transistors à effet de champ. Ce cours a pour objectifs : i) de présenter les grandes classes de systèmes conjugués, leurs propriétés et leurs méthodes de caractérisation, ii) d’établir des relations structures/propriétés et iii) de décrire le principe de fonctionnement des composants électroniques incorporant de tels matériaux ainsi que les lois qui gouvernent leurs efficacités. Les méthodes physiques de mesures des performances et d’études de ces dispositifs seront également introduites afin de donner une vision globale de la conception la fabrication en passant par l’évaluation des propriétés des dispositifs électroniques précités.

Introduction aux systèmes conjugués pour l’électronique organique
Propriétés électroniques et optiques des systèmes conjugués : à l’état dopé (conducteur) et l’état neutre (semi-conducteur)
Détermination des niveaux HOMO et LUMO et construction du diagramme énergétique d’un dispositif
Analyses des relations structure-propriétés
Etude et caractérisation des propriétés d’auto-organisation à l’état solide

Diodes électroluminescentes organiques
Principe de fonctionnement
Matériaux actifs et optimisation
Méthodes d’élaboration et études des composants et des dispositifs

Cellules solaires organique
Principe de fonctionnement
Matériaux actifs et optimisation
Méthodes d’élaboration et études des composants et des dispositifs
-
Cellules solaires hybrides à colorant
Principe de fonctionnement
Matériaux actifs et optimisation
Méthodes d’élaboration et études des composants et des dispositifs
-
Transistors à effet de champ.
Principe de fonctionnement
Matériaux actifs et optimisation
Méthodes d’élaboration et études des composants et des dispositifs


Stage
Les stages de M1 puis d’intégration professionnelle de M2 n’ont pas les mêmes attendus. Le premier se veut comme un stage de découverte du milieu professionnel alors que le second correspond à une spécialisation et à une préprofessionnalisation (vers la recherche ou l’industrie). Ils sont tous validés non seulement à partir d’un mémoire de stage assorti d’une soutenance orale en face d’un jury mais aussi par l’évaluation de l’encadrant.

En M2, un stage d’intégration professionnelle d’au moins 20 semaines, véritable tremplin vers l’emploi ou la thèse, est à réaliser au cours du semestre 4. Ce stage est réalisé soit en laboratoire de recherche, soit en entreprise. Dans le premier cas il se déroule préférentiellement au sein d’un des laboratoires d’accueil de la spécialité. Il peut aussi être réalisé à l’étranger, par exemple au sein d’un laboratoire académique partenaire d’un laboratoire d’accueil, après accord réciproque. Dans le cas des stages en entreprise, le lieu et le sujet du stage, qui est recherché par l’étudiant, sont préalablement validés par les responsables du master. Ces stages sont évalués sur la base d’un rapport écrit, de la défense à l’oral des travaux et d’une note du directeur de stage. Le jury d’évaluation est composé d’un tuteur universitaire, d’un rapporteur universitaire et du responsable du suivi au quotidien du stagiaire dans la structure d’accueil (entreprise ou université).


Séminaires de laboratoire
Tout au long du temps de présence des étudiants sur le site, les laboratoires d’accueils organisent des séminaires internes et accueillent des conférenciers étrangers au d’autres laboratoires français. Certaines des conférences seront obligatoires pour les étudiants du master LUMOMAT, d’autres leur seront spécifiquement destinées. La présence à ces présentations (parfois assortie de préparations spécifiques, lectures de publications, préparations de questions en équipes…) sera obligatoire et validée (via un cahier de présence) par une ECTs.



Règles communes de contrôle des connaissances

Les présentes règles communes de contrôle des connaissances s’inscrivent dans le cadre réglementaire national défini par les textes suivants :
Décret n° 2002-481 du 8 avril 2002 relatif aux grades et titres universitaires et aux diplômes nationaux ;
Arrêté du 25 avril 2002 relatif au diplôme national de master ;
* Pour le niveau M, les dispositions existantes avant la publication de l’arrêté du 25 avril 2002 étant abrogées, les nouvelles modalités s’y substituent.
Ces règles communes sont à compléter par les dispositions spécifiques mentionnées dans le règlement propre à chaque formation. Toutes font partie intégrante du dossier d’habilitation.

Dispositions votées au CEVU du 23 octobre 2012 et actualisées au CEVU du 15 avril 2013

Préalable : L’organisation du master est semestrielle. Les examens sont obligatoirement organisés à l’issue de chaque semestre d’enseignement.

Inscription
L’inscription administrative est annuelle, conformément aux dispositions nationales. L’inscription pédagogique est faite par semestre. Le nombre d’inscriptions en M1 n’est pas limité.

Validation – capitalisation – compensation
Sous réserve de l’existence de « notes planchers » (cf. paragraphe concerné), les règles suivantes s’appliquent :
· Un élément constitutif d’une UE n’est pas capitalisable d’une année universitaire à l’autre.
Les règles de conservation, d’une session à l’autre d’une même année, des résultats d’un EC sont précisés dans le règlement propre à chaque formation.
· Une unité d’enseignement est acquise par compensation des éléments constitutifs qui la composent, affectés de leur coefficient. Elle est alors définitivement acquise et capitalisée, sans possibilité de s’y réinscrire et confère un nombre de crédits européens préalablement défini.
Une unité d’enseignement peut être compensée au sein du semestre de référence et permet l’obtention de ce semestre. Elle n’est pas acquise pour un autre parcours.
· Un semestre est validé dés lors que l’étudiant valide chacune des UE qui le composent (moyenne de l’UE égale ou supérieure à 10/20) ou par compensation entre ces UE (moyenne des moyennes des UE affectées de leurs coefficients, égale ou supérieure à 10/20).
Il n’y a aucune contrainte particulière sur les coefficients affectés aux UE pour le calcul de la moyenne semestrielle. A défaut c’est le nombre d’ECTS par UE qui fait office de coefficient.
Un semestre acquis est capitalisable et confère 30 crédits européens.
Un semestre peut être compensé au sein d’une année de référence (M1, M2) pour permettre l’obtention de l’année M1, M2.
· Une année (M1 ou M2) est validée après la 2ème session des deux semestres dès lors que la moyenne des deux semestres la composant est supérieure ou égale à 10.
La compensation est donc possible aux différents niveaux suivants :
- au sein de l’UE, entre les différents EC ou entre les différentes épreuves de l’UE ;
- au sein du semestre entre les différentes UE du semestre ;
- au sein de l’année M1, M2 entre les deux semestres la composant après la 2ème session.

Notes planchers
Le règlement propre à chaque formation de M1 et M2 peut définir l’existence de notes planchers pour une ou plusieurs UE, ou pour un semestre, sous réserve de délibération contraire du jury.
Dans le cas où l’étudiant obtient une note inférieure à la note plancher définie, les conséquences sont les suivantes :
- l’UE concernée ne peut être validée, quelle que soit sa moyenne ;
- la compensation au sein du semestre ne peut être effectuée.
- la compensation au sein de l’année ne peut être effectuée ;
L’étudiant doit à nouveau se présenter à l’UE et à toutes les UE inférieures à 10 (la compensation ne se calculant pas).
En revanche, les modalités de progression (cf. paragraphe concerné) demeurent inchangées.

ECTS
Les crédits ECTS (European credits transfer system : système européen de transfert de crédits) sont affectés aux UE (Unités d’enseignement) et aux EC (Eléments constitutifs) en nombre entier.

SESSIONS
Pour les étudiants assidus, les aptitudes et l’acquisition des connaissances sont appréciées par un contrôle continu et régulier, par des dossiers de travail, des mémoires ou par un examen terminal. Le contrôle continu consiste en un minimum de deux évaluations effectuées pendant le semestre.
Pour les étudiants dispensés d’assiduité, le contrôle se fait exclusivement par des examens terminaux ou dossiers ou mémoires (sauf dispositions particulières).
L’organisation d’une session de rattrapage est obligatoire en M1 et M2 :
Deux sessions de contrôle des connaissances sont organisées pour chaque semestre. La session initiale a lieu à la fin de chaque semestre. La session de rattrapage a lieu à la fin du second semestre pour le 1er semestre juste après la session initiale du 2nd semestre. En septembre pour le 2nd semestre. (sauf dispositions particulières votées au sein de l’UFR)
L’obligation est faite à l’étudiant de se présenter en session de rattrapage à toutes ses épreuves, sinon il est déclaré défaillant et dans ce cas il ne peut conserver sa note d’UE de 1ère session (Il n’y a pas conservation de note d’épreuve ou de matière).
Dans le cadre d’un semestre non validé, l’étudiant repasse en session de rattrapage tous les éléments constitutifs pour lesquels la note obtenue est inférieure à 10 dans les UE non acquises.
La note attribuée en session de rattrapage à une UE est la meilleure des deux notes de cette UE entre la session initiale et la session de rattrapage. Si l’étudiant a été défaillant en session initiale, seule sa note de session de rattrapage est prise en compte.

Progression – redoublement
L’inscription en M2 n’est pas de droit sauf dans le cadre de la mise en place d’un contrat pédagogique qui assure la sécurisation du parcours. Dans ce cas, la validation du M1 est requise pour l’inscription en M2.
Le redoublement en M2 n’est pas de droit. Il est subordonné à la décision du jury.

Jury
Un jury est nommé par année d’études (M1, M2). Il se réunit à l'issue de chaque semestre.
Il se prononce sur l’acquisition des EC et des UE, la validation des semestres en appliquant le cas échéant les règles de compensation (cf. paragraphe concerné).
Au semestre pair (semestre 2 et semestre 4), le jury se prononce également sur la validation de l'année et du diplôme.
A la demande de l’étudiant, il pourra être délivré une attestation de réussite de diplôme (maîtrise, master) en dehors des jurys de diplôme.

Obtention du diplôme intermédiaire de maîtrise
Sans demande expresse de l’étudiant, la validation du M1 entraîne de droit l’obtention de la maîtrise.
En cas d’obtention, le diplôme est édité suite à la demande écrite de l’étudiant avant une date fixée annuellement par les composantes.

Obtention du diplôme final de master
La validation du M2 entraîne de droit l’obtention du master.

Mentions de réussite
Les conditions de mentions sont précisées dans le règlement propre à chaque formation.
La moyenne prise en compte pour l’attribution d’une mention est celle de la dernière année du diplôme :
- moyenne générale du M1 (semestres 7 et 8) dans le cadre de l’obtention de la maîtrise.
- moyenne générale du M2 (semestres 9 et 10) dans le cadre de l’obtention du master.

Inscription par transfert (valable pour le M1 uniquement)
Les modalités de prise en compte du parcours réalisé par l’étudiant dans l’établissement d’origine sont définies par le règlement propre à chaque formation.

Inscription par validation d’acquis professionnels (décret du 23 août 1985), validation
des acquis de l’expérience (décret du 24 avril 2002) ou validation d’études supérieures accomplies en France ou à l’étranger (décret du 16 avril 2002)
La validation d’enseignements se fait par UE entières, sous la forme de dispenses, avec attribution d’une note, dans la mesure du possible. Les crédits ECTS correspondants sont acquis.

Absence
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