Déplacement des objets sur un plan incliné
III.1.3- Propriétés de conduction protonique des PEEKs ...... Malheureusement
aucun résultat chiffré n'est rapporté à ce sujet. ...... Par ailleurs ces auteurs
montrent que des traces de métaux, dues à une contamination lors de la ......
Gierke, T. D.; Munn, G. E.; Wilson, F. C. The morphology in Nafion perfluorinated
membrane ...
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ollège PAGEREF _Toc49506255 \h 11
HYPERLINK \l "_Toc49506256" 1.2.2 Le concept dénergie, de vitesse, de force et de plan incliné dans lenseignement scientifique au collège PAGEREF _Toc49506256 \h 12
HYPERLINK \l "_Toc49506257" 1.3 Lenseignement des sciences physiques au Lycée PAGEREF _Toc49506257 \h 13
HYPERLINK \l "_Toc49506258" 1.3.1 Le modèle et la modélisation dans lenseignement scientifique au lycée PAGEREF _Toc49506258 \h 15
HYPERLINK \l "_Toc49506259" 1.3.2 Le concept dénergie, de vitesse, de force et de plan incliné dans lenseignement scientifique au lycée PAGEREF _Toc49506259 \h 16
HYPERLINK \l "_Toc49506260" Conclusion PAGEREF _Toc49506260 \h 21
HYPERLINK \l "_Toc49506261" Annexe A2 : Analyse qualitative de déplacement dobjets sur un plan incliné PAGEREF _Toc49506261 \h 22
HYPERLINK \l "_Toc49506262" Résumé PAGEREF _Toc49506262 \h 23
HYPERLINK \l "_Toc49506263" Introduction PAGEREF _Toc49506263 \h 23
HYPERLINK \l "_Toc49506264" 2.1 La situation problématique PAGEREF _Toc49506264 \h 23
HYPERLINK \l "_Toc49506265" 2.2 la représentation mentale du problème construit par les experts et les novices PAGEREF _Toc49506265 \h 24
HYPERLINK \l "_Toc49506266" 2.3 Analyse qualitative PAGEREF _Toc49506266 \h 27
HYPERLINK \l "_Toc49506267" 2.4 Analyse - traitement PAGEREF _Toc49506267 \h 29
HYPERLINK \l "_Toc49506268" 2.4.1 Stratégie dynamique cinématique PAGEREF _Toc49506268 \h 29
HYPERLINK \l "_Toc49506269" 2.4.2 Stratégie énergie-cinématique (le principe de la conservation de lénergie mécanique) PAGEREF _Toc49506269 \h 31
HYPERLINK \l "_Toc49506270" 2.4.3 Théorème de lénergie cinétique PAGEREF _Toc49506270 \h 32
HYPERLINK \l "_Toc49506271" 2.4.4 Existence de frottements PAGEREF _Toc49506271 \h 33
HYPERLINK \l "_Toc49506272" CONCLUSION PAGEREF _Toc49506272 \h 34
HYPERLINK \l "_Toc49506273" ANNEXES A3 : La physique par limage PAGEREF _Toc49506273 \h 36
HYPERLINK \l "_Toc49506274" 3.1 Questionnaire avec la physique par limage PAGEREF _Toc49506274 \h 37
HYPERLINK \l "_Toc49506275" 3.2 Les grilles danalyses de La Physique par limage PAGEREF _Toc49506275 \h 39
HYPERLINK \l "_Toc49506276" 3.3 Comparaison : expériences réalisées physiquement / expériences représentées sur lécran de lordinateur PAGEREF _Toc49506276 \h 81
HYPERLINK \l "_Toc49506277" ANNEXES A4 : ModelsCreator PAGEREF _Toc49506277 \h 83
HYPERLINK \l "_Toc49506278" 4.1 Questionnaire avec ModelsCreator PAGEREF _Toc49506278 \h 84
HYPERLINK \l "_Toc49506279" 4.2 Grilles danalyses de modelscreator PAGEREF _Toc49506279 \h 88
HYPERLINK \l "_Toc49506280" ANNEXES A5 : les figures représentant les interfaces des logiciels en couleur PAGEREF _Toc49506280 \h 105
ANNEXE A1: La modélisation et les concepts fondamentaux de mécanique dans les programmes scolaires français en sciences physiques
Résumé
Ce chapitre présente la façon dont sont abordés la modélisation et les concepts fondamentaux de mécanique concernant la situation du plan incliné dans les programmes officiels et les manuels scolaires. Cette analyse est menée sur le programme et les manuels du CE2 (début de lenseignement scientifique) jusquà la terminale scientifique. Lobjectif est de mettre évidence les différentes étapes de lapprentissage de la modélisation et de ces concepts.
Nous avons analysé lemploi des notions de modèle et modélisation en étudiant les différentes définitions ainsi que les parties des programmes et manuels scolaires dans lesquels ces notions apparaissent. Ensuite, les concepts, principes et lois qui concernent la situation du dépalcement dun objet sur un plan incliné (energie, force, lois de Newton, etc.) sont analysés. Pour ce faire, nous avons procédé à létude des définitions, des parties du programme et des manuels impliquant ces notions, lanalyse de lintroduction des concepts et des exercices proposés dans les manuels.
Introduction
Nous présentons la modélisation et les concepts fondamentaux de mécanique dans les programmes scolaires français en sciences physiques pour pouvoir évaluer les réponses des élèves à nos questions lors de lexpérimentation au regard des connaissances acquises à lécole. La modélisation peut être vue (du point de vue cognitif) comme un processus d'élaboration d'une représentation (explicite, communicable, "calculable") qui ne relève pas seulement d'activités cognitives individuelles. En effet, les concepts mobilisés dépendent des connaissances transmises à lécole. Par conséquent, la modélisation implique nécessairement un rapport de l'individu à la norme et le partage de savoirs..
Nous discuterons de linitiation à la modélisation, considérant quelle commence dès lécole primaire dans le but de former les élèves à la démarche scientifique et technologique.
1.1 Lenseignement scientifique à lécole primaire
Lenseignement des sciences débute en CE2. Daprès les programmes officiels, « lenfant doit acquérir les connaissances et les compétences fondamentales qui lui permettront daccéder à la maîtrise intellectuelle et pratique du monde. Cet enseignement a pour objectif de faire acquérir les méthodes propres à la démarche scientifique (observer, analyser, expérimenter, puis représenter) et technologique (concevoir, fabriquer, transformer). Il vise également à développer les qualités correspondantes : objectivité, sens de la preuve et du projet,
» (ministère de léducation nationale de la recherche et de la technologie: HYPERLINK "http://www.education-gouv.fr" www.education-gouv.fr). Les instructions officielles précisent que « lélève doit apprendre à construire des problèmes, à formuler des hypothèses, à expérimenter et à raisonner à partir d'observations pour parvenir aux solutions » (Guichard J. XE "Guichard ." & Zana XE "Zana" B., 1999). Les élèves apprenrennent à poser des questions, chercher des réponses et conduire leurs actions, à en prévoir les résultats, à anticiper les événements et à les expliquer par la parole ou par un codage. Les fonctions cognitives des modèles sont diverses (représenter, expliquer, communiquer, convaincre, prévoir, etc.) (Weil-Barais XE "Weil-Barais" , 2002). Les élèves sont initiés dès lécole primaire à la modélisation.
A la fin du cycle III, lenfant doit être capable de :
- faire des observations à partir de dispositifs construits en classe ;
- utiliser des objets techniques ;
- isoler une variable et mettre en place des expériences pertinentes ;
- faire des mesures des phénomènes étudiés ;
- présenter les résultats à laide de graphiques, de courbes et de schémas ;
-interpréter, argumenter et discuter une preuve.
Lélève apprend en sappuyant sur des images ou sur des situations qui lui sont familières, et en utilisant des objets techniques usuels. Il observe, manipule, compare, classe et construit. Peu à peu, il acquiert un vocabulaire et une syntaxe scientifique. Nous savons que les expériences réalisées par les élèves dans le monde réel, la manipulation des objets et les actions sur les objets, jouent un rôle fondamental. A partir de leurs activités et des connaissances dont ils disposent, les enfants construisent des représentations mentales pour rendre compte de régularités (les schèmes) (Vergnaud XE "Vergnaud" , 1987, 1993). A partir du monde réel, ils apprennent peu un peu la méthode scientifique et lutilisation dun langage spécifique.
1.1.1 Le modèle et la modélisation dans lenseignement scientifique à lécole primaire
Un savoir scientifique correspond à des connaissances construites à partir de lobservation de ce qui nous entoure, et de la réflexion qui en découle, complétée par des nouvelles investigations qui peuvent prendre des formes différentes : observation, expérimentation, élaboration des modèles, recherche documentaire (cf. J. Guichard XE "Guichard" , 1998). Il est important de mettre les élèves en situation de recherche car cela leur permet dapprendre à observer, à expérimenter, à modéliser, à construire.
Certains ouvrages destinés aux enseignants présentent les modèles en précisant quils peuvent être de différentes natures et avoir des fonctions différentes. Les modèles peuvent être des objets de type maquette ou modèle réduit, des schémas figurant les relations entre éléments dun corps ou paramètres dune situation, des analogies ou des structures abstraites dont certaines sont mathématiques. Les modèlent permettent de décrire, dexpliquer ou de prévoir. Cest une construction de lesprit qui ambitionne, en se substituant à la réalité, den expliquer certains aspects. De plus, ils ont une utilité heuristique (promouvoir de nouvelles recherches) et une utilité didactique (faire comprendre).
Le terme modèle ne figure pas dans les manuels scolaires des élèves (partie « cours »). Par contre, dans les fiches dactivités que lenseignant donne aux enfants, on rencontre les termes modèles, schémas, schématisation, montage et dispositifs.
Même si le terme de modèle na pas encore été définit, lélève le rencontre à partir du CE2. Les modèles quils rencontrent font plutôt référence aux maquettes. Les fonctions du modèle apparaissent aussi de façon implicite : il sert à décrire (système solaire), à expliquer et à prédire (les élèves utilisent les modèles pour tester leurs hypothèses). Soulignons que lélève est initié à la manipulation de nombreux systèmes symboliques comme les dessins, les schémas, les courbes et les graphiques. Un savoir scientifique correspond à des connaissances construites à partir de lobservation du monde qui nous entoure.
1.1.2 Le concept dénergie et de plan incliné dans lenseignement scientifique à lécole primaire
Lénergie est un concept difficile à construire parce que ce terme est employé dans divers domaines : économique, écologique, dans le langage quotidien, etc. Ils existent donc différentes acceptions au mot énergie. La compérehension du terme énergie pour les élèves est souvent influencée par le langage courant.
Le concept dénergie est introduit en CE2. Lélève doit prendre conscience quon a besoin dénergie pour vivre, pour salimenter, etc. Selon le programme scolaire, les objectifs notionnels sont :
Lutilisation dune source dénergie est nécessaire pour chauffer, éclairer, mettre en mouvement.
Les différentes sources dénergie.
Principe de production de lénergie : sources naturelles.
On na rien sans rien, tout se transforme.
Notion de chaîne de transformation énergétique.
Consommation dénergie et économie dénergie.
Les sources dénergie sont liées à lusage : se déplacer, faire fonctionner, donner un mouvement, se chauffer, ou chauffer, etc. Au niveau de lécole élémentaire, on explique à lélève que lénergie est nécessaire pour quun objet puisse se déplacer et on décrit les formes de lénergie : énergie mécanique (mettre en mouvement), énergie chimique (pile) et énergie thermique (chaleur). Puis lélève va apprendre les chaînes de transformation énergétique (G. Lemeignan XE "Lemeignan" & A. Weil-Barais XE "Weil-Barais" , 1993).
On explique que lhomme invente des machines simples comme la poulie ou le plan incliné (etc.) pour multiplier la force et transformer lénergie. Le concept de plan incliné est introduit en CM2 lorsque lélève étudie les chaînes énergétiques. A la fin du cycle, lenfant doit être capable de lire un schéma de principe de production, danalyser un graphique, dexpérimenter, de rectifier le langage courant par un langage scientifique.
1.2 Lenseignement des sciences physiques au collège
Lenseignement des sciences physiques au collège a, entre autres, les objectifs suivants :
Il entend développer chez les élèves des éléments de culture scientifique qui sont nécessaires dans la vie contemporaine.
Au travers de la démarche expérimentale, il doit former les esprits à la rigueur, à la méthode scientifique, à la critique et à lhonnêteté intellectuelle.
Il doit former au raisonnement, tant quantitatif que qualitatif.
Il doit montrer que les activités expérimentales ont une place essentielle.
Lordinateur est un outil privilégié pour le traitement des données, de la simulation ainsi que de la modélisation. Il ne peut en aucun cas se substituer à lexpérience directe, dont il sera le serviteur (Ministère de l'Education Bulletin Officiel de l'Education Nationale BO N°10 du 15 oct. 1998 - Physique-chimie série scientifique).
A la fin du collège, lélève va acquérir des méthodes nécessaires pour sa vie quotidienne, notamment en ce qui concerne lesprit expérimental. Il va apprendre à sinformer, à observer, à raisonner, à formuler des hypothèses, à réaliser une démarche expérimentale, à manipuler, à mesurer, à modéliser et à communiquer dans un domaine scientifique en utilisant divers représentations (écrits, langagières, dessins, schémas).
A lissue du cycle central (5e 4e ) des collèges, lélève doit également être capable de construire un graphique à partir de données, interpoler une valeur par un graphique donné, faire le schéma dune expérience réalisée et inversement (par exemple, réaliser un circuit électrique simple à partir de son schéma normalisé).
1.2.1 Le modèle et la modélisation dans lenseignement scientifique au collège
Dans une approche historique les élèves peuvent prendre conscience que le modèle de latome est le fruit de plusieurs recherches scientifiques. A partir dobservations quotidiennes, létude expérimentale de quelques propriétés de substances courantes comme leau permet de dégager lorganisation de la matière et de la modéliser. Un premier modèle particulaire apparaît pour interpréter les propriétés physiques de la matière et la distinction entre mélange et corps pur (en quatrième). A la suite, le modèle moléculaire explique les trois états (gazeux, liquide, solide). Enfin, le modèle précédent est amélioré en présentant la molécule comme constituée datomes pour expliquer la réaction chimique. Le professeur rappelle quun modèle ne prétend pas décrire une réalité objective. Il a seulement une valeur explicative limitée dans un champ dapplication déterminé. Le concept de charge électrique est introduit en troisième pour présenter un modèle de latome plus élaboré et pour expliquer la conduction du courant électrique dans les métaux et dans les solutions.
Le modèle simple proposé « ne prétend pas être une représentation définitive de la réalité : lélève doit savoir quil rencontrera dans la suite de ses études des modèles de latome plus élaborés, plus performants en ce sens quil permettent de rendre compte dun plus grand nombre de faits expérimentaux » (Ministère de l'Education Bulletin Officiel de l'Education Nationale BO N°10 du 15 oct. 1998 - Physique-chimie série scientifique).
Deux autres modèles qui existent explicitement sont le modèle du rayon lumineux et le modèle du système solaire qui peut être réalisé par lélève (Propagation rectiligne de la lumière).
Le modèle et la modélisation existent également explicitement dans le domaine de lélectricité. Les élèves réalisent des activités qui impliquent un montage électrique, un dessin, une schématisation (représentation codée) et une analogie hydraulique ou mécanique.
1.2.2 Le concept dénergie, de vitesse, de force et de plan incliné dans lenseignement scientifique au collège
Un vocabulaire relatif à lénergie est introduit en troisième. Dabord, lénergie est présentée comme le produit des combustions dans les parties comportement chimique de quelques matériaux et les matériaux dans lenvironnement. Dans les manuels scolaires, lénergie apparaît dans « le chapitre » de lélectricité, de la vie quotidienne (surtout pour décrire les appareils électriques) et de la lumière et limage (pour expliquer la formation dune image en termes de concentration dénergie).
En troisième, lorsque les élèves étudient le mouvement et les forces, on présente une première analyse des concepts de mécanique comme la vitesse, la force, le poids, la masse.
Selon le programme officiel de la troisième ( HYPERLINK "http://www.cndp.fr" www.cndp.fr ), on peut présenter les exemples dactivités, les contenus-notions et les compétences dans le tableau suivant :
Exemples dactivitésCONTENUS-NOTIONSCOMPETENCESComment peut-on décrire le mouvement dun objet ?-quelques techniques dobservation : observation directe, exploitation dimages (assistée par ordinateur), etc.
-quelques mouvements : véhicules, étude documentaire (documents textuels ou multimédias) etc.Observations et description du mouvement dun objet par référence à un autre objet.
-trajectoire
-sens du mouvement
-vitesse
Mathématiques
Représentations graphiques : distance parcourue en fonction du temps, vitesse en fonction du temps.Reconnaître un état de mouvement ou de repos dun objet par rapport à un autre objet.
Reconnaître un mouvement accéléré, ralenti, uniforme.
Etre capable de calculer à partir de mesures
Savoir interpréter un graphique relatif au mouvement rectiligne dun véhicule.Pourquoi le mouvement dun objet est-il modifié ? Pourquoi un objet se déforme-t-il ?- à partir de situations mises en scène en classe ou de documents vidéo, inventorier les actions de contact (actions exercées par des solides, des liquides, des gaz) ou à distance (action magnétique, électrique, de gravitation, poids).
Action exercée sur un objet (par un autre objet), effets observés :
-modification du mouvement,
-déformation.
Modélisation dactions par des forces.
Représentation dune force localisée par un vecteur et un point dapplication.
Equilibre ou non équilibre dun objet soumis à deux forces colinéaires.Identifier lobjet détude sur lequel sexerce laction, distinguer les différents effets de laction.
Mesurer une force avec un dynamomètre.
Savoir représenter graphiquement une force.
Etre capable dutiliser la condition déquilibre dun objet soumis à deux forces colinéaires.
Les expériences proposées aux élèves peuvent être qualitatives ou quantitatives. Par exemple, pour décrire le mouvement dune balle, il peut leur être demandé une expérience qualitative dans laquelle ils règlent linclinaison du rail pour faire rouler la balle. Les élèves doivent décrire le mouvement densemble de la balle (ou de son centre C) en entourant les mots qui conviennent dans la liste suivante : circulaire, rectiligne, horizontal, vertical, parabolique, accéléré, uniforme, décéléré. De plus, ils peuvent décrire leffet de linclinaison sur la vitesse moyenne. Les expériences quantitatives peuvent consister à calculer la durée du parcours et la vitesse moyenne de la balle.
1.3 Lenseignement des sciences physiques au Lycée
Les objectifs de l'enseignement de chimie et de physique au lycée, selon le programme officiel français, répondent à plusieurs exigences :
offrir à chacun, futur scientifique ou pas, une culture de base dans un domaine de la connaissance indispensable à la compréhension du monde qui nous entoure
,
faire comprendre ce qui différencie la science des autres domaines de la connaissance, par une pratique de la démarche scientifique,
faire apparaître les liens entre l'activité scientifique et le développement technologique qui conditionne notre vie quotidienne,
permettre à chaque lycéen de s'orienter, selon ses goûts, vers des études scientifiques jusqu'au baccalauréat
(cndp / programme physique-chimie 2000).
Au lycée, les élèves vont comprendre que le comportement de la nature s'exprime à l'aide de lois générales qui peuvent exprimer des relations mathématiques entre grandeurs physiques. Lutilisation des mathématiques ne se substitue pas l'utilisation de la langue naturelle : de la formulation des questions et de la compréhension qualitative d'un phénomène.
Selon les informations officielles, lexpérimentation au lycée joue un rôle essentiel parce quelle aide à larticulation avec le monde réel. Elle aide également à la formation de lesprit scientifique quand elle combine le questionnement et la modélisation. Concrètement, il est souligné «
qu'une place privilégiée est accordée aux activités expérimentales, qu'il s'agisse d'expériences de cours ou de travaux pratiques. Ces activités permettent en effet d'établir le rapport particulier que les sciences expérimentales établissent avec le monde réel, d'où se dégagent une vision et une compréhension unifiées de phénomènes a priori très divers. Il faut cependant insister sur le fait que la pratique expérimentale dans l'enseignement ne favorise la formation de l'esprit scientifique que si elle est accompagnée d'une pratique du questionnement et de la modélisation. » (cndp / programme de seconde physique-chimie 2000).
Un enseignement expérimental au lycée est essentiel afin que l'élève, comme il l'a fait au collège, continue d'apprendre à réaliser une expérience par apport dun protocole, à observer, à décrire, à confronter ses représentations avec la réalité, à schématiser, à réaliser des mesures, à exploiter ses résultats, à analyser, à articuler la théorie et lexpérience. Lenseignement doit permettre d'acquérir la connaissance de quelques ordres de grandeur, de s'approprier des lois, des techniques, des démarches et des modes de pensée, dutiliser un vocabulaire scientifique, dargumenter
Les compétences liées à lexpérimentation sont les suivantes : formuler une hypothèse, proposer une expérience, analyser des résultats expérimentaux,, déterminer le domaine de validité dun modèle. Les compétences liées aux manipulations et aux mesures sont respecter les consignes, agir en suivant un protocole fourni, faire le schéma dune expérience, reconnaître et utiliser le matériel de laboratoire, exprimer un résultat, faire létude statistique, utiliser les technologies de linformation et de la communication.
1.3.1 Le modèle et la modélisation dans lenseignement scientifique au lycée
Dans le programme officiel français en seconde (2000), il y a explicitement la définition de modélisation. Plus précisément, la modélisation y est définit comme «
le travail d'élaboration d'une représentation abstraite simplifiée d'un phénomène, nécessitant d'identifier les paramètres pertinents et ceux qui sont négligeables dans la situation donnée, activité qui peut fournir une compréhension qualitative du phénomène et déboucher éventuellement sur une mise en équation dont la résolution fournira des évaluations quantitatives ».
Puis, dans le programme officiel pour la seconde à la partie "Messages de la lumière", mot modèle est cité : « La physique de cette partie n'utilise que le modèle de l'optique géométrique pour la loi de la réfraction de Descartes. Aucun modèle ne sera présenté concernant l'optique physique ». Egalement, dans la partie "L'air qui nous entoure", il est écrit : « les logiciels de simulation sont d'une aide précieuse pour permettre aux élèves de se construire une représentation du modèle microscopique » et du «
modèle du gaz dit parfait ».
Egalement, dans le programme officiel français en première, on peut lire : « la modélisation du système étudié, par le choix des variables pertinentes, procède de cette reconstruction du réel par la pensée. Cette modélisation précède toujours une mise en équation éventuelle, et elle s'appuie sur une description de la situation physique à l'aide de la langue naturelle ». Puis, dans la partie "forces et mouvements", il est écrit : « la description microscopique des actions subies par un corps
doù la modélisation, à ce niveau, de chacune de ces actions en terme dune force unique, par exemple : résultante des forces de pesanteur ou résultante des forces de contact entre solides » ( BO Hors-série N°7 du 31 août 2000 ).
Il faut souligner que dans les manuels scolaires de première, dans la partie « forces macroscopiques sexerçant sur un solide », on trouve les mots « modèles », « modélisation », « modéliser » très fréquemment. Ces termes sont présents dans les titres : « modélisation des interactions microscopiques », « modélisation du poids dun corps », « modélisation des forces de contact », « comment modéliser une force de frottement ? », etc. On constate que la modélisation de linteraction est introduite avant la modélisation de la force. Le concept dinteraction est le précurseur du concept de force (G. Lemeignan XE "Lemeignan" & A. Weil-Barais XE "Weil-Barais" , 1993).
1.3.2 Le concept dénergie, de vitesse, de force et de plan incliné dans lenseignement scientifique au lycée
En seconde, le programme scolaire prévoit de confronter la conception aristotélicienne du mouvement, dominante pendant 2000 ans et correspondant toujours au bon sens spontané (la vitesse d'un objet est le signe d'une force agissante) à la conception galiléenne/newtonienne (c'est le changement de la vitesse d'un objet qui est signe d'une force agissante). Une première analyse de la cause du mouvement des objets permet dintroduire le principe dinertie.
La partie du programme intitulée "mouvements et forces" est structurée autour de trois notions qui s'articulent dans une progression logique : la relativité de tout mouvement, le principe d'inertie, l'utilisation heuristique du principe d'inertie pour la mise en évidence de forces, et en particulier de la gravitation universelle. Létude dexemples concrets montre que l'exercice d'une force est susceptible de modifier le mouvement d'un corps : modification de la vitesse et modification de la trajectoire. Dans un référentiel géocentrique, on étudie la chute des corps et le mouvement de la Lune. L'utilisation heuristique du principe d'inertie indique que, si un objet ne suit pas un mouvement rectiligne uniforme, il est soumis à une force. Cette force résulte de l'interaction gravitationnelle qui, à la surface de la Terre, s'identifie pratiquement au poids.
Selon le programme officiel de seconde, on peut présenter les exemples dactivités, les contenus-notions et les compétences dans le tableau suivant :
Exemples dactivitésCONTENUS-NOTIONSCOMPETENCESExpériences montrant l'influence d'une force sur le mouvement d'un corps (modification de la trajectoire d'une balle lorsqu'on la touche,
).
Peut-il y avoir mouvement sans force dans un référentiel terrestre ?
Étude d'exemples de la vie courante provenant de films ou de bandes dessinées illustrant le principe d'inertie.
etc.
1.2. Principe d'inertie
1.2.a. Effets d'une force sur le mouvement d'un corps. Rôle de la masse du corps.
1.2.b. Enoncé du principe d'inertie pour un observateur terrestre : « tout corps persévère en son état de repos ou de mouvement rectiligne uniforme si les forces qui s'exercent sur lui se compensent ».
1.3 La gravitation universelle.
1.3.b. La pesanteur résulte de l'attraction terrestre.
Etc. Savoir qu'une force s'exerçant sur un corps modifie la valeur de sa vitesse et/ou la direction de son mouvement, et que cette modification dépend de la masse du corps.
Enoncer le principe d'inertie. Savoir qu'il est équivalent de dire : « un corps est soumis à des forces qui se compensent » et « un corps n'est soumis à aucune force ».
Utiliser le principe d'inertie pour interpréter en terme de force la chute des corps sur Terre. Etc.
En première, le but de la partie "forces et mouvements" est dapprofondir les notions qui étaient étudiées en seconde : une action sexerçant sur un solide est capable de modifier son mouvement. La mise en place de la dynamique est poursuivie par la conception newtonienne du mouvement et par une écriture plus formelle de la relation entre le changement de la vitesse dun objet et la résultante des forces sexerçant sur lui. Ainsi, la résultante des forces est liée au changement de la vitesse et non à la vitesse.
Selon le programme officiel de première, dans la partie "forces et mouvements", on peut présenter les exemples dactivités, les contenus-notions et les compétences dans le tableau suivant :
Exemples dactivitésCONTENUS-NOTIONSCOMPETENCESObservation des mouvements.
Réalisation et exploitation denregistrements : table à coussin dair
Détermination de vecteurs vitesses à partir denregistrements.
Recherche de forces sur des exemples variés (expériences, vidéos, logiciels
).
Mettre en relation la variation du vecteur vitesse VG dun mobile avec la somme des forces appliquées dans des situations simples et variées.
etc. 1. Mouvement dun solide indéformable
Vecteur vitesse dun point du solide.
Centre dinertie dun solide.
2. Forces macroscopiques sexerçant sur un solide
Actions exercées sur un solide ;
3. Une approche des lois de Newton appliquées au centre dinertie.
etc.Sur un enregistrement réalisé ou donné déterminer et représenter le vecteur vitesse V dun point mobile.
Identifier et représenter les actions qui sexercent sur un solide.
Connaître et appliquer les lois de Newton.
etc.
Lélève poursuit la construction du concept de force en sinterrogeant sur la notion de travail et sur les changements que ce travail permet de réaliser : changer lénergie cinétique dun mobile, changer son énergie potentielle dinteraction avec la Terre, changer la température dun corps. Les élèves apprenent de façon progressive les concepts de force/travail/énergie. Ils se fondent sur les notions les plus intuitives - celles de force et de travail - pour construire les différentes formes d'énergie. Ces différentes formes d'énergie sont susceptibles de se transformer les unes dans les autres. Le but est dintroduire le concept dénergie dont la conservation constitue une des lois les plus générales de la physique. Enfin, pour souligner que le travail nest pas le seul mode de transfert dénergie, le transfert thermique est introduit.
Selon le programme officiel de première, dans la partie "travail mécanique et énergie", on peut présenter les exemples dactivités, les contenus-notions et les compétences dans le tableau suivant :
Exemples dactivitésCONTENUS-NOTIONSCOMPETENCESIdentifier les effets sur un solide de forces dont les points dapplication se déplacent dans le référentiel détude :
-modifications de la valeur de la vitesse dun solide en chute libre, dun solide glissant sur un plan incliné
Etude quantitative des variations de la valeur de la vitesse dun corps dans différentes situations
Analyse du travail de la force de gravitation qui sexerce
Expérience de Joule.
Approche qualitative de la mise en contact de deux corps à des températures différentes
etc.1- Travail dune force
Notion de travail dune force
Travail dune force constante
2- Travail un mode de transfert de lénergie
2.1 Travail et énergie cinétique
2.2 Travail et énergie potentielle de pesanteur
2.3 Travail et énergie interne
3- Le transfert thermique
etc. Connaître quelques effets sur un solide de forces
Exprimer et calculer le travail dune force constante.
Utiliser lexpression de lénergie cinétique
Utiliser lexpression de lénergie potentielle de pesanteur
Savoir que lénergie reçue par travail peut être stockée
Savoir quà léchelle macroscopique, un transfert thermique se fait
etc.
En terminale, lappropriation des lois de Newton à travers les différents exemples de mouvements permet aux élèves de modéliser un système et utiliser les lois de la dynamique pour prévoir son comportement.
Selon le programme officiel de terminale, on peut présenter les exemples dactivités, les contenus-notions et les compétences dans le tableau suivant :
Exemples dactivitésCONTENUS-NOTIONSCOMPETENCESApplication de la vie courante mettant en jeu la première et la troisième loi de Newton.
Tracé les vecteurs vitesse et accélération sur des enregistrements de mouvements divers de solides.
Vérification de la pertinence des grandeurs qui intervenant dans la deuxième loi de Newton.
etc.1. La mécanique de Newton
Lien qualitatif entre £Fext et vG.
Vecteur accélération : (direction, sens, valeur).
Rôle de la masse.
Deuxième loi de Newton appliquée au centre dinertie.
Importance du choix de référentiel
Troisième loi de Newton.
etc.
Choisir un système. Choisir les repères despace et de temps.
Faire linventaire des forces extérieures appliquées à ce système.
Définir le vecteur accélération
Enoncer les trois lois de Newton.
Savoir exploiter un document expérimental : reconnaître si le mouvement du centre dinertie est rectiligne uniforme ou non
etc. Exploitation des résultats obtenus au TP précédent : vitesse limite, influence de la masse sur la vitesse limite, modélisation de la force de frottement.
etc.2. Etude de cas
2.1 Chute verticale dun solide
Force de pesanteur, notion de champ de pesanteur uniforme.
-Chute verticale avec frottement
-Chute verticale libre
etc.Définir un champ de pesanteur uniforme.
Appliquer la deuxième loi de Newton à un corps en chute verticale dans un fluide et établir léquation différentielle du mouvement, la force de frottement étant donné.
Définir une chute libre
etc.
En terminale, les notions de cinématique comme le repère, la vitesse, laccélération, etc. sont introduits. Avant de présenter la deuxième loi de Newton, toutes les notions étudiées en classe de seconde et de première (système, forces intérieures, forces extérieures, première loi de Newton, troisième loi de Newton, etc.) sont rappelées. La deuxième loi de Newton est présentée comme un principe justifié par les conséquences quon en tire. La force de pesanteur est introduite comme un cas particulier de la force de gravitation étudiée en classe de seconde. Létude de la chute libre donne loccasion de souligner la similitude entre la masse gravitationnelle (celle qui intervient dans la force de pesanteur ou dans la force de gravitation) et la masse inertielle (celle qui intervient dans la deuxième loi de Newton) (BO N°4 du 30 août 2001).
Plan incliné
En première, dans les manuels scolaires, le plan incliné existe dans la partie "solide en équilibre sur un plan horizontal ou incliné". Dans cette partie, les élèves apprennent quun solide en équilibre sur un plan incliné est soumis à laction de la Terre et à laction du support qui se compensent selon le principe dinertie. Laction du support admet deux composantes : la composante normale de la réaction et la composante tangentielle qui empêche le solide de glisser sur le support quon appelle force de frottement.
Un exercice dentraînement est proposé (« équilibre dune luge »). Dans cet exercice, lélève doit caractériser laction exercée par la piste sur la luge et calculer la valeur de la force de frottement quand la masse et langle sont indiqués.
Dans la partie "les lois de Newton", un exercice expérimental intitulé "mobile glissant sur un plan incliné" est proposé. La consigne est : « le document ci-dessus comporte deux enregistrements du mouvement du centre dinertie dun mobile sur coussin dair glissant sur une table inclinée
laquelle correspond à un mobile lâché sans vitesse initiale ?
».
Dans la partie "travail et puissance dune force constante", on trouve des exercices dentraînement. Par exemple, lexercice "travail dune force de réaction" demande à lélève dindiquer la relation entre le poids du colis et de la force de réaction qui sexerce sur lui et de calculer le travail effectué par ces deux forces quand le cours dun déplacement, la masse et langle sont donnés.
Dans la partie "travail et énergie cinétique" lexercice "étude dun mobile autoporteur lancé sur un plan incliné" a comme objectif la vérification expérimentale du théorème de lénergie cinétique. Un exercice résolu intitulé "jeu de fête foraine" est annoncé de la manière suivante : « un jeu de fête foraine consiste à pousser, le plus fort possible, un chariot se déplaçant sur des rails afin quil atteigne une cible. Les rails possèdent une partie horizontale et une partie inclinée
Calculer lénergie cinétique
». Un autre exercice "analyse dun lancer de Flipper", le lancer le Flipper est constitué dun ressort et dune tirette qui permet de comprimer le ressort, la bille est projetée par le lancer et aborde un plan incliné. Les élèves doivent déterminer la longueur quelle est susceptible de parcourir sur le plan avant quelle ne redescende et calculer le travail des forces de frottement, etc.
Enfin, dans la partie "travail et énergie potentielle", on trouve des exercices de déplacement des objets sur un plan incliné. Par exemple, dans "skieur en descente" on demande doù provient lénergie cinétique acquise par le skieur. La solution de cet exercice est la suiivante : un solide glissant sans frottement sur un plan incliné est soumis à son poids et à dautres forces dont le travail est nul, alors lénergie mécanique se conserve. Dans un autre exercice, lénoncé est : « une luge et son passager descendent une piste verglacée inclinée
calculer la vitesse du système luge-passager à partir du théorème de lénergie cinétique ou à partir du théorème de l énergie mécanique ». Dans lexercice "mouvement sur un plan incliné", lénoncé est : « un mobile autoporteur est abandonné sans vitesse initiale du haut dune table inclinée
la nature du mouvement ?
déterminer les vitesses instantanées
tracer le graphique v=f(t)
calculer lénergie potentielle de pesanteur du mobile
déterminer lénergie mécanique du mobile
».
Conclusion
Linitiation à la modélisation commence dès lécole primaire dans le but de former les élèves à la démarche scientifique et technologique. A partir du monde réel, ils apprennent peu un peu la méthode scientifique : à observer, à manipuler, à comparer, etc. et à utiliser un langage spécifique. Les trois registres : le réel, les représentations mentales et les systèmes symboliques, décrits par Vergnaud XE "Vergnaud" , sont sollicités lors de la modélisation. Le concept dénergie est introduit en CE2. Au collège, le modèle simple proposé « ne prétend pas être une représentation définitive de la réalité
». Un vocabulaire relatif à lénergie est introduit en troisième ainsi quune une première analyse des concepts de mécanique : vitesse, force, poids, masse. On peut demander aux élèves une expérience qualitative : décrire le mouvement dune balle et décrire leffet de linclinaison sur la vitesse moyenne. Au lycée, la modélisation est définit comme étant un : «travail d'élaboration d'une représentation abstraite simplifiée d'un phénomène, nécessitant d'identifier les paramètres pertinents et ceux qui sont négligeables dans la situation donnée
». Les élèves vont comprendre que le comportement de la nature s'exprime à l'aide de lois générales qui peuvent exprimer des relations mathématiques entre grandeurs physiques. Lexpérimentation joue un rôle essentiel à ce niveau scolaire. Elle aide à larticulation avec le monde réel et à la formation de lesprit scientifique quand elle combine questionnement et modélisation.
Annexe A2 : Analyse qualitative de déplacement dobjets sur un plan incliné
Résumé
Ce chapitre présente une analyse qualitative de la résolution du problème du déplacement dun mobile sur un plan incliné. Bien que cette analyse sappuit sur lanalyse des experts, il sagit dune analyse intermédiaire entre lélève et lexpert (ce nest pas non plus lanalyse que ferait un élève).
On présente les recherches consacrées à la construction dune représentation mentale par un exeprt et par un novice. Les experts construisent une représentation mentale de la situation qui comporte les concepts et les principes de la physique. La représentation mentale construite par les élèves est guidée souvent par une combinaison des données, des demandes, des caractéristiques de surface et des équations disponibles.
Dans notre analyse, on a va déterminer les hypothèses, choisir la modélisation, puis la procédure dexpérimentation et finalement la relation mathématique. Les différentes solutions possibles pour résoudre le problème sont présentées.
Introduction
Ce chapitre est consacré à une analyse qualitative de la résolution du problème du déplacement dun mobile sur un plan incliné. Nous nous sommes inspirés des experts en sciences physiques. Toutefois, il ne sagit pas de lanalyse que ferait un expert. Un expert applique les principes ou les formules de sciences physiques. Il construit une représentation mentale de la situation en relation avec les concepts et les principes de la physique. Il ne sagit pas non plus de lanalyse que ferait un élève (novice) car il lui est souvent difficile dutiliser les concepts et les principes physiques. Nous avons donc réalisé une analyse intermédiaire entre lélève et lexpert. Elle prend appui sur les travaux concernant la construction des connaissances en sciences physiques (Lemeignan XE "Lemeignan" & Weil-Barais XE "Weil-Barais" , 1993 ; Dumas-Carré XE "Dumas-Carré" & Goffard XE "Goffard" , 1997 ; Caillot XE "Caillot" & Dumas-Carré, 1987 ; Dumas-Carré & Caillot, 1993). Cette analyse sert de référence pour évaluer les réponses des élèves qui participent à notre recherche. Ces élèves ne sont généralement pas capables de construire une représentation mentale utilisant les concepts et les principes de la physique mais leur représentation est souvent guidée par une combinaison des données, des demandes, des caractéristiques de surface et des équations disponibles.
2.1 La situation problématique
La situation problématique choisie est classique en mécanique. Il sagit du déplacement dun mobile sur un plan incliné. On demande aux élèves qui travaillent avec les pièces de monnaie et le logiciel la physique par limage (voir figure 1) de réaliser différentes expériences : faire en sorte qu'une pièce se mette en mouvement sur une surface mobile, sans toucher à la pièce, faire en sorte que la pièce se déplace plus vite, le plus vite possible, qualifier le mouvement, etc.
Figure SEQ Figure \* ARABIC 1 : linterface de Physique par limage
Les élèves qui travaillent avec ModelsCreator (voir figure 2) et les voitures plastiques sont invités à répondre à un ensemble de questions pour savoir de quoi dépend la vitesse, quelles sont les relations entre la vitesse et la masse, la vitesse et langle de la route, etc.
Figure SEQ Figure \* ARABIC 2: linterface de ModelsCreator
Nous avons choisi le thème du déplacement dun objet sur un plan incliné pour différentes raisons. Tout dabord, lexpérience antérieure des élèves les aide à comprendre facilement le phénomène et à manipuler le matériel à nimporte quel âge. Ensuite, cette expérience peut être réalisée avec des objets ou avec un logiciel approprié. Enfin, il existe différentes manières pour trouver la solution comme nous pouvons le constater dans lanalyse suivante.
2.2 la représentation mentale du problème construit par les experts et les novices
Il y a des recherches anciennes sur la représentation mentale du problème construit par les élèves et par les novices. Lexpert va résoudre le problème en faisant référence aux concepts et principes de physique quil peut appliquer. Le savoir de lexpert apparaît à la fois comme organisé, mis en structure, et fortement hiérarchisé (Reif XE "Reif" et Heller XE "Heller" , 1982). Certaines recherches distinguent la représentation mentale du problème construit par les experts et les novices (Larkin XE "Larkin" , 1983). Par exemple, Chi XE "Chi" , Feltovitch XE "Feltovitch" & Glacer XE "Glacer" (1981, cité par Mathieu XE "Mathieu" et Caillot XE "Caillot" , 1985) proposent un modèle de lorganisation des connaissances pour un novice de la connaissance du plan incliné (figure 3) et pour un expert (figure 4).
La difficulté des novices peut-être attribuée à linadéquation de leurs bases de connaissances et non à des limitations dans leurs procédures générales comme lincapacité à utiliser des heuristiques pour la résolution de problèmes (Caillot XE "Caillot" , 1984). La représentation mentale construite par les élèves est guidée par une combinaison des données, des demandes, des caractéristiques de surface et des équations disponibles (Simon XE "Simon" & Simon, 1978 ; Larkin XE "Larkin" , 1981 ; Chi XE "Chi" et al., 1982 ; Caillot, 1984, 1993). Caillot a proposé « des tâches de classements de circuits à 10 étudiants de niveau universitaire, qui ne suivaient pas de cours délectricité, mais en avaient suivi auparavant. La consigne était de classer 24 schémas en groupes de circuits similaires. Le classement terminé, il leur était demandé dexpliciter les raisons de leur choix » (Caillot, 1984, 1993 p.319). Caillot montre que la plupart des étudiants se trompent parce quils ont utilisés des traits perceptifs de surface. Ils utilisent par exemple les caractéristiques géométriques, comme la forme générale du schéma, la position perceptive du générateur, lexistence dune petite maille, la configuration du positionnement des résistors. Il note que « entre les étudiants qui nutilisent que les traits de surface et ceux qui répondent à laide de principes physiques certains étudiants utilisent des mélanges des deux stratégies. Leur représentation des circuits est sous-tendue par des principes physiques, mais ces derniers sont soumis aux traits de surface particulièrs des schémas proposés » (Caillot, 1984, 1993 p.319).
Lexpert choisit la modélisation après lexamen des conditions du problème. Les résultats seront approximatifs car il y a quelques paramètres quon ne peut pas estimer comme la résistance de lair ou le fait que les pièces de monnaie ne sont pas exactement les mêmes, etc.
Figure SEQ Figure \* ARABIC 3 : Représentation de lorganisation des connaissances pour un novice (Chi XE "Chi" , Feltovitch XE "Feltovitch" & Glacer, 1981)
Figure SEQ Figure \* ARABIC 4 : Représentation de lorganisation des connaissances pour un expert (Chi XE "Chi" , Feltovitch XE "Feltovitch" & Glacer, 1981)
2.3 Analyse qualitative
Le dispositif prévoit deux logiciels et des objets : des pièces de monnaie différentes et des voitures plastiques. Nous navons pas choisit dutiliser une bille car cela implique des phénomènes de roulement avec ou sans glissement. Il faut alors considérer les énergies cinétiques de translation et de rotation. Dans notre problème, on ne considère que des objets en translation sur le plan incliné.
Les procédures mentales et les invariants opératoires impliqués dans notre problème sont les suivants : choisir la modélisation, puis la procédure dexpérimentation et finalement la relation mathématique.
Si les frottements sont négligeables :
Il existe sans doute des frottements dans le monde réel et dans les situations pragmatiques mais dans un premier temps, on peut faire lhypothèse que les frottements sont négligeables (procédure de hiérarchisation des effets) pour légitimer la solution. Dans un deuxième temps, on pourra les ajouter comme paramètre du problème (on néglige la résistance de lair).
On peut considérer que la pièce de monnaie est un objet ponctuel sans dimensions.
On peut penser que la vitesse de la pièce de monnaie va augmenter progressivement quand elle descend la surface.
Dans notre cas, nous ne nous intéressons pas au mouvement sur le plan horizontal car ce mouvement nest pas présent dans le logiciel que nous utilisons. Nous considérons la vitesse lorsque lobjet est à la base du plan incliné et au début du plan horizontal.
Il faut faire varier seulement un paramètre à la fois pour pouvoir conclure, dans le cas où lon ferait des hypothèses sur les facteurs qui interviennent sur la vitesse au bas du plan incliné.
A cause de la formule h = L sin(, la modification du facteur h conduit au même résultat que celle des facteurs L et (.
La vitesse dépend de linclinaison ( du plan par rapport à lhorizontale et de sa longueur L : v = f ((, L) ou de laltitude h du point de départ au-dessus du plan horizontal v = f (h) quand les frottements sont négligeables.
Si les frottements ne sont pas négligeables :
A cause de la formule poids EMBED Equation.3 = m EMBED Equation.3 la variation de m etEMBED Equation.3 est égale à celle du poids. Si lon considère que g ne varie pas, alors leffet du poids intervient.
La pièce de monnaie en réalité continuera son mouvement sur le plan horizontal et elle sarrêtera à cause des frottements.
En général, on trouve des problèmes de physique avec lénoncé suivant : un objet descend un plan incliné avec une vitesse constante. Dans ce cas, il faudrait appliquer le principe dinertie.
La vitesse dépend de linclinaison ( du plan par rapport à lhorizontale, de sa longueur L, du coefficient de frottement k : v = f ((, L, k ) ou v = f (h, k).
2.4 Analyse - traitement
On peut mener une analyse qualitative et quantitative. Il y a plusieurs chemins possibles à suivre.
Si les frottements sont négligeables, on peut appliquer la deuxième loi de Newton ou le théorème de lénergie cinétique au système pièce de monnaie ; on peut appliquer le principe de conservation de lénergie mécanique au système pièce de monnaie- terre. On va arriver au résultat suivant : la vitesse dépend de linclinaison ( du plan par rapport à lhorizontale et de sa longueur L : v = f ((, L ) ou v = f (h).
Si les frottements existent, on peut appliquer la deuxième loi de Newton ou le théorème de lénergie cinétique au système pièce de monnaie ; on peut appliquer le principe de conservation de lénergie totale pour un système isolé. On va arriver au résultat : la vitesse dépend de linclinaison ( du plan par rapport à lhorizontale et de sa longueur L et du coefficient de frottement k : v = f ((, L, k ) ou v = f (h, k).
2.4.1 Stratégie dynamique cinématique
- le système est la pièce de monnaie.
- on utilise la procédure mentale de découpage temporel : au départ (instant t1) la vitesse initiale de la pièce est v1= 0 (on prend comme origine le point et linstant où la pièce de monnaie commence à descendre). A la fin (instant t2) la pièce de monnaie est au bas de la surface inclinée avec la vitesse v2.
- Deux forces sont appliquées sur la pièce de monnaie en mouvement sur la surface inclinée : la force de gravité EMBED Equation.3 = m EMBED Equation.3 ou poids et la force EMBED Equation.3 de réaction du support normale à ce dernier.
Forces extérieures:
- Choisir un référentiel terrestre et un repère associé à ce référentiel. On analyse la force sur les axes Ox (laxe de mouvement) et Oy (laxe perpendiculaire à laxe du mouvement Ox).
- Le mouvement de la pièce de monnaie sur la surface inclinée, suivant laxe Ox, est uniformément accéléré parce que la somme des forces suivant cet axe est constante. Par conséquent, si on applique la deuxième loi de Newton laccélération, suivant laxe Ox, est constante.
- application de la deuxième loi de Newton sur laxe Ox et du principe dinertie sur laxe Oy. Sur laxe Oy il ny a pas de mouvement, pas daccélération, pas de vitesse.
-transformation de léquation vectorielle en une équation algébrique (il y a deux équations une suivant chaque axe). Selon les sens des axes, les valeurs des grandeurs peuvent être également négatives, coordonnées (projeter une relation vectorielle ou transformer une relation entre vecteurs en une ou plusieurs) relation faisant intervenir les coordonnées de ces vecteurs).
- Nous utilisons le théorème de géométrie sur les angles à côtés perpendiculaires. Langle du plan incliné est égal à langle entre le vecteur poids et sa projection sur laxe Oy.
- Nous utilisons, en plus les définitions mathématiques des sin(, cos( (les relations trigonométriques) et on trouve que :
(m EMBED Equation.3)x = m g sin(
(m EMBED Equation.3)y = m g cos(
- La force et laccélération sont les grandeurs vectorielles.
Axe Ox
EMBED Equation.3 = m a => m g sin( = m a => a = g sin( (laccélération de long dun plan incliné).
Laccélération est constante et le mouvement uniformément accéléré.
Le mouvement est uniformément accéléré donc : L = ½ a t2 => t = (2 L/ g sin()½
et v2 = at => v2 = (2 L g sin()½
Alors, nous avons exprimé la vitesse EMBED Equation.32 en fonction des variables lors de l analyse qualitative et nous n avons pas oublié nos hypothèses. Quand les frottements sont négligeables, la vitesse dépend de linclinaison ( du plan par rapport à lhorizontale et de sa longueur L : v= f ((, L) ou comme nous avons déjà expliqué v= f (h). On constate que la masse nintervient pas dans le résultat final. Si langle augmente et la longueur de la surface inclinée est constante, la vitesse augmente ; si la longueur de la surface inclinée augmente et langle est constant, la vitesse augmente aussi. Si laltitude h du point de départ au-dessus du plan horizontal augmente, la vitesse augmente.
2.4.2 Stratégie énergie-cinématique (le principe de la conservation de lénergie mécanique)
- Le système est le système{pièce de monnaie, terre}.
- On utilise la procédure mentale de découpage temporel : au point A (instant t1, v1= 0), au point B (instant t2, v2).
- La forceEMBED Equation.3 : la composante normale de la réaction est une force extérieure pour le système {pièce de monnaie, terre}.
- Le travail de la forceEMBED Equation.3 est nul W(EMBED Equation.3) = 0 car EMBED Equation.3 est constamment perpendiculaire au déplacement ou à la vitesse.
- Le système {pièce de monnaie, terre} est conservatif parce que toutes les forces extérieures qui agissent sur ce système effectuent un travail nul (en conséquence de lhypothèse que la réaction est normale).
- Le poids de la pièce de monnaie est une force intérieure au système {pièce de monnaie, terre} et ne participe donc pas aux transferts d'énergie.
- Application du principe de la conservation de lénergie mécanique au système conservatif {pièce de monnaie, terre}.
- Lénergie est une grandeur scalaire.
- On choisit un niveau référentiel pour lénergie potentielle (le point B : à la base du plan incliné (EpA = 0) pour lequel elle est égale à zéro).
Au point A (instant t1, v1= 0):
Au point A (instant t1, v1= 0):
Énergie cinétique: EcA = 0.Énergie potentielle: EpA = m g h.Énergie mécanique: EmA = EcA + EpA EmA=m g h.
Au point B (instant t2, v2):
Énergie cinétique: EcB = 1/2.m.V22.Énergie potentielle: EpB = 0.Énergie mécanique: EmB = EcB + EpB EmA = 1/2.m.V22.
Le système {pièce de monnaie, terre} est conservatif, donc:
EmA = EmB
1/2.m.V22 = m g h
1/2.V22 = g h
V2 = (2 g h ) ½
La vitesse dépend de laltitude hA du point de départ au-dessus du plan horizontal quand les frottements sont négligeables EMBED Equation.3 = f (h) ou EMBED Equation.3 = f ((, L).
On peut également écrire le principe de conservation de lénergie mécanique du système avec lexpression suivante: c + p = 0. Il faut rappeler que les invariants opératoires sont au cSur de l analyse et de la conceptualisation.
2.4.3 Théorème de l énergie cinétique
- On applique le théorème de l énergie cinétique pour la pièce de monnaie. Le système sera la pièce de monnaie dans le référentiel terrestre.
- On utilise la procédure mentale de découpage spatio-temporel (EcA, EcB,). Au point A (instant t1, v1= 0) : énergie cinétique: EcA = 0. Au point B (instant t2, v2) : énergie cinétique: EcB = 1/2.m.V22.- Lénergie cinétique et le travail de la force sont des grandeurs scalaires.
- Le travail de la force EMBED Equation.3 est nul W(EMBED Equation.3) = 0 car EMBED Equation.3 est constamment perpendiculaire au déplacement.
- On peut estimer le travail de la force mEMBED Equation.3 de deux manières. Il peut être négatif ou positif, ça dépend du sens de (mEMBED Equation.3)x par rapport du sens de la vitesse. Dans notre cas, le travail de la force (mEMBED Equation.3)x est positif parce que la pièce de monnaie descend et la vitesse et la force (mEMBED Equation.3)x ont le même sens.
- La variation dénergie cinétique est égale au travail de P. On retrouve évidemment le résultat obtenu précédemment par la conservation de lénergie.
Si on applique le théorème de lénergie cinétique, on va aboutir aux mêmes résultats quavant.
2.4.4 Existence de frottements
Si on considère lexistence des frottements, la vitesse dépend également du coefficient de frottement. Quand le coefficient de frottement diminue, la vitesse augmente. Dans ce cas, on ne peut pas appliquer le principe de la conservation de lénergie mécanique mais on peut appliquer le principe de la conservation de lénergie total pour le système isolé ou la variation d'énergie mécanique ou le théorème de lénergie cinétique ou la deuxième loi de Newton. En plus, le système {pièce de monnaie, terre} nest pas conservatif et il existe une variation d'énergie mécanique.
- découpage temporel
Au point A (instant t1, v1= 0):
Énergie cinétique: EcA = 0.Énergie potentielle: EpA = m g h.
Au point B (instant t2, v2):
Énergie cinétique: EcB = 1/2.m.V22.Énergie potentielle: EpB = 0.
Le travail des forces de frottements est égal à la variation de lénergie mécanique.
W(EMBED Equation.3fr) = DðEm
La forces de frottements effectuent un travail résistant (le travail de la force de frottement a ici une valeur négative parce qu elle est toujours parallèle au déplacement et de sens contraire).
W(EMBED Equation.3fr) = - EMBED Equation.3fr L
Variation d'énergie mécanique:
DðEm = EmB - EmADðEm = EcB + EpB -EcA - EpADðEm = 1/2.m.V22 - m g h.- Ffr L = 1/2.m.V22 - m g h.
- K m g cos( L = 1/2.m.V22 - m g h.
On a : h = L sin(
Comme effet : V2 = [2 g L (sin( - K cos( )] 1/2
Si on applique la deuxième loi de Newton ou les autres solutions, on arrivera au même résultat.
CONCLUSION
On peut construire une représentation mentale de la situation du plan incliné qui comporte les concepts et les principes de la physique. Dabord, il sagit de déterminer les hypothèses, de choisir la modélisation, puis la procédure dexpérimentation et finalement la relation mathématique. Différentes procédures pour résoudre le problème sont possibles.
On peut faire lhypothèse que les frottements nexistent pas et lhypothèse que la vitesse est fonction de linclinaison ( du plan par rapport à lhorizontale et de sa longueur L ou bien v est fonction de laltitude h du point de départ au-dessus du plan horizontal. On peut affirmer ces résultats en appliquant la deuxième loi de Newton ou le théorème de lénergie cinétique au système pièce de monnaie ainsi que le principe de conservation de lénergie mécanique au système pièce de monnaie- terre.
On peut également faire les hypothèses que les frottements existent ; la vitesse dépend de linclinaison ( du plan par rapport à lhorizontale, de sa longueur L, du coefficient de frottement k. On peut affirmer ces résultats en appliquant la deuxième loi de Newton ou le théorème de lénergie cinétique au système pièce de monnaie ainsi que le principe de conservation de lénergie totale pour un système isolé.
ANNEXES A3 : La physique par limage
3.1 Questionnaire avec la physique par limage
A) Avec les objets
Pourrais-tu faire en sorte que la pièce de monnaie placée sur la surface en papier se mette en mouvement sans que tu aies à la toucher ? Pourrais-tu décrire ce que tu as fait ?
Quelles connaissances as-tu qui te permettent dexpliquer la mise en mouvement de la pièce ?
Est-ce que tu peux décrire ou qualifier le mouvement ?
Quels sont les types de mouvements que tu connais ? (choix)
Pourrais-tu faire en sorte que la pièce se déplace plus vite ? Pourrais-tu décrire ce que tu as fait ?
Comment tu pourrais faire pour que la pièce se déplace le plus vite possible? Pourrais-tu décrire ce que tu as fait ?
Est-ce que tu peux faire en sorte que la pièce de monnaie est immobile sur la surface de papier inclinée sans que tu aies nécessaire de la coller ? Quelles connaissances as-tu qui te permettent dexpliquer limmobilité de la pièce sur la surface inclinée?
On va maintenant utiliser une pièce de monnaie plus grande, si je compare les deux, laquelle va arriver le plus vite sur la table? Explique-moi pourquoi tu penses cela.
Pourrais-tu imaginer sur quelle surface la pièce de monnaie se déplace le plus vite ? Pourrais-tu justifier ta proposition ?
B) Avec le logiciel « la physique par l expérience » (éd. Sciensoft,1998).
Pourrais-tu imaginer ce que l image représente ?
Pourrais-tu imaginer ce que les symboles m, Fex, ¼, a représentent?
Pourrais-tu imaginer ce que limage représente ? (a=0°)
Pourrais-tu faire en sorte que limage de lobjet parallélogramme puisse se déplacer? Pourrais-tu décrire ce que tu as fait ?
Quelles connaissances as-tu qui te permettent dexpliquer la mise en mouvement de limage de lobjet parallélogramme ?
Est-ce que tu peux décrire ou qualifier le mouvement ?
Quels sont les types de mouvements que tu connais ? (choix)
Pourrais-tu faire en sorte que limage de lobjet parallélogramme se déplace plus vite? Pourrais-tu décrire ce que tu as fait ?
Comment tu pourrais faire pour que limage de lobjet parallélogramme se déplace le plus vite possible? Pourrais-tu décrire ce que tu as fait ?
Est-ce que tu peux faire en sorte que limage de lobjet parallélogramme est immobile sur limage
inclinée ? Quelles connaissances as-tu qui te permettent dexpliquer limmobilité de limage de lobjet parallélogramme sur limage
inclinée ?
3.2 Les grilles danalyses de La Physique par limage
S1
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 1 : Les réponses des élèves lorsquon leur demande ce que limage représente
OrdN. SC.GRAPASOMGEOMASPHPLINANGPFORCCORRATRNRE1B/AQUA111E2A/BQUA1E3B/AQUA1E4A/BQUA1E5B/AQUA11E6A/BQUA111E7B/AQUA1E8A/BQUA1E9B/AQUA1E10B/ATROI1E11A/BTROI1E12B/ATROI1E13A/BTROI11E14B/ATROI1E15A/BTROI1E16B/ATROI1E17A/BSEC111E18B/ASEC1E19A/BSEC1E20A/BSEC1E21B/A SEC1E22A/BSEC1E23A/B SEC1E24B/ASEC1E25A/B SEC1E26B/A SEC1E27A/B SEC111E28B/A SEC1E29A/BSEC1111E30A/BSEC1E31B/ASEC1E32B/A PRE11E33A/B PRE11E34B/A PRE11E35A/B PRE1111E36B/A PRE111E37A/B PRE1E38B/A PRE111E39A/B PRE111E40B/APRE1E41A/B PRE111E42B/A PRE1E43A/B PRE1E44B/A PRE1E45A/B PRE11E46B/A PRE1E47A/BPRE111E48B/APRE111E49A/B TER111E50A/B TER1111E51B/ATER1E52A/BTER11E53B/ATER1E54A/B TER1E55B/ATER11E56B/A TER11E57A/B TER1E58B/A TER1E59A/BTER11E60B/ATER11E61A/B TER1E62B/A TER11E63B/ATER11E64B/ATER1E65A/BTER1E66A/BTER11111425143017311432
S2
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 2 : Les réponses des élèves lorsquon leur demande ce que limage représente quand langle est à zéro degrés
OrdN. SC.GRAPASOMGEOMASPHPLHOFORCPRINCORRNRE1B/AQUA1E2A/BQUA1E3B/AQUA1E4A/BQUA1E5B/AQUA11E6A/BQUA1E7B/AQUA11E8A/BQUA1E9B/AQUA1E10B/ATROI1E11A/BTROI1E12B/ATROI1E13A/BTROI111E14B/ATROI1E15A/BTROI1E16B/ATROI1E17A/BSEC1E18B/ASEC1E19A/BSEC1E20A/BSEC1E21B/A SEC1E22A/BSEC1E23A/B SEC11E24B/ASEC1E25A/B SEC11E26B/A SEC1E27A/B SEC1E28B/A SEC11E29A/BSEC11E30A/BSEC11E31B/ASEC1E32B/A PRE1E33A/B PRE11E34B/A PRE11E35A/B PRE111E36B/A PRE11E37A/B PRE1E38B/A PRE11E39A/B PRE11E40B/APRE1E41A/B PRE1111E42B/A PRE1E43A/B PRE1E44B/A PRE1E45A/B PRE1E46B/A PRE11E47A/BPRE1111E48B/APRE111E49A/B TER11E50A/B TER1E51B/ATER1E52A/BTER111E53B/ATER11E54A/B TER1E55B/ATER1E56B/A TER11E57A/B TER1E58B/A TER1E59A/BTER1E60B/ATER11E61A/B TER1E62B/A TER11E63B/ATER1E64B/ATER11E65A/BTER1E66A/BTER111628112976454
S3
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 3 : Les manipulations des élèves pour faire en sorte que limage de lobjet parallélogramme puisse se déplacer
OrdN. SC.AANGAFORDFRTCLIMCLSYIMMOATRNRE1B/AQUA11E2A/BQUA1E3B/AQUA1E4A/BQUA1E5B/AQUA1E6A/BQUA1E7B/AQUA1E8A/BQUA1E9B/AQUA1E10B/ATROI11E11A/BTROI11E12B/ATROI11E13A/BTROI1E14B/ATROI1E15A/BTROI1E16B/ATROI1E17A/BSEC11E18B/ASEC11E19A/BSEC1E20A/BSEC1E21B/A SEC1E22A/BSEC1E23A/B SEC11E24B/ASEC1E25A/B SEC1E26B/A SEC1E27A/B SEC1E28B/A SEC1E29A/BSEC1E30A/BSEC1E31B/ASEC1E32B/A PRE11E33A/B PRE1E34B/A PRE1E35A/B PRE11E36B/A PRE11E37A/B PRE11E38B/A PRE1E39A/B PRE1E40B/APRE1E41A/B PRE11E42B/A PRE111E43A/B PRE11E44B/A PRE1E45A/B PRE11E46B/A PRE11E47A/BPRE1E48B/APRE1E49A/B TER111E50A/B TER11E51B/ATER11E52A/BTER111E53B/ATER1E54A/B TER11E55B/ATER11E56B/A TER1E57A/B TER1E58B/A TER111E59A/BTER11E60B/ATER1E61A/B TER1E62B/A TER1E63B/ATER1E64B/ATER1E65A/BTER1E66A/BTER1281641585612
S4
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 4 : Les actions des élèves pour faire en sorte que la pièce de monnaie se déplace
OrdN. SC.DEMCONSCNSTOBINCORRATRNRE1B/AQUA1E2A/BQUA1E3B/AQUA1E4A/BQUA1E5B/AQUA111E6A/BQUA1E7B/AQUA11E8A/BQUA1E9B/AQUA11E10B/ATROI11E11A/BTROI111E12B/ATROI1E13A/BTROI11E14B/ATROI1E15A/BTROI1E16B/ATROI1E17A/BSEC111E18B/ASEC1E19A/BSEC11E20A/BSECE21B/A SEC111E22A/BSEC1E23B/A SEC1E24B/ASEC11E25A/B SEC11E26B/A SEC11E27A/B SEC1E28B/A SEC11E29A/BSEC11E30A/BSEC1E31B/ASEC1E32B/A PRE11E33A/B PRE11E34B/A PRE1111E35A/B PRE11E36B/A PRE1E37A/B PRE1E38B/A PRE111E39A/B PRE1E40B/APRE11E41A/B PRE1E42B/A PRE11E43A/B PRE1E44B/A PRE11E45A/B PRE1E46B/A PRE11E47A/BPRE11E48B/APRE11E49A/B TER111E50A/B TER1E51B/ATER1E52A/BTER1E53B/ATER111E54A/B TER1E55B/ATER1E56A/B TER1E57A/B TER1E58B/A TER1E59A/BTER1E60B/ATER11E61A/B TER11E62B/A TER111E63B/ATER1E64B/ATER1E65A/BTER111E66A/BTER11E66A/BTER115622224212
S5
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 5 : Les connaissances des élèves pour expliquer la mise en mouvement de limage de lobjet parallélogramme (avec le logiciel)
OrdN. SC.CNSTTPHYDEMCONSRANCATRNRE1B/AQUA111E2A/BQUA1E3B/AQUA11E4A/BQUA1E5B/AQUA1E6A/BQUA1E7B/AQUA1E8A/BQUA11E9B/AQUA11E10B/ATROI111E11A/BTROI111E12B/ATROI1E13A/BTROI11E14B/ATROI1E15A/BTROI1E16B/ATROI1E17A/BSEC11E18B/ASEC1E19A/BSEC1E20A/BSEC1E21B/A SEC11E22A/BSEC11E23A/B SEC1E24B/ASEC11E25A/B SEC1E26B/A SEC1E27A/B SEC1E28B/A SEC11E29A/BSEC11E30A/BSEC1E31B/ASEC1E32B/A PRE11E33A/B PRE1E34B/A PRE1E35A/B PRE11E36B/A PRE1E37A/B PRE11E38B/A PRE111E39A/B PRE1E40B/APRE1E41A/B PRE1E42B/A PRE1E43A/B PRE11E44B/A PRE1E45A/B PRE11E46B/A PRE1E47A/BPRE1E48B/APRE111E49A/B TER1E50A/B TER1E51B/ATER11E52A/BTER1E53B/ATER1E54A/B TER11E55B/ATER1E56B/A TER1E57A/B TER1E58B/A TER11E59A/BTER1E60B/ATER1E61A/B TER1E62B/A TER1E63B/ATER1E64B/ATER1E65A/BTER1E66A/BTER14511810839
S6
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 6 : Les concepts et les théories physiques
OrdN. SC.ANGLGRAVFORCFROTPRINNEWTENERTRAVPLINATRE1B/AQUAE2A/BQUAE3B/AQUA1E4A/BQUA11E5B/AQUA1E6A/BQUA111E7B/AQUAE8A/BQUAE9B/AQUA1E10B/ATROI1E11A/BTROI1E12B/ATROI1E13A/BTROI1E14B/ATROIE15A/BTROIE16B/ATROI1E17A/BSECE18B/ASECE19A/BSECE20A/BSEC1E21B/A SEC1E22A/BSEC1E23A/B SEC1E24B/ASECE25A/B SECE26B/A SECE27A/B SEC1E28B/A SEC1E29A/BSEC11E30A/BSEC1E31B/ASEC1E32B/A PRE11E33A/B PRE1E34B/A PRE1E35A/B PRE11E36B/A PRE111E37A/B PRE11E38B/A PRE1E39A/B PRE11E40B/APRE11E41A/B PRE1E42B/A PREE43A/B PRE11E44B/A PRE1E45A/B PRE1E46B/A PRE1E47A/BPRE1E48B/APRE111E49A/B TER1E50A/B TER11E51B/ATER1E52A/BTER11E53B/ATERE54A/B TER1E55B/ATER1E56B/A TER1E57A/B TER1E58B/A TER11E59A/BTER1E60B/ATER1E61A/B TER1E62B/A TERE63B/ATER11E64B/ATER1E65A/BTERE66A/BTER111314142722149
S7
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 7 : Les connaissances des élèves pour expliquer la mise en mouvement de la pièce.
OrdN. SC.DEMCONSCNSTTPHYRANCEVIDCORRATRNRE1B/AQUA1E2A/BQUA1E3B/AQUA11E4A/BQUA1E5B/AQUA1E6A/BQUA11E7B/AQUA1E8A/BQUA111E9B/AQUAE10B/ATROI11E11A/BTROI11E12B/ATROI11E13A/BTROI1E14B/ATROI1E15A/BTROI1E16B/ATROI1E17A/BSEC111E18B/ASEC1E19A/BSEC1E20A/BSEC1E21B/A SEC11E22A/BSEC11E23A/B SEC1E24B/ASEC1E25A/B SEC11E26B/A SEC1E27A/B SEC1E28B/A SEC111E29A/BSEC11E30A/BSEC1E31B/ASEC1E32B/A PRE11E33A/B PRE1E34B/A PRE11E35A/B PRE111E36B/A PRE1E37A/B PRE11E38B/A PRE111E39A/B PRE1E40B/APRE11E41A/B PRE1E42B/A PRE1E43A/B PRE1E44B/A PRE1E45A/B PRE1E46B/A PRE1E47A/BPRE1E48B/APRE11E49A/B TER1E50A/B TER1E51B/ATER1E52A/BTER1E53B/ATER11E54A/B TER1E55B/ATER1E56B/A TER1111E57A/B TER1E58B/A TER1E59A/BTER1E60B/ATER111E61A/B TER111E62B/A TER11E63B/ATER11E64B/ATER11E65A/BTER1E66A/BTER11111116379125345
S8
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 8 : Les réponses des élèves pour décrire ou qualifier le mouvement avec le logiciel
OrdN. SC.CONSDPHMRECTUNIFPUNIFACCEATRNRE1B/AQUA1E2A/BQUA1E3B/AQUA1E4A/BQUA1E5B/AQUAE6A/BQUA1E7B/AQUA1E8A/BQUA1E9B/AQUA1E10B/ATROI1E11A/BTROI1E12B/ATROI1E13A/BTROI1E14B/ATROI1E15A/BTROI1E16B/ATROI1E17A/BSEC1E18B/ASEC1E19A/BSEC1E20A/BSEC1E21B/A SEC1E22A/BSEC1E23A/B SEC1E24B/ASEC1E25A/B SEC1E26B/A SEC1E27A/B SEC1E28B/A SEC11E29A/BSEC1E30A/BSEC1E31B/ASEC1E32B/A PRE11E33A/B PRE11E34B/A PRE1E35A/B PRE11E36B/A PRE11E37A/B PRE11E38B/A PRE11E39A/B PRE11E40B/APRE1E41A/B PRE11E42B/A PRE1E43A/B PRE1E44B/A PRE1E45A/B PRE1E46B/A PRE1E47A/BPRE1E48B/APRE11E49A/B TER11E50A/B TER11E51B/ATER11E52A/BTER1E53B/ATER11E54A/B TER11E55B/ATER111E56B/A TER11E57A/B TER111E58B/A TER111E59A/BTER11E60B/ATER1E61A/B TER11E62B/A TER11E63B/ATER11E64B/ATER1E65A/BTER11E66A/BTER11111281331448
S9
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 9 : Les réponses des élèves pour décrire ou qualifier le mouvement avec les objets
OrdN. SC.DEMCONSDPHMRECTUNIFPUNIFACCEATRNRE1B/AQUA11E2A/BQUA1E3B/AQUA1E4A/BQUA1E5B/AQUA1E6A/BQUA1E7B/AQUA1E8A/BQUA1E9B/AQUA1E10B/ATROI11E11A/BTROI1E12B/ATROI1E13A/BTROI1E14B/ATROI1E15A/BTROI1E16B/ATROI1E17A/BSEC11E18B/ASEC1E19A/BSEC1E20A/BSEC1E21B/A SEC1E22A/BSEC1E23A/B SEC1E24B/ASEC1E25A/B SEC1E26B/A SEC1E27A/B SEC1E28B/A SEC1E29A/BSEC1E30A/BSEC1E31B/ASEC1E32B/A PRE11E33A/B PRE11E34B/A PRE1E35A/B PRE11E36B/A PRE11E37A/B PRE1E38B/A PRE1E39A/B PRE1E40B/APRE1E41A/B PRE1E42B/A PRE1E43A/B PRE1E44B/A PRE11E45A/B PRE1E46B/A PRE1E47A/BPRE1E48B/APRE1E49A/B TER1E50A/B TER1E51B/ATER11E52A/BTER1E53B/ATER111E54A/B TER1E55B/ATER111E56B/A TER11E57A/B TER11E58B/A TER11E59A/BTER11E60B/ATER111E61A/B TER11E62B/A TER11E63B/ATER11E64B/ATER1E65A/BTER111E66A/BTER1499249216611
S10
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 10 : Les réponses des élèves pour les types du mouvement
OrdN. SC.CORRDPHMRECTUNIFACCETRANCIRCCURVROTAATRNRE1B/AQUA1E2A/BQUA1E3B/AQUA1E4A/BQUA1E5B/AQUA1E6A/BQUA1E7B/AQUA1E8A/BQUA1E9B/AQUA1E10B/ATROI1E11A/BTROI1E12B/ATROI1E13A/BTROI1E14B/ATROI1E15A/BTROI1E16B/ATROI11E17A/BSEC1E18B/ASEC1E19A/BSEC1E20A/BSEC1E21B/A SEC1E22A/BSEC1E23A/B SEC1E24B/ASEC1E25A/B SEC1E26B/A SEC1E27A/B SEC1E28B/A SEC1E29A/BSEC1E30A/BSEC1E31B/ASEC1E32B/A PRE11E33A/B PRE111E34B/A PRE11111E35A/B PRE111E36B/A PRE1111E37A/B PRE11111E38B/A PRE111E39A/B PRE1111E40B/APRE111E41A/B PRE111E42B/A PRE11E43A/B PRE1E44B/A PRE11E45A/B PRE111111E46B/A PRE11E47A/BPRE11E48B/APRE1111E49A/B TER11111E50A/B TER1111E51B/ATER11111E52A/BTER111E53B/ATER1111E54A/B TER1E55B/ATER1111E56B/A TER111E57A/B TER111E58B/A TER1111E59A/BTER111E60B/ATER1111E61A/B TER111E62B/A TER11E63B/ATER1111E64B/ATER111E65A/BTER11E66A/BTER11191131231741278149
S11
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 11 : Les types de mouvement
OrdN. SC.DPHMRECTUNIFACCECIRCCURVTRANATRNRE1B/AQUA1E2A/BQUA1E3B/AQUA1E4A/BQUA1E5B/AQUA1E6A/BQUA1E7B/AQUA1E8A/BQUA1E9B/AQUA1E10B/ATROI1E11A/BTROI1E12B/ATROI1E13A/BTROI1E14B/ATROI1E15A/BTROI1E16B/ATROI1E17A/BSEC1E18B/ASEC1E19A/BSEC1E20A/BSEC1E21B/A SEC1E22A/BSEC1E23A/B SEC1E24B/ASEC111E25A/B SEC1E26B/A SEC1E27A/B SEC1E28B/A SEC1E29A/BSEC1E30A/BSEC1E31B/ASEC1E32B/A PRE1E33A/B PRE11E34B/A PRE1E35A/B PRE111E36B/A PRE1111E37A/B PRE1111E38B/A PRE111E39A/B PRE111E40B/APRE11E41A/B PRE111E42B/A PRE11E43A/B PRE1E44B/A PRE111E45A/B PRE1111E46B/A PRE11E47A/BPRE11E48B/APRE11E49A/B TER1E50A/B TER111E51B/ATER1E52A/BTER1111E53B/ATER111E54A/B TER1E55B/ATER11E56B/A TER11E57A/B TER1111E58B/A TER1E59A/BTER11E60B/ATER1111E61A/B TER111E62B/A TER1E63B/ATER1E64B/ATER111E65A/BTER11E66A/BTER1111115201214551717
S12
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 12 : Les manipulations des élèves pour faire en sorte que limage de lobjet parallélogramme se déplace plus vite
OrdN. SC.AANGVERTAFORAMASDMASDFRTPLVIPOBJATRNRE1B/AQUA11E2A/BQUA11E3B/AQUA11E4A/BQUA1E5B/AQUA1E6A/BQUA1E7B/AQUA1E8A/BQUA1E9B/AQUA1E10B/ATROI1E11A/BTROI11E12B/ATROI1E13A/BTROI1E14B/ATROI11E15A/BTROI11E16B/ATROI1E17B/ASEC11E18B/ASEC1E19A/BSEC1E20A/BSEC11E21B/A SEC1E22A/BSEC1E23A/B SEC1E24B/ASEC1E25A/B SEC1E26B/A SEC1E27A/B SEC1E28B/A SEC1E29A/BSEC1E30A/BSEC1E31B/ASEC1E32B/A PRE1E33A/B PRE1E34B/A PRE1E35A/B PRE1E36B/A PRE11E37A/B PRE1E38B/A PRE1E39A/B PRE1E40B/APRE1E41A/B PRE1E42B/A PRE11E43A/B PRE11E44B/A PRE1E45A/B PRE1E46B/A PRE1E47A/BPRE11E48B/APRE1E49A/B TER1E50A/B TER1E51B/ATER1E52A/BTER1E53B/ATER1E54A/B TER1E55B/ATER111E56B/A TER111E57A/B TER1E58B/A TER1E59A/BTER1E60B/ATER1E61A/B TER1E62B/A TER1E63B/ATER1E64B/ATER1E65A/BTER11E66A/BTER1309119225546
S13
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 13 : Les manipulations des élèves pour faire en sorte que la pièce se déplace plus vite
OrdN. SC.AANGVERTPLVIPLHATRFOATRE1B/AQUA1E2A/BQUA1E3B/AQUA1E4A/BQUA1E5B/AQUA11E6A/BQUA1E7B/AQUA1E8A/BQUA1E9B/AQUA1E10B/ATROI1E11A/BTROI1E12B/ATROI1E13A/BTROI1E14B/ATROI1E15A/BTROI1E16B/ATROI1E17A/BSEC1E18B/ASEC1E19A/BSEC1E20A/BSEC1E21B/A SEC1E22A/BSEC1E23A/B SEC1E24B/ASEC1E25A/B SEC1E26B/A SEC1E27A/B SEC1E28B/A SEC1E29A/BSEC1E30A/BSEC1E31B/ASEC1E32B/A PRE1E33A/B PRE1E34B/A PRE1E35A/B PRE1E36B/A PRE1E37A/B PRE1E38B/A PRE1E39A/B PRE1E40B/APRE1E41A/B PRE1E42B/A PRE1E43A/B PRE1E44B/A PRE1E45A/B PRE1E46B/A PRE1E47A/BPRE1E48B/APRE1E49A/BTER11E50A/B TER1E51B/ATER1E52A/BTER1E53B/ATER1E54A/B TER1E55B/ATER1E56B/A TER1E57A/B TER1E58B/A TER1E59A/BTER1E60B/ATER1E61A/B TER1E62B/A TER1E63B/ATER1E64B/ATER1E65A/BTER1E66A/BTER130416736
S14
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 14 : Les manipulations des élèves pour faire en sorte que la pièce se déplace le plus vite possible
OrdN. SC.AANGVERTAFORAMASDMASDFRTPLVIATRNRE1B/AQUA11E2A/BQUA1E3B/AQUA1E4A/BQUA1E5B/AQUA1E6A/BQUA1E7B/AQUA1E8A/BQUA1E9B/AQUA1E10B/ATROI11E11A/BTROI1E12B/ATROI1E13A/BTROI1E14B/ATROI1E15A/BTROI1E16B/ATROI1E17A/BSEC1E18B/ASEC1E19A/BSEC1E20A/BSEC1E21B/A SEC1E22A/BSEC1E23A/B SEC1E24B/ASEC1E25A/B SEC1E26B/A SEC1E27A/B SEC1E28B/A SEC1E29A/BSEC1E30A/BSEC1E31B/ASEC1E32B/A PRE11E33A/B PRE1E34B/A PRE1E35A/B PRE1E36B/A PRE1E37A/B PRE11E38B/A PRE1E39A/B PRE11E40B/APRE1E41A/B PRE1E42B/A PRE1E43A/B PRE1E44B/A PRE1E45A/B PRE1E46B/A PRE11E47A/BPRE1E48B/APRE1E49A/BTER1E50A/B TER1E51B/ATER11E52A/BTER1E53B/ATER1E54A/B TER1E55B/ATER11E56B/A TER1E57A/B TER1E58B/A TER1E59A/BTER11E60B/ATER1E61A/B TER1E62B/A TER11E63B/ATER1E64B/ATER1E65A/BTER1E66A/BTER163764522211
S15
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 15: Les manipulations des élèves pour faire en sorte que la pièce se déplace le plus vite possible
OrdN. SC.VERTPLVIPLUSPLHAPLFOENFRATRNRE1B/AQUA1E2A/BQUA1E3B/AQUA1E4A/BQUA1E5B/AQUA1E6A/BQUA1E7B/AQUA1E8A/BQUA1E9B/AQUA1E10B/ATROI1E11A/BTROI1E12B/ATROI1E13A/BTROI1E14B/ATROI1E15A/BTROI1E16B/ATROI1E17A/BSEC1E18B/ASEC1E19A/BSEC1E20A/BSEC1E21B/A SEC1E22A/BSEC1E23A/B SEC1E24B/ASEC1E25A/B SEC1E26B/A SEC1E27A/B SEC1E28B/A SEC1E29A/BSEC1E30A/BSEC1E31B/ASEC1E32B/A PRE1E33A/B PRE1E34B/A PRE1E35A/B PRE1E36B/A PRE1E37A/B PRE1E38B/A PRE1E39A/B PRE1E40B/APRE1E41A/B PRE1E42B/A PRE1E43A/B PRE1E44B/A PRE1E45A/B PRE1E46B/A PRE1E47A/BPRE1E48B/APRE1E49A/B TER1E50A/B TER1E51B/ATER1E52A/BTER1E53B/ATER1E54A/B TER1E55B/ATER1E56B/A TER1E57A/B TER1E58B/A TER1E59A/BTER1E60B/ATER1E61A/B TER1E62B/A TER1E63B/ATER1E64B/ATER1E65A/BTER1E66A/BTER13492222411
S16
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 16: Les manipulations des élèves pour faire en sorte que limage de lobjet parallélogramme soit immobile
OrdN. SC.INPPHORIDMASDFRTDFORTOBJPOBJATRNRE1B/AQUA11E2A/BQUA11E3B/AQUA1E4A/BQUA11E5B/AQUA1E6A/BQUA1E7B/AQUA1E8A/BQUA1E9B/AQUA1E10B/ATROI1E11A/BTROI1E12B/ATROI1E13A/BTROI1E14B/ATROI1E15A/BTROI1E16B/ATROI1E17A/BSEC11E18B/ASEC1E19A/BSEC1E20A/BSEC1E21B/A SEC1E22A/BSEC1E23A/B SEC1E24B/ASEC1E25A/B SEC11E26B/A SEC1E27A/B SEC1E28B/A SEC1E29A/BSEC1E30A/BSEC1E31B/ASEC1E32B/A PREE33A/B PRE1E34B/A PRE11E35A/B PRE1E36B/A PRE1E37A/B PRE1E38B/A PRE11E39A/B PRE1E40B/APRE1E41A/B PRE1E42B/A PRE1E43A/B PRE1E44B/A PRE1E45A/B PRE11E46B/A PRE1E47A/BPRE11E48B/APRE1E49B/A TER1E50A/B TER1E51B/ATER111E52A/BTER1E53B/ATER1E54A/B TER1E55B/ATER111E56B/A TER1E57A/B TER1E58B/A TER11E59A/BTER11E60B/ATER1E61A/B TER1E62B/A TER1E63B/ATER1E64B/ATER1E65A/BTER11E66A/BTER1311345551613
S17
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 17: Les manipulations des élèves pour faire en sorte que la pièce de monnaie soit immobile sur la surface de papier inclinée
OrdN. SC.INPPHORIFROTFORCTOBJATRPRE1B/AQUA1E2A/BQUA1E3B/AQUA1E4A/BQUA1E5B/AQUA1E6A/BQUA1E7B/AQUA1E8A/BQUA1E9B/AQUA1E10B/ATROI1E11A/BTROI1E12B/ATROI1E13A/BTROI11E14B/ATROI1E15A/BTROI1E16B/ATROI1E17A/BSEC1E18B/ASEC1E19A/BSEC1E20A/BSEC1E21B/A SEC1E22A/BSEC1E23A/B SEC1E24B/ASEC1E25A/B SEC1E26B/A SEC1E27A/B SEC1E28B/A SEC1E29A/BSEC1E30A/BSEC1E31B/ASEC1E32B/A PRE1E33A/B PRE1E34B/A PRE1E35A/B PRE1E36B/A PRE1E37A/B PRE1E38B/A PRE11E39A/B PRE1E40B/APRE1E41A/B PRE1E42B/A PRE1E43A/B PRE1E44B/A PRE1E45A/B PRE1E46B/A PRE1E47A/BPRE1E48B/APRE11E49B/A TER1E50A/B TER1E51B/ATER1E52A/BTER1E53B/ATER1E54A/B TER1E55B/ATER1E56B/A TER1E57A/B TER1E58B/A TER1E59A/BTER1E60B/ATER1E61A/B TER1E62B/A TER1E63B/ATER1E64B/ATER1E65A/BTER1E66A/BTER1224125530
S18
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 18: Les connaissances des élèves pour expliquer limmobilité de limage de lobjet parallélogramme
OrdN. SC.EVIDGRAVFROTPRINMASSPOBJATRNRE1B/AQUA1E2A/BQUA1E3B/AQUA1E4A/BQUA1E5B/AQUA1E6A/BQUA1E7B/AQUA1E8A/BQUA1E9B/AQUA1E10B/ATROI1E11A/BTROI1E12B/ATROI1E13A/BTROI1E14B/ATROI1E15A/BTROI1E16B/ATROI1E17A/BSEC1E18B/ASEC1E19A/BSEC1E20A/BSEC1E21B/A SEC1E22A/BSEC1E23A/B SEC11E24B/ASEC11E25A/B SEC1E26B/A SEC1E27A/B SEC1E28B/A SEC1E29A/BSEC1E30A/BSEC1E31B/ASEC1E32B/A PRE1E33A/B PRE1E34B/A PRE1E35A/B PRE1E36B/A PRE1E37A/B PRE11E38B/A PRE1E39A/B PRE1E40B/APRE1E41A/B PRE1E42B/A PRE1E43A/B PRE1E44B/A PRE1E45A/B PRE1E46B/A PRE1E47A/BPREE48B/APRE1E49B/A TER1E50A/B TER1E51B/ATER1E52A/BTER1E53B/ATER1E54A/B TER1E55B/ATER1E56B/A TER1E57A/B TER1E58B/A TER1E59A/BTER11E60B/ATER1E61A/B TER1E62B/A TER1E63B/ATER1E64B/ATER1E65A/BTER1E66A/BTER193713321121
S19
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 19: Les explications des élèves pour faire en sorte que la pièce de monnaie est immobile sur la surface de papier inclinée
OrdN. SC.GRAVFROTPRINDEMATRNRE1B/AQUA1E2A/BQUA1E3B/AQUA1E4A/BQUA1E5B/AQUA1E6A/BQUA1E7B/AQUA1E8A/BQUA1E9B/AQUA1E10B/ATROI1E11A/BTROI1E12B/ATROI1E13A/BTROI1E14B/ATROI1E15A/BTROI1E16B/ATROI1E17A/BSEC1E18B/ASEC1E19A/BSEC1E20A/BSEC1E21B/A SEC1E22A/BSEC1E23A/B SEC1E24B/ASEC1E25A/B SEC1E26B/A SEC1E27A/B SEC1E28B/A SEC1E29A/BSEC1E30A/BSEC1E31B/ASEC1E32B/A PRE1E33A/B PRE11E34B/A PRE1E35A/B PRE1E36B/A PRE1E37A/B PRE1E38B/A PRE1E39A/B PRE1E40B/APRE1E41A/B PRE1E42B/A PRE1E43A/B PRE1E44B/A PRE1E45A/B PRE1E46B/A PRE1E47A/BPRE1E48B/APRE1E49B/A TER1E50A/B TER1E51B/ATER1E52A/BTER1E53B/ATER1E54A/B TER1E55B/ATER11E56B/A TER1E57A/B TER1E58B/A TER1E59A/BTER1E60B/ATER1E61A/B TER1E62B/A TER1E63B/ATER1E64B/ATER1E65A/BTER1E66A/BTER11011781022
S20
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 20: La comparaison entre les prévisions et les constats expérimentaux des élèves
OrdN. SC.CONFCNTRATRE1B/AQUA1E2A/BQUA1E3B/AQUA1E4A/BQUA1E5B/AQUA1E6A/BQUA1E7B/AQUA1E8A/BQUA1E9B/AQUA1E10B/ATROI1E11A/BTROI1E12B/ATROI1E13A/BTROI1E14B/ATROI1E15A/BTROI1E16B/ATROI1E17A/BSEC1E18B/ASEC1E19A/BSEC1E20A/BSEC1E21B/A SEC1E22A/BSEC1E23A/B SEC1E24B/ASEC1E25A/B SEC1E26B/A SEC1E27A/B SEC1E28B/A SEC1E29A/BSEC1E30A/BSEC1E31B/ASEC1E32B/A PRE1E33A/B PRE1E34B/A PRE1E35A/B PRE1E36B/A PRE1E37A/B PRE1E38B/A PRE1E39A/B PRE1E40B/APRE1E41A/B PRE1E42B/A PRE1E43A/B PRE1E44B/A PRE1E45A/B PRE1E46B/A PRE1E47A/BPRE1E48B/APRE1E49B/A TER1E50A/B TER1E51B/ATER1E52A/BTER1E53B/ATER1E54A/B TER1E55B/ATER1E56B/A TER1E57A/B TER1E58B/A TER1E59A/BTER1E60B/ATER1E61A/B TER1E62B/A TER1E63B/ATER1E64B/ATER1E65A/BTER1E66A/BTER143221
S21
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 21: Les réponses des élèves sur quelle surface la pièce de monnaie se déplace le plus vite
OrdN. SC.LISSMFRODPHEPLATPLASGLACVERTATRNRE1B/AQUA1E2A/BQUA1E3B/AQUA1E4A/BQUA11E5B/AQUA1E6A/BQUA111E7B/AQUA1E8A/BQUA1E9B/AQUA11E10B/ATROI1E11A/BTROI1E12B/ATROI1E13A/BTROI11E14B/ATROI11E15A/BTROI1E16B/ATROI1E17A/BSEC1E18B/ASEC1E19A/BSEC1E20A/BSEC1E21B/A SEC1E22A/BSEC11E23A/B SEC1E24B/ASEC11E25A/B SEC11E26B/A SEC1E27A/B SEC1E28B/A SEC111E29A/BSEC11E30A/BSEC11E31B/ASEC111E32B/A PRE1111E33A/B PRE111E34B/A PRE11E35A/B PRE11E36B/A PRE11E37A/B PRE1E38B/A PRE111E39A/B PRE11E40B/APRE11E41A/B PRE11E42B/A PRE11E43A/B PRE11E44B/A PRE11E45A/B PRE11E46B/A PRE11E47A/BPRE11E48B/APRE111E49B/A TER111E50A/B TER1E51B/ATER11E52A/BTER11E53B/ATER11E54A/B TER1E55B/ATER11E56B/A TER11E57A/B TER11E58B/A TER111E59A/BTER11E60B/ATER11E61A/B TER111E62B/A TER1E63B/ATER11E64B/ATER1E65A/BTER1E66A/BTER1363367318375
3.3 Comparaison : expériences réalisées physiquement / expériences représentées sur lécran de lordinateur
Nous continuons la comparaison pour la même situation dans le monde réel et dans le monde des simulations pour la question: Est-ce que tu peux décrire ou qualifier le mouvement ?
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 22: Comparaison : expériences réalisées physiquement / expériences représentées sur lécran de lordinateur pour la question : Est-ce que tu peux décrire ou qualifier le mouvement ?
Réponses avec les objetsRéponses avec le logicielComparaison1Non.
Je ne sais pas !
Lélève ne peut pas qualifier le mouvement de la pièce ni le mouvement de limage de lobjet parallélogramme: Catégorie 1 (C1).2Euh !
le
Tant qu'on bouge l'objet, la pièce suivra.Mm. Non !Lélève décrit les manipulations (on bouge l'objet) pour qualifier le mouvement de la pièce, et elle nexplique pas le mouvement de limage de lobjet parallélogramme. 3Euh ! Bah
un mouvement
. Euh
non, je ne peux pas.Bah ! Cest
un mouvement
un mouve
euh
je ne sais pas
il tombe
Lélève ne peut pas qualifier le mouvement de la pièce mais il qualifie le mouvement de limage de lobjet parallélogramme en décrivant les événements perçus (il tombe): Catégorie 3 (C3).4Euh
un mouvement
le
glisser sur la rosette.Glisse.Lélève qualifie de la même façon (glisser) le mouvement de la pièce et le mouvement de limage de lobjet parallélogramme: Catégorie 4 (C4).
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 23 : Les catégories de comparaison par rapport le niveau scolaire pour la question : Est-ce que tu peux décrire ou qualifier le mouvement : : pourcentages et effectifs entre parenthèses
Catégories
Niveau scolaire
C1
C2
C3
C4
TotalQuatrième11% (1)11% (1)22% (2)56% (5)100% (9)Troisième029% (2)29% (2)43% (3)100% (7)Seconde020% (3)20% (3)60% (9)100% (15)Première12% (2)06% (1)82% (14)100% (17)Terminal6% (1)6% (1)089% (16)100% (18)
Par la suite et pour la même situation on va comparer la manière dont les élèves lappréhendent lorsquils sont confrontés à des objets quils sont à même de manipuler, dune part, et lorsquils sont en présence dune simulation informatique dautre part pour la question: Pourrais-tu faire en sorte que la pièce (limage dobjet parallélogramme) se déplace plus vite ? Pourrais-tu décrire ce que tu as fait ?
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 24: Comparaison : expériences réalisées physiquement / expériences représentées sur lécran de lordinateur pour la question : Pourrais-tu faire en sorte que la pièce (limage dobjet parallélogramme) se déplace plus vite ?
Réponses avec les objetsRéponses avec le logicielComparaison1Je la...Non.Lélève ne peut pas effectuer lexpérience réalisée physiquement ni à lordinateur: Catégorie 1 (C1).2Euh
, la pente, la mettre droit. Jy arrive pas à le faire.Lélève peut effectuer lexpérience réalisée physiquement (mettre droit) mais elle ne peut pas faire lexpérience à lordinateur. Pas de correspondance entre les actions sur les objets et la représentation symbolique: Catégorie 2 (C2).3Euh..Ah ! Oui ! Le plan soit plus vertical.
Lélève ne peut pas effectuer lexpérience réalisée physiquement mais elle peut faire lexpérience à lordinateur. Pas de correspondance entre les actions sur les objets et la représentation symbolique: Catégorie 3 (C3).4Bah ! Oui, en inclinant beaucoup le cahier
la pièce est tombée.En augmentant langle.Lélève reconnaît les symboles physiques à lécran. Son action sur les objets (incliner beaucoup le cahier) correspond à l'action sur le logiciel (augmenter langle). On peut donc faire l'hypothèse que l'élève effectue une correspondance entre les actions sur les objets et la représentation symbolique : Catégorie 4 (C4).
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 25 : Les catégories de comparaison par rapport le niveau scolaire pour la question : Pourrais-tu faire en sorte que la pièce (limage dobjet parallélogramme) se déplace plus vite : pourcentages et effectifs entre parenthèses
Catégories
Niveau scolaire
C1
C2
C3
C4
TotalQuatrième11% (1)0089% (8)100% (9)Troisième014% (1)14% (1)71% (5)100% (7)Seconde020% (3)080% (12)100% (15)Première06% (1)094% (16)100% (17)Terminal06% (1)094% (17)100% (18)
ANNEXES A4 : ModelsCreator
4.1 Questionnaire avec ModelsCreator
A) Avec les objets
Pourrais tu faire en sorte que la voiture en plastique placée sur la surface de papier se mette en mouvement sans que tu aies à la toucher ? Pourquoi fais-tu comme cela ?
Sur quelle surface inclinée (dune grande, dune moyenne ou dune petite inclinaison) une voiture se déplace le plus vite ? Explique ta réponse.
Sur quelle surface (de béton, glacée, de terre ou mouillée) la voiture se déplace le plus vite ? Explique ta réponse.
Une voiture roule sur un plan incliné. Imagine qu'une seconde voiture, plus grande cette fois, se déplace sur le même plan. Quelle est la voiture qui descendra le plus vite ? Explique ta réponse.
Quand l'inclinaison du plan augmente, que se passe-t-il pour la vitesse ? (Elle ne change pas, elle augmente, elle diminue). Explique ta réponse.
Quand la masse du véhicule augmente, que se passe-t-il pour la vitesse ? (Elle ne change pas, elle augmente, elle diminue). Explique ta réponse.
B) Avec le logiciel modelscreator
Je vais maintenant te présenter à l'écran d'ordinateur des dessins et des graphiques (des représentations) dont on peut se servir comme modèles.
(On lui montre les entités). Pourrais-tu dire ce quelles représentent ?
EMBED PBrush EMBED PBrush
Au cas où la description de l'élève est incomplète ou inexacte :
En fait, les figures représentent une voiture qui roule sans moteur sur une route qui peut avoir une pente plus ou moins forte.
On clique ici pour faire fonctionner le modèle. Peux tu me dire ce que tu comprends ? (faire plusieurs présentations, si nécessaire, reposer la question à chaque essai).
Voici une autre représentation. On clique sur départ. Peux me dire ce que tu comprends ? (faire plusieurs présentations, si nécessaire, reposer la question à chaque essai).
On a préparé maintenant deux représentations. Elles apparaissent ensemble sur lécran de l'ordinateur. On clique sur départ. Peux me dire ce que tu comprends ? (faire plusieurs présentations, si nécessaire, reposer la question à chaque essai).
Je te présente maintenant les trois représentations que tu as vues.
Si tu devais choisir entre la représentation È = ± Ç, la représentation È = eÇ et la !! représentation (les trois relations) quelle est celle que tu choisirais ? Pourquoi ?
(On lui montre les trois premières relations) Pourrais-tu me dire ce que cela signifie ?
D'après ce que tu as vu :
Peux-tu dire quelle est la relation entre la vitesse du véhicule et la pente de la route ? (Demander chaque fois une justification).
Penses-tu quil peut y avoir dautres facteurs qui ont un effet sur la vitesse de la voiture ?
a) Peux-tu dire quelle est la relation entre la vitesse du véhicule et le type de route ? Est-ce que tu pourrais faire quelque chose avec lordinateur pour le prouver ?
b) Peux-tu dire quelle est la relation entre la vitesse et la masse du véhicule ? Est-ce que tu pourrais faire quelque chose avec lordinateur pour le prouver ?
c) Peux-tu dire quelle est la relation entre la vitesse du véhicule et la durée du déplacement? Est-ce que tu pourrais faire quelque chose avec lordinateur pour le prouver ?
(Rappeler que les véhicules sont sans moteur : ils se déplacent en roues libres).
12. Sur quelle route inclinée (une pente forte, une pente moyenne ou une pente faible) une voiture peut se déplacer le plus vite ? Tu peux m'expliquer pourquoi?
Sur quelle route (route en béton, route verglacée, en terre ou mouillée) une voiture peut se déplacer le plus vite ? Tu peux m'expliquer pourquoi ?
Une voiture descend une route inclinée. Une autre voiture, plus grande descend la même route dans les mêmes conditions. Quelle est la voiture qui descend le plus vite ? Tu peux m'expliquer pourquoi ?
4.2 Grilles danalyses de modelscreator
M1
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 26 : Réponses données à la représentation de deux entités, dans les cas où les élèves réalisent les expériences avec le logiciel
OrdN. SC.CMDECMUECMNAE1O/MQU1E2M/OQU1E3O/MQU1E4M/OQU1E5M/OQU1E6O/MQU1E7M/OQU1E8O/MQU1E9O/MQU1E10O/MQU1E11M/OQU1E12M/OQU1E13O/MTR1E14M/OTR1E15O/MTR1E16M/OTR1E17O/MTR1E18M/OTR1E19M/OTRE20M/OTRE21O/MTRE22O/MTRE23M/OTRE24O/MTRE25O/MTRE26M/OTR1152
M2
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 27 : Réponses données à la représentation de trois premières relations semi-quantitatives, dans les cas où les élèves réalisent les expériences avec le logiciel
OrdN. SC.RCCLINFPHINFSCATRNRE1O/MQU1E2M/OQU1E3O/MQU1E4M/OQU1E5M/OQU1E6O/MQU1E7M/OQU1E8O/MQU1E9O/MQU1E10O/MQU1E11M/OQU1E12M/OQU1E13O/MTR1E14M/OTR1E15O/MTR1E16M/OTR1E17O/MTR1E18M/OTR1E19M/OTR1E20M/OTR1E21O/MTR1E22O/MTR1E23M/OTR1E24O/MTR1E25O/MTR1E26M/OTR1611622
M3
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 28 : La formalisation de la relation y=ax
OrdN. SC.FRPRCAENPFRPRE1O/MQU1E2M/OQU1E3O/MQU1E4M/OQU1E5M/OQU1E6O/MQU1E7M/OQU1E8O/MQU1E9O/MQU1E10O/MQU1E11M/OQU1E12M/OQU1E13O/MTR1E14M/OTR1E15O/MTR1E16M/OTR1E17O/MTR1E18M/OTR1E19M/OTR1E20M/OTR1E21O/MTR1E22O/MTR1E23M/OTR1E24O/MTR1E25O/MTR1E26M/OTR112113
M4
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 29 : La formalisation de la relation y = ex
OrdN. SC.FREXFRARCAENPFREXE1O/MQU1E2M/OQU1E3O/MQU1E4M/OQU1E5M/OQU1E6O/MQU1E7M/OQU1E8O/MQU1E9O/MQU1E10O/MQU1E11M/OQU1E12M/OQU1E13O/MTR1E14M/OTR1E15O/MTR1E16M/OTR1E17O/MTR1E18M/OTR1E19M/OTR1E20M/OTR1E21O/MTR1E22O/MTR1E23M/OTR1E24O/MTR1E25O/MTR1E26M/OTR111663
M5
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 30 : Traduction dun système symbolique dans un autre
OrdN. SC.CORRCAENPCORRE1O/MQU1E2M/OQU1E3O/MQU1E4M/OQU1E5M/OQU1E6O/MQU1E7M/OQU1E8O/MQU1E9O/MQU1E10O/MQU1E11M/OQU1E12M/OQU1E13O/MTR1E14M/OTR1E15O/MTR1E16M/OTR1E17O/MTR1E18M/OTR1E19M/OTR1E20M/OTR1E21O/MTR1E22O/MTR1E23M/OTR1E24O/MTR1E25O/MTR1E26M/OTR11916
M6
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 31 : Les relations choisies par les élèves
OrdN. SC.1ère2ème3èmeE1O/MQU1E2M/OQU1E3O/MQU1E4M/OQU1E5M/OQU1E6O/MQU1E7M/OQU1E8O/MQU1E9O/MQU1E10O/MQU1E11M/OQU1E12M/OQU1E13O/MTR1E14M/OTR1E15O/MTR1E16M/OTR1E17O/MTR1E18M/OTR1E19M/OTRE20M/OTRE21O/MTRE22O/MTRE23M/OTRE24O/MTRE25O/MTRE26M/OTR4104
M7
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 32 : Les arguments avancés par les élèves pour les relations choisies
OrdN. SC.CONSCMSTATRE1O/MQU1E2M/OQU1E3O/MQU1E4M/OQU1E5M/OQU1E6O/MQU1E7M/OQU1E8O/MQU1E9O/MQU1E10O/MQU1E11M/OQU1E12M/OQU1E13O/MTR1E14M/OTR1E15O/MTR1E16M/OTR1E17O/MTR1E18M/OTR1E19M/OTRE20M/OTRE21O/MTRE22O/MTRE23M/OTRE24O/MTRE25O/MTRE26M/OTR1044
M8
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 33 : Les actions des élèves pour faire en sorte que lobjet se déplace
OrdN. SC.DEMCONSCNSTPOBJATRNRE1O/MQU1E2M/OQU1E3O/MQU1E4M/OQU11E5M/OQU1E6O/MQU111E7M/OQU111E8O/MQUE9O/MQU1E10O/MQU11E11M/OQU1E12M/OQU11E13O/MTR1E14M/OTR11E15O/MTR1E16M/OTR1E17O/MTR1E18M/OTR11E19M/OTR11E20M/OTR11E21O/MTR1E22O/MTR11E23M/OTR1E24O/MTR11E25O/MTR11E26M/OTR14113253
M9
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 34 : Les facteurs qui influencent la vitesse de la voiture, dans le cas où les élèves réalisent les expériences avec le logiciel.
OrdN. SC.ANGLEFORCETDRMASSEMOTERATRNRE1O/MQU1E2M/OQU1E3O/MQU1E4M/OQU1E5M/OQU1111E6O/MQU11E7M/OQU1E8O/MQU1E9O/MQU1E10O/MQU11E11M/OQU111E12M/OQU111E13O/MTR111E14M/OTR1E15O/MTR11E16M/OTR11E17O/MTR1E18M/OTR11E19M/OTRE20M/OTRE21O/MTRE22O/MTRE23M/OTRE24O/MTRE25O/MTRE26M/OTR6188351
M10
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 35 : Les facteurs qui influencent la vitesse de la voiture, dans le cas où les élèves réalisent les expériences avec le matériel
OrdN. SC.ANGLEFORCETDRMasseMOTERDEMCONSATRE1O/MQU11E2M/OQU1E3O/MQU1111E4M/OQU1E5M/OQU1111E6O/MQU11E7M/OQU1E8O/MQU11E9O/MQU1E10O/MQU1E11M/OQU1E12M/OQU11111E13O/MTR1111E14M/OTR11E15O/MTR1E16M/OTR1E17O/MTR11E18M/OTR1E19M/OTRE20M/OTRE21O/MTRE22O/MTRE23M/OTRE24O/MTRE25O/MTRE26M/OTR93523554
M11
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 36 : Justifications du choix des expressions relationnelles semi-quantitative entre linclinaison et la vitesse
OrdN. SC.COVACONTRAPOBJCNSTDESCATRPrE1O/MQU1E2M/OQU1E3O/MQU1E4M/OQU1E5M/OQU11E6O/MQU11E7M/OQU1E8O/MQU11E9O/MQU1E10O/MQU1E11M/OQU1E12M/OQU1E13O/MTR11E14M/OTR1E15O/MTR1E16M/OTR1E17O/MTR1E18M/OTR1E19M/OTR11E20M/OTR1E21O/MTR11E22O/MTR1E23M/OTR1E24O/MTR11E25O/MTR1E26M/OTR1113353433
M12
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 37 : Explications de la relation entre linclinaison et la vitesse, dans le cas où les élèves réalisent les expériences avec le matériel
OrdN. SC.COVACONTRAPOBJCORRCNSTCONSEVIDPEXPE1O/MQU11E2M/OQU1E3O/MQU1E4M/OQU11E5M/OQU1E6O/MQU11E7M/OQU1E8O/MQU1E9O/MQU1E10O/MQU1E11M/OQU11E12M/OQU1E13O/MTR1E14M/OTR11E15O/MTR1E16M/OTR1E17O/MTR11E18M/OTR1E19M/OTR1E20M/OTR1E21O/MTR1E22O/MTR11E23M/OTR1E24O/MTR1E25O/MTR11E26M/OTR1414211327
M13
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 38 : Justifications du choix des expressions relationnelles semi-quantitative entre le type de route et la vitesse
OrdN. SC.COVAINVOINAV
DESCPHENATRPR
E1O/MQU11E2M/OQU11E3O/MQU1111E4M/OQU11E5M/OQU1E6O/MQU1E7M/OQU1E8O/MQU1E9O/MQU11E10O/MQU1E11M/OQU1E12M/OQU1E13O/MTR1E14M/OTR1E15O/MTR1E16M/OTR1E17O/MTR1E18M/OTR1E19M/OTR11E20M/OTR1E21O/MTR1E22O/MTR1E23M/OTR1E24O/MTR11E25O/MTR1E26M/OTR19756233
M14
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 39 : Explications quelle surface inclinée (de béton, glacée, de terre ou mouillée) une voiture se déplace le plus vite, dans le cas où les élèves réalisent les expériences avec le matériel
OrdN. SC.POBJCONSCMSTDVPVATRNRE1O/MQU1E2M/OQU11E3O/MQU111E4M/OQU11E5M/OQU1E6O/MQU1E7M/OQU1E8O/MQU1E9O/MQU1E10O/MQU1E11M/OQUE12M/OQU11E13O/MTR111E14M/OTR11E15O/MTR1E16M/OTR1E17O/MTR1E18M/OTR1E19M/OTR1E20M/OTR111E21O/MTR1E22O/MTR1E23M/OTRE24O/MTR1E25O/MTRE26M/OTR16156231
M15
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 40 : Justifications du choix des expressions relationnelles semi-quantitative entre la masse et la vitesse
OrdN. SC.COVA
CONTRACNST
POBJPHENATRNR
E1O/MQU11E2M/OQU11E3O/MQU11E4M/OQU1E5M/OQU111E6O/MQU11E7M/OQU111E8O/MQU11E9O/MQU111E10O/MQUE11M/OQU11E12M/OQU111E13O/MTR111E14M/OTR11E15O/MTR11E16M/OTR11E17O/MTR11E18M/OTR11E19M/OTR11E20M/OTR11E21O/MTR1111E22O/MTR111E23M/OTR11E24O/MTR111E25O/MTR11E26M/OTR11154422732
M16
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 41 : Explications de la relation entre la masse et la vitesse, dans le cas où les élèves réalisent les expériences avec le matériel
OrdN. SC.COVAPOBJCONSCNSTEVIDATRNRE1O/MQU111E2M/OQU11E3O/MQU1E4M/OQU11E5M/OQU11E6O/MQU1E7M/OQU1E8O/MQU111E9O/MQU111E10O/MQU111E11M/OQU11E12M/OQU11E13O/MTR11E14M/OTR1E15O/MTR11E16M/OTR1E17O/MTR11E18M/OTR1E19M/OTR1E20M/OTR1E21O/MTR11E22O/MTR11E23M/OTR1E24O/MTR1E25O/MTR11E26M/OTR1813133342
M17
Tableau SEQ Tableau \* ARABIC 42 : Justifications du choix des expressions relationnelles semi-quantitative entre la durée du déplacement et la vitesse
OrdN. SC.COntrACOVA
PHENINAV
ATRNRE1O/MQU11E2M/OQU1E3O/MQU1E4M/OQU1E5M/OQU1E6O/MQU1E7M/OQU11E8O/MQU1E9O/MQU1E10O/MQU1E11M/OQU1E12M/OQU1E13O/MTR1E14M/OTR1E15O/MTR1E16M/OTR1E17O/MTR1E18M/OTR1E19M/OTR1E20M/OTR1E21O/MTR1E22O/MTR1E23M/OTR1E24O/MTR1E25O/MTR1E26M/OTR1822646
ANNEXES A5 : les figures représentant les interfaces des logiciels en couleur
Figure SEQ Figure \* ARABIC 5: Un modèle sur linterface de Modellus
Figure SEQ Figure \* ARABIC 6: Un modèle sur linterface de Stella
Figure SEQ Figure \* ARABIC 7: Un modèle sur linterface dInteractive Physique
Figure SEQ Figure \* ARABIC 8: Linterface dInspiration
Figure SEQ Figure \* ARABIC 9: Un " monde " a été créé, avec Worldmaker, pour explorer la diffusion et la commande des feux de forêt.
Figure SEQ Figure \* ARABIC 10: Un modèle sur linterface de SimQuest
Figure SEQ Figure \* ARABIC 11: Une graphique photo-réel sur linterface de Model-It
Figure SEQ Figure \* ARABIC 12: Linterface de ModelsCreator
Figure SEQ Figure \* ARABIC 13 : Linterface du ModellingSpace
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